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  • 05/05/2025
La semaine de Naïm

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Personnes
Transcription
00:00...
00:00Allez, on y va ! L'allocution de Macron !
00:17Hein ? La justesse d'un acteur porno
00:19et le charisme d'un dessous de plat.
00:25Alors, l'Elysée, ils ont dit, non, le président n'a pas cherché à faire peur aux Français.
00:30Ah bon ? La Russie nous menace.
00:33On n'est pas prêts.
00:35N'ayez pas peur.
00:38Vous savez qui s'en rappelle ? Vous voyez le film de Roberto Benigni, La vie est belle.
00:42Magnifique film, je vous le conseille.
00:44Alors, il est dans un camp de concentration et en fait, il invente un jeu pour pas que son fils s'en rende compte
00:48et pour pas qu'il ait peur.
00:50Super idée.
00:51Et ben Macron, c'est l'inverse.
00:55Tu vois ?
00:56C'est-à-dire, s'il avait des gosses, je sais, parle pas de malheur, mais imaginons.
01:00S'il avait des gosses, il leur ferait, hey !
01:10Il les réveillerait en pleine nuit, hey !
01:12Je crois qu'il y a des voleurs dans le jardin.
01:16Et je crois que j'ai laissé la porte ouverte.
01:18Et en revanche, je suis sûr, je sais pas me battre.
01:20Bonne nuit !
01:22Alors, cette allocution de Macron, je vais vous la traduire, parce que moi, j'ai la chance d'aller à la maison,
01:29j'ai un dictionnaire français-mytho, mytho-français.
01:32Nous rentrons dans une nouvelle ère, la menace russe est là.
01:40Je vais utiliser la guerre pour qu'enfin on reparle de moi.
01:45Et si ça suffit pas, sur la vie de ma mère, je dirais que Brigitte a la Hunsgeg.
01:49J'en ai rien à foutre, faut que je buzz.
01:52La Russie fait des attaques numériques pour bloquer nos hôpitaux.
02:02J'ai fermé 15 000 lits, mais je veux mettre ça sur le dos de Dimitri.
02:14Nous allons financer l'armement sans augmenter les impôts.
02:18Vous allez bosser jusqu'à 88 ans.
02:22La Russie diffuse des mensonges sur les réseaux sociaux pour manipuler l'opinion.
02:27La Russie me copie !
02:30Je vais porter plainte !
02:36Et enfin, la patrie a besoin de vous.
02:42Donnez-moi l'argent !
02:45Comment faut-vous le dire ?
02:47Moi, dans cette histoire, moi, ce qui me fait peur,
02:49moi, c'est pas que Macron dise que c'est la guerre.
02:51Moi, ce qui me fait peur, c'est que si c'est la guerre,
02:54le chef de guerre, c'est lui !
02:56C'est ça qui est flippant.
02:58Il ne connaît rien à la guerre.
03:00Tu sais qu'il a même feinté son service militaire.
03:03Les seuls chars qu'il a vus, c'est ceux de la Gay Pride.
03:05C'est tout.
03:06Poutine, il était au cas j'aimais.
03:18Macron, il est sur TikTok, si tu le cherches.
03:21Et même aux Etats-Unis.
03:22Le numéro 2 des Etats-Unis, c'est un ancien des Marines.
03:25Le numéro 2 de France, c'est Droupi.
03:27Et d'ailleurs, Macron, il a chargé Bayrou de trouver le financement pour la guerre.
03:34Parce que c'est urgent.
03:39Et ça, c'est vraiment la preuve qu'il n'y a pas de menace russe.
03:43Parce que quand ta vie est vraiment menacée,
03:45tu n'appelles pas Bayrou.
03:47Non, tu n'appelles jamais Bayrou.
03:49Si tu fais appel à Bayrou,
03:54si tu as un pédophile dans le coffre
03:55et tu ne sais pas où planquer.
03:57Là, tu appelles Bayrou.
03:58Allô, Bayrou.
04:04Vous avez vu, les Etats-Unis et l'Ukraine,
04:05ils étaient en Arabie Saoudite pour parler du cessez-le-feu.
04:08Ils ont envoyé ça en Russie.
04:09Poutine a dit peut-être qu'on va le faire,
04:11ça dépend des conditions, on ne sait pas trop.
04:12Mais en tout cas, ça avance dans le bon sens, j'ai l'impression.
04:15Et du coup, Macron, il a tweeté
04:16« Je me félicite de ces discussions pour la paix. »
04:20Hein ?
04:21Tu te félicites parce que tu y étais ?
04:24Non ?
04:24Alors ferme ta gueule, non, plutôt ?
04:26Au lieu de te féliciter.
04:31Je me félicite des discussions en Arabie Saoudite.
04:35Ils ne t'ont même pas appelé pour aller servir le thé et les macroutes.
04:37De quoi tu te félicites ?
04:38Mais c'est fou d'être aussi ridicule que ça.
04:42C'est comme si moi, imagine, je vais voir le spectacle d'un collègue.
04:44Mais à la fin, les gens, ils applaudissent et moi, je me lève.
04:46Merci ! Merci !
04:48Je me félicite du spectacle.
04:50Merci !
04:51Je te félicite.
04:54Alors qu'on sait tous qu'il est en train de chialer sa race.
04:57Avec Brigitte.
04:58Brigitte !
04:59Ils ne sont pas gentils.
05:03Je suis allé voir Poutine.
05:04Je lui ai dit de faire la paix.
05:05Il a fait trois ans de guerre.
05:07Et le jour où je dis que c'est la guerre,
05:08ils font la paix, ces bâtards.
05:10Brigitte, on va être obligés de le dire.
05:25Alors vous avez vu, le gouvernement,
05:26il se sent encore loupé sur le budget.
05:29Ils ont fait un petit trou.
05:30Ils ont dit non, c'est un petit écart.
05:32Un petit écart de 20 milliards.
05:33Quand même, il n'y a pas eu un écart comme ça depuis Moïse.
05:36Donc ça fait quand même un...
05:38On est pas mal.
05:39Je me suis dit, mais comment ils peuvent se trouer comme ça ?
05:41Je ne comprends pas.
05:42Qui fait le calcul ?
05:42C'est Bruno Le Maire.
05:43Ah ben je comprends alors.
05:45On aurait pu s'attendre à pire même.
05:47Vous savez, Bruno Le Maire, il veut se présenter pour 2027 là.
05:50Ah ben oui, ils l'ont dit les tontons flingueurs.
05:52Les cons, ça ose tout.
05:56La phrase c'est les cons, ça ose tout.
05:57C'est même à ça qu'on les reconnaît.
05:59Et c'est vrai que Bruno Le Maire,
06:00qu'est-ce qu'on le reconnaît ?
06:01Ah il n'y a pas un jour où je ne le reconnais pas Bruno.
06:04Je te le dis.
06:05Non, Le Maire, 2027, je pense qu'on est tranquille.
06:07Vu comment il est fort en calcul,
06:08il va se présenter en 2029.
06:09Il va dire, attends, attends, comment...
06:12Je ne sais plus du tout.
06:14Un trou de 20 milliards.
06:21Et il est où ?
06:22Il est où ?
06:22Il est où ?
06:24Il est où le Mozart de la finance ?
06:26Il est où Macron ?
06:28Il est sur son petit piano.
06:29Tut, tut, tut, tut, tut.
06:31Bruno, il est désaccordé le budget là.
06:34Tut, tut.
06:35Le Mozart de la finance.
06:36Le Francis Lalanne de la compta.
06:38Et du coup, là, les agences de notation,
06:45on va manger.
06:46Parce que vous savez, les pays,
06:47on est noté comme des élèves en fait.
06:49Et là, la France,
06:50on va passer en sec part à mon avis.
06:51Dans pas longtemps.
06:53Ah c'est comme ça, l'humanité.
06:54Ça tourne.
06:55Regarde les Grecs.
06:56L'immense civilisation que c'était.
06:59Maintenant, c'est un sandwich qui donne le diabète.
07:00C'est chaud.
07:01Ça descendait.
07:02Et nous, c'est pareil.
07:05On passe de Général de Gaulle à Macron.
07:07De Macron à Bruno Le Maire.
07:08Bruno Le Maire à Bruno Le Maire.
07:10Je pense qu'on est au plus bas.
