• il y a 12 heures
Retrouvez le replay de l'après course du slalom parallèle par équipes des championnats du monde de ski alpin de Saalbach du 04/02/2025.

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Transcription
00:00Voilà comment s'illumine votre visage lorsque vous venez de décrocher la première médaille d'or des
00:09championnats du monde de ski alpin et c'est l'Italie qui décroche ce graal pour la première fois de
00:13son histoire sur le slalom parallèle par équipe. L'Italie qui a battu la Suisse en finale et c'est
00:19une première sensation sur ces championnats du monde à Salbar en Autriche et l'Italie qui avait
00:24également battu l'équipe de France en quart de finale on verra avec Jean-Baptiste Grange notre
00:28double champion du monde. Adrien Courrouble si ça va atténuer un petit peu la déception des
00:33français et des françaises on les écoutera au micro de Frans Piron. Dans quelques instants
00:37également l'équipe de Greg prendra le relais à partir de 18h20. Ce soir c'est l'Athletico
00:41Madrid d'Antoine Griezmann qui est au programme également pour les quarts de finale de la Coupe
00:45du Roi face à Getafe. Jean-Baptiste, Adrien on a vécu une émotion folle grâce aux Italiens.
00:51Petit cadeau on revit les 30 secondes qui ont transformé la vie de ces athlètes italiens
00:57comme si vous étiez sur la piste et au coeur de cette ambiance complètement folle.
01:27C'est la fin de la Coupe du Roi, c'est la fin de la Coupe du Roi, c'est la fin de la Coupe du Roi.
01:31C'est la fin de la Coupe du Roi, c'est la fin de la Coupe du Roi.
01:58On va les écouter les Italiens dans quelques instants mais Jean-Baptiste, le côté équipe,
02:02on le disait dans l'avant-cours, ça transforme la compétition, ça transforme la course et on voit bien
02:07avec cette joie des Italiens et des Italiennes. On n'a pas l'habitude dans le ski, il y a peu d'épreuves
02:12par équipe donc forcément de le faire ça met beaucoup de piment. Il s'est passé plein de choses,
02:20ça s'est joué à coup de centième. On a vu aussi des athlètes qui ont su porter leur équipe,
02:26on pense à Lara de la Mea, à Wienerzer, à chaque fois il y en avait un ou deux qui ressortaient,
02:32filles, garçons et qui arrivaient à porter leur équipe donc bravo aux Italiens et ils lancent
02:38de la meilleure des manières leur championnat du monde.
02:40Ce qui est génial quand on voit ces images, c'est que ce sont aussi des sportifs, des athlètes
02:44qui ne sont pas forcément prédestinés à remporter une médaille au championnat du monde parce que
02:48dans les épreuves individuelles, ce sont loin d'être les favoris et là on a vraiment vu l'explosion
02:53de joie au moment où Alex Wienerzer franchit la ligne, c'est déjà une très belle image je trouve
02:56pour des mutés parce que un, c'est l'Italie qui n'était pas programmée pour gagner et deux,
03:00ce sont des athlètes qui ne sont pas prévus pour gagner les épreuves individuelles,
03:02ils vont tous ramener une médaille de champion du monde.
03:04Et Alex Wienerzer, on va le retrouver dans quelques instants, il est en train d'arriver au micro
03:08de Franz Piron, on aura l'occasion de profiter de son émotion qui est la première image forte
03:13de ces championnats du monde de ski alpin donc à Salbar. Les Italiens qui se sont arrêtés
03:18au micro de la réalisation internationale, le visage encore illuminé, on les retrouve,
03:23on les écoute avant de filer ensuite en zone mixte avec Franz Piron.
03:34La première médaille d'or qui est la vôtre.
03:37C'était un départ fantastique, on est super heureux entre nous.
03:48Ils ont écouté Bella Ciao, Bella Ciao. C'est génial, merci.
