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Mercredi 22 janvier 2025, SMART IMPACT reçoit Vigdis Morisse-Herrera (Fondatrice, Opale.care) et Jonathan Berg (Fondateur, Berg Guitares)

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00:00Générique
00:08Bonjour, bonjour à toutes et à tous. Bienvenue, c'est Smart Impact, l'émission de la transformation environnementale et sociétale de notre économie.
00:14Et voici le sommaire du jour. Mon invité, c'est Vic 10, Maurice Herrera, la fondatrice d'Opal.ker, plateforme de prévention et d'accompagnement
00:23des victimes de violences conjugales qui lance son premier service à destination des entreprises.
00:28Le débat de ce Smart Impact, il portera sur les dangers du surtourisme, le constat, les solutions à découvrir tout à l'heure.
00:36Et puis, dans notre rubrique Smart Ideas, la bonne idée du jour, elle est signée Berg Guitare, des guitares électriques éco-responsables fabriquées en France.
00:46Voilà pour les titres. On est parti pour ce Smart Impact.
00:49Générique
00:55L'invité de ce Smart Impact, c'est Vic 10, Maurice Herrera. Bonjour.
01:00Bonjour.
01:01Bienvenue. Vous êtes la fondatrice d'Opal.ker. De quoi on parle ? Quand ? Pourquoi vous l'avez créé, Opal.ker ?
01:07Moi, j'ai créé Opal.ker pour répondre à plusieurs enjeux sociétaux.
01:13Le premier étant de permettre un maximum de personnes d'identifier le plus tôt possible, si elles sont victimes de violences conjugales,
01:22parce que l'état actuel des choses fait qu'on visibilise énormément les violences physiques.
01:29On a beaucoup de clichés classistes, parfois racistes aussi, sur les violences conjugales,
01:34ce qui empêche un grand nombre de victimes de reconnaître que ce qu'elles vivent n'est pas normal et qu'il s'agit de violences conjugales.
01:41Donc le premier objectif d'Opal, c'est ça. Et puis l'autre objectif d'Opal, c'est de faire rentrer ce sujet dans l'entreprise,
01:48parce que c'est un sujet, déjà une obligation légale, premièrement, et de deux, ça a un impact économique.
01:55Oui, bien sûr. Alors ça, on va évidemment y consacrer de longues minutes. C'est aussi lié à votre expérience personnelle ? Vous l'avez vécu d'une certaine façon ?
02:03Oui, moi, tout à fait. J'ai été victime de violences conjugales pendant plusieurs années.
02:07Et c'est à ce titre que j'ai pu mesurer à quel point, malgré le fait qu'il m'était difficile de me reconnaître un statut de victime, etc.,
02:17ça a eu un impact colossal sur mon activité professionnelle. Et c'est aussi pour ça que j'ai décidé d'adresser ce sujet avec beaucoup de transparence auprès des entreprises,
02:28parce qu'en étant chef d'entreprise, je peux exposer l'impact que ça a eu,
02:32ce qui est bien plus difficile pour des salariés qui sont dans un enjeu important de ne pas perdre leur emploi et de faire illusion au maximum.
02:38Et donc, vous proposez un service à destination des entreprises et des marques qui s'appelle Opal Pro. De quoi il s'agit ?
02:44Alors, Opal, c'est tout simplement un SaaS qui va permettre aux entreprises, premièrement, de réfléchir avec nous sur ce qu'elles ont déjà en place,
02:55parce qu'on a beaucoup de contrats, de prévoyances, on a des accords avec les opco, etc.
02:59Donc, on a déjà un certain nombre de choses qui sont en place et qui sont déjà financées pour aider les victimes de violences conjugales.
03:05L'outil Opal, on va l'administrer avec l'entreprise qui travaille avec nous, de manière à intégrer toutes les solutions de l'ordre de ces contrats qui existent pour l'entreprise
03:17et des actions que l'entreprise décide de mettre en œuvre en plus pour ses salariés.
