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Transcription
00:00Regardez, c'est à Nice, la ville de Nice a par exemple lancé un appel à la vigilance et au respect des gestes barrières pour lutter contre l'épidémie de grippe
00:07et qui s'intensifie d'ailleurs partout en France. C'est vrai que là, je vois plein de gens malades.
00:11D'ailleurs, ceux qui sont malades, restez loin de moi et oubliez-moi.
00:14Allez, c'est parti, regarde, merci.
00:17Salut !
00:18Toi !
00:21Il est fermé, le blues.
00:25Magnifique !
00:27On dirait Bebel, sans déconner. On dirait Bebel dans Le Professionnel, sans déconner.
00:31Dans Royal Canin.
00:32Comment ça va ?
00:33Ça va.
00:34Vous n'avez pas fermé votre gueule ?
00:36Merci. Non mais moi c'est rien, c'est Jean-Michel, c'est un ami.
00:38Non, non, moi tout va bien.
00:39En plus, il vient de traiter Fabrice Divizio. Il dit que vous l'avez vu dans la pub Royal Canin.
00:43Il n'a rien à voir.
00:45Excusez-le, Fabrice.
00:46Fabrice, qu'est-ce que vous pensez du port du masque qui est redevenu obligatoire ?
00:50Géraldine, une déclaration.
00:53On nous prive de nos libertés.
00:54Non, non, mais je... Voilà. C'est tout.
00:59Rien. Je ne pense rien.
01:01Quitte à prendre une mesure débile, allons jusqu'au bout.
01:03Le port du masque quand on est malade, évidemment.
01:06Mais le mieux encore, c'est de ne pas se balader quand on est malade.
01:09Mais bon, ça c'est un nouveau concept.
01:10C'est pas mal, ça.
01:11Mais deux, c'est Estrosi. C'est Estrosi qui fait de l'Estrosi.
01:18Vous n'aimez pas Estrosi ?
01:19Qui ça ?
01:20Estrosi.
01:21Qui connaît Estrosi ? Je ne connais pas Estrosi, moi.
01:23Je le connais, moi. Je le connais, moi.
01:25C'est le maire de Nice.
01:26Ah oui ?
01:27Nice.
01:28Il y a vraiment des gens qui ont voté pour lui ?
01:30Bah oui.
01:32Ça, c'est une surprise, quand même.
01:34Il est maire. Estrosi. Christian.
01:35Comme quoi, la démocratie, parfois...
01:37Promenade des Anglais. How are you ? What do you do ?
01:39Les caméras, les caméras.
01:40What is your name ?
01:41Non, mais c'est vrai. Nice. Promenade des Anglais.
01:43How are you ? What is your name ? How old are you ?
01:45Est-ce que vous vous rendez compte, quand même, qu'on en est à un point où des gens attendent 95 heures
01:50dans une salle d'attente aux urgences.
01:52Ils meurent aux urgences, aujourd'hui, au XXIe siècle, en décembre.
01:55On meurt aux urgences.
01:57Il y a un plan blanc pour une épidémie saisonnière de grippe.
02:00Et qu'est-ce qu'on propose en retour ?
02:02Le port du masque.
02:04Voilà ce qu'est la France aujourd'hui, quoi.
02:06Voilà où on en est.
02:08C'est-à-dire qu'en pleine période d'épidémie,
02:10on a un retour obligatoire du port du masque,
02:12avec d'ailleurs un débat sur la légalité de ce truc,
02:14parce qu'il n'est pas président de la République, Estrosi,
02:16contrairement à ce qu'il pense, mais il est juste maire.
02:18Et j'ai un doute sur la légalité de ce truc,
02:20mais peu importe.
02:22Ce que je veux dire, c'est qu'au lieu d'investir massivement
02:24sur le soin
02:26et sur payer les gens correctement
02:28pour qu'on ait véritablement un système de santé qui soit debout,
02:30avec une vraie réforme et une politique de santé,
02:32on fait quoi ? On fait le port du masque.
02:34Mais je vous le dis, demain matin, il y a une vraie épidémie.
02:36Et on a encore un truc qu'on se prend dans la gueule,
02:38on est tous morts.
02:40Parce que le système de santé, il est pire que pendant le Covid.
02:42On a régressé depuis.
02:44Et donc, c'est à ça que
02:46les plans qui avaient été annoncés, tout ça,
02:48plus jamais ça, tout ce qu'on veut.
02:50Aujourd'hui, si demain, on se prend une épidémie, on n'est pas foutus
02:52de gérer la grippe. Si demain, on se prend une vraie épidémie,
02:54on est tous morts.
02:56Il a raison, Bébel. Non, mais c'est vrai.
02:58On se rigole, il a raison. Enfin, maintenant.
03:00Bonsoir à SMS, qu'il faut quand même que je vous lise.
03:02On peut se saluer quand même, Patrick.
03:04On va t'amener à travailler ensemble.
03:08Bonsoir, vous avez tellement raison sur le terrain,
03:10nous n'avons jamais vu ça.
03:12Aucune hospitalisation possible pour nos personnes âgées.
