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Philippe Bilger, ancien juge d'instruction, s’explique sur l’engouement autour de l’élection du nouveau souverain pontife après la mort du pape François : «Il n’y aurait pas eu une telle dérive médiatique si c’était le pape Benoît XVI».

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Transcription
00:00– Non, non, mais je veux dire parce qu'il avait à la fois une manière profane
00:06et très sacrée d'exercer sa mission.
00:09Je pense qu'un autre pape, imaginons, c'est absurde,
00:14on aurait eu Benoît XVI aujourd'hui mort,
00:17ça n'aurait pas entraîné une telle dérive médiatique.
00:23– Alors franchement…
00:24– Si, si, parce que ce pape François était très exceptionnel.
00:28– Mais pardonnez-moi, à chaque fois qu'un pape meurt…
00:31– Ça n'est pas à ce point-là.
00:32– Mais parce qu'il n'y avait peut-être pas à l'époque la même couverture…
00:36– Richard Miel a très bien dit « je m'abrite derrière sa pensée ».
00:39– Mais je ne pense pas, je pense que la mort de Jean-Paul II était un événement considérable.
00:43– Je ne parle pas de la mort, je ne parle pas de ce qui suit.
00:47– Paul M. 163, ça a été suivi.
00:47– Vous l'avez très bien dit, on n'a jamais connu une telle curiosité médiatique
00:53pour les péripéties qui suivent la mort du pape.
00:57– Ah bon ?
00:57– Absolument.
00:59– Je pense que simplement aujourd'hui, il y a plus de médias, il y a plus de chaînes infos…
01:03– Il y a une curiosité qui est…
01:05– Sous-titrage Société Radio-Canada

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