03:22Ça peut être une journée de congé pour aller porter plainte qui n'apparaîtra pas sur le bulletin de salaire, etc.
03:28Mais toutes ces actions, il faut qu'elles soient visibles des salariés.
03:31Donc, nous, on donne les moyens à travers Opal de rendre cela visible en même temps que le diagnostic, que les aides de l'État, que l'aide associative aux salariés,
03:41de manière à ce qu'elles puissent simplement avoir un état des lieux de tout ce qui est à leur disposition pour pouvoir quitter un foyer vieux.
03:50– Alors, on va se concentrer sur les raisons pour lesquelles, il y en a plein, les entreprises doivent s'emparer de cette question des violences conjugales.
03:56Parce qu'on pourrait avoir un premier réflexe, si ça se dit, c'est de l'ordre de l'intime, du privé, ça ne concerne pas l'entreprise.
04:01Alors d'abord, il y a des obligations légales qu'on peut rappeler, tout simplement ?
04:05– Tout à fait, l'entreprise, elle doit limiter et empêcher tous les risques psychosociaux.
04:11Quand on sait qu'une femme sur six, en âge de travailler, va vivre des violences sexuelles et physiques,
04:18ce ne sont pas mes chiffres, ce sont les chiffres publiés annuellement par le ministère de l'Intérieur,
04:24ça veut dire que dans toutes les entreprises, il y en a.
04:27Et donc, ça a un impact sur la performance économique.
04:31Et ça veut dire aussi que dans toutes les entreprises, il y a des personnes qui sont potentiellement agresseuses.
04:36Donc ça, c'est un vrai enjeu.
04:38Comment limiter l'impact, comment limiter ces conséquences
04:41pour que ça ne vienne pas affecter la productivité de l'entreprise, premièrement ?
04:44Ensuite, on a donc l'aspect légal autour des risques psychosociaux et la performance économique.
04:53Une étude en 2006 a estimé qu'une victime de violences conjugales représentait 68 000 euros de charges pour la société,
05:02dont 44 % directement imputables aux entreprises.
05:05C'est lié à quoi ? L'absentéisme, par exemple ?
05:06Absentéisme, perte de productivité, incarcération de l'agresseur, décès de la victime, des choses comme ça.
05:13Donc, avec un rapide calcul, avec 271 000 victimes qui ont porté plainte en 2023,
05:19ça nous amène quand même à 8 milliards d'euros supportés par les entreprises françaises.
05:23Voilà une question de santé publique qui concerne l'État, mais aussi les entreprises, qu'on comprend très bien.
05:28Ce chiffre, vous venez de le donner, 271 000 victimes recensées en 2023,
05:33il est forcément sous-estimé, très sous-estimé, ce chiffre, parce qu'il y a quoi ?
05:38Beaucoup de victimes qui n'en parlent pas, n'osent pas porter plainte ?
05:42Alors, il y a ça, le service statistique du ministère de l'Intérieur l'indique très bien.
05:47Seuls 14 % des victimes, selon eux, portent plainte, ce qui amènerait le chiffre à 1 900 000 victimes.
05:53Voilà, ça montre l'impact colossal.
05:56Si les personnes ne déposent pas plainte, c'est parce qu'on est encore avec un énorme tabou autour de ça.
06:01Et l'objectif d'Opal, c'est aussi de lever ce tabou-là, parce qu'on n'est jamais responsable des violences qu'on subit.
06:06Et ça, c'est important de le rappeler.
06:08Donc, Opal va envoyer ce message aux salariés au sein de l'entreprise et respecter absolument leur vie privée,
06:14parce que tout se passe en ligne.
06:15Et la mobilisation des actions mises en œuvre par l'entreprise va être un simple call to action, en fait,
06:22à activer pour en bénéficier, sans avoir à raconter sa vie à qui que ce soit,
06:27sans avoir à exposer sa vie privée, l'intimité et attendre un moment de détresse extrême pour demander de l'aide,
06:36parce qu'en fait, on abandonne trop de personnes sur le bord du chemin.
