Karima Brikh : «Il y a ce devoir de mémoire qui est fondamental aujourd'hui, il y a ce devoir de recueillement. C'est important de se rappeler qu'il y a un an, 1200 innocents sont morts dans des circonstances atroces.»
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00:00aujourd'hui, ce qui est très important, on est le 7 octobre, il y a un an, je trouve
00:05qu'il y a ce devoir de mémoire qui est fondamental aujourd'hui, il y a ce devoir de recueillement,
00:12il y a ce devoir, et je trouve ça très courageux, les témoignages qu'on a entendus, ne serait-ce
00:17que tout à l'heure un peu plus tôt, à l'édition, le reportage, le documentaire
00:22qui a été fait, le reportage également sur ce qui s'est passé, je pense que c'est
00:26important de se rappeler qu'il y a un an, donc le Hamas a réalisé en fait, a commis
00:34cet acte barbare, cet acte terroriste qui a fait en sorte qu'il y a eu 1200 personnes,
00:401200 innocents qui sont morts dans des circonstances atroces, on a assisté à des féminicides
00:48de masse, on a assisté à, on a vu aussi des jeunes qui célébraient la vie, qui célébraient
00:55la paix, la vie, dont la vie a été fauchée. Moi, ce que je retiens aujourd'hui, c'est de se rappeler
01:02aussi que le Hamas non seulement a brisé ses vies, mais a fait en sorte d'ouvrir et de précipiter
01:07aussi cette situation humanitaire qu'on déplore, que ce soit par la terreur, si vous voulez,
01:13que les Israéliens vivent aujourd'hui encore, la peur, mais aussi cette situation humanitaire
01:18des Palestiniens, les civils palestiniens, ce qu'on voit maintenant au Liban, tout ça,
01:23c'est quand même, évidemment, c'est un conflit qui existe depuis beaucoup plus longtemps,
01:29mais quand même, depuis le 7 octobre, ça a précipité aussi tout ça, il ne faut pas l'oublier.
01:33Je pense qu'aujourd'hui, c'est important de rendre hommage à ces victimes et à toutes ces familles de victimes qui souffrent.