03:57On n'est pas très habitués de courir à deux, vous courrez d'ordinaire pour votre propre compte,
04:07qu'est-ce que ça change de partager ces émotions ?
04:16C'est génial de courir en équipe.
04:23Est-ce qu'ils vont célébrer ça aujourd'hui ?
04:27On va boire quelque chose, un petit peu de vin.
04:33Il faut qu'on célèbre, c'est notre première médaille d'or, bien sûr qu'on va célébrer.
04:40Ils n'ont toujours pas atterri.
04:43C'est sympa de voir des sourires comme ça, c'est spontané.
04:48C'est deux jeunes qui sont loin de prétendre à une médaille et se retrouvent avec une médaille d'or
04:53aux championnats du monde pour leur nation.
04:56C'est beau de voir ces sourires.
04:58Alex Villager, en français cette fois-ci avec France Pirron.
05:05J'ai essayé en français.
05:06Quoi ? Tu as essayé en français ?
05:07J'ai essayé.
05:08Bravo, vous devez être super fier de commencer la compétition comme ça.
05:11Oui, c'est la meilleure compétition.
05:17Toute l'équipe a skié très bien et je suis super content.
05:23J'espère que toute l'Italie sera fière et donnera tout.
05:28Bravo, vous avez battu les Français, on n'est pas très contents nous.
05:34C'est une compétition très difficile avec les Français.
05:39Avec Thibault, 300e, c'est rien.
05:45C'est l'espoir, mais il est super fort.
05:48Bravo Alex, merci.
05:52Franchement, avoir leur bonheur, on est fair-play.
05:54On leur pardonne complètement d'avoir battu l'équipe de France, Jean-Baptiste Devoir.
05:58C'est ce qui fait la beauté de ce format-là, de cette compétition-là.
06:02Le monde du ski alpin, à force de gagner pour certains,
06:07ça atténue un peu les émotions.
06:09Là, on est au maximum de l'émotion.
06:12Au maximum. En plus, on vit un truc par équipe, on partage.
06:17Forcément, les émotions sont décuplées.
06:19C'est la première course de ces championnats du monde.
06:24On ne s'y attend pas vraiment.
06:26Je ne pense pas que l'Italie s'attendait à aller jusqu'au bout.
06:29Malheureusement, on est tombé contre eux dès les huitièmes de finale.
06:33Je pense qu'il y aura quand même un petit peu de frustration et de déception côté français.
06:38C'est le jeu, on a vu que ça ne s'est joué à rien du tout, à plus de centièmes.
06:42Il faut l'accepter.
06:44On va écouter nos Français, nos Françaises.
06:47D'abord, Léo Angnot et Clara Dires.
06:49Clara qui avait lancé le match pour l'équipe de France et qui s'était malheureusement inclinée.
06:54On les retrouve, c'était il y a quelques minutes au micro de France.
06:57On reprend dans l'ordre.
06:58Clara, c'est toi qui ouvres la piste sur la bleue en plus.
07:01Tu n'ouvres pas de la meilleure des manières.
07:03Tu avais la pression.
07:04Comment ça s'est passé pour toi ?
07:06Non, je n'ouvre vraiment pas de la meilleure des manières.
07:10Ce n'est vraiment pas un rythme qui me convient.
07:13Avec les skis de gyro, c'est beaucoup trop court.
07:15J'ai vraiment du mal à centrer mon ski en entrée de courbe.
07:19Je n'en fais pas beaucoup.
07:21Je ne suis pas une fille qui arrive à s'adapter hyper vite.
07:25J'ai été très mauvaise.
07:29Je suis déçue pour moi, pour l'équipe et pour tout.
07:33Ce n'est pas été bon.
07:34Léo, tu n'avais pas un rôle facile non plus, celui de conclure.
07:37Tu devais avoir une pression folle quand tu connais le résultat là-haut.
07:39Comment ça se passe pour toi ?
07:40En haut, je ne connaissais pas le résultat.
