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00:0039-21.
00:02Bon, ça fait du bien de sourire un peu parce que l'actualité, elle est lourde.
00:05Et puis, il y a ce témoignage, témoignage de Pierre Noisa.
00:09Alors, personne ne le connaissait ce matin.
00:11Il est fondateur de Payneum, qui est une plateforme d'échange en bitcoin.
00:15Et alors, pourquoi il a témoigné ce matin ?
00:18Parce que sa fille et tout le monde, et je pense aux auditeurs d'Europe 1,
00:21vous avez tous découvert cette image sidérante cette semaine,
00:25en plein après-midi, en plein cœur de Paris.
00:28Sa fille a été victime d'une tentative d'enlèvement.
00:31Écoutez-le, parce que c'est un témoignage courageux.
00:34C'est un homme qui est en colère.
00:36Et c'est un témoignage qu'on a tellement entendu ces dernières années.
00:39Et il pointe la responsabilité, évidemment, des autorités.
00:43Bien sûr, puisque je pense que cette violence dont elle a été victime,
00:46elle est quotidienne pour plein de gens en France aujourd'hui.
00:49J'en suis persuadé.
00:50Il y a une forme de terreur, d'ailleurs, qui est instaurée par les narcotrafiquants.
00:55Et donc, on parle parfois de narco-État.
00:58J'ai un collègue qui a parlé de mexicanisation de la France.
01:00Je pense qu'on est en plein dedans.
01:02Et je pense qu'en 2027, les Français doivent réfléchir pour qui ils vont voter.
01:06Parce que si c'est pour quelqu'un du genre du président que nous avons actuellement,
01:11rien ne se passera.
01:12Et donc, ce processus va se poursuivre.
01:14C'est une mexicanisation.
01:15C'est un épisode d'une mexicanisation.
01:17Mais bien sûr, il y a plein d'exemples de pays qui sont partis en vrille.
01:21La prospérité, ça se construit sur des centaines d'années.
01:24Elle se perd, par contre, en quelques dizaines d'années.
01:27Et là, on est en train de la perdre.
01:28Il y a tout dans ce témoignage.
01:32Alors, on va se poser la question avec les auditeurs d'Europe 1, bien évidemment.
01:3501, 80, 20, 39, 21.
01:37Dans un instant, on sera avec David.
01:40Mais Olivier d'Artigolle, vous imaginez quand même ce père de famille,
01:45cette maman d'un enfant de 2 ans qui se retrouve en plein Paris cette semaine
01:51avec cette tentative de kidnapping.
01:53On aurait pu voir ça en Amérique du Sud.
01:56On le vit en plein cœur de Paris.
01:58Et ceux qui avaient le malheur d'alerter ces dernières années,
02:01c'était extrême droitisation.
02:03C'est le fantasme de l'insécurité.
02:05On a plus parlé de sentiments d'insécurité ces dernières années
02:08de savoir si c'était du réel ou non.
02:10Résultat, voilà ce qui se passe.
02:11Alors, la vidéo de cette tentative de kidnapping est sidérante.
02:15En effet, elle est glaçante.
02:17En plein Paris, en pleine journée.
02:19Donc, avec un nouveau phénomène concernant la crypto-monnaie.
02:25C'est-à-dire les personnes, ces malfrats jugeant qu'il y a là
02:29beaucoup d'argent à se faire.
02:32Donc, bien évidemment, je crois qu'il y a eu une réunion à Beauvau aujourd'hui
02:35où les responsables, les personnes qui ont cette activité de crypto-monnaie
02:41ont eu un échange avec le ministère de l'Intérieur pour leur protection.
02:45Nous en sommes là.
02:45Donc, en effet, ça pose la question d'une nouvelle forme de criminalité.
02:52Personnellement, je n'évoque pas la mexicanisation de l'ensemble de la société française.
02:56Il dit en voie de mexicanisation.
02:58Il dit on est en voie de mexicanisation.
02:59Il y a des individus, des filières, des bandes
03:03qui, elles, agissent comme des gangs dans les pays auxquels on peut faire référence.
03:08Mais je ne vois pas une mexicanisation généralisée de notre société.
03:12C'est pour ça qu'il est très prudent, il dit on est en voie de mexicanisation.
