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Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd’hui la position de Woody Allen dans l'affaire d'agression sexuelle du président de la Fédération espagnole de football à l'encontre de la joueuse Jenni Hermoso.

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Retrouvez "Pascal Praud et vous" sur : http://www.europe1.fr/emissions/pascal-praud-et-vous

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00:00 - Pascal Prohevou, la suite sur Europe 1 avec vous au 01 80 20 39 21 Pascal.
00:07 - Il a cassé le casque il y a quelques secondes, il va nous donner des informations des réseaux sociaux.
00:13 Allez-y frère !
00:15 Non mais je parle jeune maintenant.
00:17 - Merci le sang !
00:19 - Le sang, oui.
00:21 - Allez Frédéric nous écrit sur Twitter "un vrai système égalitaire n'existera jamais, il y aura toujours des prédateurs"
00:28 C'est l'être humain qui est comme ça.
00:30 Pour Xavier ce n'est peut-être que le début, il donnera probablement aussi à la Croix-Rouge ou au Secours Populaire par la suite.
00:35 Et on termine avec Hugo, j'espère que ça va donner envie à d'autres milliardaires de donner également.
00:41 - Le réalisateur Woody Allen défend Luis Rubiales, le président de la Fédération Espagnole de Football suspendue par la FIFA.
00:47 Souvenez-vous, quelques minutes après le Sacre Mondial de l'Espagne, le 20 août à Sydney, Luis Rubiales avait embrassé sur la bouche par surprise la joueuse Jenny Hermoso.
00:57 Woody Allen, visé lui-même par des accusations d'agression sexuelle, ne comprend pas l'indignation internationale.
01:02 Et dans le quotidien espagnol El Mundo, il déclare "il ne l'a pas violée, c'était juste un baiser et c'était une amie, quel mal y a-t-il à cela ?"
01:10 Alors, on peut déjà contester ce que dit Woody Allen, puisque la jeune femme, elle, si la jeune femme avait dit "y a pas de soucis", c'était un baiser, j'allais dire, ou consenti ou réciproque,
01:22 il n'y aurait pas de polémique. Il se trouve qu'elle-même a dit qu'elle avait été gênée et qu'elle avait été contrainte.
01:29 C'est pour ça aussi que la position de Woody Allen, on peut la contester. Nous sommes avec Olivier peut-être ?
01:36 - Oui, bonjour Pascal, bonjour aux auditeurs et bonjour frère. - Bonjour Olivier, votre avis sur ce sujet ?
01:40 - Non, mais je t'acquitte. - Mon avis sur ce sujet, c'est que, bah oui, c'était très déplacé par rapport à ce qu'il a fait.
01:46 Bon, après, moi, ce qui m'embête un peu dans cet épisode, dans cette action-là, c'est que je pense qu'elle l'aurait giflé sur le coup, ça aurait peut-être été mieux quand même.
01:56 Mais là où je ne suis pas forcément très d'accord, c'est par rapport aux sanctions, déjà le licencier, une bonne mise à pied, quelque chose qui le marque vraiment, je ne dis pas,
02:06 mais c'est ça qui m'embête un peu, c'est qu'après, il y a un respect à avoir, c'est tout à fait normal, mais il ne faudrait pas non plus qu'on tombe aussi dans l'extrême.
02:18 Je veux dire, parce que maintenant, à chaque fois qu'il y a quelque chose, j'entends pas sur des gestes déplacés, mais des choses qui semblent, par rapport à certaines personnes déplacées,
02:27 tout de suite ça va monter en eau de boudin, et puis tout de suite, voilà, c'est un petit peu...
02:33 - Il convenait quand même que si cette séquence #MeToo a permis aux hommes d'être un peu plus vigilants sur leur comportement avec les femmes,
02:47 comprenez quand même que c'est une séquence largement positive. Une jeune femme n'a pas à être embrassée si elle ne le souhaite pas.
02:57 - Ah non, mais ça, j'adhère complètement, mais faudrait... - En plus, c'est un acte de pouvoir, moi je l'ai vu ce baiser, c'est un acte de pouvoir, d'autorité, que je trouve infiniment déplacé.
03:10 - Mais vous voyez, même sur le coup, c'était tellement facile, je me suis dit "mais elle est complaisante, elle est avec lui", on était même amené à se poser cette question-là,
03:18 parce qu'elle n'a aucune réaction, je veux dire, alors peut-être que... - Elle n'a aucune réaction, elle est surprise, vous êtes marrant, elle sait que les caméras du monde entier sont sur elle,
03:26 et après, je me cale mon opinion sur ce qu'elle a dit, elle. C'est elle, pour moi, qui est essentielle. Elle dit "j'ai été gênée et je ne le voulais pas", bon, donc acte !
