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L'appartement que cette psychologue de 35 ans occupe avec son compagnon, coche toutes les cases de la "bouilloire énergétique": sous les toits, orientée sud, petit, sans volets et en pleine ville.

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00:00 Il n'est pas encore 9h du matin que le soleil pénètre déjà par les fenêtres de ce coquet appartement.
00:06 Le thermomètre intérieur affiche 25 degrés alors qu'il fait 16 dehors.
00:11 L'appartement de cette psychologue de 35 ans occupée avec son compagnon coche toutes les cases de la bouilloire énergétique
00:17 sous les toits, orientée sud, petit, sans volet et en pleine ville.
00:22 Elle se souvient encore de la canicule de l'été 2019 quand le thermomètre était monté à 46 degrés chez elle.
00:29 J'avais demandé un jour en télétravail justement pour pas être dans les transports au moment des fortes chaleurs.
00:34 Tout était chaud, brûlant, le canapé, les murs, ça a été vraiment une journée très très dure.
00:42 Depuis deux ans, outre les gestes habituels contre la chaleur, ouvrir la nuit, fermer le jour,
00:47 elle a trouvé une parade à l'absence de volet, coller des couvertures de survie aux vitres.
00:52 Symboliquement, mettre des couvertures de survie aux fenêtres c'est pas rien quoi.
00:56 La fondation Abbé Pierre appelle les pouvoirs publics à prendre une série de mesures pour limiter la précarité énergétique d'été,
01:02 dont les conséquences vont s'aggraver avec le réchauffement climatique qui augmente l'intensité et la fréquence des canicules.
01:09 [Musique]
01:13 [SILENCE]

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