03:17Mais je vais vous dire, au-delà des mots, c'est les faits.
03:19C'est rien que les faits, Gauthier.
03:21Quotidiennement, on se retrouve avec des scènes affolantes en France
03:23parce que peut-être que depuis des années, on a voulu mettre la poussière sous le tapis.
03:27Et j'ai hâte d'avoir les auditeurs qui vont dire, Olivier D'Artigol, j'imagine,
03:30écoutez, on arrête avec le lexique, on regarde le réel, on regarde les faits,
03:35et on se retrouve avec une situation où plus personne n'est en sécurité
03:38alors qu'en plus, là, on est en plein cœur de la capitale
03:40qui est normalement une zone privilégiée, disons-le, Valérie.
03:44Et cette jeune femme peut dire merci à un commerçant qui courageusement est sorti
03:47et a pris ce qui lui est tombé sous la main, en l'occurrence un extincteur,
03:50pour essayer de faire fuir ces garçons
03:53qui étaient heureusement, là aussi, des bras cassés, des pieds nickelés.
03:58Et on peut s'en féliciter, mais les images sont absolument glaçantes
04:01et ça veut dire aussi qu'ils ne s'interdisent rien
04:03à la fois d'attaquer une femme, à la fois d'attaquer une femme avec un enfant
04:07et donc qu'il n'y a même plus de limites, y compris là.
04:12Europol, vous savez, c'est la grande agence européenne qui lutte contre la criminalité.
04:16Ils sont en train de préparer un dossier où ils alertent
04:19en expliquant que désormais, ils ont listé des tueurs à gage
04:23qui ont entre 12 et 13 ans.
04:24Voilà où on en est, en Europe et en France, Gautier.
04:28Et ce que je retiens du témoignage de ce monsieur
04:30qui a donc failli voir sa fille disparaître et être enlevée,
04:35c'est qu'il dit avec le président actuel, rien ne changera.
04:38Oui, si vous avez raison.
04:39Il dit, c'est une phrase très importante,
04:40avec le président actuel, rien ne changera.
04:41Donc il a dû regarder peut-être comme beaucoup
04:43les 3h30 ou une partie de l'intervention cette semaine du président de la République
04:48où on a tous compris, effectivement, que rien ne changerait
04:51et qu'Emmanuel Macron faisait aveu d'échec sur aveu d'échec.
04:55Sur les OQTF, je suis d'accord pour qu'on les réalise.
04:59Oui, vous avez promis 100%, on n'est pas à 10%.
05:01Et sur la sécurité, je me suis toujours battu pour remettre la sécurité partout
05:05alors que son ministre de la Justice nous a dit, il y a 10 jours,
05:08qu'elle était nulle part en disant qu'il n'y avait plus un endroit en France.
05:12Donc c'est intéressant d'avoir des témoignages comme ceux-là
05:15parce que quand c'est des observateurs à qui on n'essaye pas d'enlever une fille,
05:20on peut effectivement les taxer de tous les noms.
05:23Je pense à Laurent O'Barton, par exemple.
05:24Oui, et sur le terme mexicanisation, vous disiez tout à l'heure,
05:27j'ai échangé hier avec celui qui va peut-être être le futur président roumain.
05:31Alors lui, ce qui m'a frappé, c'est qu'il ne parle pas de mexicanisation en Roumanie.
05:35Il a peur que son pays ressemble à la France.
05:37Il parle de francisation de la Roumanie.
05:39Parce qu'il a peur que la Roumanie connaisse l'insécurité qu'on peut avoir en France.
05:44Et donc il y a une grande défiance des pays de l'Est vers les pays d'Europe centrale.
05:49C'est-à-dire que la Hongrie, Victor Orban, même chose,
05:52vous allez à Budapest, vous allez voir ce que c'est qu'une ville sûre.
05:54Vous allez à Varsovie, en Pologne, le précédent premier ministre polonais
05:58qui était aussi ultra critique vis-à-vis des pays européens.
06:02Orban n'est pas quand même un grand démocrate, on peut quand même le dire.
06:04Il a été réélu.
06:05Il a été réélu.
06:06On peut très bien le critiquer sur sa gestion de l'opposition en Hongrie.