03:39 - Ah bah après oui, non mais je veux dire par là, c'est que faudrait pas non plus que ça soit maintenant quelque chose qui fasse tirer à boule et roue sur chaque acte...
03:50 - Bah y'a des actes qu'on doit pas faire ! Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Dans les entreprises, je pense qu'aujourd'hui, c'est plus facile d'être une femme qu'il y a 40 ans ou 50 ans,
04:01 parce que les hommes se permettaient des comportements, des paroles, disons-le, des paroles qui étaient parfaitement déplacées, et qu'aujourd'hui, eh bien, ces paroles-là ne sont plus tolérées,
04:15 et vraiment, je trouve que c'est une bonne chose. Alors si la société a progressé sur certaines choses, vraiment, c'est le rapport aux femmes, et il est plus courtois, il est plus respectueux, tout simplement.
04:29 - Alors là où ça peut pêcher aussi, c'est par rapport à la défense de Woody Allen, parce que c'est vrai qu'il est pas forcément bien placé pour justement...
04:37 Enfin, il aurait mieux fait de se taire ce monsieur, ça c'est certain, ça j'entends bien.
04:41 - Moi je suis très influencé parce que j'ai vu un jour un documentaire, je crois sur Netflix, sur Woody Allen, et avec Mia Farrow et les enfants de Mia Farrow qui témoignent,
04:50 il est effrayant et accablant contre Woody Allen. Bon, alors c'est un documentaire à charge, je suis comme tout le monde, moi j'étais un fan absolu de Woody Allen.
04:59 Je pouvais vous citer de nombreux films, de Manhattan, à son dernier qui se passait en Angleterre, avec Scarlett Johansson, qui étaient vraiment des films absolument formidables.
05:15 Mais il n'empêche qu'il y a manifestement, dans son comportement, quelque chose de répréhensible, en tout cas ce documentaire, je crois qu'il est sur Netflix ou sur My Channel,
05:27 c'est un documentaire, que Géraldine va peut-être retrouver d'ailleurs, le nom de ce documentaire, il est absolument accablant contre Woody Allen.
05:36 - C'est Allen vs. Farrow, c'est ça ?
05:38 - Exactement, oui, c'est Allen contre Farrow. Mais c'est terrible, sur quelle plateforme d'ailleurs on peut le voir ?
05:44 - Alors là je vois sur OCS.
05:46 - Et bien oui, sur OCS, mais alors OCS c'est une diffusion, OCS, mais peut-être sur My Channel ou sur Netflix, en tout cas vous pouvez le voir.
05:57 Merci en tout cas Olivier, merci de ce témoignage.
06:00 - Et bien merci à vous.
06:01 - Vous vous habitez où Olivier, vous habitez dans Lyon ?
06:03 - C'est ça exactement, Prochaine-Sonnerre.
06:05 - Vous avez repris le boulot ?
06:07 - Ah bah je me suis pas arrêté, c'est pas pareil.
06:09 - Pourquoi vous vous êtes pas arrêté ?
06:10 - Bah parce que beaucoup de travail étant artisan, donc je pense que je vais prendre quelques jours en arrière-saison, on va voir.
06:17 Mais bon pour l'instant c'est pas d'actualité.
06:21 - Mais quand je pose cette question, c'est-à-dire que vous n'avez pas les moyens de prendre des vacances en tant qu'artisan ?
06:25 - Ah si, si, non non, mais c'est pas...
06:26 - Donc là c'est parce que c'est un choix ?
06:28 - Oui mais après les moyens, pas plus qu'un autre, mais bon ça faut se faire un petit pécule.
06:33 - Vous êtes dans quel domaine ?
06:35 - Je suis plus dans l'aménagement intérieur, on va dire, création... Pardon ?
06:41 - Oui, plus dans l'aménagement intérieur, architecture d'intérieur.
06:43 - Voilà.
06:44 - Et vous consacrez combien en pourcentage de vos revenus aux vacances quand vous partez ?
06:49 - Alors là je suis quasiment incapable de vous dire parce qu'en fait c'est...
06:53 - On dit souvent que c'est un mois de salaire, 10%.
06:56 - Oh non non, ça va dépendre, non non, ça va dépendre.
06:58 Après j'aurais tendance à dire, de toute façon moi je pars pas forcément déjà un mois,
07:02 mais on se fait des petits plaisirs quand même, mais c'est beaucoup plus restreint,
07:06 c'est sur des périodes d'une semaine, quinze jours.
07:08 Bon après je ne dis pas que je jette l'argent par les fenêtres,
07:10 mais si c'est pour partir en vacances et puis manger du sandwich ou rien faire,
07:14 c'est pas la peine quoi, en même temps.
07:16 Mais bon c'est pas quelque chose qui me...
07:20 Moi j'aime mon métier, c'est une passion,
07:22 donc déjà je vois pas ça comme une contrainte,
07:25 comme certaines personnes peuvent le ressentir.