07:42Je me suis dit que je fais la manche à fond.
07:45Je mets tout ce que j'ai.
07:46On verra bien en bas.
07:47Je suis un peu déçu de ma manche.
07:49En termes de temps, ce n'est pas exceptionnel.
07:52Il y a des garçons qui sont les plus vites.
07:54Je pensais, sur un format comme ça, pouvoir être meilleur.
07:57C'est comme ça.
07:58Il faut l'accepter.
07:59Je suis un peu déçu de ma manche.
08:01Je pense que j'étais capable de le battre pour aller chercher ce petit point qui nous manquait.
08:08C'est comme ça.
08:09Il faut accepter.
08:11On sera revanchards la prochaine fois.
08:13Ce n'est pas le meilleur moyen de commencer le tournoi.
08:15Mais c'est quelque chose qu'on va ressasser.
08:16Ou alors, vite, dès ce soir, on passe à autre chose.
08:18Le géant, c'est complètement autre chose.
08:21Si on commence à ressasser notre perte ici, on ne prend pas le départ au géant.
08:26Ce n'est pas la peine.
08:27On va être revanchards.
08:29On va avoir envie d'aller chercher.
08:30Là, on a une bonne semaine de préparation.
08:32Ce n'est pas du tout la même chose.
08:34On le voit bien.
08:35Les Norvégiens, qui sont une grosse équipe, qui étaient très forts, se sont fait sortir
08:38au même moment que nous.
08:40Comme on l'a dit depuis le début, le parallèle, tout est possible.
08:43Tout peut se passer.
08:45Nous, ça ne nous a pas souri.
08:46Je n'ai pas été bonne pour l'équipe.
08:49Mais le géant, c'est autre chose.
08:50Et tant mieux, parce qu'on ne va pas commencer à faire des comptes sur un parallèle.
08:57Disons que ceux qui sont champions du monde ce soir,
08:59ne seront pas les champions du monde du géant.
09:02Ça permet de prendre des repères sur la piste du géant pour la suite, justement ?
09:05Oui, ça permet de voir un peu la neige.
09:06Après, comme on disait, c'est dans une semaine, 10 jours, les géants.
09:10Ça peut changer d'ici là.
09:11Mais ça permet de voir un peu la neige, de se mettre dans l'ambiance,
09:14de voir ce que c'est que les championnats du monde en Autriche.
09:16Parce que c'est le pays du ski, il y a du monde, comme on voit.
09:18Et alors, c'est comment ?
09:20C'est un bel événement.
09:21C'est sympa.
09:22On était mieux en France parce que le public était derrière nous.
09:25Mais c'est sympa.
09:26Au moins, on sait à quoi s'attendre.
09:28Et ça nous motive pour aller chercher des belles places en géant.
09:31On a hâte de vous voir.
09:32Merci à tous les deux.
09:35On est triste pour Nobleux et Clara, qui étaient très touchés.
09:39Le géant, ce sera la semaine prochaine.
09:41Le prochain rendez-vous, c'est jeudi, le Super G Femme.
09:4311 heures pour la prise d'antenne.
09:45Léo qui parlait de la zone de départ, c'est Julien Lesroux
09:48qui a pu passer la journée dans cette position privilégiée.
09:51Julien, on était presque étonnés qu'il n'ait pas eu de consignes.
09:54C'est normal ?
09:55Léo, il ne savait pas où il en était quand il est parti.
09:58Oui, oui.
09:59Mais Saoud, c'est totalement normal.
10:01Quand on est au départ, il y a tellement d'infos en peu de temps
10:03que Léo a été concentré sur sa course.
10:05Et de toute façon, il a skié du mieux possible.
10:07C'est la course.
10:08On sait très bien que le team parallèle, ça se joue au centième de seconde.
10:11Malheureusement, le centième n'était pas de notre côté.
10:13C'était plutôt du côté des Italiens.
10:15Et jusqu'au bout, jusqu'à la finale.
