La qualité de vie au travail, cela passe en grande partie par les solutions de restauration en entreprise. Le CEO d’Edenred France Ilan Ouanounou est l’invité d’Arnaud Ardoin dans le Grand Entretien, pour parler des enjeux de pouvoir d’achat et de confort des salariés.
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00:00Générique
00:12Le Cercle RH est un grand entretien aujourd'hui avec Ilan Wananoo. Bonjour Ilan.
00:16Bonjour.
00:17Ravi de vous accueillir. Vous êtes le directeur général France d'Adenred.
00:20On va parler des tickets restaurants, des enjeux législatifs parce que je sais que vous êtes sur ce sujet en première ligne.
00:26Puis on parlera aussi de la manière dont l'entreprise pivote, repense plus largement son modèle, l'accompagnement et le travail que vous allez mener auprès des DRH.
00:35Parce qu'il y a aussi, on en parlera dans notre émission, un outil à destination des DRH. Je sais que je crois que vous êtes membre du MEDEF 92 me semble-t-il.
00:44Avant de démarrer, je voudrais simplement rendre hommage à Yvon Gattaz qui nous a quittés il y a quelques jours. Il était venu sur notre plateau, il avait 97 ans.
00:53Il a été le président du CNPF, c'est-à-dire l'ancêtre du MEDEF. Il a dirigé Radial, entreprise que dirige aujourd'hui son fils Pierre.
01:02C'est un homme pétillant, absolument incroyable et qui a rencontré François Mitterrand puisque quand François Mitterrand était élu en 81, il était à la tête du CNPF.
01:09Et lors de cette émission qui était riche et finalement très émouvante, je lui ai posé une question simple. Comment il faisait pour recruter ?
01:16Je propose de l'écouter évidemment pour rendre hommage et avoir une pensée pour toute la famille Gattaz.
01:22Évidemment, Pierre était sur notre plateau il y a quelques jours pour une émission spéciale. Écoutez cet extrait.
01:28— J'avais un truc à moi. J'ai honte d'en raconter parce que tout le monde me dit que c'est pas sérieux. Mon DRH faisait le tri et m'amenait les trois derniers candidats.
01:41Et ils entraient dans mon bureau l'un après l'autre. Et je devais donner mon avis en disant entre ABC et D, ABC, je préfère C, etc.
01:52Et là, j'avais un truc à moi qui faisait rire tout le monde. Je disais toujours que je choisissais celui qui a les yeux qui brillent.
02:01— Je vous vois sourire, Ilan. Est-ce que le directeur général... Vous avez évidemment une DRH et un service recrutement.
02:08Mais parfois, dans le final cut, est-ce que vous recrutez de cette manière aussi ? On n'est pas dans l'IA, là. On est juste dans le regard, dans l'intuition. Ça matche ou ça matche pas ?
02:17— Ce que dit Yvon Gattaz, à mon avis, est très pertinent. Et je pense que... Moi, je considère que lorsqu'un candidat arrive dans mon bureau, c'est qu'il a été pré-filtré, pré-trié,
02:26que ses compétences sont validées, son CV parle pour lui ou pour elle. Et que ma préoccupation, c'est le fit, en fait. C'est est-ce que j'ai envie de travailler avec cette personne.
02:34Est-ce que cette personne a envie de travailler avec moi ? Et est-ce que j'arrive à bien projeter la personne dans la culture des DUNRAID ?
02:40J'irai pas jusqu'à dire que je le vois dans ses yeux, comme disait M. Gattaz. En revanche, cette dimension émotionnelle, oui, je la prends en compte.
02:48— Voilà. Pour cet extrait qui date de 2 ans, il avait 97 ans. Il nous a quitté à l'âge de 99 ans. Il aurait eu 100 ans en juin 2025. On pense évidemment à sa famille et à ses enfants.
03:00Retour à Eden Red, Ilan Ouananou. Eden Red, non pas dans l'œil du cyclone, mais en première ligne pour savoir ce qui va se passer le 1er janvier 2025.
