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TL7 : UN TIERS LIEU AU SERVICE DU TERRITOIRE
TÉLÉGRENOBLE : UNE SECONDE CHANCE POUR LES MINEURS DÉLINQUANTS
8 MONT-BLANC : UN NOUVEAU PLATEAU POUR LE SERVICE DE CARDIOLOGIE DE L’HÔPITAL D’ANNECY
TÉLÉGRENOBLE : ADOPTER UNE POULE POUR RÉDUIRE SES DÉCHETS
8 MONT-BLANC : LE SAINT-GENIS, UN SAVOIR-FAIRE QUI PERDURE
TL7 : UNE ENTREPRISE ÉPHÉMÈRE POUR LES 18-35 ANS

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Transcription
00:00Musique
00:01Un tiers lieu au service du territoire, situé dans le pays rouannais, la Martinière est au croisement des ruralités.
00:26Cette ferme, qui regroupe historiquement de l'élevage porcin, de la viticulture et du maraîchage bio,
00:32ouvre ses portes pour laisser place à la réflexion sur de nouveaux modèles agricoles et sur la valorisation des espaces ruraux.
00:38Tiers lieu, c'est un grand mot qui, effectivement, souvent est assigné aux villes.
00:41En réalité, il existe plein d'espaces associatifs qui mélangent, qui hybrident les activités,
00:46et des espaces pas forcément toujours associatifs d'ailleurs.
00:49Là, nous, on a ramené ce mot à un moment donné où il nous semblait important de souligner
00:53que la ferme, elle n'avait jamais été qu'un lieu de production agricole,
00:57et que politiquement, il était aussi important de souligner qu'une ferme, c'est un lieu de vie.
01:01Notre but, c'est de trouver des terrains de rencontre.
01:03Là où il peut y avoir des fois de l'animosité, on va dire, entre les différentes perceptions de la campagne,
01:09celles et ceux qui y vivent et celles et ceux qui y passent uniquement,
01:11on a envie de pouvoir créer un espace favorable à la rencontre,
01:14autour notamment de questions d'écologie, d'alimentation par exemple.
01:18Ouverts d'avril à novembre, les visiteurs sont une nouvelle fois nombreux pour cette nouvelle saison.
01:22On a deux personnes qui vivent là à l'année, Françoise et François,
01:26qui du coup sont vraiment les historiques de la ferme,
01:28et on a en programmation et alentour différents collectifs qui gravitent.
01:32Par exemple, pour les jardins, une quinzaine de personnes.
01:35Pour l'organisation, à l'année, deux à trois personnes en plus.
01:38On va dire un collectif de cinq, six personnes qui font vraiment la programmation de l'année.
01:44Et selon les événements, 80 à 200 personnes qui passent.
01:47Voilà, la formation soudure, c'est par exemple une dizaine de personnes.
01:51Dans le cas d'un appel à projet Fab Lab Solidaire de la Fondation Orange,
01:54la Martinière bénéficie pour la seconde fois du soutien financé
01:57pour leur projet pour l'habitat sobre et écologique.
02:00Oui, c'est ce qu'on recherche.
02:01Alors, on soutient en Auvergne-Rhône-Alpes.
02:03On avait démarré avec des tiers-lieux solidaires, des Fab Lab Solidaire.
02:07Et ici, on a été un des premiers.
02:08Et ce qui a été recherché dans celui-ci, c'est pour ça qu'il a été retenu
02:11sur l'appel à projet au niveau national.
02:13C'était tout ce qui touche aux questions de l'environnement, de l'écologie.
02:17Et il est situé à milieu rural.
02:18Et c'est aussi des axes que l'on recherche.
02:20Ce n'est pas uniquement des projets basés à Lyon-Centreville,
02:23Grenoble-Centreville ou Clermont-Centreville.
02:25C'est aussi de mailler sur le territoire des projets intéressants
02:27et de les soutenir pour les faire grandir.
