• il y a 12 heures

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00:00Nous voici de retour à la fois sur l'antenne de CNews et d'Europe 1 pour nos auditeurs
00:12avec Xavier Roffert, Bernard Cohen à date, Jean-Claude Assier et Thomas Bonnet autour
00:16de moi ce soir avant de revenir à ce déplacement de Gérald Darmanin sur le terrain en tant
00:22que ministre de la Justice, le tout premier en ce jour de Noël, il est en ce moment en
00:27train de faire route vers l'Oise où il se rendra dans un lieu de détention avec des
00:32agents pénitentiaires pour notamment effectuer une ronde, j'aimerais qu'on parle du sort
00:36de Mayotte, on n'oublie pas évidemment Mayotte qui est soumise depuis une semaine
00:40maintenant à un couvre-feu, on va aussi parler des questions de sécurité qui s'ajoutent
00:45aux difficultés du quotidien et on va voir que c'est une mesure qui est difficile à
00:49appliquer au moment où des milliers de sidistrés dorment dehors, le commentaire est signé
00:53Karine Boutelou.
00:54Dans les rues sombres de Mayotte, ceux qui s'attardent dans les rues après 22 heures
01:00sont aussitôt rappelés à l'ordre par les gendarmes.
01:03Déjà à 22h10, vous prenez le chien, vous rentrez à la maison, ici vous voyez des jeunes
01:12armés, machettes, pierres, couteaux, vous appelez 17, vous signalez.
01:17Dans les décombres des habitats précaires, fauchés par le cyclone, les gendarmes patrouillent
01:23à la lueur de leurs lampes torches à la recherche d'éventuels pilleurs.
01:27On craint que ça peut vite changer, surtout à Mayotte ici, ça peut vite dégénérer,
01:34la population, les jeunes populations peuvent vite monter les tours et puis commencer à
01:38reprendre le caillassage, l'agression sur les voies publiques, donc oui on craint ça
01:46mais on continue de travailler, on continue de garder l'esprit.
01:51En vigueur depuis une semaine, le couvre-feu reste difficile à vivre pour certains habitants
01:57dont beaucoup ont vu leur maison détruite.
01:59Ça me semble un peu difficile, difficile en fait, vu qu'il n'y a pas d'électricité,
02:06on s'ennuie, c'est pour ça qu'on est là jusqu'à cette heure-ci.
02:12Avec près de 1300 litres envoyés en renfort pour aider et protéger l'archipel, Mayotte
02:18est le département le plus pauvre de France mais aussi l'un des plus quadrillés par
02:23les forces de l'ordre.
02:24Thomas Bonnet, il y a un petit phénomène depuis quelques jours, beaucoup de maorais
02:29veulent quitter l'île, il y a ces fonctionnaires, ils sont nombreux, qui demandent à être
02:34réaffectés en métropole ou qui viennent de métropole et qui veulent retrouver leur
02:38famille, évidemment ça ne va pas aider l'île à se relever, l'aéroport est surchargé,
02:44il y a un air d'exode un petit peu qui flotte comme ça.
02:47Alors qu'on aurait presque pu espérer l'inverse, c'est-à-dire l'arrivée, alors il y en a
02:50qui sont arrivés, des fonctionnaires, notamment des forces de sécurité intérieure à Mayotte
02:54depuis le passage du cyclone, là le départ est très compliqué.
02:59Et ce que j'entendais aussi c'est que les fonctionnaires qui arrivent à Mayotte pour
03:04venir en aide aux habitants, il faut aussi les loger, il faut les nourrir, il faut leur
03:08donner accès à l'eau, c'est compliqué, même ça c'est compliqué, donc là on est
03:11vraiment dans une situation plus que catastrophique pour l'île de Mayotte, politiquement c'est
03:16là aussi un dossier très compliqué, François Bayrou passe complètement à côté de ce
03:20sujet depuis qu'il est arrivé à Matignon, Manuel Valls va devoir s'en emparer, il vient
03:23tout juste d'être nommé, donc la réponse politique va aussi être très compliquée
03:29à donner et pourtant elle est urgente cette réponse, la reconstruction, mais déjà venir
03:33en aide aux habitants, on a reçu à l'instant un point de situation à Mayotte de la part
03:37du ministère de l'Intérieur, on apprend par exemple que tous les habitants ont pu recevoir
03:41au moins une fois un approvisionnement en eau potable, on en est là, c'est vraiment
03:45le B.A.B.