07:12À moins du retour de Manuel Valls,
07:14mais je pense qu'on ne pourra pas descendre plus bas.
07:16Enfin bref.
07:17Bon, là, avec la tournée,
07:18je passe ma vie dans les gares.
07:19Alors les gares, vous savez,
07:20l'autre pays de l'arnaque.
07:22Les gares.
07:23Là, j'ai pris un sandwich sur des baux.
07:26C'est le sandwich, tu l'ouvres.
07:27Tu dis, peut-être que je vais manger l'emballage.
07:28Ça a l'air meilleur.
07:30J'arrive à la caisse.
07:31Je lui demande un sac.
07:33Elle me dit, c'est 15 centimes.
07:34Je lui dis, ah bon,
07:34c'est pas compris dans les 18 euros du saut des baux.
07:38Elle me dit, non, c'est pour la planète.
07:39Je lui dis, c'est pour la planète.
07:40Non, c'est pour me gratter 15 centimes.
07:41Qu'est-ce que tu parles de la planète ?
07:43C'est pas pour la planète.
07:44Tu l'as fait, le sac.
07:44Il est fait.
07:45Il est là.
07:45Ça y est, c'est mort.
07:46Il est déjà là.
07:47La seule différence, c'est que les tortues,
07:48elles vont s'étouffer avec un sac payant.
07:49C'est tout ce qui va se passer.
07:51Elles sont bourgeois un peu, les tortues, je trouve.
07:53Tu veux sauver la planète ?
07:56Mets-le à 200 balles, le sac.
07:57Là, d'accord.
07:5815 centimes, évidemment, je le prends.
07:59J'en prends deux même.
08:00J'en ai rien à foutre des tortues, je les aime pas.
08:02Elles m'énervent, les tortues.
08:02Ça me fait flipper.
08:03Je te jure, la tête, là.
08:04Ça me rappelle Isabelle Borne.
08:07Non, mais regarde.
08:10Moitié Peugeot 404, on l'avait dit,
08:12et moitié tortue.
08:15Alors, elle me dit, vous voulez le ticket de caisse ?
08:17Je dis, ben oui, je veux le ticket de caisse.
08:18Ça aussi, ça finit dans le cul des tortues ou quoi ?
08:20Bientôt, ils vont nous faire payer le ticket.
08:23Bientôt, ils vont nous faire payer l'argent.
08:25On va dire, donnez-moi un billet de 10, c'est 12 euros.
08:27Quoi ?
08:30Je vais aux toilettes.
08:30Un euro.
08:31Quoi ?
08:32On paye pour aller aux toilettes.
08:36Vous êtes même pas surpris, tellement c'est devenu normal.
08:40En plus, si tu vas au bout de la logique,
08:42il devrait y avoir un gris tarifaire.
08:47On devrait pas payer le même prix selon ce qui s'y passe.
08:50Si tu vas au bout du truc,
08:54pipi, un euro,
08:55popo, trois euros,
08:57popo après saut des baux,
08:5840 euros.
09:06Alors, tiens, en parlant de popo,
09:08l'assainissement de la Seine.
09:14Vous avez vu, ils ont dépensé un milliard
09:16pour qu'on puisse nager dedans.
09:18Et ça marchait.
09:19Ça marche à une condition.
09:20Attends, c'était quoi ?
09:21Si t'es un poisson.
09:22Ça marche si t'es un poisson.
09:24Ça va.
09:24Ah non.
09:25Si t'es un homo sapiens,
09:26reste dans le métro.
09:28Ah ouais, la ligne 13,
09:29c'est une thalasso à côté.
09:30Je te dis.
09:31Ah ouais.
09:32Là, les épreuves des JO,
09:33celui qui gagne,
09:34c'est pas le premier.
09:34C'est celui qui sort vivant de l'eau.
09:37On va être là,
09:37c'est les épreuves paralympiques.
09:38Non, non, c'est la Seine
09:39qui les a déglinguées, mon ami, là.
09:42Ah, ça fait plaisir.
09:43J'étais pas sûr, celle-là,
09:43mais vous allez rigoler,
09:44vous êtes bien des bâtards.
09:45On est ensemble.
09:46C'est cool.
09:52Le préfet de police,
09:54il a dit la Seine sera propre.
09:58Il a dit,
09:58sauf s'il y a un orage.
10:01Ouais.
10:02Le sandwich de Sodebo,
10:03c'est très bon.
10:04Sauf si vous le mangez.
10:05Là, c'est chaud, là.
10:07Ils ont dit,
10:07il y a encore des bactéries enlevées.
10:08Macron, il a dit de toute façon,
10:09je m'en fous.
10:09Moi, à la fin, promis,
10:10je me baigne.
10:11Ah ouais ?
10:12Laissez les bactéries
10:13un peu encore,
10:14un petit peu, là.
10:16Bon, on y va.
10:17Bon, ben, à Trump, hein.
10:19Alors, Macron, il a dit,
10:21je suis prêt à travailler
10:22avec Donald Trump.
10:23Ce à quoi Donald Trump
10:24a répondu, rien,
10:26parce qu'il en a rien à foutre,
10:28comme le monde entier, hein.
10:30Macron, c'est le François Bayrou
10:32de l'international, là.
10:33Tu vois ?
10:34Macron qui dit,
10:35je suis prêt à travailler
10:36avec Donald Trump,
10:37c'est ton clébard qui te dit,
10:38je suis prêt à aller chercher la balle
10:39si tu me lâches un tas.
10:45Allez, vous me lâchez pas,
10:46on s'accroche.
10:50Alors, voilà.
10:52Le jour de l'élection,
10:53Macron, il a tweeté,
10:54je viens d'échanger
10:55avec le chancelier Olaf Scholz,
10:57nous allons œuvrer
10:58pour une Europe plus unie,
11:00plus forte,
11:01plus souveraine,
11:02en coopérant avec les États-Unis.
11:06Je vais traduire.
11:08J'ai fait LV2 bullshit,
11:10donc je sais.
11:11Je viens d'échanger avec le chancelier.
11:16Ça, ça veut dire,
11:17j'ai eu son assistant,
11:18il me rappelle mi-février.
11:22Nous allons œuvrer.
11:24On va rien branler.
11:27Pour une Europe plus unie,
11:29plus forte,
11:30plus souveraine,
11:31on est à ça d'être le tiers monde.
11:32en coopérant avec les États-Unis,
11:37en léchant le cul
11:38du renard fluo.
11:48Alors, je sais pas si vous saviez,
11:49la semaine dernière,
11:50il y avait le sommet des BRICS
11:51en Russie.
11:52Alors les BRICS,
11:52si vous savez pas ce que c'est,
11:54c'est une sorte de contre-soirée.
11:57Et ils nous ont pas invités.
12:01En fait, c'est des pays
12:01qui se regroupent,
12:02ils sont en train de bosser
12:03sur une nouvelle monnaie
12:04pour sortir de l'hégémonie du dollar.
12:07Tu vois, c'est chaud.
12:08Et dans le même temps,
12:09Macron, il était où ?
12:11Il était au Maroc
12:12avec Ariel Dombal
12:13et Bernard Montiel.
12:17Bernard Montiel.
12:18C'est pas une visite d'État,
12:19c'est vidéo gag.
12:21Et Ariel Dombal,
12:23parce que c'était Halloween.
12:24C'est pour ça,
12:24ils se sont dit...
12:25Attends,
12:26attends, attends.
12:29Ouais, mais ça coûte cher,
12:30ça économise un masque.
12:31C'est déjà ça de prix.
12:33Parce qu'il y avait 120 invités.
12:35Tu vois,
12:35je voyais,
12:35il y avait même un zombie.
12:36C'est putain,
12:36qu'est-ce que c'est ?
12:37Ah non, c'est Jacqueline.
12:37Oh là là.
12:39Ouais, ouais.
12:39Je me disais,
12:40il n'y a pas de pédophiles
12:41chez les zombies,
12:41ça paraissait bizarre.
12:43On me lâche pas !
12:44Donc, d'autre côté,
12:49il y a les BRICS.
12:50Alors, les BRICS,
12:50c'est pour Brésil,
12:51Russie,
12:51Inde,
12:52Chine,
12:53Afrique du Sud.
12:54Et maintenant,
12:54il y a d'autres pays,
12:55ça représente des milliards de gens.