02:30Soirée débat, conférences, journées immersion et activités de production.
02:34Le programme de cette année est déjà bien chargé.
02:36La nouvelle saison est désormais lancée.
02:38Dans le Trièvre, au pied du Vercors, à Sinard, un lieu offre une alternative à la prison.
02:48Dans ce CEF, centre d'éducation fermée, il y a la place pour 12 mineurs
02:52qui ont commis délits ou crimes.
02:54Ils y restent entre 6 et 12 mois.
02:56Ce qu'on travaille principalement, c'est bien évidemment à la réinsertion de ces jeunes-là
03:01et à la prévention de la récidive.
03:02On est une équipe pluridisciplinaire, psychologue, infirmière,
03:07bien évidemment éducateur, technique, sportif, culturel, maîtresse de maison,
03:12des surveillants de nuit.
03:13On est ouvert toute l'année, 24h sur 24, on ne s'arrête jamais.
03:19Au planning de la journée, toutes sortes d'activités.
03:21Des cours en classe, du sport, mais aussi des activités techniques
03:24comme à l'atelier bois, un atelier qui rassemble plusieurs objectifs.
03:28C'est quelque chose qui leur permet de reprendre confiance en eux,
03:30d'être valorisés et chaque fois qu'ils font un truc, en général,
03:34on signe le nom du jeune, la date dans un petit coin de l'objet
03:37et ils savent que c'est moi qui l'ai fait.
03:40Et souvent, ils vont le montrer aux autres.
03:42« Regarde, t'as vu, là, il y a mon nom sur l'objet. »
03:44Et après, il y a aussi le côté éducateur
03:47où justement on se retrouve en relation duelle avec un jeune
03:51où là, le fait d'être juste deux en tête à tête
03:55sans les autres à l'égard du groupe
03:56permet aussi de travailler d'autres points intéressants.
04:01Car la vocation du centre est de construire avec ces jeunes leur sortie
04:04qu'ils aient un projet socio-professionnel.
04:06Comme pour ce mineur qui est pour la seconde fois au CEF.
04:09Alors qu'il devait aller à Vars, le centre a voulu le reprendre
04:12pour continuer de construire son projet.
04:14Une délinquance symptomatique d'un mal plus profond,
04:28comme l'explique le directeur du centre.
04:30En tout cas, moi, j'ai toujours rencontré au cours de ma carrière
04:33des jeunes qui aimeraient avoir des vies comme tout le monde,
04:37pouvoir rentrer chez eux sans avoir des difficultés,
04:41à avoir un frigo plein, à avoir des parents qui effectivement n'ont pas de problème.
04:46Le résultat d'inégalités sociales qui ne cessent de croître,
04:49laissant se développer la pauvreté et la ségrégation sociale.
04:52Malgré cela, les jeunes veulent s'en sortir,
04:54comme pour ce mineur qui souhaite travailler dans les espaces verts.
04:57Ce que je préfère pour moi, c'est tout ce qui est travail en nature.
05:00Tout ce qui va occuper le jardin, regardez par exemple l'herbe qui est là,
05:04c'est moi qui l'ai tendue, taille et dé, ou travailler avec les animaux aussi beaucoup, j'aime bien.
05:10Le centre d'éducation fermée reste une meilleure solution que le tout carcéral,
05:13de quoi donner à ces mineurs une seconde chance.
05:22Bienvenue dans une des deux salles de commande du nouveau plateau technique
05:25du service de cardiologie interventionnelle du Change à Annecy.
05:29C'est ici que sont coordonnées et réalisées les interventions sur les patients admis
05:34dans cette nouvelle aile de l'établissement, d'une surface de 1500 mètres carrés.
05:37On a une salle de commande pour chaque salle d'intervention.
05:42Nous, on a fait le choix de les grouper en binômes.
05:45Donc ici, vous êtes à l'endroit où on fait l'activité des coronarographies
05:49et en géoplastie coronaire.