06:10Je n'ai aucun problème.
06:11Je te parle simplement de la sécurité.
06:14Et c'est vrai que je me sens plus sûr à Budapest
06:16pour y être allé plusieurs fois ou à Varsovie,
06:18pour y être allé aussi qu'à Paris.
06:20C'est aussi simple que ça.
06:21Et quand vous parlez des Français qui sont déçus du président de la République,
06:24du moins de son bilan,
06:25Figaro ce matin a publié ce sondage.
06:2871% des Français qui se disent déçus du bilan d'Emmanuel Macron.
06:31Et je pense que la sécurité, qui est une des priorités,
06:34évidemment ça entre en compte.
06:36On est en direct avec Yann,
06:37parce que la priorité évidemment c'est d'avoir le témoignage
06:40des auditeurs d'Europe 1, 01, 80, 20, 39, 21.
06:44Bonjour Yann.
06:46Bonjour les gars, ça va tout le monde ?
06:47Oh, il y a un bel accent là.
06:51Oui, mais merde.
06:52Comment allez-vous Yann ?
06:54Bien et vous ?
06:55Écoutez, en pleine forme, je suis ravi de pouvoir échanger avec vous.
06:57J'imagine que vous avez entendu le témoignage de ce père de famille en colère,
07:03très en colère ce matin,
07:04mais c'était une colère froide avec...
07:06Il pointait la responsabilité aussi des autorités en disant
07:09voilà, on est en voie de mexicanisation.
07:12Mais de toute façon, oui, bien sûr.
07:15Bien sûr.
07:15Le président nous a vendu son bilan qui est selon lui,
07:21et uniquement lui, merveilleux.
07:22La sécurité, on nous a dit, c'est un sentiment,
07:27et à partir du moment où on pointait du doigt
07:29le fait qu'en France, on n'était plus en sécurité,
07:34eh bien, on était des fascistes.
07:38Et à la fin,
07:40on se rend compte que maintenant, une personne,
07:42là, c'était la fille,
07:45alors, d'un monsieur qui fait du bitcoin,
07:48mais bientôt, ça sera le premier qui aura une belle voiture.
07:51Oui, c'est-à-dire la fuite en avant,
07:54c'est ça que vous voulez dire.
07:56Effectivement, là, on était avec la fille d'un ponte
07:59dans la crypto-monnaie.
08:03Effectivement, la victime était accompagnée
08:04de son enfant de deux ans.
08:06Les agresseurs dont l'un a, semble-t-il,
08:08perdu une arme de poing,
08:09dont on ne sait si elle est réelle ou factice.
08:12Ils ont fini par prendre la fuite en catastrophe.
08:15Franchement, c'est affolant.
08:16Et je trouvais...
08:17Pourquoi j'ai voulu qu'on commence par son témoignage ?
08:20Parce que je trouvais, et dites-moi si je me trompe, Yann,
08:23mais qu'à travers le témoignage de cet homme très courageux,
08:26qui prend la parole, Pierre Noisa, ce matin,
08:29il y avait tous les mots de notre société
08:31à travers les questions de sécurité.
08:33Oui, mais de toute façon, au niveau sécurité,
08:38tout le monde dit qu'il y a un problème,
08:40sauf celui qui doit prendre les décisions pour la sécurité.
08:45Ça peut s'entendre, ce que vous dites.
08:46Olivier d'Artigol...
08:47Tout le monde dit qu'il y a un problème,
08:50on n'est plus sécure,
08:51on va à Paris, on n'est plus sécure,
08:52on prend le métro, on n'est plus sécure,
08:54on est une fille, on n'est plus sécure.
08:56Vous avez des enfants, Yann ?
08:58Alors oui, moi j'ai un garçon.
09:00Et vous craignez pour ça ?
09:01Il a quel âge, votre garçon ?
09:03Là, il a 16 ans.
09:04Bon, ça va, lui...
09:06Enfin, dans les Pyrénées-Orientales,
09:10on est...
09:11Comment dire ?
09:11Je ne dis pas que c'est sécure partout,
09:13mais bon, c'est relativement calme.
09:16Je vous arrête un instant, Yann,
09:18parce que regardez Crépaule.