12:56De l'autre,
12:57il y a Trump,
12:58il va prendre l'Europe,
12:59il va en faire un steak tartare.
13:01Et nous,
13:02en France,
13:03on va finir avec Andorre
13:05et la Grèce.
13:07On va appeler ça
13:08la GAF.
13:08On va exporter des kebabs,
13:18des clopes pas chers
13:19et Philippe Catherine.
13:22Ça va durer à exporter,
13:23Philippe Catherine.
13:24Il va falloir bien
13:25un bon VRP.
13:26Ah ouais.
13:27L'autre jour,
13:27j'étais choqué.
13:28J'ai vu Philippe Catherine
13:28habillé.
13:29Ah, qu'est-ce que c'est que ça ?
13:31Ça va,
13:34il se fout à poil
13:35sur le service public
13:36avec son autre argent.
13:37Il se fout de sa gueule.
13:38C'est le seul retour
13:39sur l'investissement
13:39qu'on va avoir.
13:41D'accord ?
13:43Parce quoi,
13:47ma fille,
13:47elle m'avait dit
13:48« Papa, c'est qui
13:48le monsieur bleu tout nu ? »
13:49J'ai dit « C'est le je trouve pervers
13:51ma chérie qui joue aussi ça. »
13:53Attends,
13:54je n'allais pas lui dire
13:55que c'est de l'art.
13:55Elle n'est pas si débile
13:56que ça, ma fille.
14:00En parlant de débile,
14:02Sébastien Lecornu.
14:04Alors peut-être
14:05que vous ne connaissez pas
14:05qui c'est.
14:06Bon, vous vous rappelez
14:07Bruno Le Maire
14:08quand il était ministre
14:09de l'Agriculture
14:09et qu'on lui avait demandé
14:11« Ça fait combien un hectare ? »
14:12Et qu'il avait répondu
14:13« Mais,
14:14il a gagné
14:1612 kilos ! »
14:19« 12 kilos ! »
14:20Bon,
14:21eh bien,
14:22Sébastien Lecornu,
14:23c'était son conseiller.
14:24Donc ça vous donne une idée.
14:27Et maintenant,
14:29il est ministre
14:30des armées.
14:31Ouais,
14:32ministre des armées
14:33et des raquettes trouées.
14:34Voilà,
14:34c'est les deux.
14:36Et là,
14:36pour nous faire croire
14:37que depuis qu'il y a Trump,
14:39ça y est,
14:39l'Europe,
14:39ça va se bouger,
14:40ça va envoyer du lourd.
14:41Là,
14:41le lendemain,
14:42il a fait une réunion
14:43avec son homologue allemand.
14:46Ils appellent ça pas comme nous,
14:47ils appellent ça
14:47le ministre des armées
14:49« Aidez la raquette trouée ! »
14:50C'est un match
14:54de deux raquettes trouées.
14:55C'est les ramasseurs de balles
14:56qui touchent plus la balle
14:57que les...
14:58Toi ?
14:59Ils ont fait une réunion
14:59sur l'armée.
15:00Elle a duré 20 secondes,
15:01la réunion.
15:02T'as des munitions ?
15:03Non.
15:03Et toi ?
15:04Nine !
15:04Oh !
15:06Neuf !
15:06T'en as neuf !
15:07Non, nine,
15:07abruti !
15:08Putain !
15:09Bon,
15:17en parlant d'abruti,
15:18Einstein !
15:19Euh, non,
15:20Macron, pardon.
15:21Rien à voir.
15:22Vous avez vu, là,
15:23sa métaphore, là,
15:25sur un...
15:26Putain.
15:28Oh, non,
15:28mais j'en peux plus.
15:29Je n'en peux plus.
15:30Je n'en peux plus.
15:31Métaphore sur les herbivores
15:32et les carnivores.
15:34Les Américains,
15:35c'est les carnivores.
15:36L'Europe,
15:36on est des herbivores.
15:37Faudrait qu'on soit
15:38des omnivores.
15:39Mais coupez-le.
15:41Débranchez-le.
15:42Mais t'as pas compris
15:44qu'à cause de toi,
15:45on n'est même plus
15:46des herbivores.
15:46On est du tofu.
15:47Tockard.
15:56Non, mais j'en peux plus
15:57d'être dirigé par ces tockards.
15:58Tu sais que des fois,
15:59je vais à l'étranger,
16:00j'ai honte.
16:01Je te jure.
16:01French, yes, French.
16:02Oh, French, Macron.
16:03Non, non, ta gueule, ta gueule.
16:04Non, non.
16:05French,
16:05General de Gaulle,
16:06Versailles et Torix.
16:07Non, non.
16:08Macron,
16:09just for barrage.
16:10Just...
16:11Macron,
16:11parpa.
16:12Parpa,
16:12Bruno Le Maire,
16:14parpa.
16:14Pile de parpa
16:15pour fort barrage.
16:17Yes,
16:17because the French
16:18castor, you know.
16:20And the castor,
16:20effectivement,
16:21herbivore.
16:22Alors, vous avez vu,
16:25le gouvernement,
16:26ils ont dit,
16:26ça y est,
16:27on va simplifier la paperasse.
16:29Donc, c'est bon,
16:30ça va être pire.
16:31C'est bon.
16:33Ils ont dit,
16:33le premier truc,
16:34on va réduire les lignes
16:36sur la fiche de paye.
16:37Vous voyez,
16:37toutes les lignes
16:38qu'il y a de tout ce que tu dois,
16:40enfin,
16:40tout ce qu'il faut,
16:42tout ce qui te vole.
16:44Avant,
16:44ils te disaient,
16:45tiens, regarde bien,
16:46je te prends ça,
16:47ça,
16:47ça,
16:48ça,
16:48ça,
16:48ça,
16:49ça,
16:49ça,
16:49ça,
16:49reste encore,
16:50ça,
16:50ça,
16:51ça,
16:51ça,
16:51ça,
16:52ça,
16:52il y en a un peu plus,
16:53je vous le prends quand même.
16:54Ça,
16:54ça,
16:55ça,
16:55baisse la tête,
16:55ça fait un torticoli,
16:56mais t'inquiète.
16:57Ça,
16:57ça,
16:57ça,
16:58ça,
16:58maintenant,
16:59c'est,
16:59tiens,
17:00il y a un colibri,
17:00allez,
17:01et je tape.
17:02L'État,
17:05c'est ça.
17:09Maintenant,
17:09l'État,
17:10c'est un pickpocket,
17:11c'est dans le métro.
17:12Toi,
17:12t'es là,
17:13monsieur,
17:13mon portefeuille,
17:14mais non,
17:15c'est pas des Roumains,
17:15c'est Gabriel Attal,
17:16il est parti,
17:17il a,
17:18attrapez-le.
17:21Vous appelez ça
17:22la simplification
17:23de la fiche de paie.
17:25En marketing,
17:25on appelle ça
17:25la fiche de paie.
17:26C'est un peu plus précis.
17:30Ça correspond mieux
17:31à l'ambiance,
17:32tu vois.
17:33Et Gabriel Attal,
17:34il a annoncé,
17:35ils vont mettre en place
17:36une intelligence artificielle
17:37dans les services publics.
17:39Ça,
17:40il est en train
17:40de se mettre en place.
17:41Vous savez comment il l'a appelé ?
17:42Albert.
17:44Je pense que ça ne va pas
17:45être Albert Einstein.
17:47En plus,
17:48Albert,
17:48le roi du Pécombière.
17:52Il a dit,
17:53on voulait faire
17:53une intelligence artificielle
17:54à la française.
17:56Eh ben,
17:57on n'est pas dans la merde,
17:58je te le dis direct.
17:59Ah ouais,
17:59tu vas appeler mercredi,
18:01nous sommes mercredi,
18:02Albert est en week-end.
18:03Ah bon ?
18:04Attends,
18:06tu rappelles le lundi,
18:07Albert est en grève
18:08jusqu'au 22 mars.
18:12Tu rappelles,
18:13Albert est en garde à vue.
18:14Ah bon ?
18:16Pour harcèlement sexuel
18:17sur Alexa.
18:18Ah ouais ?
18:19Tu rappelles,
18:28Albert a été délocalisé.
18:31Je vous mets en relation
18:32avec l'intelligence artificielle
18:33Mahmoud.
