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Avec Clémentine Célarié, comédienne. Clémentine Célarié raconte Joséphine Baker sur Canal+ le 13 février. Elle à l’affiche d' "Une vie" de Guy de Maupassant au Théâtre du Petit St-Martin à partir du 9 mars.


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#SUD_RADIO_MEDIA-2023-02-13##

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News
Transcription
00:00 Sud Radio Média, l'invité du jour.
00:03 L'invité du jour c'est Clémentine Sélarier qui est donc avec nous.
00:07 Alors beaucoup d'actualités, vous remontez sur scène à partir du 9 mars avec "Une vie" d'après Guillaume Passant.
00:14 C'est une mise en scène d'Arnaud Denis.
00:16 On aura également "Le père du petit Saint-Martin" absolument.
00:21 Et puis votre livre "Les mots défendus" chez Albin Michel.
00:24 On en avait parlé quand vous étiez venu ici je crois, où vous racontiez votre cancer.
00:29 Vous vous rappelez pas, elle était dans sa chambre d'hôtel.
00:34 Elle nous a fait visiter ses coins une comédienne.
00:36 Oui mais Clémentine était venue ici aussi une fois sur le plateau.
00:41 C'était pendant le Covid je crois, me semble-t-il.
00:45 Et puis cette formidable série documentaire sur Canal+ qui s'intitule "Elle parle d'elle".
00:52 Donc il y avait eu Carole Bouquet avec Coco Chanel, Diane Kruger qui raconte Romif Neder.
00:57 Clémentine Sellerier raconte Joséphine Becker.
00:59 Vous en voyez un petit extrait avec Gilles.
01:02 Il est vachement bien le documentaire, je lui dis oui j'ai adoré.
01:04 Et c'est vrai que ce regard croisé entre vous deux, qui était pas évident à la base,
01:09 il est limpide quand on regarde le doc.
01:12 Qui a choisi Joséphine Becker, c'est vous ?
01:15 En fait c'est l'idée de Jean Nachrich, un des producteurs, qui est un ami.
01:18 Et il m'a dit "Qu'est-ce que tu penses de faire ça ?"
01:21 Je lui ai dit "Est-ce que tu penses à quelqu'un ?"
01:23 Et moi j'avais un peu Piaf, Simone Signoret, des gens comme ça.
01:27 Et il me dit "Qu'est-ce que tu dirais de Joséphine Becker ?"
01:29 Et ça m'a fait tilt parce que il y a des choses qu'on a du mal à expliquer.
01:34 Avec le recul maintenant, je me dis que ça m'a fait tilt parce que
01:38 Joséphine Becker est une sorte de flamme, d'ailleurs je le dis ça dans le documentaire,
01:43 qui pour moi n'est pas... Elle est toujours en vie.
01:46 C'est un feu qui ne s'éteindra jamais.
01:48 Il y a des âmes comme ça qui sont faites pour transmettre une sorte de lumière,
01:54 d'amour, d'altruisme, et de débordement aussi.
01:59 Et de liberté.
02:01 C'est la liberté qu'elle avait.
02:03 Et cette force aussi, elle a joué jusqu'à...
02:07 - 69 ans, elle est morte sur scène.
02:12 - Avec une espèce de truc comme ça.
02:14 Et elle n'est pas morte pour moi.
02:16 Je l'ai rencontrée au fur et à mesure du documentaire.
02:20 J'avais l'impression que je la rencontrais vraiment et qu'elle me tendait une main.
02:24 Après c'est moi, peut-être un peu givré, mais tant mieux,
02:27 c'est pour ça que je suis en vidéo aujourd'hui.
02:29 Mais qu'elle me disait "vas-y".
02:32 Comme un relais de continuer cette ouverture aussi.
02:37 De dire qu'on n'est pas une peau, qu'on est un être humain,
02:40 qu'on n'est pas une religion, qu'on est un être humain, qu'on n'est pas...
02:42 Vous voyez ce que je veux dire ? Qu'on n'est pas forcément associé à une...
