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La « tatreez », la broderie pratiquée par les Palestiniennes depuis trois mille ans, redevient un acte de résistance à chaque drame de l’histoire. Ultrapopulaire depuis le 7-Octobre, elle se transmet entre réfugiées et se vend des centaines de dollars dans le monde entier. Notre envoyé spécial en Jordanie Dimitri Krier a rencontré l'une d'elles, Maisoun Musalam.

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Transcription
00:00Bienvenue ici, c'est mon travail, ici et ici.
00:15Pour moi, je n'ai jamais vu la Palestine, je n'y suis pas allée,
00:19je ne connais pas ma région ou mon pays, je n'ai jamais vu la Zakaria.
00:24Mais j'ai l'impression que je suis en train d'arriver à toutes les villes de Palestine.
00:29J'ai tracé toutes les villes de Palestine.
00:42On prend les feuilles et on les met sur la planche.
00:45Tout le monde peut mettre ce qu'il veut, les couleurs qu'il veut, et les endroits différents.
00:54Tout ça, c'est un travail manuel.
00:56On découpe les feuilles et on les met sur la planche et sur la planche.
01:05Les gens qui ont vu ces événements sont certainement en colère.
01:10Mais j'ai l'impression que je fais quelque chose parce que je suis loin.
01:16Nous n'étions pas proches de la Palestine.
01:20J'espère que ces événements vont finir en paix.

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