18:36Et puis,
18:37encore des violences
18:38chez les jeunes,
18:38des crimes et tout.
18:40Macron,
18:40il a dit,
18:41c'est bon,
18:41on va faire un Grenelle.
18:43Vous voyez ce que c'est ?
18:44Non ?
18:45Non ?
18:45Non plus ?
18:45Pas en plus.
18:46Dès qu'ils ne savent pas,
18:47ils font des Grenelles.
18:48Le Grenelle,
18:49648ème Grenelle,
18:50le Grenelle,
18:51Grenelle l'écologie,
18:52le Grenelle,
18:52bientôt le Grenelle du Grenelle,
18:53le retour du Grenelle,
18:55le Grenelle contre-attaque.
18:59Dupont-Moretti,
19:00il a dit,
19:01ce n'est pas des crimes d'honneur,
19:03c'est des crimes d'horreur.
19:05Un,
19:05il se lance dans le slam,
19:06l'autre,
19:07après,
19:09grand corps malade,
19:10gros corps malaise.
19:12On n'a pas d'idées,
19:17on fait des Grenelles.
19:19Il y a sûrement mieux à faire,
19:20mais on est des grosses Brelles.
19:22Là,
19:25ils ont dit,
19:25bon,
19:25les élèves qui sont un peu perturbateurs,
19:28on va leur enlever des points aux examens.
19:30Ils n'ont pas compris
19:31que quand tu vas à l'école
19:32avec une calache,
19:34tu n'en as rien à foutre
19:35quand tu enlèves deux points
19:36à ton exposé
19:37sur un versin,
19:37j'étais en X.
19:40Au contraire,
19:41ça va même les énerver.
19:42Je te mets moins d'eux.
19:43Ah ouais ?
19:43Papa !
19:43Je te mets plus d'eux,
19:44moi.
19:44La violence chez les jeunes,
19:53comment on résoudre le truc ?
19:54Le problème,
19:55ce n'est pas les jeunes,
19:56ce n'est pas les gosses.
19:57Il faut remonter à la source.
19:59Il y a des parents,
20:00tu les vois,
20:01tu dis,
20:01waouh !
20:03Lui,
20:03c'est comme le chat,
20:04il faut stériliser.
20:05Ah ouais ?
20:07Ah ben toi,
20:08dans l'évolution de ta lignée,
20:09tu n'es pas une étape,
20:10tu es un terminus,
20:11mon ami.
20:13Et alors,
20:14quand je vois les grands-parents,
20:15je me dis,
20:16on aurait dû s'arrêter
20:16une station avant,
20:17je te dis.
20:20Non mais,
20:21il devrait y avoir des règles
20:22pour pouvoir faire des gosses
20:23ou pas, quoi.
20:24Tu vois ?
20:25Par exemple,
20:25si à 35 ans,
20:26tu commences tes phrases
20:27par « il y en a qui croivent »,
20:28interdit de gosse.
20:32Si tu as aimé Taxi 5,
20:34interdit de gosse.
20:37Si tu dis,
20:38et alors,
20:38alors,
20:38alors,
20:39il lui est arrivé quoi
20:40à Kenji Girac ?
20:41Interdit de gosse.
20:47Et enfin,
20:47si tu es la maman
20:48de Gabriel Attal,
20:50interdit de gosse.
20:53Bon,
20:53déjà,
20:54pardon,
20:54monsieur,
20:54dame,
20:55je ne sais pas si vous l'avez vu,
20:56peut-être ça se voit à la caméra,
20:57j'ai un bouton d'herpès,
20:58j'ai chopé ça,
21:00j'ai fait un pari
21:01avec des potes,
21:03j'ai perdu,
21:03et le gars,
21:04il fallait que j'embrasse
21:05une photo de Macron.
21:09C'est sûr,
21:10c'est ça,
21:11je suis sûr.
21:12Bon,
21:12il ne démissionne pas,
21:14s'accroche le Morbac,
21:16s'accroche.
21:18Alors,
21:18il y en a qui disent,
21:18non,
21:18mais s'il démissionne,
21:19le pays va être instable.
21:21Oui,
21:21peut-être,
21:22mais Macron qui démissionne,
21:23c'est comme quand tu tires la chasse.
21:26Ça ne sent pas encore bon,
21:28mais au moins,
21:28tu ne le vois plus.
21:29j'ai vu l'allocution,
21:38il faut vraiment que j'achète une télé 3D
21:40pour pouvoir lui mettre des tartes en virtuel,
21:42pour me détendre,
21:44ça y est,
21:44j'en peux plus,
21:45c'est viscéral.
21:46C'est sûr.
21:47Il a dit,
21:48la dissolution n'a pas été comprise.
21:53Mais si personne ne te comprend,
21:56c'est que c'est toi l'hiéroglyphe.
21:59Toi.
22:01C'est sûr.
22:02Ma fille, ma grande,
22:03elle est un peu comme ça.
22:04J'ai peur qu'elle tourne un peu,
22:05c'est un peu une macronnette, quoi.
22:07Parce que nous,
22:08nos deux filles,
22:09elles doivent faire un repas ensemble à la maison,
22:10par semaine,
22:11pour nous.
22:11Parce qu'avec ma femme,
22:13on trouve que c'est,
22:14on aime bien l'exploitation,
22:16des enfants.
22:20Et à chaque fois qu'on leur dit,
22:21bon, là, le soir,
22:22il n'était pas ouf, le plat.
22:23La grande, elle fait,
22:24ben, attends,
22:25c'est elle.
22:27Je ne vais pas assumer ses responsabilités,
22:28alors que ce n'est pas les miennes.
22:30Moi, j'ai tout fait nickel.
22:31J'ai mis une couche de pommes de terre,
22:32une couche de miel,
22:34une couche de moutarde,
22:35une couche de mayonnaise,
22:36une couche de chips.
22:40C'est de ma faute,
22:41c'est à la fois à la cuisson.
22:42Non.
22:44Bon, après,
22:45il a quand même dit des phrases,
22:46qu'il était important de les dire.
22:49Il a dit,
22:49c'est une époque nouvelle,
22:51où tous devront agir pour la France.
22:53Il faudra bâtir des compromis nouveaux.
22:55Parce que la planète avance.
22:58Parce que les défis sont nombreux.
23:00Parce que l'eau,
23:01ça mouille.
23:03Et plouf,
23:04la grenouille.
23:05Et il n'a pas donné le premier ministre.
23:14Non, parce que là,
23:14il y a Notre-Dame,
23:15donc il va essayer de gratter du buzz sur Jésus,
23:17toi, évidemment.
23:19Ça va être comme les JO.
23:20Notre-Dame,
23:21après, il va y avoir Notre-Dame paralympique.
23:22Il a quand même dit,
23:30je chargerai le premier ministre
23:32de former un gouvernement d'intérêt général.
23:35Donc ça veut bien dire
23:36que jusqu'ici,
23:37c'était d'intérêt personnel.
23:40Il s'est grillé tout seul.
23:42Quand je vous dis qu'il est nul,
23:44il est nul,
23:44ça parle de François Bayrou.
23:50Le cafard de la politique.
23:53Tu mets une bombe nucléaire,
23:55il est toujours là.
23:59François Bayrou
24:00pour réparer la France.
24:02On a les quatre noeuds crevés.
24:04T'inquiète,
24:04j'ai du lave-glace.
24:11Vous avez entendu ça,
24:12Brigitte, elle a dit
24:13les Français ne méritent pas
24:14mon mari.
24:16Non,
24:18non, mais vous l'avez mal compris.
24:19Moi, je pense qu'elle disait ça
24:20comme quand tu dis
24:21« il méritait pas son cancer ».
24:23Tu vois,
24:24il fumait pas,
24:25il buvait pas,
24:25il méritait.
24:26Bon, je compare Macron à un cancer
24:27alors qu'un cancer,
24:29ça peut se soigner.
24:30Pardon.
24:31On en est où maintenant ?
24:32Ben,
24:33si on voit depuis la dissolution,
24:34qu'est-ce qui s'est passé ?
24:35D'abord, la gauche s'est mise avec Macron.
24:37Après, Macron,
24:38il s'est mise avec le RN.
24:39Maintenant, le RN,
24:40ils se mettent avec la gauche.