03:46C'est comme la communication ça quand même, c'est comme les 90% de communes raccordées,
03:50en fait quand on sonde les habitants ou même les élus, on se souvient de cette sénatrice
03:54qui nous disait, c'est tout à fait déconnecté de la réalité.
03:57Et l'hôpital de campagne dont on nous disait qu'il avait été installé et qu'il était
04:02prêt à l'emploi, finalement ce n'était pas du tout le cas, Régine Delfour, notre
04:05envoyée spéciale sur place, vous avez très bien montré que finalement non, les gens
04:09ne pouvaient pas encore accéder à cet hôpital, donc il y a effectivement la communication,
04:12il y a ce qui se passe dans la réalité, on est vraiment là au B.A.B.
04:16Quand on parle d'accès à l'eau potable, une fois au moins, c'est vraiment le...
04:19– Vous pouvez vous en orgueillir d'avoir livré une bouteille d'eau à la population
04:22quand ça s'appelle un département français, non mais on en est là quand même.
04:26– Non mais ce n'est pas simple, franchement on est à la fois dans la phase, je dirais
04:30presque si je voulais être… la phase est la plus simple aujourd'hui même si elle
04:36est très compliquée.
04:37Qu'est-ce qui nous attend ? La solution politique dont tu parlais à un instant, qu'est-ce
04:42qu'on fait des bidonvilles ? Qu'est-ce qu'on fait des 125 ou 130 000 ? Illégaux
04:47sur le territoire, on en fait quoi ? On leur donne la nationalité, on les aide à reconstruire
04:52une baraque.
04:53– L'opération Manu Cachou ça a été… – Non mais je veux dire, c'est une situation
04:55explosive et je ne vois pas de solution en dépit du grand talent sans doute d'Emmanuel
05:02Valls.
05:03Au jour d'aujourd'hui, je crois que tous les efforts possibles, imaginables sont en
05:07cours.
05:08Livraison d'eau, livraison de nourriture, mais on laisse les illégaux, qu'est-ce qu'on
05:14en fait ? On les laisse sans leur mettre une tôle sur le toit, on les laisse courir dans
05:22la nature sans avoir… ça n'a pas de sens, il y a une solution politique, en même temps
05:28renvoyer 100 000 ou 125 000, on ne sait même pas quel est le chiffre, illégaux sur le
05:32territoire de Mayotte, les renvoyer au Comores, je ne sais pas comment on va faire.
05:37– Merci Jean-Claude Dassier, avant de parler de la solution politique, on va l'écouter
05:40parce que vous l'avez évoqué par deux fois, Emmanuel Valls, écoutons-le.
05:44– Évidemment, nous pensons aux victimes, aux morts et aux blessés, nombreux.
05:52C'est l'urgence et c'est notre priorité.
05:56Tout le gouvernement est engagé depuis plusieurs jours pour répondre à la détresse que vivent
06:06ceux et celles qui ont subi la violence de ce cyclone.
06:10Et je n'ignore rien et nous n'ignorons rien de la colère, de la peur, du sentiment
06:20d'abandon, en tout cas de l'angoisse de nos compatriotes maorais.
06:24– Emmanuel Valls dont François Bayrou disait avant hier soir qu'il avait un petit côté
06:29kamikaze et que c'était aussi cela qui l'avait fait se tourner vers lui.
