#Viol #AgressionsSexuelles #GérardMiller #Témoignages
Plus de plaintes contre Gérard Miller pour viol et agressions sexuelles
Dix nouvelles accusations viennent s'ajouter à celles déjà formulées en janvier 2024 à l'encontre du psychanalyste Gérard Miller. Trois femmes avaient alors dénoncé des agressions sexuelles et un viol lors de séances d'hypnose avec lui, dans le magazine Elle. Ce mardi 6 février, dix autres femmes ont décidé de prendre la parole dans les colonnes de Mediapart, apportant ainsi de nouveaux témoignages troublants.
Des accusations impliquant des mineurs
Parmi ces nouvelles plaignantes, trois étaient mineures au moment des faits. Âgées de 16 à 17 ans, elles décrivent des agressions ou, parfois, des avances de la part de Gérard Miller. Les incidents se seraient produits dans sa maison située près de la place de la Nation à Paris. Selon les témoignages, le psychanalyste aurait proposé aux jeunes filles des séances d'hypnose ou de "détente".
Les révélations poignantes d'une étudiante
L'une des plaignantes, qui était étudiante dans l'une des classes universitaires de Gérard Miller au moment des faits, a raconté une soirée qui a mal tourné dans les pages de Médiapart. "Il a ouvert une bouteille de champagne. Il n'en a pas bu une goutte, j'ai bu toute la bouteille. Ensuite, je ne me souviens plus de ce qui s'est passé jusqu'à me retrouver dans son lit avec lui au-dessus de moi, le sexe en érection avec un préservatif, en train de se masturber", a-t-elle révélé.
Les réactions de Gérard Miller
Gérard Miller, contacté par Médiapart, remet en question "l'émotion, la colère et la souffrance" des plaignantes et affirme n'avoir "jamais contraint personne", veillant toujours à obtenir leur consentement. Cependant, il admet ne pas avoir mesuré, à l'époque, la "dissymétrie" entre lui-même et ces jeunes femmes "plus jeunes" qui était "inacceptable". Il assure que cela le pousserait aujourd'hui, sans aucun doute, à agir différemment.
#Viol #AgressionsSexuelles #GérardMiller #Témoignages
Plus de plaintes contre Gérard Miller pour viol et agressions sexuelles
Dix nouvelles accusations viennent s'ajouter à celles déjà formulées en janvier 2024 à l'encontre du psychanalyste Gérard Miller. Trois femmes avaient alors dénoncé des agressions sexuelles et un viol lors de séances d'hypnose avec lui, dans le magazine Elle. Ce mardi 6 février, dix autres femmes ont décidé de prendre la parole dans les colonnes de Mediapart, apportant ainsi de nouveaux témoignages troublants.
Des accusations impliquant des mineurs
Parmi ces nouvelles plaignantes, trois étaient mineures au moment des faits. Âgées de 16 à 17 ans, elles décrivent des agressions ou, parfois, des avances de la part de Gérard Miller. Les incidents se seraient produits dans sa maison située près de la place de la Nation à Paris. Selon les témoignages, le psychanalyste aurait proposé aux jeunes filles des séances d'hypnose ou de "détente".
Les révélations poignantes d'une étudiante
L'une des plaignantes, qui était étudiante dans l'une des classes universitaires de Gérard Miller au moment des faits, a raconté une soirée qui a mal tourné dans les pages de Médiapart. "Il a ouvert une bouteille de champagne. Il n'en a pas bu une goutte, j'ai bu toute la bouteille. Ensuite, je ne me souviens plus de ce qui s'est passé jusqu'à me retrouver dans son lit avec lui au-dessus de moi, le sexe en érection avec un préservatif, en train de se masturber", a-t-elle révélé.
Les réactions de Gérard Miller
Gérard Miller, contacté par Médiapart, remet en question "l'émotion, la colère et la souffrance" des plaignantes et affirme n'avoir "jamais contraint personne", veillant toujours à obtenir leur consentement. Cependant, il admet ne pas avoir mesuré, à l'époque, la "dissymétrie" entre lui-même et ces jeunes femmes "plus jeunes" qui était "inacceptable". Il assure que cela le pousserait aujourd'hui, sans aucun doute, à agir différemment.
#Viol #AgressionsSexuelles #GérardMiller #Témoignages
Category
🗞
NewsTranscript
00:00 Dix nouvelles accusations viennent s'ajouter à celles déjà formulées en janvier 2000
00:05 à l'encontre du psychanalyste Gérard Millet.
00:07 Trois femmes avaient alors dénoncé des agressions sexuelles et un viol lors de séances d'hypnose
00:12 avec lui dans le magazine Elle.
00:13 Ce mardi 6 février, dix autres femmes ont décidé de prendre la parole dans les colonnes
00:18 de Mediapart, apportant ainsi de nouveaux témoignages troublants.
00:21 Parmi ces nouvelles plaignantes, trois étaient mineures au moment des faits.
00:24 Âgées de 16 à 17 ans, elles décrivent des agressions ou parfois des avances de la part de Gérard Millet.
00:30 Les incidents se seraient produits dans sa maison située près de la Place de la Nation à Paris.
00:35 Selon les témoignages, le psychanalyste aurait proposé aux jeunes filles des séances d'hypnose
00:39 ou de détente.
00:40 L'une des plaignantes, qui était étudiante dans l'une des classes universitaires de Gérard
00:44 Millet, au moment des faits, a raconté une soirée qui a mal tourné dans les pages de Mediapart.
00:49 « Il a ouvert une bouteille de champagne.
00:50 Il n'en a pas bu une goutte, j'ai bu toute la bouteille.
00:53 Ensuite, je ne me souviens plus de ce qui s'est passé jusqu'à me retrouver dans son lit
00:57 avec lui au-dessus de moi, le sexe en érection avec un préservatif, en train de se masturber,
01:02 a-t-elle révélé ? »
01:03 Gérard Millet, contacté par Mediapart, remet en question l'émotion, la colère et la
01:08 souffrance des plaignantes et affirme n'avoir jamais contraint personne, veillant toujours
01:12 à obtenir leur consentement.
01:14 Cependant, il a dû ne pas avoir mesuré, à l'époque, la dissymétrie entre lui-même
01:18 et ses jeunes femmes plus jeunes qui était inacceptable.
01:21 Il assure que cela le pousserait aujourd'hui, sans aucun doute, à agir différemment.
01:25 Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
01:27 N'oubliez pas que je lis maintenant tous vos commentaires.
01:30 Abonnez-vous et à bientôt pour de nouvelles vidéos.
01:34 *musique*