24:42C'est la partousse politique
24:43la plus claquée
24:44de la Vème République.
24:52Bruno Retailleau,
24:53il a dit
24:53« Le Pen-Mélenchon,
24:54c'est l'alliance
24:55de la carpe et du lapin ».
24:56C'est cocasse, hein ?
24:58Non ?
24:59Venant d'un rat d'égout,
25:00franchement,
25:00c'est cocasse.
25:02Je trouve.
25:03Non ?
25:03Peut-être,
25:04ils vont le faire, hein ?
25:05Peut-être,
25:05ils vont s'associer, hein ?
25:07Le Rassemblement National
25:07et la France Insoumise.
25:09On va appeler ça
25:10le Rassemblement Soumis à Moitié.
25:14Le RSA.
25:17Pas sûr.
25:18Avec un juste milieu,
25:19tu vois, un slogan du genre
25:21« Ami arabe,
25:22votez pour nous
25:24avant de rentrer chez vous ».
25:27Ça va.
25:33Je suis pas sûr.
25:34De toute façon,
25:35j'y crois pas trop.
25:35J'ai pensé à une sorte de syllogisme.
25:37Vous me direz si vous êtes d'accord.
25:38Enfin, si vous connaissez le mot.
25:39La politique,
25:43c'est s'occuper des autres.
25:45L'humain ne s'occupe que de soi.
25:46L'humain ne peut pas faire de politique.
25:49Donc il faut laisser ça à l'IA.
25:52Il faut faire politique GPT.
25:56Mais le problème,
25:57c'est que l'IA,
25:58ça s'inspire toujours
25:58de ce qui a déjà existé.
26:00Donc c'est fucked up.
26:01Tu vas dire
26:01« Politique GPT,
26:03tu fais quoi pour le trafic de drogue ? »
26:05« Vous en avez marre de ces racailles. »
26:09« Je vais vous en débarrasser. »
26:13« Tit, tit, tit, tit, tit. »
26:14Excusez-moi,
26:15c'est mon bracelet qui sonne.
26:23J'avais demandé à Carla
26:24de baisser le volume,
26:25mais elle entend graine la bourgresse.
26:27C'est pour ça qu'elle chante si mal.
26:30C'est-à-dire politique GPT,
26:32tu fais quoi pour le pouvoir d'achat ?
26:34« Je serai l'ennemi de la finance. »
26:38« Tu es l'ennemi du beau temps. »
26:39« C'est tout. »
26:41« Pour tout, il va,
26:42Hollande, il pleut. »
26:43« C'est tout. »
26:44« C'est ça, Hollande. »
26:45« C'est un cumulonimbus en scooter. »
26:48« C'est la meilleure définition de Hollande. »
26:50« C'est un nuage. »
26:51« De loin, ça a l'air massif. »
26:53« Tu t'approches,
26:53il n'y a plus rien. »
26:56« Politique GPT,
27:03tu vas faire quoi pour sauver la France ? »
27:05« Je vais ramener Kylian au PSG. »
27:07« Allez, débranche-moi ça. »
27:11« Bon, Bayrou. »
27:12« Bayrou. »
27:17« Sans déconner, Bayrou. »
27:19« Une semaine pour choisir Bayrou. »
27:23« Cette nomination, c'est les tasses à Disneyland. »
27:26« Beaucoup trop d'attente
27:27pour un truc qui te donne la gerbe à la fin. »
27:31« Je veux dire, j'étais là,
27:37en train de regarder,
27:38j'entends Bayrou, j'ai sauté.
27:39« C'est l'arbitre, il y a faute, il y a faute. »
27:43« Ma fille, elle m'a dit,
27:44« Mais c'est quoi Bayrou ? »
27:45« C'est comme ton chewing-gum qui est resté collé. »
27:48« Dans ton sac. »
27:49« Je t'avais dit,
27:49tu le foudras à la poubelle. »
27:50« Non, voilà, c'est Bayrou. »
27:51« C'est ça. »
27:56« Macron, t'as beau lui dire,
27:59on ne veut pas de ta soupe,
28:00il revient avec un velouté de tocard. »
28:03Bayrou, il a dit,
28:04« Tout le monde mesure la difficulté de la tâche. »
28:07« Non, tout le monde mesure la tâche. »
28:09« T'as pas besoin de rajouter des mots. »
28:11« Sois efficace, mais il est dit, s'il te plaît. »
28:14« Quand, pour sauver la France,
28:21tu fais appel à Bayrou,
28:25c'est que c'est trop tard.
28:27C'est que... »
28:29« Ça y est. »
28:30« Ça y est. »
28:31« Ça y est. »
28:33« Ça y est. »
28:34« Donc la censure, évidemment,
28:35ça va repartir. »
28:36« De toute façon, vous avez vu,
28:37la censure, il n'y a pas eu de chaos, finalement. »
28:40« On est passé de la fin du monde,
28:42il n'y a plus de tickets restos. »
28:43« Ça va comme... »
28:44« Tu vois ? »
28:45« En plus, les tickets restos,
28:46ils peuvent les relancer. »
28:47« Il suffit que le Sénat
28:48se rebosse sur le dossier. »
28:50« Tu vois ? »
28:51« Ouais, bon, c'est mort, du coup. »
28:52« Ouais. »
28:53« Elisabeth Borne, elle a dit,
28:54« À cause de la censure,
28:55la carte vitale ne marchera plus. »
28:58« Ouais. »
28:58« Elle est passée de con
28:59à complotiste, en deux mots, là. »
29:02« C'est génial. »
29:04« Alors... »
29:06« Euh... »
29:07« Fait le nouveau Front Populaire. »
29:09« C'est quand même fou, quoi. »
29:11« Ils préfèrent être sûrs
29:12de perdre tout seul
29:13que d'avoir une chance
29:15de gagner ensemble, quoi. »
29:16« Tu leur files en flingue
29:17avec une balle. »
29:18« Il dit, moi, je lance la balle,
29:19toi, tu lances le pistolet. »
29:20« Comme ça, on a plus de chance. »
29:22« Ouais, Olivier Faure, il a dit,
29:23« Mélenchon, plus il crie,
29:25moins on l'écoute. »
29:25« Ouais, ouais. »
29:26« Olivier Faure, même quand il crie,
29:27on dirait, il chuchote. »
29:28« T'es là ? »
29:30« Ouais, je t'avais pas vu. »
29:31« Ouais, ouais, ouais. »
29:31« Personne te voit. »
29:33« Sur Google, j'ai tapé
29:34« Charisme, 7 millions de résultats. »
29:36« Pas une photo d'Olivier Faure. »
29:37« Même avec une télé 3D,
29:40il est plat, Olivier Faure. »
29:42« Bon, ben, vous l'avez compris,
29:43la cinquième République,
29:44c'est plié. »
29:45« Donc, moi, je vous propose
29:45les bases de la suivante. »
29:47D'ailleurs, ce ne sera plus
29:47une république,
29:48on va changer de délire.
29:49Ce sera une FTGCLPQD.
29:53Une ferme d'ingueule,
29:54c'est le peuple qui décide.
30:01Premier point.
30:03Premier point, first point.
30:04Les politiques pourront s'exprimer
30:06uniquement s'ils sont équipés
30:08d'un détecteur de mensonges.
30:12Ah, ben là,
30:13l'aiguille, elle va avoir Parkinson.
30:15C'est clair.
30:17Après, peut-être
30:18qu'il y aurait des surprises, hein.
30:19Genre, allocution de Macron,
30:21et l'aiguille, elle ne bouge pas.
30:22Et nous, hein, sérieux ?
30:24Ils disaient la vérité.
30:26Les techniciens, ils disaient
30:27« Non, non, c'est une illusion d'optique.
30:28Elle bouge tellement vite,
30:29on croit qu'elle ne bouge pas. »
30:35Là, de toute façon,
30:36de toute façon,
30:37il faut tout changer.
30:38Quand il a dit
30:39« Chers compatriotes,
30:40je serai honnête avec vous,
30:41ça pétait le moteur. »
30:43La technologie n'est pas assez avancée
30:45pour ce genre de bestioles.
30:47Non.
30:49Tous les politiciens,
30:51après l'ENA,
30:51il faut qu'ils fassent
30:52deux ans de PPA.
30:54De prison par anticipation.