07:28 - C'est la meilleure chose d'ailleurs, moi j'ai donné qu'un conseil à mes filles,
07:32 fais ce qui te fait plaisir, parce que c'est trop dur de traverser la vie
07:36 dans un métier qui ne nous fait pas plaisir.
07:38 Et la chance qu'on a, nous, parce que c'est une chance et tout le monde ne l'a pas,
07:42 c'est de faire un métier qui nous fait plaisir.
07:44 Et quand on nous dit "vous travaillez beaucoup",
07:47 c'est vrai que notamment grâce à M. Boubouk, on ne voit pas le temps passé.
07:51 - Ah dites-moi oui !
07:53 Qu'est-ce que vous voulez me dire à part me dire que je travaille pas ? Rien du tout ?
07:56 - Je n'ai pas dit ça, c'est vous qui alliez m'annoncer peut-être à une future auditrice.
08:02 - Effectivement, juste après le flash Pascal, on va avoir Sarah qui est maman au foyer,
08:06 qui nous a appelé au Standard Européen, et qui pense que Louis Rubiales
08:09 aurait juste mérité un avertissement.
08:11 Voilà, ça s'appelle un teasing.
08:13 Le métier qui rentre.
08:15 - Ça s'appelle un teasing.
08:17 Bon, Émilie Dez va revenir pour les infos de 12h.
08:21 Vous êtes sur Europe 1,
08:23 vous vous arrêtez peut-être à aller chercher vos enfants à l'école ?
08:26 Qui sait ? Parce que midi...
08:28 - On la pose à déjeuner, oui.
08:29 - Exactement, peut-être que vous êtes encore en vacances,
08:31 peut-être que vous êtes sur une route du Sud,
08:33 ou dans le Sud-Ouest, ou que vous allez à la plage,
08:36 que vous avez cette chance d'aller à la plage.
08:38 Et bien d'abord on vous dit bonjour,
08:40 merci de nous écouter,
08:42 et on vous dit à tout de suite.
08:43 - Europe 1, il est 11h57.
08:45 - Bon début d'après-midi à l'écoute de Europe 1 dans Pascal Prost.
08:52 On continue Pascal de parler avec vous
08:54 du réalisateur Woody Allen qui prend position dans l'infer
08:57 Robiales et le baiser forcé du président de la Fédération de football espagnol à une joueuse.
09:02 - Il était interrogé hier par le quotidien espagnol El Mundo,
09:05 et il s'est exprimé, et il a dit
09:07 "c'est difficile d'imaginer qu'une personne puisse perdre son travail pour un baiser en public".
09:12 On termine ce débat que nous avons entamé avant 12h,
09:16 et nous sommes avec Sarah.
09:18 Bonjour Sarah.
09:19 - Oui bonjour.
09:20 - Et merci d'être avec nous.
09:22 - Merci, merci à vous.
09:24 Je voulais d'abord vous dire que je suis contente de vous retrouver avec votre collègue Olivier.
09:30 Vous avez emmené votre équipe.
09:32 - Oui, en tout cas une partie de l'équipe.
09:36 Notre coeur saigne un peu, mais une partie de l'équipe est là.
09:40 - En tout cas, ravie de l'avoir eue en ligne, et ravie de vous avoir à l'antenne.
09:44 - Je vous en prie.
09:45 Donc Pascal, il y a deux ou trois choses que je souhaitais exprimer.
09:50 La première concernant Woody Allen.
09:52 Ce monsieur approche les 80 je pense.
09:56 - Il est même possible qu'il ait dépassé les 80, je crois qu'il a 87 ans.
10:00 - Voilà, donc voilà.
10:01 Autre génération, autre perception du monde, autre éducation, autre vécu.
10:07 Donc clairement lui il s'exprime avec son prisme à lui.
10:14 Et ça c'est la première chose.
10:17 Ensuite, concernant ce baiser, moi je l'ai vu en direct, j'avais regardé la finale.
10:21 Alors déjà avant que se passe ce baiser, j'ai vu M. Bieles prendre toutes les joueuses dans ses bras, les soulever.
10:32 Il était très très très très content et ravi.
10:37 On voyait que c'était vraiment sincère.
10:39 C'est comme ça que moi je l'ai perçu à travers l'écran.
10:42 Et c'est vrai que lorsqu'il a embrassé cette joueuse, mon époux et moi on s'est regardé et je lui ai dit "c'est peut-être sa petite amie".
10:49 Pour vous dire.
10:51 - C'est dire, c'est dire si c'était d'autant plus déplacé que vous puissiez imaginer ça.
10:58 Parce que s'il embrasse une personne qu'il ne connaît pas comme sa petite amie, a priori ça se fait pas.
11:03 - N'est-ce pas.