03:09Et vous êtes monté au créneau, à la télévision, sur les réseaux sociaux pour dire « Attendez, rassurez-vous, on est tous d'accord, mais il n'y a pas de loi.
03:17Le texte a été voté à l'Assemblée et est parti au Sénat. Pour l'instant, il n'y a pas de texte qui va permettre aux Français de pouvoir donner la carte Eden Red
03:25et de pouvoir continuer à payer leurs courses avec. On est d'accord ? — Oui, on est d'accord. Il n'y a pas de loi. Mais en fait, il faut recontextualiser ce sujet.
03:32On a lu beaucoup de choses dans les médias qui avaient une tonalité un peu de panique avec des titres du type « On ne pourra plus faire ses courses au supermarché
03:41à partir du 1er janvier 2025 ». C'est totalement faux. Il a toujours été possible de faire ses courses en supermarché avec son ticket restaurant.
03:47Et il sera toujours possible de le faire. La seule différence, c'est... — C'est ce qu'on achète.
03:52— C'est quelle est la gamme de produits qui est éligible au ticket restaurant et la gamme de produits qui n'est pas éligible. Jusqu'à maintenant...
03:59En fait, depuis les années 80, en réalité, il a toujours été possible d'acheter tous les produits à l'exception des produits qui ne sont pas constitutifs d'une pause déjeuner,
04:08comme les produits crus, la viande crue, le poisson cru ou les produits de base, l'huile, les pâtes, le riz.
04:14Depuis 2022, avec l'inflation alimentaire, il y a eu un petit coup de pouce aux citoyens français. Et on les a autorisés temporairement
04:21à acheter ces produits bruts et ces produits de première nécessité avec le ticket restaurant. C'est de cette loi dont on parle. Cette loi permettra-t-elle
04:30de proroger cette facilité au 1er janvier 2025 ou pas ? Les Français le souhaitent, veulent garder cette liberté. Le gouvernement a déposé un amendement
04:41pour que ce soit prorogé. L'Assemblée nationale a voté cet amendement. Elle est arrivée au Sénat. Et là, c'est resté bloqué au Sénat. Je vais vous donner mon avis,
04:49que j'ai exprimé également sur les médias. Mon avis, c'est que le gouvernement trouvera et les parlements trouveront une solution pour que cette mesure
04:57soit prorogée, parce que les Français le souhaitent. 96 % des Français le souhaitent. Et si jamais elle n'est pas prorogée après le 1er janvier 2025,
05:05c'est comme tout. Il y aura une période de tolérance en attendant que cette loi soit prorogée. Donc l'enjeu, pour qu'on soit bien précis, c'est sur le type de produit
05:12que l'on pourra acheter. Donc vous pourrez aller acheter votre sandwich ou votre petite barquette de carottes râpées ou de macédoine avec vos tickets et votre carte.
05:20On est d'accord. Et on rassure vos auditeurs, au 1er janvier, ils pourront continuer à aller au supermarché pour faire leur course avec leur ticket restaurant.
05:27— Qu'on soit précis, et vous le savez mieux quiconque pour ceux qui ont des cartes, c'est 25 euros capés à 25 et non pas 38 comme ça avait été autorisé pendant la période COVID.
05:34— C'est 25 euros par jour. — Est-ce que vous faites partie de ceux qui militaient ? Après tout, une loi va être votée en disant peut-être aller un peu plus loin,
05:40dépasser les 25 euros pour repartir... — Pas forcément, parce que la vocation du ticket restaurant, en fait, c'est de permettre aux salariés de bien s'alimenter
05:48pendant sa journée de travail. Bien s'alimenter pendant sa journée de travail avec 25 euros, en théorie, c'est tout à fait possible.
05:54Et il ne faut pas dévoyer le titre restaurant en le transformant simplement en un instrument de paiement ou un outil pour faire ses courses. Donc 25 euros, c'est très bien.