05:51Et on a choisi d'avoir une grande salle de commande qui est commune pour nos deux salles d'intervention.
05:56Ce qui permet de mutualiser le matériel et puis d'avoir une entraide immédiate
06:01s'il y a besoin d'une équipe qui peut aider une autre.
06:03Vous avez des vitres plombées qui permettent d'avoir un regard
06:06sur chacune des deux salles qui sont en activité.
06:09Ce nouveau PTI pour plateau technique interventionnel a été construit sur le site même des anciennes urgences du change.
06:15Composé actuellement de trois salles d'intervention, en attendant bientôt une quatrième,
06:19d'une salle de préparation et d'une salle de réveil,
06:22il a été conçu pour optimiser toute l'organisation du service.
06:25On a des équipements tout neufs, tout modernes,
06:28qui nous permettent d'améliorer la qualité de nos examens,
06:31la qualité diagnostique des images, l'interconnexion avec les différents logiciels.
06:38Et donc on gagne aussi en ergonomie, on gagne en tranquillité.
06:42Avant, on était un petit peu en manque de plage horaire,
06:45donc les programmes finissaient régulièrement vers 21h, 21h30.
06:49Et on était souvent obligés de venir retravailler pour faire les patients d'attente le samedi.
06:55En médecine, la cardiologie interventionnelle est divisée en trois branches.
06:58La coronarographie, la rythmologie et la cardiologie structurelle.
07:03La réhabilitation totale de ce service du centre hospitalier Annecy-Genevoix
07:07était donc devenue une nécessité au fil des années.
07:10On a commencé la cardiologie interventionnelle, la branche coronarographie,
07:13c'est-à-dire traitement des infarctus en fait, en 2002.
07:16Ensuite, on a eu le déménagement, on s'est déplacé de site,
07:19on a eu un hôpital tout neuf, tout moderne en 2008.
07:22Et ensuite, la chirurgie cardiaque a pu arriver,
07:24donc on a la chirurgie cardiaque sur site depuis le 2010, qui a été ouverte.
07:28Et depuis 2010, on a continué à développer les différentes branches de la cardiologie interventionnelle
07:33en parallèle de celle de la chirurgie cardiaque.
07:36Grâce à un GCS, un groupement de coopération sanitaire,
07:40ce nouveau plateau technique accueille également des praticiens du secteur privé du groupe Ramsey Santé.
07:45Dans notre métier en cardiologie interventionnelle,
07:46la technologie est très importante, beaucoup d'informatique, beaucoup d'imagerie,
07:51et là on a un plateau technique qui est à mon avis à la pointe en France.
07:58On a beaucoup de chance, on en a conscience.
08:00A l'heure actuelle, plus de 6000 actes de cardiologie interventionnelle ont lieu par an sur le site d'Annecy.
08:05Avec cette nouvelle configuration, le change espère voir ce nombre augmenter de 5 à 10% par année.
08:16Adopter une poule, ça vous dit ?
08:18Eh bien pour ça, il faut habiter à Volnavé-le-Haut.
08:20Depuis 2018, la commune donne à ses habitants deux poules pondeuses par an.
08:25Cette fois, 27 familles sont venues récupérer leur volatile.
08:28La poule, elle s'appelle comment ?
08:30On a...
08:30Jeu-déphile !
08:31Jeu-déphile !
08:32Ok, très bien !
08:33Voilà, jeu-déphile !
08:34Eh bien, elles vont vivre tranquillement dans le jardin,
08:36et elles vont surtout manger notre épluchure de légumes,
08:40et pondre des oeufs.
08:42C'est intéressant aussi.
08:43Dans la métropole de Grenoble,
08:44un habitant jette en moyenne 60 kg de déchets organiques par an.
08:48Pour la municipalité, c'est une solution pour contribuer à la réduction de ces déchets.
08:52Des épluchures, des restes de coquillages, et même de la viande,
08:56les poules peuvent avaler jusqu'à 150 kg de restes par an.