06:33Mais pour revenir au sérieux, vous pourrez bien sûr évoquer le cas d'Emmanuel Valls,
06:38Thomas Bonnet, Gérald Darmanin, lorsqu'il était à Beauvau et qu'il a pris quand même
06:43à bras-le-corps ce problème maorais, n'en déplaise à Xavier Roffert,
06:47je sais que vous n'êtes pas trop de la team Darmanin,
06:51il a parlé de la remise en cause du droit du sol,
06:53ça c'est une manière de traiter l'urgence de cette immigration submersive.
06:59Et puis le problème aussi, le frein à tout cela,
07:01c'est que les relations avec les Comores sont exécrables.
07:05Donc ça, ça ne simplifie pas le retour des ressortissants comoriens.
07:08– Alors même que la France donne des millions chaque année
07:11dans le cadre de l'aide au développement aux Comores.
07:13Il y avait aussi un sujet, et c'était assez intéressant,
07:16Gérald Darmanin quand il était ministre de l'Intérieur,
07:18qu'il avait mené ses opérations au Brune-Bouchoux,
07:20il faut savoir que l'une des magistrates de Mayotte était clairement opposée
07:25à cette opération, elle avait même essayé de la miner de l'intérieur.
07:28– Donc il y avait une entrave.
07:29– Elle faisait partie, cette magistrate, du syndicat de la magistrature,
07:31je crois même qu'elle en était la vice-présidente à l'époque.
07:33Donc forcément, si vous menez des opérations
07:35et que vous avez face à vous une opposition interne via les magistrats politiques,
07:40parce qu'on se rappelle par exemple que la France insoumise s'y était opposée,
07:43ça complique la tâche.
07:44C'est pour ça que quand François Bayrou parle de Manuel Valls
07:47avec le terme de kamikaze, je pense que le mot est tristement bien choisi
07:51parce qu'effectivement, c'est un ministère de crise,
07:53Manuel Valls va devoir gérer des situations ultra problématiques,
07:56je ne parle même pas de la Nouvelle-Calédonie,
07:57dont je sais, évidemment, que vous êtes très au courant de ce qui s'y passe,
08:01il y a là aussi les Antilles,
08:02les Outre-mer sont aujourd'hui un dossier majeur pour le gouvernement,
08:06c'est un ministère d'État, il faut que maintenant les moyens suivent aussi.
08:09– Il faudra de l'argent là aussi, on a parlé de la justice tout à l'heure,
08:12on avait oublié au passage, en effet, la situation du ministère.
08:17– Ça aussi, ça va être un gouffre qu'il va falloir combler.
08:20Xavier Roffert, il faut qu'il accepte de se casser les dents, Manuel Valls ?
08:23– Non, non, mes critiques sont positives,
08:27mes critiques ne sont pas politiques,
08:28mes critiques sont de l'ordre de celles qui visent à améliorer la situation,
08:34que M. Darmanin ou quiconque d'autre prenne les choses à bras le gore,
08:37m'enchante, je voudrais simplement qu'à la fin,
08:39elle ne soit pas pire qu'au début, vous voyez, c'est ça qui m'intéresse,
08:42premièrement, deuxièmement, puisque nous sommes ici plusieurs,
08:49savoir si je suis le seul à me poser la question suivante,
08:51tout le monde a l'air d'accepter l'idée,
08:53j'ai la plus grande considération pour les Mahorais,
08:56je pense qu'ils ont voulu choisir de rester français, donc ça nous oblige,
09:00mais l'idée de considérer que c'est un département comme les autres,
09:03comme le Tarn-et-Garonne, est absurde,
09:06vous vous rendez compte qu'en France,
09:08on a l'appareil d'État le plus ancien d'Europe,
09:11que sous Philippe Lebel déjà,
09:13il y avait des gens qui grattaient des arrêtés, des décrets, etc.,
09:18que la preuve du côté pratiquement éternel de l'État français,
09:22l'État-nation français est le plus ancien du monde,
09:25à l'exception d'un seul, qui est très spécifique, qui est le Vatican,
09:28voilà, si vous voulez savoir à quel point on est ancien,
09:32vous savez aujourd'hui en 2024,
09:34où sont installées les cours d'appel de la justice française,
09:38là, de M. Darmanin,
09:41elles sont installées là où il y avait les villes de marché au Moyen-Âge,
09:44c'est pour ça qu'il y a des cours d'appel à Rion,
09:46c'est pour ça qu'il y a des cours d'appel à,
09:48je ne sais pas, dans des endroits trop très, etc.
