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00:00Vous connaissez le rendez-vous d'11h à 13h, Pascal Praud et vous, pour commenter l'actualité, Pascal, bonjour.
00:07Bonjour. Un mot qui a fait hier exciter toute la classe politique, comme s'il n'y avait pas d'autre chose à parler que de ça, c'est le mot submersion.
00:16Et on en est là en France, ce qui est fascinant toujours avec la gauche, et c'est tout à l'heure Vincent Trémolet de Villers qui citait Jean Daniel, il y a 30 ans.
00:26Et cette réalité-là n'est pas vue par la gauche française, c'est tartue, c'est couvrer ce sein que je ne saurais voir.
00:34Et on en est effectivement là, et cette gauche précisément en est là parce qu'elle refuse une réalité qui est l'immigration en France et ses conséquences.
00:47Les Danois qui ont l'exacte stratégie contraire gouvernent avec une politique sur ces sujets qui serait jugée par le parti socialiste français comme une politique d'extrême droite.
01:01Puisque M. Vallaud hier à la tribune, la seule chose que sait dire aujourd'hui la gauche qui s'est radicalisée par rapport à il y a 30 ans,
01:11c'est-à-dire qu'aujourd'hui, on l'a vu, vous en avez parlé avec l'affaire Carly, c'est-à-dire qu'il y a radicalisation du camp du bien ou de la gauche
01:19qui ne supporte plus évidemment de perdre le contrôle du récit, on le dit quasiment chaque matin,
01:24et qui devient plus hargneuse, plus radicale, et qui ne tolère plus du tout la moindre opposition à ses idées.
01:35Et c'est Boris Vallaud qui incarne cela, mais d'autres, notamment des journalistes, des sociétés de journalistes.
01:42Ce qui se passe avec l'affaire Carly, vous en avez très très bien parlé ce matin, il avait liké l'heure des pros.
01:47M. Carly, paraît-il, j'ai appris ça, il avait liké, vous vous rendez compte ?
01:51Et il est sorti du système par des journalistes, par des sociétés de journalistes, par des syndicats de journalistes,
01:59et par des patrons, pardonnez-moi, qui ne sont pas à la hauteur, qui ne le défendent pas.
02:05Mais bien sûr, parce qu'ils ont peur !
02:08Le groupe Crédit Mutuel, en l'occurrence.
02:10Mais ils ont peur, et la peur, la trouille, elle est au cœur de tous ces systèmes-là.
02:14Parce qu'il y a plein de gens, au fond, qui pensent qu'il faut changer les choses en France.
02:20Je n'ai pas fait la collection des sondages, mais depuis deux ans, ils poussent absolument la même chose.
02:25Des gens qui ont du pouvoir, dans des entreprises, ils peuvent dire ça.
02:28Mais ils ont peur, et c'est cette peur-là, cette trouille-là, qui gouverne le pays,
02:34et aussi des hommes politiques, depuis bien longtemps, qui ont peur d'une mauvaise réputation,
02:38peur d'être attaqués dans les médias, peur du mauvais papier dans tel ou tel organe de presse ou à la télévision,
02:44peur quand tu es artiste, peur quand tu es homme politique, peur quand tu es journaliste.
02:48Donc c'est plus facile de traverser la vie dans le camp du bien, tu ne prends pas de coup.
02:54Autre sujet dont on pourrait avoir une minute, Pascal, dans le sommaire, parce qu'on ne parle pas que d'un sujet.
03:00Écoutez, vous voulez une actualité plus légère ?
03:02On fait du football ce soir avec le Paris Saint-Germain, et regardez Canal+.
03:05Ça va être le plus grand multiplex de l'histoire de la télévision.
03:09C'est notre ami Eric Bénard qui va commenter cela, il y aura également la soirée avec Hervé Matou,
03:14il y a le PSG qui lâche toute gare.
03:16Il y a Brest surtout, ça va être fabuleux !
03:19Je suis complètement d'accord, peut-être qu'il y aura quatre équipes françaises en finale.
03:25Donc voilà une actualité plus légère et plus intéressante.
03:31Plus violonnesque avec l'hymne de la Ligue des champions, vous entendez derrière la voix de Pascal.
03:36Ce ne sont pas vraiment des violons, si vous me permettez, ce sont des trompettes.
03:41Il y a quelques cordes.
03:43Il y a une basse aussi.
03:45Il y a même deux voix.
03:47Il y a même un chœur, magnifique !
03:49La Ligue des champions, on en parlera avec Pascal Praud.
03:51C'est sur Canal+.
03:53C'était du Händel à l'origine.
03:55Non, absolument, ça a été modifié.
03:57Il y a une aspiration.
03:59Je propose messieurs qu'on lance le débat de 11h à 13h.