06:39Et moi, ça, c'est quelque chose qui ne me convient pas. C'est pour ça que j'ai créé Opal.
06:42– Il y a dans ce service que vous proposez aux entreprises, une sorte de simulateur, c'est ça ?
06:47De quoi il s'agit ?
06:49– Alors, on a mis en place un simulateur basé sur ces études dont je vous parlais avec le coup.
06:53Sur ce simulateur, on va pouvoir entrer notre effectif salarié,
07:00on va pouvoir entrer, si on est plutôt salaire SMIC, médian, moyen,
07:05comment on se situe en termes de répartition homme-femme.
07:07Et puis, on va pouvoir jouer avec les boutons.
07:09Est-ce qu'on pense qu'une victime de violences conjugales,
07:11elle travaille 25% de moins, 30% de moins, 50% de moins ?
07:15Et puis, on va voir sur le côté, statistiquement,
07:18combien on a de victimes dans notre entreprise,
07:21combien on a d'agresseurs dans notre entreprise,
07:23combien d'enfants sont concernés par les violences subies par nos salariés,
07:28combien nos salariés, techniquement, coûtent en termes d'argent public,
07:33et combien nous, on paye, et puis combien on économiserait avec Opal,
07:35parce que les études de santé publique sont formelles.
07:39Un euro dépensé en prévention, c'est 87 euros économisés à la sortie.
07:44– Un euro dépensé en prévention, 87 euros économisés à la sortie.
07:48Avec donc, effectivement, alors il y a l'outil pour les entreprises,
07:51mais Opal, c'est pour tout le monde.
07:54Vous avez commencé par ça, le diagnostic des violences conjugales,
07:58ça peut sembler étonnant, mais il y a beaucoup de victimes
08:01qui n'en sont pas conscientes, d'une certaine façon ?
08:04– Il y a énormément de victimes qui n'en sont pas conscientes
08:06parce que c'est une stratégie de survie.
08:08Et aussi parce qu'on évoque essentiellement,
08:13dans le langage commun, et la presse aussi a un rôle à jouer là-dessus,
08:17on évoque les femmes battues.
08:20Moi, personnellement, je n'ai jamais été battue.
08:23Je n'ai jamais reçu de violence physique.
08:25Par contre, j'ai déposé plainte contre mon agresseur
08:28pour des violences psychologiques et sexuelles.
08:31Et ce sont des véritables violences conjugales.
08:34Elles sont importantes à être reconnues, elles sont reconnues par la loi.
08:38Sauf que si on n'en parle jamais,
08:40on empêche d'autres victimes de s'identifier.
08:42Au final, on se dit, ce n'est pas si grave que ça.
08:46Je n'ai pas de traces physiques sur le corps,
08:49donc c'est dans ma tête peut-être tout ça.
08:52– Et il y a beaucoup de dispositifs d'aide, d'accompagnement
08:55qui sont méconnus, mal connus ?
08:58– Alors, il y en a de plus en plus parce qu'on aborde le sujet.
09:02Il va y avoir des aides qui ont été mises en place par la CAF
09:05pour financer le départ d'un foyer violent.
09:09On va avoir énormément d'associations qui œuvrent sur les terrains.
09:11Nous, ces dispositifs, notamment étatiques,
09:14on va les référencer dans OPAL pour les donner en accès libre aux victimes.
09:19On est un hub d'information.
09:20Tous ces dispositifs, nous, on les recense
09:22pour que la victime, elle n'ait pas à chercher.
09:25C'est énorme la charge mentale qu'elle a.
09:27Donc, on ne veut pas lui en rajouter en lui imposant
09:31de chercher elle-même l'aide dont elle pourrait bénéficier.
09:34– Et dernier mot, pour reprendre l'expression de Gisèle Pellicot,
09:39la honte doit changer de camp ?
09:41C'est un message que vous faites passer ?
