En août 2010, des pluies torrentielles s’abattent sur le Pakistan… En quelques jours, elles font des dégâts considérables, aussi bien humains que matériels. Médecins sans frontières est intervenue rapidement sur le terrain pour prendre en charge les victimes des inondations.
Au total, le personnel MSF a donné plus de 80 000 consultations… Et plus d’un million huit cent mille litres d’eau ont été distribués chaque jour.
Quatre mois plus tard, les activités de Médecins sans Frontières en lien avec les inondations, continuent dans le sud du pays. Dans d’autres régions, MSF poursuit les programmes mis en place avant la catastrophe... C’est le cas du le projet médical et chirurgical qui fonctionne depuis mai dernier à l’hôpital d’Hangu. Ces trois derniers mois, 5 600 patients ont été admis dans la salle d’urgences.
Hangu est située dans une région instable du pays : affrontements entre acteurs armés, fortes tensions entre groupes religieux… Assurer la sécurité des patients et du personnel médical est donc un défi majeur pour les équipes. Pour cela, MSF a obtenu que les armes soient bannies de l’enceinte de l’hôpital.
Un tiers des patients sont admis avec des traumatismes. Coups de poignards, blessures par balles… Mais aussi, des accidents domestiques ou de la route.
Médecins sans frontières a aussi prévu d’ouvrir un centre de soins gyneco-obstétrique en mars 2011 à Peshawar.
Au total, le personnel MSF a donné plus de 80 000 consultations… Et plus d’un million huit cent mille litres d’eau ont été distribués chaque jour.
Quatre mois plus tard, les activités de Médecins sans Frontières en lien avec les inondations, continuent dans le sud du pays. Dans d’autres régions, MSF poursuit les programmes mis en place avant la catastrophe... C’est le cas du le projet médical et chirurgical qui fonctionne depuis mai dernier à l’hôpital d’Hangu. Ces trois derniers mois, 5 600 patients ont été admis dans la salle d’urgences.
Hangu est située dans une région instable du pays : affrontements entre acteurs armés, fortes tensions entre groupes religieux… Assurer la sécurité des patients et du personnel médical est donc un défi majeur pour les équipes. Pour cela, MSF a obtenu que les armes soient bannies de l’enceinte de l’hôpital.
Un tiers des patients sont admis avec des traumatismes. Coups de poignards, blessures par balles… Mais aussi, des accidents domestiques ou de la route.
Médecins sans frontières a aussi prévu d’ouvrir un centre de soins gyneco-obstétrique en mars 2011 à Peshawar.
Category
🗞
News