09:00On essaye de beaucoup sensibiliser notre population au tri, au compostage,
09:05et également du coup, avec les poules, au retraitement des déchets qui soient ludiques.
09:11Mais pour les adopter, il y a quelques règles à respecter.
09:14On demande aux adoptants de les garder minimum un an,
09:19de leur mettre à disposition à boire, à manger,
09:22d'avoir un enclos et un lieu pour les abriter.
09:25On est à la campagne, donc on a des fouines, on a des renards, on a des buses.
09:30On essaye de faire au mieux pour qu'elles survivent le plus longtemps possible.
09:34On est à la campagne, c'est le risque.
09:35Une fois où le renard était venu, on avait bouffé une, on en avait quatre,
09:46et du coup, le soir, on ne retrouvait plus aucune poule.
09:48Elles étaient perchées dans les arbres pour ne pas se faire avoir par le renard.
09:55Si ces poules échappent à leur ennemi naturel,
09:57elles pourront donner à leur propriétaire 200 oeufs par an pendant 2 à 3 ans.
10:05Colorées, sucrées et pleines d'histoire,
10:11ces pralines sont le rose de cette commune savoyarde.
10:14Ingrédient phare du Saint-Genis, une brioche garnie,
10:17elles en ont fait sa renommée.
10:19C'est une brioche moelleuse, gourmande,
10:26et puis les pralines fondent à l'intérieur.
10:29Donc la brioche s'imbibe de sucre, et puis voilà, c'est un délice.
10:34Si Étienne Bavu réalise des Saint-Genis depuis quelques années,
10:38la recette, elle, est vieille de près de 400 ans.
10:41C'est la même recette depuis 1630, elle n'a pas été modifiée.
10:45Farine, beurre, oeufs, lait, sucre, levure, fleurs d'oranger,
10:48et bien évidemment, pralines maison composent cette recette ancestrale.
10:53Mais ce ne sont pas uniquement les ingrédients qui en font la valeur,
10:56car derrière, il y a tout un savoir-faire.
10:58C'est une brioche au levain, avec une double fermentation,
11:05et il pousse dans des copées, on appelle ça un copé,
11:09c'est en bois de tilleul.
11:11Et il y en a qui diront que ça donne un peu de goût,
11:15d'autres qui diront que non.
11:17Ces mêmes copées sont ceux que son grand-père, Alain Bavu,
11:20a lui-même utilisé auparavant.
11:22Car la pâtisserie La Bullie, c'est également une histoire de famille.
11:26Là, on voit mon grand-père, il y a environ 30 ans.
11:29Cette bassine-là, je moule les gâteaux encore dedans,
11:33comme mon grand-père il y a 30 ans.
11:35Les copées en tilleul sont les mêmes.
11:38Et voilà, en fait, on fait toujours pareil.
11:41Il n'y a que les personnes qui changent,
11:42mais ça reste toujours la même chose.
11:44A l'origine de cette pâtisserie, une abrésienne, Françoise Guillot,
11:48qui épouse un hôtelier de Saint-Génie nommé Pierre Labully.
11:51Elle a amené cette recette de brioche,
11:53au bon goût de fleurs d'oranger.
11:56Mais de base, il n'y avait pas de praline à l'intérieur.
11:58Il n'y avait qu'une praline sur le dessus.
12:00Et à la demande des clients de l'hôtel,
12:03ensuite, il y a eu des pralines à l'intérieur.
12:05C'est de là qu'est né le Saint-Génie.
12:07Après plus de trois siècles sous l'égide de cette famille,
12:10Paul Labully passe le flambeau à son dernier apprenti,
12:13Alain Bavu, qui rachète la pâtisserie en 1979.
12:17C'est la plus vieille que j'ai.
12:19C'était encore une photo de la place où on voit l'hôtel.
12:23On voit l'hôtel et il y a encore la bascule.
12:26C'est mon bébé, ça.