09:43– C'est un message que je martèle.
09:46Moi, je dis toujours la même chose,
09:47c'est que la parole des victimes fait trembler les agresseurs.
09:51Plus on parlera, plus on aidera d'autres personnes à s'identifier
09:56et plus on permettra la non-banalisation de ce comportement
10:00qui, au quotidien, peut être drôle.
10:02On a tous entendu des histoires d'hommes
10:05qui ne payent pas la pension alimentaire
10:08ou racontent que leur ex les a pillés.
10:13Les violences conjugales, post-séparation, ça commence là.
10:17Enfin voilà, on a tellement banalisé ces violences
10:20qu'il est important de les visibiliser pour les dénoncer.
10:23– Merci beaucoup, Vigdis Morisset-Reyra et à bientôt sur Be Smart For Change.
10:27On passe à notre débat, les alternatives au surtourisme.
10:31– Smart Ideas avec Jonathan Berg, bonjour.
10:40– Bonjour, merci de m'accueillir.
10:41– Vous êtes le fondateur de Berg Guitars,
10:44et donc on va être dans l'univers de la musique.
10:46Vous l'avez créé en 2023,
10:47mais je pense que c'est une idée qui trottait dans votre tête depuis pas mal de temps.
10:51C'est quoi cette idée alors ?
10:52– Alors depuis, c'est une idée qui date effectivement.
10:56Moi, je suis artisan luthier, maître artisan luthier.
10:58Ça fait 20 ans que je fabrique et que je restaure des instruments.
11:02Et cette idée est née en 2019 suite à la rencontre d'un client
11:07qui est devenu mon premier associé.
11:09Aujourd'hui, on est cinq.
11:10Et donc avec Pierre, cet associé, on a commencé à évoquer cette idée
11:15de fabriquer des guitares en France
11:17et puis essayer de les faire au plus propre, on va dire.
11:22– Les plus écoresponsables possible.
11:25– C'est des guitares électriques, donc il y a un sacré défi
11:28parce que quand on décortique une guitare électrique,
11:30finalement, il y a beaucoup d'éléments,
11:33que ce soit des bois qui viennent de partout.
11:34– Oui, des bois qui ont beaucoup voyagé, des plastiques, etc.
11:38– Et un peu tout ça, pétrochimie à fond.
11:40Et donc voilà, un beau challenge pour essayer de faire ça bien.
11:44– Alors, fabriquer en France, écoresponsable.
11:47Déjà, quand on se dit ça, c'est super.
11:49Puis ensuite, on se rend compte que les métiers existent,
11:51n'existent pas, les artisans sont là, oui, non.
11:53– Voilà, c'est toute la difficulté.
11:56C'est qu'il y a certaines choses, certaines pièces, en tout cas,
11:59certains éléments qui n'ont jamais été faits en France.
12:01Donc là, ce n'est même pas de la réindustrialisation,
12:03c'est trouver les industriels capables, on va dire, de nous suivre.
12:08Donc, les outils existent, heureusement d'ailleurs,
12:11parce qu'en fait, on ne pourrait pas investir dans un outillage,
12:15surtout sur tout ce qui est pièces à castillage, on appelle ça.
12:18Donc, c'est les clés, par exemple, pour accorder les guitares,
12:21tout un tas de pièces qui sont finalement des pièces complexes à faire.
12:25Il y a aussi trouver les bois, on les a en France, on a cette chance-là.
12:30Donc, on peut éviter tout ce qui est bois exotique.
12:34Ce qui va être compliqué, c'est d'enlever tout ce qui est matériaux
12:37issus de la pétrochimie, donc les vernis.
12:39On a les plaques, les fameuses plaques qu'on voit sur les guitares électriques,
12:42qui sont du pur plastique, voilà.
12:44Donc, il a fallu trouver des partenaires pour ça.
12:47– Et vous les avez trouvées ? – Et on les a trouvées.
12:49– Donc, vous pouvez afficher aujourd'hui une guitare 100% française ?