10:17Frustration, elle exige jusqu'à quel point pour l'équipe de France, Julien ?
10:20Après ce quart de finale, pas d'exploit face à l'Italie
10:22qui finalement est championne du monde.
10:24On ressort avec une frustration atténuée ou encore plus forte
10:27parce qu'on se dit que l'Italie a réussi à l'exploit et la France, non.
10:33Je pense que le ski, c'est un sport de frustration.
10:36Il y a pas mal d'échecs, pas mal de contre-performance,
10:38pas mal de moments de déception comme les Français ont pu en vivre aujourd'hui.
10:41Mais il y a aussi des bons moments qu'il faut aller chercher.
10:44Je dirais qu'ils n'ont pas à rougir, ils ont tout donné.
10:47Ils sont tombés sur une très forte équipe italienne.
10:49C'est la première fois que l'équipe a skié à ce niveau-là en team parallèle.
10:52Maintenant, il faut se servir aussi, comme le disaient très bien Léo et Clara,
10:57du fait d'avoir pu rentrer dans ce championnat du monde,
10:59d'avoir pu ce qui est sur la piste de course.
11:01Là, c'est un petit peu l'effervescence.
11:03Au départ, ils sont en train de tout plier.
11:04On est sur la piste de descente homme.
11:06Demain, on enchaîne directement entraînement homme, entraînement de mâme
11:09avant les premières courses jeudi et vendredi.
11:11Ça veut dire que vous êtes descendu.
11:12Vous n'êtes plus à 2100 mètres d'altitude, Julien.
11:17Exactement.
11:18On est descendu un petit peu.
11:19Et puis, l'air d'arrivée est encore un petit peu plus bas.
11:23Spotlight, là, il fait...
11:24Demain, ça sera un peu différent.
11:26Vous verrez.
11:27Demain, c'est les entraînements.
11:28Vous ne verrez pas demain, mais vous verrez après-demain.
11:30On est vraiment sur une piste qui est baignée de soleil.
11:32Un revêtement qui est très, très bon du haut en bas.
11:35En tout cas, ça promet de belles rivalités, de beaux résultats, de belles médailles.
11:41En tout cas, les Italiens, eux, ont lancé de la meilleure manière possible
11:44leur championnat du monde.
11:45Et il est temps de vous dire au revoir.
11:47Visiblement, ça commence à couper un peu, Julien.
11:49Jeudi, 11 heures, l'horaire pour le Super G femmes.
11:52Bonne soirée à tous.
11:53Bonne soirée, Julien.
11:54Merci infiniment pour cette première belle journée
11:56sur cette position très privilégiée dans l'air de départ
11:59où on vous emmènera chaque jour.
12:01Demain, les entraînements et évidemment, toutes les dernières infos
12:04dans toutes les émissions.
12:05L'équipe de choc, l'équipe de grec et l'équipe du soir.
12:07Jean-Baptiste, est-ce que sur le papier, l'équipe d'Italie était bien supérieure
12:14à l'équipe de France ou est-ce que sur le papier,
12:17quand on compare les quatre skieurs, le niveau n'était pas si éloigné ?
12:22Ça veut dire qu'on aurait pu vivre un exploit aujourd'hui ?
12:25On aurait pu vivre un exploit.
12:26On le dit depuis le début.
12:27C'est une discipline qui est ouverte.
12:30C'est très serré.
12:31Ça joue à coup de centième.
12:33Malheureusement, ça n'est pas passé pour les Français contre l'Italie.
12:36Et surtout, de tour en tour, on prend de la confiance.
12:39Si la France passait un tour de plus, on pouvait tout espérer.
12:44Sur le papier, non, ce n'était pas l'Italie qui était favorite.
12:47Mais ils ont su s'appuyer sur une Lara Delamea qui a été très forte,
12:53sur un Alex Vinacer qui a été très fort.
12:55Ils ont eu les centièmes du bon côté.
