La réaction de Roberto De Zerbi après la victoire à Lyon (2-3).
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00:00La partie a été conditionnée par l'expulsion de Balerdi, c'est la bonne expulsion, il a fait un erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sera encore notre capitaine, il sait qu'il a fait un erreur.
00:28Ce match a été conditionné par l'expulsion de Balerdi, qui était justifié, il a commis une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sera encore notre capitaine, il sait qu'il a fait une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sera encore notre capitaine, il sait qu'il a fait une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sera encore notre capitaine, il sait qu'il a fait une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sait qu'il a fait une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sait qu'il a fait une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sait qu'il a fait une erreur, mais la victoire la dédiquons à lui, car il sait qu'il a fait une erreur, mais la vict
00:58c'est plus important que le résultat, et que le match en soi, et que le classement même,
01:02ce sont ces choses là qui sont fondamentales pour s'inscrire dans la durée, après dès mardi,
01:07on va oublier ce match de Lyon, on le gardera dans notre album de souvenirs, car c'était de
01:13belles émotions, mais on sera déjà tourné vers le match de Strasbourg, qui sera difficile et que
01:17j'espère qu'on pourra discuter à 11 contre 11.
01:28J'y croyais avant le match, j'y croyais pendant la première mi-temps, j'y croyais en deuxième mi-temps, j'y croyais à la fin, j'y croyais également quand on était à 2-2,
01:52aujourd'hui on a mérité cette victoire, même si on était réduit à 10, en première mi-temps on a eu deux occasions franches,
01:58oui on a souffert, mais chaque fois qu'on s'est rendu dans la moitié de terrain adverse, on était dangereux,
02:06on y croyait à la mi-temps, à la pause, dans le vestiaire, quand on parlait avec les joueurs, on s'est dit qu'on pouvait gagner ce match,
02:12et rendre très heureux et fiers la ville de Marseille.
02:23Le Paris Saint-Germain et le Monaco partent au-dessus de nous, parce qu'ils sont déjà des groupes qui ont été testés,
02:32ils ont déjà joué ensemble pendant de longues années, donc ce n'est pas une chose sérieuse de parler des titres.
02:40C'est sûr qu'on construit, mais pas depuis aujourd'hui, on construit depuis la mi-juillet.
02:48Du titre, je n'en parle pas, ce ne serait pas sérieux, car on vient à peine de débuter notre parcours.
02:55Le PSG et la S-Monaco partent avec beaucoup plus d'avance que nous, ils ont un groupe qui est déjà soudé depuis plusieurs saisons,
03:01donc ce ne serait pas sérieux de parler du titre.
03:04Ce qui est sûr, c'est qu'on bâtit depuis mi-juin, avec le président, avec Pablo Longoria, avec Mehdi Benatia,
03:09une équipe avec des personnes justes, avec des bonnes personnes, avec des joueurs forts.
03:15On a donné un agenda au club et on cherche maintenant à atteindre la perfection.
03:21Je ne sais pas si ça nous mènera à la première place ou à la deuxième ou à la troisième,
03:25mais ce qui est sûr, c'est qu'on joue tous les matchs pour gagner, et après parfois, le football peut être bizarre.
03:39Je ne suis pas surpris, je suis très heureux d'avoir vu cette mentalité, ce courage, les remplaçants qui entraient pour gagner le match, même à 10 contre 11,
04:06le gardien qui sortait sur tous les ballons, les joueurs qui allaient contrer l'adversaire avec les dents, en mettant la tête,
04:12à deux-deux qui continuaient d'aller de l'avant pour aller gagner le match,
04:16et puis ensuite, voir les regards des joueurs si heureux à la fin, c'est une magie qu'on n'a que dans le football et nulle part ailleurs.
04:22Je suis très fier, mais vous savez, je serais fier également de ce groupe, même dans la défaite.
04:26Le résultat d'un match dépend de tellement de facteurs externes.
04:30En tout cas, ce sur quoi on a la main, c'est le courage, l'envie, l'implication et le sentiment d'appartenance.