06:03— 25 euros, c'est très bien. En préparant l'émission, j'ai été sidéré. J'avais la certitude, moi, qui n'ai pas de ticket ni de carte, que tout était passé en numérique
06:12comme Eden Red a pris le virage il y a déjà quelque temps. On a encore 30% de titres émis en papier. Est-ce que là aussi, Eden Red pousse pas pour qu'à un moment donné,
06:21on harmonise et que tout soit définitivement mis en numérique sur des cartes ? — Ah si, absolument. Nous, on a été pionniers de la digitalisation depuis très longtemps.
06:28D'ailleurs, au moment où on se parle, chez Eden Red, c'est 85% des tickets restaurant qui sont digitaux et 15% qui sont en papier. En moyenne, sur le marché, c'est 70% digital,
06:38vous l'avez rappelé, et 30% en papier. — Mais c'est quoi ? C'est la demande du client ? C'est parce que l'entreprise avec qui vous travaillez exige du papier, parce que les gens
06:45aiment bien le petit bruit de... ? — D'abord, c'est la demande du client. C'est beaucoup dans le secteur public, pour être honnête, et dans certaines petites PME,
06:52parce que les habitudes sont tenaces et que c'est plus difficile en fait de digitaliser dans ces secteurs-là tant qu'on n'aura pas une loi qui le rendra obligatoire.
06:58Donc à la question « Est-ce qu'Eden Red pousse dans ce sujet-là ? », oui. En fait, toute la filière pousse, y compris les restaurateurs pour qui c'est pénible de gérer
07:06du ticket restaurant. Donc ça serait beaucoup moins coûteux pour les restaurateurs et les commerçants de gérer uniquement du digital. Et à ce propos, ça fait un petit moment
07:14qu'on travaille avec les gouvernements successifs à une grande réforme du ticket restaurant qui emporte notamment la dématérialisation totale. Il se trouve qu'on a eu
07:23une dissolution et une censure qui ralentit un petit peu les choses. Mais nul doute que le prochain gouvernement reprendra les travaux.
07:29– Ilan, vous êtes avec nous, c'est aussi l'occasion, quand on pense à Eden Red, on pense au ticket restaurant et on en parle depuis presque 8 minutes.
07:35Sauf que c'est 50% du chiffre d'affaires. Eden Red, c'est tout autre chose. C'est aussi l'accompagnement des CSE, c'est aussi des cadeaux, c'est aussi ce qui va accompagner
07:43un CSE. Ça, on ne le sait pas. C'est 50% de votre activité quand même ?
07:47– Oui, en fait, Eden Red, si on essaye de définir ce qu'on fait en réalité, nous, notre métier, c'est d'être ancré au cœur du monde du travail.
07:56Nos clients, ce sont des DRH, ce sont des CSE. Et ce qu'on fait au quotidien, c'est qu'on cherche à les accompagner dans l'amélioration de la qualité de vie au travail,
08:04le bien-être des salariés, l'engagement des salariés. Et pour ce faire, on a trois métiers.
08:09Le premier métier, on vient d'en parler, ce sont les avantages aux salariés.
08:12– L'alimentation.
08:13– Il y a le ticket restaurant, mais il y a aussi les cartes cadeaux, il y a le CESU pour la garde d'enfants, il y a les plateformes télétravail,
08:18il y a la mobilité durable, tout ça, c'est l'univers des avantages aux salariés. Ça apporte du pouvoir d'achat, etc.
08:23Et puis il y a un deuxième domaine, qui est nouveau pour nous, qui est l'engagement et le bien-être des salariés.
08:29– Eden Red Engagement.
08:31– Eden Red Engagement, qui est une nouvelle plateforme que nous lançons, là en ce moment sur le marché français,
08:36qui vient accompagner nos clients DRH dans le bien-être et l'engagement des salariés.
08:41Et notre troisième métier, c'est l'accompagnement des CSE.
08:44Les CSE qui sont des élus qui ont besoin d'outils, logiciels, une plateforme e-commerce d'œuvre sociale
08:49qui leur permet de gérer leur activité d'élu au quotidien. Ça, ce sont les trois métiers.
08:53– Les trois piliers, dont 50% du volume global du CA correspond au ticket restaurant,
08:58donc on voit que le reste se partage les deux pôles.