02:46 Enfin, on peut se...
02:48 Quand je dis qu'on n'est pas une religion, on peut être complètement...
02:51 Enfin, dévoué à une religion, mais je veux dire qu'on est ouvert.
02:55 On peut être quelqu'un qui appartient à une culture et aimer une autre culture.
03:00 On peut adopter une culture qui n'est pas la nôtre, ou une religion...
03:04 - D'ailleurs, vous n'aimez pas qu'on rentre les cultures dans les cases ?
03:07 Vous en parliez à un moment avec Rachel Kahn.
03:10 J'ai bien aimé ce passage où vous dites
03:12 "Mais pourquoi maintenant ils se revendiquent et qu'ils sont dans des cases
03:17 alors qu'on devrait se revendiquer humain en fait ?"
03:19 - Voilà. Et puis on peut se revendiquer dans son identité,
03:22 mais ne pas rejeter l'autre. C'est ça que je veux dire.
03:25 Et en fait, c'est la stigmatisation, tout ça.
03:28 Moi, ça ne m'intéresse pas.
03:29 Mais justement, ce que j'aime, c'est Josephine Baker.
03:32 Je l'ai découvert aussi grâce à son fils Brian,
03:35 que j'ai rencontré dans le Château d'Immeland à la fin du documentaire.
03:38 Elle se dit "Mais moi, je suis ce que je suis.
03:42 Je suis une femme, mais je ne suis pas noire ou blanche ou machin de ça."
03:47 Alors moi, l'autre jour, j'ai dit "Je suis noire."
03:49 - Ça a fait réagir, ça, sur les réseaux ?
03:51 - Non, mais moi, je ne regarde pas les réseaux sociaux,
03:53 ça ne m'intéresse pas, c'est la pensée collective,
03:55 donc aucune pensée, pas de réflexion, donc la condamnation, bim, bamboum.
04:00 - Mais il y a eu des réactions à ça, forcément.
04:03 - Mais je suis !
04:05 De toute façon, comment dire, on peut...
04:08 J'ai rencontré les gitans, je me sens gitane,
04:11 je suis née en Afrique, j'ai vécu 14 ans en Afrique noire,
04:14 je me sens africaine, donc oui, je me sens noire quand je vois...
04:18 - Cette pièce que vous aviez jouée...
04:20 - Oui, j'avais joué dans "La peau d'un noir", c'est pareil,
04:23 cet homme était... Enfin, c'est pas pareil, moi je ne l'ai pas fait.
04:25 Il est parti aux Etats-Unis pendant les années de la ségrégation,
04:28 il s'est transformé en homme noir pour voir ce que c'était le racisme.
04:31 Quand vous dites ça, quand je dis "Je suis noir",
04:33 c'est le contraire, évidemment, de la négation.
04:37 C'est comme une main tendue, c'est comme de dire "On s'en fout de la peau".
04:41 Moi je me sens africaine, c'est comme ça.
04:44 Bien sûr que je n'ai pas subi les...
04:48 - Oui, bien sûr.
04:50 - Est-ce que vous êtes bien dans cette société ?
04:52 - Pas du tout !
04:54 J'adore cette question !
04:56 Ah non, ça me désespère absolument.
04:58 Ce système me désespère, mais justement,
05:01 comme j'ai dit à mes enfants, j'ai trois grands-enfants,
05:03 ne te plains pas du monde dans lequel tu vis,
05:05 invente le tien.
05:07 Donc si vous voulez, moi ce que j'essaye de faire,
05:09 à ma petite échelle,
05:11 c'est pour ça, je pense, d'ailleurs j'ai rencontré Josephine Baker,
05:15 c'est d'essayer de faire ce que je peux.
05:17 Pour, voilà, donc se battre pour des gens qui ne peuvent pas bouger,
05:22 qui sont malades, donc parler du cancer,
05:24 parce que c'est de la guérison, de dire qu'on a de la chance d'être en vie,
05:27 - Même dans le positif.