12:52– Oui, on est même certifié Origine France Garantie,
12:58ce qui n'est pas si évident, on est assez fiers de ça.
13:01Et puis, au niveau des partenariats, justement,
13:03on est en train de créer cet écosystème.
13:05Je dis en train parce que c'est tout frais, on existe depuis 2023.
13:09Mais on a, par exemple, une marque qui s'appelle Fauve,
13:12qui nous fait tous les accastillages, toutes les pièces en métal.
13:16On a aussi une boîte qui est à Concarneau, qui s'appelle Kairos,
13:21qui, elle, est, en fait, produit du kerlin.
13:23Donc, le kerlin, c'est des plaques qui sont faites à base de lin et de chanvre.
13:27Et cette boîte, en fait, est, pour la petite histoire,
13:31initiée par Roland Jourdain, le grand navigateur.
13:34Donc, en fait, c'est des super partenariats.
13:37On décloisonne beaucoup avec juste le secteur de la facture instrumentale.
13:40Et c'est vrai qu'on trouve les bons partenaires en cherchant.
13:44Il faut des gens qui soient aussi dans la même approche,
13:47qui aient vraiment cette vision aussi.
13:49Et avec, forcément, un objectif, c'est le son, quoi.
13:51La qualité du son, avoir le bon son.
13:53Alors, ça, c'est primordial. On n'en a pas parlé.
13:55Mais c'est vrai que, de base, il faut faire un bon instrument,
13:58instrument de bonne facture, qui corresponde aux musiciens,
14:01que ce soit en tant qu'outil d'expression.
14:04Voilà. Donc, le confort de jeu, le son.
14:07Esthétiquement aussi, parce que c'est quand même un petit peu important.
14:09Donc, c'est ce qu'on essaie de faire, nous, en tout cas,
14:10c'est conserver les codes des belles années.
14:13C'est les guitares qui sont nées dans les années 50,
14:16autour des grandes marques américaines qu'on a tous vues,
14:18même sans être un musicien.
14:21Et on récupère, voilà, on garde ces codes-là,
14:24et on trouve les ingrédients pour les faire…
14:26Alors, il y a un détail qui n'en est pas un.
14:27J'ai découvert ça en préparant l'émission.
14:30Les fils de câblage.
14:31Alors, qu'est-ce qu'ils ont de particulier ?
14:33Qu'est-ce que vous avez, là aussi, choisi ?
14:35C'est pareil. C'est un artisan qui, lui, à la base,
14:36travaille dans la restauration automobile de vieilles voitures.
14:42Et c'est quelqu'un qui est dans l'Est,
14:43et qui, du coup, continue, enfin, a toujours les machines
14:46qui servaient à gainer les câbles, gainer fils tissus.
14:52Donc, ça, c'est des savoir-faires particuliers.
14:55Et typiquement, c'est des fils qui ont été utilisés dans les belles années.
14:59Je dis les belles années, je fais référence aux années 50.
15:01Mais elles sont belles aussi, aujourd'hui.
15:02La preuve, puisque vous nous faites des guitares incorressponsables.
15:05Mais moi, c'est vraiment ma culture.
15:07J'ai restauré aussi…
15:08J'ai la chance de restaurer beaucoup d'instruments de collection.
15:12Et ça inspire beaucoup, forcément.
15:13Ça impacte beaucoup sur mon travail.
15:16On a terminé, malheureusement.
15:17Il ne nous reste qu'un seconde.
15:18Il faut que je conclue.
15:19C'était super.
15:20Merci beaucoup, Jonathan Berg.
15:21Bon vent et bon son, surtout à vos guitares.
15:25Voilà, c'est la fin de ce numéro de Smart Impact.
15:28Je voudrais remercier Alexis Mathieu, Marie Billa,
15:30la programmation et la production,
15:32Théo Boscar, le réalisateur,
15:33et Louise Merlin, ingénieur du son.
15:35Belle soirée.

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