11:05 Mais par contre, l'ampleur que cette situation a prise est à mon avis too much.
11:11 Un avertissement conséquent à M. Bieles, oui.
11:17 Maintenant tout ce batage médiatique, il y a vraiment d'autres soucis à gérer.
11:23 - Non mais là je peux vous rejoindre.
11:25 C'est vrai qu'aujourd'hui un buzz chasse l'autre et qu'il y a amplification, je suis d'accord, de certains actes.
11:35 Mais lorsque vous êtes une personnalité publique, vous devez intégrer cela.
11:39 Vous savez qu'il y a aujourd'hui amplification sur certains sujets.
11:43 Donc d'abord je trouve pas intelligent ce qu'il a fait parce qu'il n'a pas anticipé cela.
11:47 Donc ça montre qu'il n'est pas très futé, si j'ose dire.
11:51 En plus je trouve ça parfaitement déplacé.
11:54 Mais c'est vrai, c'est vrai, je peux entendre ce que vous dites.
11:57 Aujourd'hui, on pourrait multiplier les exemples, il y a des sujets qui prennent une place folle dans la société française.
12:07 Et dans la société tout court d'ailleurs, pas que française.
12:10 Parce qu'ils sont symboliques.
12:12 On le voit avec la baïa aujourd'hui, on le voit avec le sujet dont vous parlez à l'instant.
12:18 - Et je rajouterais autre chose, l'Espagne actuellement, les filles ont vraiment rapporté un moment de joie
12:29 avec les premières Coupes du monde, comme la Turquie au volleyball, première fois qu'elle gagne un championnat d'Europe.
12:38 Je dirais que l'élément, le phénomène est quand même important, joyeux et festif.
12:47 Économiquement l'Espagne va pas très bien, pour y être allée.
12:51 Il y avait autre chose que tout ce bataille là.
12:54 Ils ont complètement occulté le fait qu'elle soit championne du monde.
12:57 Et ce baiser là.
13:00 Ensuite, moi j'ai vu une vidéo il y a 2-3 jours, d'ailleurs c'est une personne qui était dans le bus, des joueuses.
13:08 Je sais pas si vous l'avez vu Pascal.
13:10 - J'ai vu effectivement cette vidéo qui tente à montrer une version différente.
13:17 - N'est-ce pas ?
13:19 - Exactement, je suis d'accord avec vous et cette vidéo m'a troublé.
13:23 Simplement je suis pas sûr que tous les auditeurs aient vu cette vidéo.
13:27 Et effectivement elle peut troubler parce que tu as le sentiment dans ces cas là qu'elle était plutôt satisfaite à ce moment là du baiser qui avait été fait.
13:35 - Elle m'a choqué.
13:37 - Oui c'est vrai.
13:38 - Elle disait en espagnol "un beso" "un bisou" "un bisou"
13:42 - Toutes les filles autour disaient qu'elle voulait la même chose.
13:45 C'est vrai que cette vidéo m'a troublé, je partage votre avis.
13:48 En tout cas Sarah je vous remercie parce qu'on va peut-être changer de sujet et on va parler de ces steaks ou du steak végétal.
13:56 Mais avant de nous quitter je voulais savoir s'il est rentré, ça se passait bien pour vous Sarah ?
14:00 - Parfaitement.
14:02 - Parfaitement ?
14:03 - Oui très bien, mon fils je l'ai déposé ce matin, je l'ai récupéré.
14:06 - Il a quel âge votre fils ?
14:07 - Il a 11 ans.
14:09 - 11 ans, donc il rentre en 6ème ?
14:11 - Non il a sauté une classe, il rentre en 5ème.
14:13 - Ah dis donc mais on saute encore des classes ?
14:15 - Ouais je savais pas non plus mais j'avais refusé.
14:18 - Mais il est très intelligent alors ?
14:20 - Oh je ne sais pas mais en tout cas il fait des produits.
14:22 - C'est parce qu'il est fort, comment il s'appelle ?
14:24 - Oui, il s'appelle, je vais pas donner le prénom de mon fils.
14:29 - Vous avez raison, pardonnez-moi ma question est indiscrète je l'ai à retirer.
14:32 Mais passé du CM2 à la 5ème sur une classe aussi importante que la 6ème ?
14:37 - Oui c'était du CM1 à la 6ème.
14:39 - Ah oui donc il passe du CM1 à la 6ème.
14:41 - Oui il est passé, oui.
14:43 - Alors M. Boubouc lui est passé de la 5ème au CM2, c'est ce qu'on m'avait dit.
14:47 - Non de la 5ème à l'Europe 1.
14:49 - Il était passé de la 5ème à l'Europe 1 ?
14:52 - J'étais en 5ème, voilà je suis arrivé ici.
14:54 - Oh non.
14:56 Bon en tout cas merci Sarah, merci et bonne rentrée.

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