05:29 - Oui, et ce qui m'aide par rapport à ce désespoir vis-à-vis du système,
05:33 que vraiment j'ai tous les matins et la nuit, ça m'empêche de dormir,
05:36 c'est de me dire le matin, tu as la chance de te lever,
05:39 de mettre un pied devant l'autre,
05:41 et de boire ton café, de pouvoir porter la tasse jusqu'à la bouche,
05:45 vous voyez ce que je veux dire ? De bouger,
05:47 ce qui n'est pas le cas de ma copine Lorraine,
05:49 qui a été atteinte de la maladie de Charcot, qui ne peut plus du tout bouger.
05:51 Donc je me dis que j'ai toujours de la chance,
05:53 parce qu'on est toujours de la chance quand on est en vie.
05:55 - Par le côté positif.
05:57 - Désespérément positif, désespérément,
05:59 de faire un peu des conneries, de rigoler,
06:01 - Et de bouger, de vivre.
06:03 C'est vrai que ce qui est étonnant, dans le documentaire,
06:05 on va citer les deux réalisateurs,
06:07 Marge Garden et Stéphane Mounca,
06:09 qui ont fait un très beau boulot de réalisation.
06:11 Le texte est magnifique,
06:13 écrit par eux et par Caroline Cochot aussi.
06:15 Et c'est vrai que
06:17 vous partez à la découverte de Joséphine Baker,
06:21 vous rencontrez son fils,
06:23 qui est un personnage absolument incroyable,
06:25 enfant adopté,
06:27 et qui pourtant lui ressemble.
06:29 - Né le même jour qu'elle.
06:31 - C'est d'ailleurs pour ça,
06:33 il raconte comment elle l'a adopté.
06:35 Et puis on découvre, moi je ne connaissais pas bien
06:37 Joséphine Baker, on découvre le personnage,
06:39 c'est toujours intéressant qu'il soit raconté par elle,
06:41 mais par vous aussi,
06:43 de trouver les points communs
06:45 qu'il peut y avoir, une femme libre,
06:47 une femme qu'on a mise dans une case,
06:49 en exploitant l'image de son corps,
06:51 vous dites on l'a réduite souvent
06:53 à la banane et au grimace.
06:55 - Oui, ce n'est pas moi d'ailleurs.
06:57 - Mais vous, vous avez subi ça aussi
06:59 parce que vous étiez sexy, que vous êtes une femme libre,
07:01 vous le dites beaucoup.
07:03 Il y a ce rapport à l'argent aussi.
07:05 - Oui, oui, oui,
07:07 pas de nul personne, on est fauché,
07:09 sauf qu'elle,
07:11 elle a été chassée de chez elle.
07:13 Moi je me suis toujours dit que
07:15 si un jour ça m'arrivait, j'essaierais de
07:17 draguer le huissier.
07:19 - Pour poursuivre la question de Valérie,
07:21 à un moment,
07:23 vous êtes choquée parce qu'on l'oblige à montrer ses seins
07:25 en disant c'est bon pour le spectacle,
07:27 ça va faire des entrées.
07:29 Et vous, on vous a obligé aussi des fois à vous montrer,
07:31 à faire des scènes venues.
07:33 - Ou alors je ne m'en suis pas rendue compte, ce qui serait pire.
07:35 Non, on ne m'a jamais obligée,
07:37 mais je me souviens que
07:39 je parlais très librement,
07:41 parce que je trouve ça bien de ne pas se prendre au sérieux,
07:43 de se tourner en dérision soi-même
07:45 et tout ça. Donc je parlais
07:47 très librement des hommes,
07:49 du fait que je suis amoureuse, je ne suis pas une infomane
07:51 du tout, mais je suis amoureuse.
07:53 Et après c'est devenu un système un peu, du coup après
07:55 j'ai arrêté.
07:57 A mon insu,
07:59 je pense que le fait
08:01 de parler comme ça
08:03 de l'instinct
08:05 amoureux ou des choses un peu
08:07 sensuelles et tout ça, je pense que ça a eu
08:09 une incidence sur mon métier.