30:55Pour toutes les saloperies
31:01qu'ils ont prévues après.
31:02Et comme la médecine,
31:03il y a des spécialités.
31:04Genre, ministre,
31:05c'est quatre ans de prison
31:06dans une cellule
31:06avec quatre tchétchènes.
31:09Comme ça,
31:10ça te donne un aperçu
31:11de ce qu'on ressent
31:11quand on augmente les impôts.
31:12Tu vois ?
31:13Le droit de vote
31:14t'as plu.
31:16Il y aura un permis de vote.
31:18Par exemple,
31:19pour pouvoir voter
31:19pour un référendum,
31:20il faudra savoir écrire
31:21le mot référendum.
31:24Je sens,
31:25il y en a qui disent
31:26« Non,
31:26je vais avoir
31:28des dimanches de libre. »
31:29De toute façon,
31:31le référendum,
31:32t'as vu.
31:32Alors l'Europe,
31:33qui dit non ?
31:34Tout le monde ?
31:35Ce sera oui.
31:39Le vote blanc
31:40sera remplacé
31:42par le vote noir.
31:47En quoi consiste le vote noir ?
31:48Je ne sais pas encore,
31:49mais ce ne sera pas pire
31:50que le vote blanc.
31:52T'imagines la première fois
31:53qu'ils ont mis en place
31:54le vote blanc ?
31:55Et qu'ils ont dit
31:56« Si, si,
31:56aucun candidat ne vous plaît,
31:58il faut quand même
31:58venir voter,
31:59c'est très important,
32:00vous mettez un petit papier blanc.
32:01Comme ça,
32:02nous, on prend tous
32:03les petits papiers blancs,
32:04on les compte,
32:05tu vois,
32:05on les met les uns
32:06au bout des autres,
32:07comme ça,
32:07on les colle,
32:08on les enroule,
32:09et c'est comme ça
32:09qu'on fabrique
32:10le papier toilette.
32:11Vous voyez ?
32:12C'est ça le vote blanc.
32:17Et enfin,
32:18le président de la Ferme Ta Gueule,
32:19c'est le peuple qui décide,
32:21ne sera pas élu.
32:23Il sera tiré au sort.
32:26Tu peux être boulanger,
32:27« Allez, tonton ! »
32:28« Ah, c'est moi ! »
32:29« Ah ouais ! »
32:30« Bon, putain ! »
32:30« Bon, ben,
32:31je finis les chouquettes
32:32et j'ai rien de voir. »
32:36Parce que moi,
32:37je pense que quelqu'un
32:37qui bosse vraiment
32:38dans la vraie vie,
32:39il aura plus de jugeote
32:40pour ça,
32:41tu vois.
32:42Parce que,
32:43oui,
32:43on applaudit ou pas ?
32:44comme vous voulez.
32:44Comme vous voulez.
32:51Elle nous a fait un...
32:52Elle a démarré,
32:59elle a...
32:59« Bon, c'est fini. »
33:01« A peine arrivé. »
33:02« Michel Barnier. »
33:02« Ah, bon. »
33:04Déjà, c'est fini.
33:09« Ben ouais. »
33:09Parce que quand tu vois
33:10tous ces politiciens,
33:11t'as vu comment
33:12un 80 balai,
33:13ils pètent la forme ?
33:14Ça, c'est la preuve
33:15que toute leur vie,
33:16ils ne travaillent pas.
33:17« Bon, on y va. »
33:20Euh...
33:21C'est quoi, là ?
33:23Non ?
33:24Vous le sentez ou pas ?
33:25Non ?
33:26C'est moi ou...
33:27Ça sent le 49-3 ?
33:28C'est moi ou non ?
33:29Hein ?
33:30Ils n'appellent plus ça
33:33le 49-3 maintenant.
33:34Tu sais comment ils appellent ?
33:34Ils appellent le comdab.
33:35On fait quoi ?
33:35On fait comdab ?
33:36Non, alors Barnier,
33:39il a dit
33:39« Non, il y aura un débat
33:40parlementaire,
33:41comme moi avec mes filles.
33:42Papa, on peut avoir un téléphone ?
33:43Oui, on va en parler.
33:44Non, vous ne l'aurez pas.
33:45C'est quoi le débat parlementaire ?
33:48Le débat parlementaire,
33:49c'est une pièce de théâtre
33:50très mal écrite
33:51avec des acteurs éclatés.
33:53Tu vois ?
33:54Dans le rôle principal,
33:55Michel Barnier.
33:56« Je dois augmenter les impôts
34:02pour le bien... »
34:04C'est le père Fourasse.
34:04« C'est pour le bien défronté ! »
34:08Dans le rôle de la sorcière,
34:10Marine Le Pen.
34:11« Hi hi hi ! »
34:13Mais dans ce cas-là,
34:14je ne voterai pas le budget.
34:15« Papa, prête-moi ton oeil. »
34:20À gauche,
34:22les figurants,
34:23ils ne parlent,
34:23personne ne l'écoute.
34:26« Attention, monsieur de censure.
34:27Attention, monsieur de censure.
34:29Attention, monsieur de censure.
34:30Ils sont nuls,
34:31même en diction.
34:34Attention, monsieur de censure.
34:36Ding dong,
34:37c'est l'entracte.
34:38Ah, ouf,
34:38bon, on fait quoi ?
34:39On va manger,
34:40on achète la drogue ?
34:40Je ne sais pas toi,
34:51mais moi,
34:51je n'ai pas faim.
34:54Les parlementaires,
34:55tout est dans le mot.
34:56Parlementaires.
34:58c'est tout.
35:05Barnier, il a dit
35:06« Tout le monde va devoir se retrousser les manches. »
35:08« Ah ouais, vous aussi ? »
35:09« Non, on a mis un débardeur. »
35:10« On avait prévu le coup. »
35:13Et donc,
35:14ils avaient prévu
35:16augmentation au budget
35:16de l'Élysée,
35:17du Sénat
35:18et de l'Assemblée.
35:20Ils veulent la bagarre.
35:22À un moment donné,
35:23ils veulent que ça finisse
35:23en octogone.
35:24En hexagone,
35:26en l'occurrence.
35:27Petite blague géométrique.
35:29Il n'y a que ça,
35:30parce que tu votes,
35:31il n'y a rien qui se passe.
35:32Tu manifestes,
35:33ça ne change rien.
35:34À force de tirer sur la laisse,
35:36il ne faut pas s'étonner
35:37que le chien,
35:37il morde,
35:38tonton.
35:39Alors,
35:39il faut choisir
35:40qui tu mords.
35:41Parce que,
35:41genre,
35:41Bruno Retailleau,
35:42il y a plus moyen
35:43de péter un chicot
35:44que de choper de la viande.
35:48Ils ont dit,
35:49on va taxer les riches.
35:50Mais tu peux taxer
35:51ce que tu veux.
35:52Qu'est-ce que ça va faire ?
35:52Ça va défiscaliser.
35:54Ma fille,
35:54elle m'a dit,
35:54papa,
35:55c'est quoi un fiscaliste ?
35:56Je lui dis,
35:56c'est un métier autorisé
35:57par l'État
35:58pour niquer l'État.
36:00Elle me dit,
36:00oh, papa,
36:01ça dit un gros mot.
36:02Je lui dis,
36:02pardon,
36:02pour niquer le groupe
36:03de gens qui gouvernent
36:04la France.
36:04puis augmentation
36:13de la dépense publique.
36:14Bon,
36:15ils hésitent
36:15soit à augmenter
36:16le nombre d'infirmières,
36:17soit le nombre
36:18de langoustines
36:19quand il y a Charles III.
36:20C'est l'un ou l'autre.
36:22Je ne sais pas
36:22où c'en est,
36:23mais ce que je sais,
36:24c'est qu'il y a une grosse
36:24commande de mayonnaise.
36:27C'est tout ce que j'ai vu.
36:28Voilà.
36:29C'est en pénurie,
36:30d'ailleurs.
36:30Enfin,
36:30c'est en pénurie,
36:30c'est en voie de disparition,
36:31les langoustines.
36:32On a plus à l'Élysée
36:33que dans le Pacifique.
36:35Et vous savez que,
36:36tu sais,
36:37les profs,
36:37j'ai appris ça
36:38il n'y a pas longtemps,
36:39ils sont obligés
36:40de passer leur commande
36:41des fournitures
36:41dans des catalogues
36:43validés par l'État.