12:57Ça permet de pouvoir aller jusqu'au bout.
12:59Ça peut les mettre en confiance, Jean-Baptiste, cette victoire ?
13:02On sait que là, il y a le Super G qui arrive.
13:04Femmes notamment.
13:05C'est une discipline dans laquelle les Italiennes,
13:07on a Sofia Goggia notamment, on a Federica Brinoni, peuvent briller.
13:11Est-ce que ça peut pousser ces équipes italiennes ?
13:14Je pense surtout que ça enlève un petit peu de pression.
13:17Quand le compteur est ouvert, les médias sont aussi un petit peu moins derrière.
13:22Les compteurs sont ouverts, il y a moins de pression.
13:25Après, on va vraiment rentrer dans des disciplines individuelles
13:31où là, il y a quand même une hiérarchie mondiale qui certainement va être respectée.
13:36C'est sûr que ça débloque le compteur, mais ce n'est pas pour ça.
13:40Clara le disait très bien, les courses individuelles arrivent après
13:44et les cartes sont bien zéro.
13:49La suite du programme de ces championnats du monde.
13:51Jeudi, notez bien le rendez-vous, 11h pour le Super G femmes.
13:54Il y a une course par jour sur ces championnats du monde.
13:58Le Super G femmes, jeudi.
14:00Le Super G hommes, vendredi.
14:01L'horaire, c'est 11h pour profiter de ces championnats du monde.
14:04Donc, de ski alpin à Salbar.
14:06C'est la vitesse la première semaine et la technique la deuxième.
14:10Jean-Baptiste ?
14:11C'est ça, on va avoir les épreuves de vitesse avec les deux disciplines reines.
14:17La descente femmes, la descente hommes sur le week-end.
14:19Ça va être spectaculaire.
14:22La descente, c'est toujours beaucoup de vitesse.
14:26C'est les plus fêlées ?
14:27Oui, c'est là où on va le plus vite.
14:29On peut atteindre des vitesses comme sur l'autoroute à 130-140 km heure.
14:35Il y aura des sauts, il y aura du spectacle.
14:38On va vraiment se passer un bon moment et se régaler.
14:41C'est mondiaux jusqu'au 16 février prochain.
14:45Les championnats du monde de biathlon prennent le relais à partir du 12 février.
14:48Ce sera jusqu'au 23 au cœur de ce mois de février royal.
14:51Et au cœur de ce mois de février royal, il y a également le cyclisme avec l'étoile de Bessèges.
14:56La première étape demain à 14h.
14:59Claire Bricogne est en direct avec nous depuis Nîmes.
15:02Demain à 14h, Claire.
15:04J'imagine que vous êtes devant le bus des futurs vainqueurs, c'est ça ?
15:09Non, mais ça doute malheureusement que ce ne sera pas possible.
15:13C'est le tenant du titre qui est derrière, c'est Mats Pedersen.
15:16Et juste à côté, je voulais surtout vous montrer qu'il y avait le bus d'Arnaud Delis également.
15:19Pourquoi Mats Pedersen et Arnaud Delis ?
15:21Parce que ce sont les deux derniers vainqueurs de la première étape qu'on va vivre demain.
15:25Arrivé à Belgrade.
15:28Et pour ce bus de Little Trek, c'est vrai que Mats Pedersen a été champion du monde.
15:32Bien sûr, on le sait.
15:33Donc on pourrait penser en effet que s'il revient, c'est pour essayer de gagner l'étoile de Bessèges.
15:37Qu'il a déjà remporté.
15:38Sauf qu'il y a le Mont Bouquier au programme cette année.
15:40Ce sera samedi.
15:41Il ne le passe pas, le Mont Bouquier.
15:43Donc ce sera forcément un autre vainqueur, certainement.
15:45A moins qu'il ait changé de catégorie.
15:47Vous voyez là, avec Arnaud Delis notamment, qui avait remporté cette première étape.