09:20Crépaule.
09:21Oui, non mais...
09:22Oui, mais ça peut arriver.
09:23Attendez, je ne souhaite pas de meurre,
09:24bien évidemment, Yann,
09:26et on espère que ça va rester comme ça partout,
09:29ou du moins qu'il y ait encore quelques zones privilégiées en France.
09:33Mais la sensation qu'on a,
09:34parce qu'on en parle régulièrement,
09:35c'est qu'il n'y a plus de safe place.
09:37C'était le mot de Gérald Darmanin.
09:39Il n'y a plus d'endroit sécure en France.
09:41Ah non, le seul...
09:42Ah non, non, non.
09:43De toute façon, c'est...
09:45Il n'y a que le président qui trouve qu'il n'y a pas de problème.
09:49Oui, ce qui vous choque, c'est le déni du président.
09:51Ah mais moi, c'est le déni.
09:53Et en plus, il nous a avoué, à la télévision,
09:58qu'il ne pouvait rien faire.
10:00Et que, même s'il le pouvait, il ne le ferait pas.
10:04Bon, bah écoutez, effectivement,
10:06on va voir un peu ce qui peut se passer
10:10dans les prochains jours sur la sécurisation.
10:13C'est très étrange, ce qui s'est passé cet après-midi.
10:15Vous pouvez nous en dire plus, ou pas, Gauthier Lebrecht,
10:17sur cette grande réunion Place Beauvau ?
10:20Ah ben, les...
10:20Alors, ils ont été reçus par Bruno Rotaillot,
10:22mais j'ai entendu les acteurs de la crypto-monnaie,
10:24ils étaient plutôt satisfaits de leur rencontre
10:26avec Bruno Rotaillot,
10:27qui a un simple but,
10:29mieux les sécuriser, les encadrer, les protéger.
10:33Et donc, il y a plusieurs points
10:34qui ont été dealés, entendus,
10:37présentés par le ministre de l'Intérieur, Place Beauvau.
10:39Mais les acteurs de la crypto-monnaie
10:41sont plutôt ressortis satisfaits
10:43de leur échange avec Bruno Rotaillot.
10:44Mais ils sont souvent satisfaits des échanges,
10:46que ce soit avec Bruno Rotaillot,
10:47lorsqu'il est à Place Beauvau,
10:49ou Gérald Darmanin, à l'époque,
10:50lorsqu'il était le premier flic de France.
10:53Après, il faut savoir si, en haut,
10:55à la tête du gouvernement,
10:56vous avez le même discours.
10:57Je prends l'exemple...
10:58Là, c'est leur sécurité propre.
10:59J'entends, mais je prends l'exemple.
11:00Ce n'est pas la sécurité dans son global.
11:02Dans son global.
11:03Prenons l'exemple des rodéos sauvages.
11:05Ce week-end,
11:06vous avez un premier ministre de l'Intérieur
11:08qui vous dit
11:09qu'on est dans une société
11:11qui fabrique des barbares.
11:12Quelques heures plus tôt,
11:13vous aviez le premier ministre
11:14qui vous expliquait que les rodéos sauvages,
11:16c'était une malédiction.
11:17Donc, on peut aussi s'inquiéter
11:20de savoir s'ils sont tous sur la même ligne
11:23et s'ils ont envie de provoquer
11:25cette fameuse malédiction.
11:27Une malédiction, ça vous tombe sur la tête,
11:29vous ne pouvez rien y faire,
11:30Gauthier Lebret.
11:31Ah, ben si,
11:32vous fabriquez des barbares,
11:33vous considérez qu'aujourd'hui,
11:35c'est une des priorités, bien évidemment.
11:37Je ne suis pas sûr que François Béroux
11:39se dise qu'il ne faut rien faire,
11:41il faut laisser faire
11:42et il faut leur laisser
11:43aller d'une ville à l'autre
11:45sur une roue.
11:46Je ne sais pas du tout ce que je dis
11:48encore une fois,
11:48simplement, je constate
11:50que dans le discours,
11:51et en plus, François Béroux,
11:53vous le connaissez bien,
11:54Olivier D'Artigol,
11:54c'est un homme de lettres,
11:55il a le sens du mot,
11:57on l'a vu extrêmement ferme,
11:59clair, courageux
11:59lors de cette commission cette semaine.