36:44Et là,
36:45il y en a un,
36:45cette semaine,
36:46la semaine dernière,
36:46il a tweeté une photo
36:47d'une ampoule
36:49qu'il était obligé
36:50de commander
36:50à 48 euros.
36:5248 euros l'ampoule.
36:53C'est une ampoule,
36:53tu l'allumes à Paris,
36:54à New York,
36:54ils font...
36:55Putain,
36:55mais elle est à moins simple.
36:57Putain,
36:57mais oh.
37:02Alors,
37:02je ne sais pas
37:02qui c'est qui disait
37:03qu'il y a forcément
37:04de la corruption
37:05dans les commandes publiques.
37:06Je ne sais pas
37:06qui c'est qui disait ça.
37:07Ah ben si,
37:08c'est moi.
37:09C'était moi.
37:10Je l'ai oublié,
37:10c'est moi.
37:13C'est moi.
37:14Bruno Le Maire,
37:15il avait une enceinte,
37:16devait aller
37:17à 3 000 euros
37:17dans son bureau
37:18pour écouter
37:19son podcast préféré.
37:21Apprendre à compter
37:21après 50 ans.
37:24J'espère,
37:25de tout cœur
37:26qu'il va finir
37:26à la santé.
37:27Non,
37:28pas au ministère,
37:28à la prison,
37:29la santé.
37:29J'espère.
37:30J'espère.
37:31Et vous avez vu,
37:32ils veulent taxer
37:33les chiens aussi.
37:34J'ai vu ça.
37:35J'ai vu ça,
37:35je n'ai pas compris.
37:36Taxer les chiens ?
37:37Ils vont taxer
37:37Gérald Darmanin ?
37:38C'est quoi cette histoire ?
37:39Ça ne va pas rapporter
37:41beaucoup.
37:45Ils vont taxer
37:46les candidats.
37:47Ils ont dit
37:47que c'est pour responsabiliser
37:48les gens.
37:49Responsabiliser,
37:50c'est le terme scientifique
37:51pour racketter.
37:52Vous voyez ?
37:53Taxer les chiens.
37:57Il y a des gens,
37:57ils vont apprendre
37:58à leur teckel
37:58à faire miaou.
37:59Je vais dire,
38:00allez,
38:01non,
38:02pas ouf,
38:02miaou,
38:03j'ai dit.
38:04Arrête,
38:04pose cette patte,
38:05tu vas nous faire griller.
38:06Pose cette patte.
38:07Mais où il se casse ?
38:09Qu'est-ce qu'il a là ?
38:10Quel bon imitateur.
38:12Quel bon imitateur.
38:13Et ils disent,
38:21ils vont leur mettre
38:21des vignettes
38:22sur le collier
38:23pour contrôler.
38:24Tu vas juste contrôler
38:25le chihuahua de mamie,
38:26c'est tout.
38:27Va contrôler les Lascars
38:28avec leur pitbull.
38:29Viens,
38:29viens contrôler,
38:30viens.
38:31Viens,
38:32il est gentil.
38:34T'es gentil Hannibal.
38:35Oui,
38:35il est gentil.
38:36Viens,
38:36viens contrôler.
38:37Laisse-le,
38:37laisse-le.
38:38Laisse-le contrôler,
38:39laisse-le.
38:40Laisse-le contrôler,
38:41ça va faire un fonctionnaire
38:42de moi à payer.
38:43Viens,
38:43viens.
38:48Et ils vont donner
38:48le Doliprane
38:49aux Etats-Unis.
38:50Ça.
38:52Incroyable.
38:52Ils vont donner,
38:53il nous restait deux trucs.
38:54L'abbé Pierre
38:54et le Doliprane.
38:57L'abbé Pierre.
39:02Visiblement,
39:03l'abbé Pierre,
39:03c'était pas la bonne
39:04molécule.
39:05Fallait le laisser au labo,
39:06celui-là,
39:06l'enfermer à double tour.
39:08Et là,
39:08le Doliprane,
39:08tu veux donner un truc ?
39:09Donne un truc
39:10qu'on n'utilise pas.
39:11Hé,
39:11les USA,
39:11you take,
39:13you want
39:13the députés ?
39:14We don't,
39:17you,
39:18c'est pour rien,
39:19nous.
39:20Free,
39:20free,
39:20it's free.
39:22It's free.
39:22Attends,
39:23même,
39:24on vous paye
39:2410 balles par député.
39:26On vous donne 10 balles.
39:27Ça coûtera moins cher
39:27que la déchetterie.
39:28On vous donne 10 balles
39:30par député.
39:31You want ?
39:31Et Black Friday
39:32pour 2 euros de plus,
39:33les sénateurs.
39:34You want les sénateurs ?
39:36Alors,
39:38les sénateurs,
39:39les sénateurs,
39:41les sénateurs,
39:42you know,
39:43les sénateurs,
39:43the French walking dead,
39:45you know ?
39:45Non,
39:47on donne.
39:55Non,
39:55mais tu vois,
39:56ils donnent le doliprane.
39:57Mais à ce rythme-là,
39:57tu vas voir que même l'hôpital,
39:58ils vont finir par se délocaliser.
40:00Ils vont dire,
40:01je vais à Rio.
40:01Oh,
40:02pour le carnaval ?
40:02Non,
40:02pour une arnie discale.
40:03Non,
40:03c'est chaud.
40:06Ah,
40:06ils sont pas du janeiro ?
40:07Même pas Madison de janeiro,
40:10à mon avis,
40:10là.
40:11Je dis ça parce qu'il y a un pote
40:12qui me dit,
40:13ouais,
40:13je fais de la danse.
40:14Je fais du Madison.
40:15Je dis,
40:15bah,
40:15tu ne fais pas de la danse.
40:20Beyoncé,
40:20elle fait de la danse.
40:22Toi,
40:22tu marches en crabe
40:23dans une salle des fêtes
40:24à Tourcoing.
40:25Ça n'a rien à voir
40:25avec la danse.
40:26J'ai l'impression
40:30qu'il y en a
40:30les enfants du Madison.
40:32Je sens une ambiance
40:33un peu honteuse,
40:34là.
40:34Je sens.
40:36Il nous a affichés,
40:37tonton,
40:38là.
40:40Après,
40:40délocaliser l'hôpital,
40:42finalement,
40:428 heures dans un avion
40:44ou aux urgences,
40:45c'est la même.
40:46Au moins,
40:47il y a un film.
40:52Ça me tue
40:52parce qu'à un moment
40:53où tous les pays
40:54cherchent à être souverains,
40:55ils continuent
40:55de vendre la France.
40:56On va finir
40:57par être nuls partout.
40:58L'industrie,
40:59l'énergie,
41:00le high-tech.
41:01Le seul réseau social français,
41:03c'est ses copains d'avant.
41:06Mais qu'est-ce que c'est
41:07que cette idée, là ?
41:09Qui a envie de voir
41:10ses copains d'avant ?
41:12Je veux dire,
41:12si ce n'est pas
41:13tes copains de maintenant,
41:14c'est qu'il y a une raison,
41:15tonton !
41:16Bon, on y va ?
41:19Yes !
41:20Eh bien,
41:21Gabriel Attal,
41:22non ?
41:22Bonne année !
41:31Ah, vous allez me dire
41:34« Ouais, mais tu voulais
41:35qu'il m'être qui ? »
41:36Je ne sais pas,
41:37je n'en sais rien.
41:38Chirac.
41:40C'est bien Chirac,
41:41oui, il est mort.
41:42Ça aurait été moins pire.
41:44Il y a des gens
41:44qui y croient
41:45dans mon entourage.
41:46Il y en a qui me disent
41:46« Non, non, mais Gabriel Attal,
41:48si, il peut être bien.
41:50Il peut être bien
41:50parce qu'il est gauche,
41:52il est droite en même temps
41:53et puis il a l'air
41:54d'être sincère
41:55et puis il est jeune.
41:56Et ouais,
41:57et puis ça ne te rappelle
41:57pas quelqu'un du coup ?
41:59Hein ?
42:01Espèce de poisson rouge
42:02que tu es, va.
42:03La France,
42:04c'est un bocal
42:04de poisson rouge.