15:50Et qui fera partie des coureurs vraiment qu'on attend.
15:52Il y en a d'autres qu'on attendra également.
15:54Et parmi les Français, Kévin Vauclin.
15:56Qui est terminé deuxième pour deux secondes l'année dernière.
15:59Et qui aura très envie de s'imposer bien sûr.
16:01Et puis il y a la jeune pépite Paul Manier.
16:03Qu'on compare à Julien Laphilippe.
16:05Mais Saoud, on devrait le voir dès demain également.
16:07Magnifique.
16:08Ça c'est noté, Claire.
16:09On ajoute Richard Carapace par exemple.
16:11Il y a une startiste absolument dingue.
16:13Demain, 14h pour l'étoile de Bessèges.
16:15A demain, Claire, pour l'étoile de Bessèges.
16:17Au cœur de ce février royal.
16:19Greg Acher arrive pour l'équipe de Greg.
16:21Le temps de saluer France Piron à Salbar.
16:23Il fait un petit peu moins chaud que tout à l'heure.
16:26France, c'était comment pour nos téléspectateurs ?
16:28L'atmosphère pour cette première journée ?
16:30On a l'impression d'avoir vécu déjà une magnifique première journée.
16:37Et il y a un truc qui ne s'est peut-être pas forcément bien entendu à l'écran.
16:40Vous me le direz.
16:41Mais c'est la musique qui était vraiment très très forte.
16:44Et très très bien choisie.
16:45Que ce soit au départ, à l'arrivée pendant les runs.
16:47D'entendre les skieurs se battre sur des musiques endiablées.
16:51Il y avait une ambiance de feu dans la zone d'arrivée.
16:53Ça commence très très bien.
16:54Ça sent bon pour la suite, mais ça out.
16:56Pourquoi la musique était bien choisie ?
16:57Parce que c'est Greg Acher qui l'a d'habitude.
16:59Je lui aurais mis un peu plus de pop-rock et elle aurait râlé.
17:02Mais bon, vous savez, France, c'est comme ça.
17:05Ça va ?
17:06Très bien.
17:07On aurait aimé une petite médaille, mais ce n'est pas grave.
17:09Je suis tellement content de la championne du monde.
17:11Et franchement, les visages des Italiennes championnes du monde,
17:13c'était absolument exceptionnel.
17:15Il ne faut pas montrer ça à Raymond Domenech.
17:16Parce que c'est le seul truc qui peut le laisser là.
17:18Non, pas ce soir.
17:19Il n'y a pas de Raymond.
17:20Mais par contre, on va évidemment s'intéresser au bilan du Mercato.
17:22Parce que ça a été tout feu, tout flamme.
17:24Il y a encore des infos qui sont arrivées tard hier.
17:26On va revenir.
17:27On va les donner pour ceux qui n'auraient pas tout suivi.
17:28On va se demander pourquoi l'OM arrive à attirer toujours des grands joueurs.
17:31Même dans des périodes sans Ligue des champions ou avec un peu moins de moyen.
17:34C'est un truc de fou.
17:35Ils sont encore là.
17:36Ils ont réussi le coup Ben Lasserre, par exemple.
17:38C'est le pourquoi du soir avec Jérémy Jeannin-Gros.
17:40Et pourquoi Pogba ne sera pas dans le top 5 ?
17:46Alors, pour son grand retour, c'est toujours un petit peu troublant.
17:49Et puis, il y aura Pinot, nos jeux habituels et toutes les chroniques que vous aimez.
17:52Eh bien, c'est juste après une courte pause.
17:54Et la joie des Italiens, c'est la première émotion forte de ces championnats du monde.
17:58Les voici, les Italiens, champions du monde pour la première fois de leur histoire
18:02sur le slalom parallèle par équipe.
18:04Prochain rendez-vous aux championnats du monde, jeudi 11h.
18:06Et tout de suite, c'est l'équipe de Greg.

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