09:01Eden Red Engagement, on voit l'esprit, on est d'accord, vous ne parlez pas directement aux collaborateurs,
09:07c'est au DRH que vous apportez ce service. Donc vous arrivez en marque blanche, Eden Red n'existe plus, on gomme Eden Red ?
09:13– En fait, tout à fait, on propose une plateforme digitale qui est une sorte de bouquet de services digitaux,
09:19un portail finalement, on le propose au DRH, en marque blanche, ça porte la marque de l'entreprise,
09:26ça porterait la marque de Bismarck ou de l'entreprise qui acquiert cette licence.
09:31Mais en réalité, les services qui sont dans cette plateforme sont bien à destination des salariés.
09:37Alors qu'est-ce qu'il y a dedans, concrètement ? Il y a un module de communication.
09:41Module de communication, c'est quoi ? C'est un réseau social interne d'entreprise.
09:44Imaginez un LinkedIn de l'entreprise, interne, dans lequel l'entreprise poste du contenu,
09:49mais également le salarié poste du contenu, les collaborateurs likent, commentent, etc.
09:55Et ça, ça permet de créer un sentiment d'appartenance, et on sait que le sentiment d'appartenance
10:00c'est essentiel dans l'engagement des salariés.
10:03– Réseau interne pour l'entreprise et les collaborateurs.
10:05– Premier module. Deuxième module, c'est un module de reconnaissance.
10:09On le sait, en France, on a plein de qualités, mais on a un défaut,
10:12c'est qu'on ne sait pas dire merci, et on ne sait pas dire bravo.
10:14Contrairement à nos collègues anglo-saxons.
10:17Nous, ce qu'on a essayé de faire au travers de ce portail, c'est de gamifier la reconnaissance.
10:21Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que j'envoie une e-carte,
10:24bravo, merci, bon anniversaire, joyeuse fête des mères, félicitations à telle ou telle équipe
10:29qui a fait un super travail. – Encouragement.
10:32– Tout ça, publié sur ce fameux réseau social d'entreprise,
10:36qui crée un sentiment de reconnaissance, et on sait que la reconnaissance…
10:39– J'existe.
10:40– J'existe, et on me dit merci publiquement.
10:42C'est un élément absolument fondamental de la pyramide de Maslow, la fameuse,
10:47mais également de l'engagement des salariés.
10:48– Et vu par la communauté, c'est intéressant, ce n'est pas du gré à gré,
10:51c'est toute la communauté qui voit…
10:52– Exactement, on peut le faire de gré à gré, on peut le faire de façon publique.
10:56Troisième module, le bien-être. Qu'est-ce que c'est le bien-être ?
10:59Pourquoi c'est important le bien-être ?
11:00Parce qu'en fait, on est en train d'arriver dans une période du monde du travail
11:04dans laquelle la nouvelle génération, génération Z, comme on en parle souvent,
11:08se dit, moi je suis prêt à me donner à fond dans l'entreprise,
11:11je suis prêt à être très engagé, mais il faut que l'entreprise démontre
11:14qu'elle s'occupe de moi, non pas pour ce que je fais, mais pour ce que je suis.
11:18Et donc je veux que l'entreprise s'occupe de ma santé mentale,
11:21de ma santé physique, de ma santé financière, de ma santé juridique,
11:25de mon développement personnel, de m'aider dans la parentalité,
11:29de m'aider dans la scolarité de mes enfants.
11:31Tout ça, on attend de l'entreprise qu'elle apporte des solutions.
11:34Et donc sur ce portail, on a un bouquet de contenus,
11:38qu'on a fait d'ailleurs avec des partenaires.
11:40Par exemple, pour le physique, on échange avec Traini,
11:44pour le mental, on échange avec Kali.
11:46Toutes ces entreprises-là apportent du contenu au sein du portail,
11:50en vidéo, en tuto, en audio, en texte, pour apporter des solutions concrètes.
11:55Comment je fais du sport, mon pilate, mon yoga, les recettes pour bien me nourrir.
12:00Donc un 360, plus le discount pour terminer.