42:06Je te le dis direct,
42:06Gabriel Attal,
42:07c'est Macron
42:08sans poils au pubis.
42:10C'est tout.
42:10Et les journalistes,
42:18ils sont là
42:18« Oui, Gabriel Attal,
42:19c'est un bon communicant.
42:21Genre, c'est bien.
42:23Non, non, c'est pas bien.
42:25Bon communicant,
42:26politique, ça veut dire quoi ?
42:27Ça veut dire
42:28c'est un menteur
42:28mais ça ne se voit pas.
42:30C'est la pire race.
42:32C'est les pires.
42:38Selon la situation,
42:40une qualité,
42:40ça peut être
42:41pas une qualité.
42:43Être imaginatif,
42:44c'est bien
42:44si tu es sculpteur
42:45mais si tu es chasseur.
42:49Imagine le cycliste
42:50c'est un chevreuil là.
42:53Oh, la perderie
42:54en forme du LM.
42:58Là où j'aurais eu
42:59du respect
42:59pour Gabriel Attal
43:00et je sais,
43:02les deux mots
43:02côte à côte,
43:03ça...
43:03Non mais franchement,
43:05là où j'aurais respecté
43:06Gabriel Attal,
43:07c'est s'il avait
43:08refusé le poste.
43:09Là, j'aurais dit
43:10il a des bollocks,
43:12stupid.
43:12Là, ouais.
43:14Et je pense que
43:14quand Macron lui a proposé,
43:16je pense qu'il a hésité.
43:19Non, si,
43:20peut-être il s'est dit,
43:21attends...
43:22je sais pas,
43:25j'avais quand même
43:26promis d'arranger
43:27les choses
43:27à l'éducation nationale.
43:30L'éducation nationale,
43:31c'est l'avenir
43:32de la France.
43:33C'est ça,
43:33c'est le plus important.
43:34Les enfants,
43:35il n'y a rien de plus important
43:36que les enfants.
43:37Ah si ?
43:38Il y a moi !
43:39Gabriel Attal,
43:48premier ministre,
43:48il y a quand même
43:49une bonne nouvelle.
43:50Bruno Le Maire,
43:51pas premier ministre.
43:52Ouf !
43:54Oh, il devait être
43:54dans un état l'autre.
43:55Quoi ?
43:56Lui ?
43:57Lui ?
43:59Pas le puceau ?
44:00Pas lui ?
44:02Quoi ?
44:02Ça fait six ans
44:03que je suis à l'économie.
44:04Six ans que je suis à l'économie.
44:06Les gens,
44:06ils ont vu quand même
44:07que j'étais...
44:08que j'avais fait...
44:11Ils ont vu ?
44:12Non ?
44:14Et alors Darmanin ?
44:16Oh là là !
44:18Oh, l'humiliation.
44:19La choumère de l'année.
44:20Vraiment...
44:21Ah ouais, vraiment,
44:23tu vois,
44:23Chaim qui est tombé
44:24dans le public.
44:25Voilà, Darmanin.
44:26Quand il lui a dit
44:27c'est pas toi,
44:28ils ont dit...
44:28Et l'humiliation suprême,
44:33dès le lendemain,
44:34ils l'ont forcé,
44:35ils étaient obligés
44:36d'aller faire une visite
44:37dans un commissariat
44:38avec Gabriel Attal.
44:40Et Darmanin,
44:41il arrive en premier,
44:42il attend dans le froid
44:43comme ça
44:43avec son petit costume,
44:45tu vois.
44:45L'autre,
44:46il arrive en bagnole,
44:47coucou,
44:48foiré,
44:48voilà.
44:51Gabriel Attal,
44:51il sort de la bagnole
44:52genre d'Artagnan,
44:53tu vois.
44:54Enfin d'Artagnan,
44:55plus Agnan
44:55que d'Artagnan,
44:56pour ceux qui connaissent
44:57le petit Nicolas,
44:59il arrive,
45:00il est un peu plus grand
45:01que Darmanin,
45:02tu vois,
45:02Gabriel Attal,
45:03il avance,
45:03il lui serre la main
45:04genre,
45:05alors,
45:06il est qui le PD maintenant ?
45:08Et vous avez vu le remaniement ?
45:17Ouais,
45:17bon,
45:17ben,
45:18voilà,
45:19du Moisy dans les murs
45:20et il a changé le papier peint,
45:22comme d'hab.
45:24En parlant de Moisy,
45:24Rachida Dati,
45:26du coup,
45:27ministre de la Culture.
45:28Non,
45:28non,
45:28non,
45:29non,
45:29non,
45:29non,
45:29on se moque pas
45:30de ma patronne,
45:31s'il vous plaît.
45:31pourquoi il a mis là ?
45:35Que pour la com,
45:36que pour l'image,
45:37que pour dire,
45:37regardez,
45:38on a mis des femmes,
45:39on a mis des femmes.
45:41Ou à la justice,
45:42non,
45:42tu déconnes,
45:43tu es fou,
45:43quoi.
45:44Non,
45:44mettez-le avec des troubadours,
45:45qu'elle aille cracher du feu
45:46au pied du feu.
45:47Et c'est vrai,
45:51Rachida Dita,
45:51Rachida Dita,
45:55Rachida Dita,
45:59Rachida Dati,
46:05ça fait parler,
46:05c'est vrai,
46:06tout le monde la connaît,
46:06elle est là depuis longtemps,
46:07Rachida Dati,
46:08Rachida Dati,
46:09d'ailleurs,
46:09c'est comme ça qu'il appelle.
46:10C'était mieux,
46:11finalement.
46:12Mais je trouve,
46:13franchement,
46:13elle a sa place
46:14dans ce gouvernement.
46:15Elle est mise en examen
46:15pour corruption,
46:16donc elle correspond
46:17complètement au job.
46:19Elle est vraiment...
46:20Elle a été mise en examen,
46:25apparemment,
46:26elle a fait du lobbying
46:27pour Renaud.
46:28Renaud les bagnoles,
46:29pas Renaud le pastis.
46:35Elle a dit,
46:36non,
46:36c'est pas du lobby,
46:37j'ai donné des conseils.
46:38Ouais,
46:38parce que,
46:38comme tout le monde sait,
46:39Rachida Dati,
46:39elle a deux spécialités,
46:40le théâtre
46:41et les joints de culasse.
46:42C'est les deux trucs...
46:43Bah.
46:46Et puis,
46:47pour finir,
46:48une petite pensée
46:48pour Elisabeth Borne.
46:50Hein ?
46:51Hein ?
46:52À la fourrière,
46:52la Peugeot 404.
46:55Et ouais,
46:55mais elle consommait trop,
46:56elle consommait trop.
46:5849,3 litres au sens,
46:59c'est beaucoup trop,
47:00ça peut pas.
47:01Ça peut pas.
47:01Vous me connaissez,
47:09je l'aime pas particulièrement,
47:10Elisabeth Borne,
47:11mais vraiment,
47:12il a jeté,
47:13mais...
47:14Comme du lait caillé,
47:15quoi.
47:16Oh !
47:17Vous m'avez vu sortir
47:19de Matignon,
47:20elle est partie toute seule,
47:21je la regardais,
47:22j'étais...
47:23J'avais de la peine
47:25et du plaisir en même temps.
47:27C'était très...
47:27C'était très bizarre
47:29comme émotion,
47:29tu vois.
47:30Elle est sortie de Matignon,
47:31elle est partie tout seule,
47:32elle a disparu comme ça.
47:34Ça m'a rappelé
47:35un documentaire animalier.
47:36J'avais vu un truc
47:37où il y avait une vieille bête,
47:39très vieille,
47:40tu sais,
47:40qui quittait le troupeau
47:41parce qu'elle ralentissait,
47:43tout le monde,
47:43il faut y aller,
47:44la vieille bête.
47:46Et elle partait mourir
47:47derrière un rocher,
47:48tu vois,
47:49toute seule,
47:49comme ça.
47:50Après,
47:51les vautours qui arrivent,
47:52tu sais,
47:53mais ils la mangent même pas.
47:56Ils disent,
47:56touche pas,
47:57on va chouper une saloperie
47:58avec ça.
48:00Merci, Lyon !
48:04Merci.
48:09Merci.
48:10Merci.
48:10Merci.

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