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Le nouveau Premier ministre François Bayrou, sous le feu des critiques pour avoir privilégié le conseil municipal de Pau en pleine crise mahoraise, continue ce mercredi 18 décembre ses consultations pour former un gouvernement, qu'il espère constituer d'ici la fin de la semaine. Invité de la matinale de BFMTV-RMC, le ministre démissionnaire de l'Intérieur Bruno Retailleau a expliqué "ne pas savoir s'il resterait" au gouvernement mais souhaite y rester "s'il a les moyens" de faire sa politique.

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Transcription
00:00Nous, au Parti Socialiste, nous ne sommes pas pour une présidentielle anticipée, parce que nous cherchons la stabilité, c'est très clair.
00:06Parce que nous pensons que ce n'est pas l'intérêt des Français, pourquoi ? Vous le savez très bien, même s'il y a une présidentielle anticipée,
00:12il n'y a pas une nouvelle élection législative avant cet été, et donc ça ne règle pas le problème.
00:18Nous, je le redis, on veut des solutions pour le pays. En revanche, est-ce que nous avons des idées pour la suite le moment venu ?
00:24Je vous confirme que oui, et que nous y travaillons, je vous confirme que oui.
00:28Moi, je fais partie, je le dis clairement, de ceux qui pensent que nous avons besoin, pour 2027, d'une candidature commune de la gauche,
00:36de cette gauche écologiste, socialiste, communiste, celle qui croit à l'Union de la Gauche.
00:42Vous avez bien vu que nous avions une divergence stratégique aujourd'hui très claire avec Jean-Luc Mélenchon.
00:47Jean-Luc Mélenchon, aujourd'hui, il a un seul sujet, l'élection présidentielle, le plus vite possible,
00:51pour être candidat tout seul, sans demander l'avis de personne, et dire à tout le monde,
00:55venez dernier mois, vous allez voir, ce sera formidable.
00:58Vous voyez bien que dans une logique collective et coopérative, ça ne peut pas fonctionner.

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