Reportages :
- fête du chien
- Pâques à la médiathèque
- visite du Campus Univers Cascades
- un nouveau tiers lieu dédié à la santé et aux seniors au centre hospitalier
- réunion du conseil d'agglomération à Walincourt Selvigny
- les archives de BV
- fête du chien
- Pâques à la médiathèque
- visite du Campus Univers Cascades
- un nouveau tiers lieu dédié à la santé et aux seniors au centre hospitalier
- réunion du conseil d'agglomération à Walincourt Selvigny
- les archives de BV
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Béfroid Vision et moi-même sommes heureux et fiers de présenter votre journal hebdomadaire.
00:06Au sommaire, cette semaine, nous commencerons par la fête du chien, qui a eu lieu à la salle rurale.
00:12Nous nous rendrons ensuite à la médiathèque, où étaient organisées des activités de Pâques pour les enfants.
00:19Nous quitterons la médiathèque pour rendre visite aux cascadeurs, qui œuvrent dans les murs de la maison familiale rurale.
00:26Nous tendrons l'oreille au conseil d'agglomération de la CA2C.
00:33Le centre hospitalier du Cato a mis en place un tiers lieu consacré à la santé. Nous verrons de quoi il s'agit.
00:43Nos archives nous conduiront au Challenge Interstructure en avril 2005.
00:48C'est déjà loin, hein ?
00:49Comme annoncé au début de notre sommaire, nous commençons notre journal au milieu des toutous.
00:58En effet, nous avons baladé notre caméra à la fête des chiens, qui se tenait le dimanche de Pâques à la salle rurale,
01:05qui se trouve d'ailleurs à proximité du marché aux vestiaux.
01:08Claude attendu le micro à l'organisatrice, Marie-Christine Leuzière.
01:15Un reportage de Claude Delcourte et Cécile Cazé.
01:18Claude Delcourte, Cécile Cazé.
01:22Cécile Cazé.
01:23Cécile Cazé.
01:24Cécile Cáude, Cécile Cazé.
27:23toujours prêt. Je suis prêt à partir. Moi, je suis déterminé à réussir. Et moi, je suis prêt à les envoyer.
27:33Ok. Alors, si vous aviez une conclusion, ce serait laquelle ? Croire en ses rêves.
27:41Croire en tout. Il faut se donner les moyens. Faire ce qu'on veut. Avoir envie de faire ce qu'on veut sans donner les moyens.
27:49Et moi, écoutez bien, s'ils montrent l'envie et la motivation, l'investissement, je ferai tout et je leur donnerai un coup de pouce
27:56pour qu'ils puissent intégrer l'école et puis faire un stage ou une formation. Avec plaisir. Mais il faut montrer l'envie et la motivation.
28:04Le centre hospitalier du Cato a mis en place un tiers-lieu ressources santé, un endroit où les personnes pourront trouver de l'aide
28:12auprès d'associations dédiées et des réponses à leurs questions. Un reportage de Claude Delcourte et Cécile Cazé.
28:21Alors, ça y est, c'est lancé.
28:23C'est lancé. C'est le grand jour. Rapidement. Ça s'est rapidement mis en place. Compte tenu de la bonne volonté du volontariat de M. Dojimont,
28:32on est arrivé aujourd'hui à réunir, il y a huit associations qui sont présentes ou qui ont fait déposer des flyers ou qui ont déposé des flyers.
28:43Donc, la petite association tout à fait informelle qui s'appelle les Mousquetaires de la Santé peut commencer à travailler effectivement aujourd'hui.
28:53Et donc, je m'en félicite. Et on aura une inauguration officielle en octobre, ce qui nous permettra de pouvoir faire un premier bilan du nombre de personnes reçues.
29:04Mais on a déjà reçu depuis 14h, 3 ou 4 personnes. Et c'est une première. Donc, pour une première, je considère quand même que c'est une réussite.
29:15La permanence va se prolonger jusqu'à 16h cet après-midi.
29:19Alors, le pourquoi, c'est pour pouvoir donner en un lieu unique toute information susceptible d'aider les patients.
29:30Donc, en un lieu unique, c'est-à-dire ici, dans la petite pièce qui est juste à côté, les associations de patients, par exemple, atteint de fibromyalgie ou de cancer.
29:43Il y a l'espace ressources cancer qui est présente, qui est présente.
29:48Les patients pourront avoir toutes les informations utiles sur les lieux de répit, sur les droits, leurs droits, les aides possibles pour eux.
30:02Ici, au centre hospitalier de Le Cato.
30:08Le faire un Le Cato, c'est aussi pour éviter aux associations, c'est souvent des aidants, c'est souvent les conjoints.
30:16Par exemple, je prends quelqu'un qui est atteint d'une maladie de rond dégénératif.
30:20C'est le conjoint qui doit surveiller 24h sur 24.
30:24D'où l'importance d'avoir des lieux de répit et de les faire connaître.
30:27D'où aussi l'importance de venir à Le Cato, puisque ça évite...
30:31Parce que toutes ces associations sont probablement bien représentées, mais à Cambrai.
30:36Donc, quand on habite Le Cato, à moins de disposer d'un moyen, d'un véhicule personnel,
30:40il est parfois compliqué d'aller jusqu'à Cambrai, d'aller et retour.
30:44Mais je vous propose de faire le tour des associations présentes.
30:50Elles pourront se présenter, c'est le cas de le dire, beaucoup mieux que moi.
30:54Patrick Prudhomme, je suis bénévole au Petit Frère des Pauves depuis 2017.