09:51Donc, ça a créé dans le peuple français, bien avant la République,
09:56des réflexes, des manières de faire,
09:58je vous dis, toute la sympathie du monde pour les morats,
10:01ils ne les ont pas, ils n'ont pas les infrastructures,
10:04les infrastructures qui sont celles de l'État français,
10:06il a fallu 7 siècles ou 8 siècles pour les former.
10:10Donc, on ne peut pas aller plus vite que la machine, c'est ça que vous voulez dire.
10:13– Xavier, qui a décidé de faire de la yacht un département français ?
10:16– Ce n'est pas moi. – Qui ?
10:18Non mais tu dois savoir qui ?
10:19– Nicolas Sarkozy. – Jacques Chirac.
10:20– Mais oui, exactement. – C'est lui qui l'a fait ?
10:22– Oui, bien sûr. – Bon, il l'a mis en œuvre.
10:26– Mais, mais… – Et alors, quelle est votre conclusion, Jean-Claude ?
10:29– Je pense que c'est une sottise incommensurable.
10:31Mais dès lors que, on peut entendre les critiques,
10:33mais dès lors que Mayotte est un département français,
10:35est-ce qu'il y a le cas maintenant ?
10:36– Oui, mais ce qu'il vous dit, c'est que,
10:38c'est comme s'il disait, Rion, ce n'est pas fait en un jour.
10:40– J'entends bien, mais c'est lors qu'ils sont départements français,
10:43allons-y, nous donnons les moyens.
10:44– Parce que la Lune est un département français, il faut le faire,
10:47c'est-à-dire qu'il faut mettre des chefs-lieux de canton,
10:50il faut mettre des gardes-champs-pêtres, il faut mettre tout ce qu'il y a autour.
10:54– Tout ce qu'il y a autour n'existe pas, il y a moyen de l'éteindre.
10:57– Mais ce n'est pas parce qu'on est ultramarins
10:58qu'on ne doit pas avoir la sécurité sur son territoire.
11:00Il faut quand même le dire, on ne doit pas avoir une administration qui fonctionne,
11:03qu'on ne doit pas avoir une vie économique qui fonctionne
11:06et qu'on ne doit pas avoir une sécurité pour tous les habitants.
11:09– On ne l'a pas fait.
11:10– Je veux bien qu'on soit en dehors de l'Hexagone, fort heureusement.
11:13Ces territoires ont été complètement oubliés depuis des années par les politiques publiques.
11:16– Cette poudrière est devenue poudrière depuis dix ans, on l'a vu.
11:18– Parce qu'on l'a bien voulu, parce qu'on l'a bien voulu et qu'on n'a pas mis les moyens dessus
11:21et que, ça a été dit à l'instant par Thomas,
11:24il y a un certain nombre d'administratifs qui n'ont pas joué le jeu de la République.
11:29C'est bien ça aussi le problème.
11:30– Il y a surtout une subversion migratoire aussi,
11:32là je ne parle pas de la catastrophe à laquelle tout le monde a été soumis, malheureusement.
11:36Mais depuis dix ans, on a vu quand même une essence s'exploser
11:40dans des cliniques qui ne disposaient pas de maternité suffisante.
11:43– Bien sûr, c'est l'un des problèmes, si ce n'est le problème principal à Mayotte.
11:47Lorsque vous dites ça, vous êtes taxé de ce que vous voulez par une partie de la gauche,
11:50le président de la République lui-même l'a constaté lorsqu'il y est allé.
11:54Ça pose aussi la question, et c'est là où effectivement il peut y avoir des interrogations,
11:57d'avoir une île qui serait si avancée d'un point de vue social, par exemple,
12:02dans un environnement où effectivement le pays voisin, les îles voisines…
12:07– Alliées ferroviaires au commun, c'est sûr.