12:01Et c'est vrai que ça a pu surprendre.
12:03Et c'est le même François Béroux
12:04qui est accusé
12:05d'avoir donné cette claque
12:07à ce jeune
12:08lors d'une campagne présidentielle.
12:10Non, mais c'est intéressant.
12:10Cette tape,
12:13en lui disant
12:14tu ne me fais pas les poches,
12:16des parlementaires
12:18lui ont reproché
12:19cette violence faite
12:21à un enfant.
12:24Je pense en effet
12:25qu'il faut éviter
12:27de taper un enfant
12:30que c'est inadmissible
12:31et qu'il faut se mettre
12:32à sa hauteur,
12:32lui parler,
12:33bien évidemment.
12:35Reste que ces mêmes députés
12:37sont beaucoup moins allants,
12:39sont beaucoup moins rapides
12:41pour dénoncer
12:42des violences
12:44qui elles
12:45minent
12:46totalement notre société.
12:47Je vous rappelle
12:47qu'Éric Coquerel
12:49a contextualisé
12:51les rodéos
12:52en disant
12:52que Tom Cruise
12:53faisait des roues arrières
12:55dans Paris.
12:56Donc enfin,
12:57à partir d'un argument
12:58comme ça,
12:59moi les bras m'en tombent.
13:00C'est Mission Impossible
13:01qui est derrière
13:02les rodéos urbains.
13:03Bien sûr.
13:03Puis les enlèvements,
13:04je ne sais pas ce qu'il va nous dire
13:05si c'était qu'un avec
13:06l'Amnison ou...
13:07Vous y allez d'ailleurs
13:08ce week-end, Gauthier.
13:09voir l'avant-première.
13:10Oui, je vais voir
13:11le dernier Mission Impossible.
13:12Oui, absolument.
13:13Qui a été présenté
13:13à Cannes il y a deux jours.
13:14Vous avez été invité ?
13:15Non, j'ai été invité.
13:17Vous avez le bras long.
13:18Il connaît du monde.
13:19Je ne suis pas invité.
13:20Vous êtes vraiment une star.
13:21Depuis que vous avez
13:21d'ailleurs interrogé
13:22le président.
13:23Oui, c'est vraiment
13:23depuis le président.
13:25Il y a eu un changement
13:27dans ma carrière
13:28depuis hier.
13:29Je ne sais pas
13:29qu'il y a quelque chose.
13:31Il y a un truc
13:31qui s'est passé hier soir.
13:32Bercoff était le premier
13:33journaliste
13:34à interviewer Trump.
13:36Donald Trump.
13:36Gauthier sera donc
13:37le premier journaliste
13:39à avoir interviewé
13:40en France peut-être
13:41le futur président romain.
13:43Futur président romain,
13:44il n'est pas encore élu,
13:46qui ne veut plus
13:48aucune aide à l'Ukraine
13:49et qui présente
13:50véritablement Trump
13:52comme l'exemple à suivre.
13:54Allez,
13:54on se retrouve dans un instant
13:55les amis
13:56et voilà ce qu'on pouvait dire
13:57sur le témoignage du jour
13:58quand même
13:59après cette tentative
14:01de kidnapping,
14:03d'enlèvement.
14:04On revient dans un instant,
14:05on va parler de l'Eurovision.
14:06Vous êtes très nombreux
14:07au standard Europe 1
14:08pour réagir sur l'Eurovision.
14:10C'est demain,
14:1101,
14:1180,
14:1220,
14:1239,
14:1221.
14:13Il y a déjà des polémiques,
14:14des tensions.
14:15Est-ce qu'il faut s'inquiéter
14:17parce que par exemple,
14:18l'artiste israélienne
14:20pose problème pour certains.
14:21Ce n'est pas qu'une artiste,
14:22c'est une rescapée
14:23du 7 octobre.
14:24Elle a vécu dans sa chair
14:25le 7 octobre.
14:26Elle vient proposer
14:27une chanson absolument merveilleuse
14:28et certains voudraient
14:29la faire taire.
14:30Quelle tristesse.