03:14Le cas tombe. Nous subissons, ainsi que nos patients,
03:16l'abandon complet.
03:18Les gens ont tout oublié du Covid, le lavage des mains, la base.
03:20Tu tousses, tu restes chez toi, ou tu mets un masque.
03:22De plus, le vaccin anti-grippe
03:24est une catastrophe, cette année.
03:26Bravo. Je t'envoie des SMS, toi.
03:28Pas du tout.
03:30Ou alors, c'est qu'effectivement, beaucoup de gens pensent comme moi.
03:32Alors, qu'est-ce qu'il pensait, Verdez ?
03:34Plusieurs choses. D'abord, j'aime pas beaucoup votre petit règlement
03:36contre Mesquin, contre M. Esprousique,
03:38élu plusieurs fois, et ça, ça me plaît pas du tout.
03:40Si vous avez une vengeance personnelle
03:42à exercer, ne le faites pas pour des millions de gens.
03:44Il n'habite pas à Nice.
03:46Il ne sait même pas où il habite.
03:48Il habite dans une ville à l'FI.
03:50Tout le monde s'en fout. Moi, j'ai grandi.
03:52Tout le monde s'en fout, je te confesse.
03:54Il n'y a pas qu'à Nice.
03:56Il y a des centres, des unités de soins
03:58qui commencent à recommander aux aides-soignants,
04:00pour leur protection, le masque.
04:02Qui vous a dit ça ?
04:04J'ai lu aujourd'hui en préparant l'émission.
04:06Vous venez de me dire, pour la protection à eux ?
04:08Pardon ?
04:10Mais ça protège le masque.
04:12Oh ! Oh ! Oh !
04:14Oh ! Oh !
04:16On est les frères, c'est à moi.
04:18Moi, il dit quelque chose.
04:20Toi, c'est rien à moi.
04:22Vous avez dit quoi ?
04:24Vous avez dit quoi ?
04:26Vous avez dit effectivement que c'est pour
04:28protéger qui ? Pour protéger tout le monde.
04:30Pour protéger tout le monde.
04:32Pardon ? Non, non, non.
04:34Non, non, non.
04:36Je vais vous dire, j'ai déjà débattu
04:38une maillette ce point, je ne vais pas recommencer avec vous.
04:40Pourquoi ? Ça vous dérange ?
04:42Non. C'est moins bien.
04:44Je peux finir ou pas ? Non.
04:46Cyril, je peux finir ou pas ?
04:48Non. Qu'est-ce que vous dites ? Non.
04:50Non.
04:52Applaudissements.
04:54Applaudissements.
04:56Applaudissements.
04:58Non, non, mais je veux dire,
05:00vous vous rendez bien compte, juste un mot rapide quand même.
05:02Vous vous rendez bien compte quand même de là où on en est.
05:04Vous vous rendez bien compte que ce débat, c'est un débat merdique.
05:06Mais si, bien sûr que si, c'est un débat merdique, Gilles.
05:08Arrêtez vos conneries. On n'a plus de quoi soigner les patients.
05:10On ne peut plus les accueillir, les patients. Ça n'a rien à voir.
05:12Mais arrêtez de vouloir dire qu'effectivement, à un moment donné,
05:14les patients continueront de tomber malades en hiver.
05:16Ils continueront d'être malades.
05:18La grippe continuera de circuler.
05:20Il faut soigner les gens.
05:22On ne peut plus soigner les gens.
05:24On ne peut plus soigner les gens.
05:26Votre vaccin, il ne marche pas. Encore vous.
05:28Le vaccin pour la grippe ne marche pas.
05:30Oh, Gilles.
05:32C'est bon.
05:34C'est bon. Le joker. Laissez-le parler.
05:36À part non et on, vous faites quoi ?
05:38Il fait non.
05:40Répondez sur le fond.
05:42Aussi, je peux faire ça. Répondez sur le fond.
05:44C'est bon. Laissez-le.
05:46C'est mon ami.
05:48Non, non, non.
05:50Non, non, non.
05:52Le seul fond,
05:54le seul vrai fond,
05:56c'est celui que vous touchez de jour en jour.
05:58C'est tout.
06:00Je suis désolé.
06:02C'est le faux de cette nature. Vous l'avez touché.
06:04Vous l'avez écrasé.
06:06C'est tout.
06:16Bref.
06:18Vive Fabrice, disent les gens.
06:20J'ai quand même beaucoup de compassion aujourd'hui pour les patients.
06:24Moi, j'ai quand même beaucoup de compassion aujourd'hui
06:26et d'empathie pour les soignants qui en bavent
06:28parce qu'il n'y a plus de place à l'hôpital.
06:30C'est comme ça. Ils ne peuvent plus faire leur boulot.
06:32Ils n'en peuvent plus.
06:34Et les patients qui meurent sont des brancards aux urgences.
06:38Ça n'a rien à voir.
06:42C'est bon, là, Verdez. On n'en peut plus.
06:44Moi, j'ai mis le masque à l'hôpital.
06:46Mettez-le.
06:48C'est l'hôpital qui me l'a demandé.

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