• l’année dernière
François Gomrée, directeur de l'Institut du Sacré Cœur à Binche pousse un coup de gueule contre la décision de la Ville de ne pas sécuriser les abors de son école. La Ville ayant privilégié les écoles communales.

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Transcription
00:00 Nous avons appris en début de semaine que la ville de Binch avait décidé d'attribuer
00:12 à ses implantations les budgets de la région Wallonne pour la sécurisation aux abords
00:18 des écoles fondamentales.
00:20 Nous attendions beaucoup de ce projet.
00:23 En effet, depuis trois ans, nous sommes en contact avec le service mobilité de la police
00:28 de Binch qui nous avait promis des aménagements autour de l'école.
00:33 De fait, ils sont venus il y a un an et demi repeindre le passage pour piétons, effacer
00:40 un ancien.
00:41 Vous voyez qu'il y a aussi un arrêt de bus ici.
00:44 On attendait beaucoup plus de la part de la ville, mais nous avait dit que ça devait
00:49 passer en conseil communal.
00:50 Nous n'avons été avertis de rien et ici nous sommes devant le fait accompli.
00:55 A la lecture de l'article, j'ai contacté mes collègues de l'entité de Binch et personne
01:02 n'a été mis au courant et personne n'attend de travaux devant son école pour la sécurisation.
01:08 La ville de Binch ne nous a pas contacté, ne nous a pas dit "tiens, on va pouvoir maintenant
01:15 sécuriser les écoles.
01:16 Quelles sont les écoles qui en ont besoin ? Quelles sont les écoles qui ont beaucoup
01:20 de trafic ? Quelles sont les écoles qui ont plus de population ? "
01:22 Et là, nous n'avons eu aucune relation avec le Bourgmestre alors que dans beaucoup d'autres
01:29 situations, ils font appel à nous, ils nous concertent, mais pour le coup, ici, ça n'a
01:33 pas été le cas.
01:34 [Musique]
01:37 [SILENCE]

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