12:28J'ai travaillé depuis 1979 ici, ça fait quand même longtemps.
12:34Même que je ne travaille plus, je passe tous les jours.
12:36Je les embête peut-être, mais je passe tous les jours.
12:38A l'instar de leurs créateurs,
12:40la tradition semble se perpétuer chez les Bavus.
12:43Depuis 2006, son fils Jean-Philippe a pris les commandes de l'entreprise
12:48et dans plusieurs années viendra le tour des petits-fils,
12:51Étienne et son frère.
12:59Trouver son futur professionnel en travaillant,
13:02voici le principe de cette entreprise éphémère.
13:05Éphéméria existe depuis le 15 avril
13:08dans les locaux du CCI de Saint-Étienne.
13:10Un nom trouvé et conçu par les élèves.
13:13Ici, ce sont eux qui présentent leur entreprise
13:16aux invités, journalistes, école ou entreprise.
13:19On a un service web,
13:21on a un service communication,
13:25on a un service RH,
13:27tout au fond.
13:29Et de ce côté,
13:30on a un service face-à-face et concentre.
13:32Moi, je fais partie de l'équipe communication.
13:35Là, on fait communication interne et externe.
13:39Ici, je fais plutôt design graphique et animation.
13:44Chaque associé a entre 18 et 30 ans.
13:46Il recherche une solution d'avenir,
13:48alternance, formation ou contrat.
13:50Et pour trouver des offres,
13:52c'est le travail du call center
13:53et du face-à-face de vrais commerciaux.
13:56On va toquer aux portes directement,
13:58on va se présenter,
13:59présenter notre projet,
14:00présenter notre entreprise,
14:01et demander s'ils ont éventuellement
14:03des offres disponibles
14:04au sein de leur entreprise.
14:07On récupère grâce à des fiches
14:08toutes les coordonnées des entreprises, etc.
14:10Alors, elles seront en ligne
14:11sur notre site personnel qui est privé.
14:14Puis, proposer à l'ensemble des associés
14:16afin que chacun puisse y trouver son bonheur,
14:19trouver éventuellement sa prochaine alternance
14:21ou son prochain emploi.
14:22Les associés ont été répartis
14:24dans cinq services pour s'entraider.
14:26Certains sont déjà spécialisés
14:28dans leur domaine.
14:28En web, j'ai bien été choisi
14:30pour l'Assemblée Bonnaison
14:31que c'est quelque chose
14:33auquel je m'y connais plutôt bien.
14:34J'ai fait plusieurs diplômes,
14:36dont un BTS,
14:37un BTS SEO option SISR
14:40qui concerne justement
14:41tout ce qui va être réseau et informatique,
14:43système communiquant,
14:44et dû à ma licence aussi,
14:47qui est en informatique.
14:48Et d'autres non,
14:49mais c'est aussi un moyen d'apprendre un métier,
14:51d'être actif ou de sociabiliser.
14:53Le tout accompagné de trois coachs
14:55pour les accompagner.
14:56Déjà, de les aider à comprendre
14:58les codes de l'entreprise,
14:59qu'on les accompagne sur leur CV,
15:03sur leurs entretiens de recrutement,
15:05on fait des simulations régulièrement d'entretiens,
15:07et puis quelque part,
15:08on les fait monter aussi en compétence
15:09sur certains métiers.
15:11Je vais me dépasser un petit peu,
15:13sortir de ma zone de confort
15:14et devoir aller taper à la porte des entreprises
15:15pour présenter le concept des entreprises éphémères.
15:17Et on parle bien d'associés,
15:19car chacun a cotisé à hauteur de 2 euros,
15:21une somme qui servira à la fête de fin d'entreprise
15:24après le 28 mai 2025.
15:26Le concept est financé par la préfecture et la métropole,
15:30la cible,
15:30les jeunes issus des quartiers prioritaires.
15:32– Sous-titrage Société Radio-Canada
15:41– Sous-titrage Société Radio-Canada

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