12:03Et dernier module, le discount, plus prosaïque mais très important.
12:07Typiquement, nous, on a négocié avec plus de 150 enseignes,
12:11Carrefour, Auchan, Casino, Le Roi Merlin, Sephora, Jacaddy, etc.
12:17Des prix attractifs, et vous, en tant que salarié,
12:19grâce au fait que votre DRH a pris la licence et des engagements,
12:22vous pouvez acheter un voucher de 100 euros,
12:25qui vous aura coûté 10 euros pour aller chez Le Roi Merlin ou autre,
12:28et vous aurez gagné 10 euros de pouvoir d'achat.
12:30Les DRH vous regardent, puisqu'il y a beaucoup de DRH qui regardent notre émission.
12:33C'est votre cible, mais on parlait des CSE tout à l'heure.
12:35Est-ce que les CSE peuvent être aussi, alors évidemment la taille est plus réduite,
12:38mais là vous touchez les élus.
12:40Est-ce que c'est aussi une cible que vous envisagez en deuxième temps ?
12:42En fait, les CSE ont déjà leurs outils.
12:44Le CSE, c'est un pilier fondamental de l'engagement en entreprise.
12:47Ils ont déjà leurs outils.
12:49Là, c'est un outil qui est dédié aux DRH.
12:52Juste un mot quand même, les DRH, l'idée c'est quoi ?
12:55Parce qu'il y a quand même un enjeu de vouloir régler un certain nombre de sujets
12:58qu'ils n'ont pas le temps de régler et dont ils n'ont pas forcément les moyens de régler.
13:03C'est ça l'enjeu d'un vrai engagement.
13:05En fait, si des DRH nous écoutent, j'aimerais leur dire que nous on leur parle au quotidien.
13:10On parle à 160 000 clients en France de toute taille, de la PME jusqu'au grand groupe.
13:14On parle à beaucoup de DRH.
13:15Ce qu'on entend de leur part, c'est qu'on est à un point d'inflexion maintenant du monde du travail.
13:19Il y a ces attentes de la nouvelle génération sur le bien-être et l'engagement.
13:23Que ce sujet de l'engagement, qui est un sujet qui est éminemment émotionnel,
13:28c'est la relation émotionnelle que le salarié établit avec son entreprise,
13:32qui fait que le salarié devient un ambassadeur de son entreprise,
13:36qui fait qu'il fait ce qu'on appelle l'extra mile, qu'il devient positif et enthousiaste,
13:40ça a un lien extrêmement fort avec la performance.
13:43Et donc c'est un sujet auquel il faut qu'on s'intéresse.
13:46Nous ce qu'on fait chez les DRH, c'est qu'on ne peut pas résoudre la totalité du problème.
13:49C'est évidemment multifactoriel.
13:51Mais on apporte une solution concrète, tangible, digitale, clé en main,
13:55pour aider le salarié dans son programme d'engagement.
13:58Eden Red Engagement, ça existe, ça se déploie.
14:01Évidemment, allez jeter un oeil sur cette plateforme.
14:04Merci, il anmoine à nous.
14:06Et puis merci de nous avoir rassurés aussi, parce que là c'est très prosaïque et très pragmatique.
14:09Les fêtes vont passer.
14:11Et puis le 6, on pourra présenter à la grande surface ou à notre commerçant ou à notre restaurateur
14:17nos tickets, restaurants ou notre carte. On est d'accord ?
14:20On est d'accord.
14:21Merci, c'est un vrai plaisir de vous accueillir sur le plateau de Smart Job.
14:24Les DRH vous ont entendu sur cette plateforme Eden Red Engagement.
14:28Puis je vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année,
14:30puisque c'est bientôt la fin des émissions.
14:32Merci Arnaud, et également à toute l'équipe de Bismarck.
14:35Merci à vous.
14:36On tourne une page, on s'intéresse aux ingénieurs.
14:38Tiens, c'est un sujet intéressant.
14:39Ingénieurs et industrie, c'est fenêtre sur l'emploi.
14:41Et on accueille un expert.