08:11 - Les questions d'Ardisson, quand on voit les séquences
08:13 aujourd'hui, on se dit
08:15 et oui, et à la fois
08:17 c'était une question de la liberté,
08:19 c'était libre, et aujourd'hui
08:21 on se dit que ce serait, enfin je ne sais pas si
08:23 Ardisson aussi a toujours été libre.
08:25 - Mais oui, mais en plus je l'aime Thierry,
08:27 vraiment, mais le truc c'est que quand on est
08:29 jeune, on ne se rend pas compte
08:31 de l'effet
08:33 que ça peut avoir,
08:35 de l'impact, on ne se rend pas du tout
08:37 en tout cas moi je ne me rendais pas compte, mais il y a des actrices
08:39 qui se tiennent beaucoup mieux, moi
08:41 ça sera à refaire, je ferai pareil.
08:43 Et puis je me suis toujours dit
08:45 c'est pas grave, alors aujourd'hui au moins
08:47 à un certain âge, on vous associe
08:49 moins à la sexe, c'est ça qui est bien.
08:51 - Le doc m'a fait penser
08:53 à votre papa qui était reporter,
08:55 et je me suis dit que la boucle était bouclée, que vous auriez pu
08:57 faire une super journaliste en fait. - Oui alors papa
08:59 voulait ça, mais alors ne recommencez pas à faire papa.
09:01 Mais ne recommencez pas à faire comme mon papa.
09:03 - Mais vous étiez un peu journaliste, vous êtes un peu journaliste.
09:05 - Oui, vous posez des questions dans le documentaire.
09:07 - Oui, oui, mais bon,
09:09 je ne voulais pas faire ça, parce que c'est pour moi
09:11 mais je pose des questions parce qu'elle me fait
09:13 rêver si vous voulez, alors vous imaginez
09:15 il y a des gens qui ne vont pas rêver quand vous les...
09:17 Enfin je ne sais pas qui vous recevez.
09:19 - Ça arrive, pas toujours.
09:21 - Moi j'ai besoin de l'autre monde, j'ai besoin de l'imaginaire.
09:23 D'ailleurs, elle, elle avait ce truc
09:25 du spectacle, en fait je vais vous dire
09:27 le truc qui me vient, c'est que
09:29 elle a un lien direct avec l'enfance
09:31 de Josephine Baker, et je pense
09:33 que les gens qui vont au théâtre,
09:35 les gens qui vont au spectacle, ont envie
09:37 d'être des enfants. Nous sommes tous des
09:39 enfants en fait, qui faisons
09:41 les grands, mais je pense que notre âme
09:43 d'enfant, si on la perd,
09:45 et c'est pour ça que je déteste les réseaux sociaux,
09:47 je pense que les réseaux sociaux nous font perdre
09:49 notre enfance, notre innocence, notre
09:51 notre capacité à rêver,
09:53 et à discuter
09:55 et à échanger, etc.
09:57 Mais voilà, mais tout ça pour dire aussi
09:59 bonjour à maman, parce que maman est toujours en vie,
10:01 et maman est absolument géniale, et elle a
10:03 soutenu mon papa, qui était journaliste,
10:05 et Dieu sait qu'elle a vu Doc.
10:07 Non, pas encore, elle va regarder ce soir.
10:09 - Elle va regarder, on découvre plein de choses sur vous,
10:11 Dominique Besnard qui vous a découvert
10:13 suite à une apparition
10:15 que vous aviez faite aux côtés de Carlos,
10:17 le chanteur. - Oui, c'était un peu lié.
10:19 - Oui, c'était un petit peu lié, enfin il y a
10:21 plein de choses sur vous, sur votre... - Beaucoup d'images inédites.
10:23 - 37,2, beaucoup d'images inédites,
10:25 puis beaucoup de Joséphine Baker sur tout son
10:27 passé. - Ah oui, c'est magnifique.