12:08– Bien sûr, vous avez une immigration qui vient aussi du continent africain,
12:12de l'Afrique continentale, Mayotte.
12:14– On s'est mis tout seuls, on a construit le piège, tout seuls.
12:17– En fait, si vous êtes taxé avancé socialement, il faut forcément réguler l'immigration,
12:21sinon vous arrivez à la situation qu'on connaît.
12:22– Je vous propose d'avancer un petit peu dans…
12:24– La question, parce qu'il y a quand même une question fondamentale,
12:26on l'a vu aux États-Unis avant le 11 septembre, avant le 11 septembre 2001,
12:32les signaux, les clignotants, tous les clignotants étaient au rouge.
12:37Je pense, hélas, que dans leur état d'esprit, les démocraties les plus avancées
12:42sont incapables de résoudre un problème avant qu'il y ait eu un drame.
12:46Voilà, c'est ça la triste réalité.
12:4950 fois le président Bush a été averti, attention, attention, attention.
12:55J'ai vécu ça en direct, naturellement, avec des amis,
13:00je peux vous parler jusqu'à demain matin des signaux, mais pas faibles,
13:04le patron de la CIA de l'époque, George Tenet, disait,
13:11vous savez le tableau de bord,
13:13« It's blinking red », tout est au rouge, tout est en train de clignoter.
13:17– Ils n'ont pas voulu voir.
13:18– Ils n'ont pas voulu voir, ils n'ont pas voulu voir.
13:20Les États modernes sont un peu dans l'illusion
13:24qu'ils peuvent tout maîtriser, tout contrôler.
13:25– Non mais alors, si je vous suis dans votre raisonnement que vous avez refait,
13:27est-ce que ça veut dire que depuis notre Bataclan,
13:29on a pris la mesure de la menace terror-islamiste et qu'on a réussi à la contrer ?
13:33– Heureusement, on a fait quand même un certain nombre de choses,
13:36mais heureusement, les choses au Moyen-Orient ont changé
13:39au point où une telle menace n'est plus directement possible.
13:43Qu'un type, demain, prenne un couteau de cuisine dans la cuisine
13:47et a égorgé quelqu'un dans la rue, hélas, c'est possible.
13:50Au niveau de l'Union Européenne, c'est très sensible,
13:53on ne peut pas donner des détails, mais je pense qu'aujourd'hui,
13:56grâce à l'intelligence artificielle,
14:00la réitération de ce qui s'est passé en 2015 en France et en 2016 en Belgique
14:05n'est pratiquement plus possible.
14:07Tout, on ne peut plus, aujourd'hui, monter une opération comme ça
14:11sans utiliser des téléphones portables.
14:13– Après le 13 novembre, on a dit, on va faire autrement,
14:15on a eu le 14 juillet à Nice, c'est à peu près.
14:18– Oui, à chaque fois, ça se déplace.
14:20– Ce qui est vrai, c'est que l'immigration reste hors de contrôle, en réalité.
14:24Elle est hors de contrôle, ça passe un peu partout.
14:28Donc voilà, tant qu'on n'aura pas réglé ce problème-là,
14:30au niveau français ou au niveau européen,
14:33on s'exposera à connaître un certain nombre de difficultés.
14:37Tu as raison, je pense que les flics font un travail formidable,
14:41les forces de l'ordre, pardon, les policiers font un travail formidable
14:45et les résultats sont là.
14:46Je pense que là, ils ont vraiment mis des capteurs partout
14:51et les résultats sont spectaculaires.
14:53Mais bon, à un moment ou à un autre, on est parfois obligé de constater
14:57qu'il n'y a pas de situation où c'est tout impeccable,
15:02vous inquiétez pas, tout va rouler.
15:03C'est impossible.
15:05– Merci, on va marquer une petite pause.
15:06Le temps de retrouver Maureen Vidal pour le rappel des principaux titres
15:09du reste de l'actualité CETEV.

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