10:29 - Vous auriez pu vous être agent secret, je me suis posé la question,
10:31 parce qu'elle a transmis des... - J'aurais aimé qu'on me le propose,
10:33 enfin un bon entendeur salue,
10:35 surtout en ce moment. Non, je rigole,
10:37 mais imaginez,
10:39 on va contacter, allô. - Allô,
10:41 c'est le secret. - On vous demande rendez-vous
10:43 au parking, de la chaîne. - Voilà.
10:45 - Oui, enfin j'aimerais bien,
10:47 aujourd'hui, je vais vous dire, quand je vois
10:49 tout ce qui se passe, on se dit, est-ce que je continue
10:51 à être comédienne, ou est-ce que je vais
10:53 faire un peu, je ne vais pas aider, vous voyez.
10:55 Le truc c'est qu'il faut, l'art
10:57 est aussi une...
10:59 L'art et la culture, c'est très important de ne pas
11:01 lâcher ça. Et je dis ça même aux
11:03 spectateurs, et pas seulement pour mon spectacle,
11:05 pour tous les spectacles, il faut absolument aller au théâtre.
11:07 Et je soutiens Richard Martin,
11:09 je le répète, qui fait
11:11 la grève de la faim au théâtre du Toursky, c'est un
11:13 grand théâtre, et Richard s'est battu
11:15 pour le théâtre populaire pendant des années, c'est un
11:17 minimum artiste. - Pourquoi il fait la grève de la faim ?
11:19 - Parce que il a, il et ses subventions
11:21 ont été diminuées,
11:23 pour ne pas dire retirées,
11:25 au théâtre Toursky, qui est un théâtre qui se
11:27 bat, qui est dans un des
11:29 quartiers les plus pauvres de
11:31 France, et qui est riche.
11:33 C'est à Marseille. - À Marseille. - Et vraiment,
11:35 et je le redis, merci
11:37 de me faire parler de ça, enfin de me permettre d'en
11:39 parler, il faut faire un appel au soutien
11:41 à Richard Martin, au théâtre Toursky,
11:43 parce qu'en fait, ce théâtre a une âme
11:45 qu'il faut absolument qu'elle continue,
11:47 surtout aujourd'hui. - Et pourquoi on lui refuse de s'y mettre ?
11:49 - Parce que, bah, le maire,
11:51 le maire de Marseille, donc
11:53 c'est... - C'est le séduit. - Oui, oui, parce que
11:55 je sais pas, après les raisons
11:57 de toute façon, pour moi,
11:59 elles sont irrecevables, parce qu'on peut pas
12:01 enlever... - Tuer un théâtre.
12:03 - C'est comme si on arrachait le cœur,
12:05 le cœur, vraiment,
12:07 du théâtre Toursky, quoi, il faut absolument
12:09 soutenir Richard Martin, qu'il reste là. C'est lui qui a
12:11 fait tout ça. C'était un grand ami de Léo
12:13 Ferré, pour ceux qui, voilà. - On va regarder ça. - Et c'est un
12:15 grand artiste, bref. - On va en parler à Patrick Roger et à la
12:17 rédaction. - Merci, c'est gentil. - Tout va bien. - Clémentine
12:19 Sellerier, ce soir, regardez
12:21 ce documentaire
12:23 sur... - C'est magnifique. - Voilà, Clémentine
12:25 Sellerier raconte Josephine Baker, elle
12:27 parle d'elle, c'est dans cette collection,
12:29 très très bonne idée,
12:31 de pouvoir reciter les réalisateurs Marge Garden
12:33 et Stéphane Mumka.
12:35 On a vraiment beaucoup aimé, et puis sur scène,
12:37 pour ceux qui sont à Paris, au théâtre du Petit Saint-Martin,
12:39 à partir du 9 mars, pour une vie
12:41 de guide mot passant, d'après
12:43 guide mot passant. Merci Clémentine d'avoir
12:45 été avec nous ce matin. - Merci à vous. - On se retrouve
12:47 demain, bonne journée, avec Jean-Jacques Bourdin

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