30:59Je suis bénévole auprès des gens qui sont gravement malades et en fin de vie.
31:03Donc, visite à domicile et des visites aussi dans les hôpitaux et à la Clinique Sainte-Marie.
31:08Et là, aujourd'hui, avec mon collègue qui, lui, s'occupe plutôt de ce qu'on appelle la baraque AFRAT,
31:15qui font beaucoup d'activités dans des villages pour les personnes âgées et les personnes isolées.
31:23Disons déjà pour faire connaître l'association des Petits Frères des Pauves
31:27et puis apporter notre aide, si on peut l'apporter, renseigner les personnes et puis surtout les aider.
31:35Donc, bonjour à vous, chers auditeurs.
31:40Donc, je vais représenter la FNAT, la Fédération des Accidentés de la Vie,
31:46qui est à votre service.
31:51Donc, il y a une permanence le deuxième mardi de chaque mois,
31:54de 16h à 17h30 au Centre Socioculturel Coupri, aux 11 Rues du Marché aux Chevaux.
32:01Et le téléphone, le 06 27 22 48 17, afin de nous contacter.
32:09Donc, on est là, justement, pour conseiller, traiter les accidents de la vie.
32:14Donc, malheureusement, vous montez sur un escabeau, vous tombez,
32:20vous pouvez venir chez nous, nous vous conseillerons, afin de défendre votre dossier.
32:25En accident de travail également, nous sommes là pour vous aider,
32:33avec des médecins et des avocats qui peuvent vous représenter,
32:38représenter vos droits,
32:40et afin de bénéficier éventuellement d'une indemnité, s'il y a lieu de voir.
32:48Donc, aujourd'hui, nous sommes réunis avec Thierlieu,
32:54une association qui rassemble pas mal d'associations pour conseiller et aider les usagers,
33:04leur apporter des conseils, parce que bien souvent, les gens sont confrontés,
33:09ils ont des problèmes, ils ne savent pas où s'adresser.
33:11Donc, on est là pour faire un peu la courroie de transmission
33:15et pouvoir essayer de les aiguiller au mieux,
33:19afin de connaître leurs droits, et de défendre leurs droits également.
33:23Je représente l'association Fibro-Espoir de Caudry,
33:27qui oeuvre pour la fibromyalgie.
33:28Je suis donc Alexandra, la présidente.
33:31Alors, ça consiste en quoi ?
33:32Alors, la fibromyalgie, c'est le syndrome fibromyalgique,
33:35c'est une infection chronique, caractérisée principalement par des douleurs musculaires articulaires,
33:40dans tout le corps, une fatigue intense qui peut conduire jusqu'à la dépression.
33:44Perte de mémoire, etc.
33:47Oui.
33:47Alors, on peut leur expliquer qu'ils ne sont pas tout seuls,
33:50qu'ils vont rompre l'isolement et faire connaître l'association.
33:54Ils ne sont pas tout seuls, on a les mêmes choses qu'eux.
33:56Il ne faut pas hésiter à venir nous voir.
33:58Alors, les permanences, c'est tous les...
34:01Normalement, il y aura une permanence d'une association tous les jours,
34:04en fonction d'un plan in qui sera établi.
34:06En ce qui me concerne, comme je représente la Fédération Nationale
34:09être là, on sera présent le mercredi, en début d'après-midi,
34:14à partir de 13h, jusqu'à souvent 15h30, 16h.
34:18Enfin, le mercredi.
34:19Donc après, chacun choisira son créneau,
34:22en fonction des disponibilités de leurs propres bénévoles.
34:26Le conseil d'agglomération de la CA2UC s'est tenu le 9 avril.
34:32Le président, M. Siméon, a répondu aux questions de Didier Maréchal.
34:37Un reportage de Claude Delcourt, Didier Maréchal et Cécile Cazé.
34:42Bonsoir, c'était la réunion du conseil communautaire
34:48qui vient de se tenir à Wallincourt-Selvigny.
34:51Une occasion pour M. le Président, qui est à mes côtés,
34:54de répondre à quelques questions très curieuses
34:56qui vont être posées sur le point fort de la réunion
34:58qui a été le budget de la CA2C,
35:02c'est-à-dire un moment clé de cette année
35:04qui ponctue l'activité d'une année complète
35:08et qui engage en fait l'année à venir.
35:11Donc M. le Président, je vous passe la parole
35:12pour nous expliquer un peu le contenu de ce budget
35:14avec les méandres que constituent les budgets annexes
35:17et qui sont parfois d'une complexité que vous allez nous expliquer.
35:20Oui, bonjour à toutes et à tous, je vais essayer d'être simple.
35:23Le budget de la GLO, c'est un budget conséquent.
35:26Quand je vais annoncer à peu près 38 millions d'euros,
35:29c'est quand même gros quand on pense à ça.
35:32Dans nos budgets communaux, aucune commune de chez nous,
35:36bien entendu, n'a cette possibilité.
35:38Il faut d'abord dire qu'on reverse.
35:40On reverse aux communes rurales et aux communes urbaines
35:44à peu près 14 millions d'euros.
35:46On reverse aussi 8 millions d'euros à peu près
35:49de la taxe d'endure ménagère
35:52qu'on collecte et qu'on reverse à une structure
35:56qui est le Ciavette, qui a la compétence tri,
35:58collecte et déchets, déchets tri, incinération.
36:02C'est quand même une charge assez lourde et conséquente.
36:05Et puis après, on a nos dépenses très légères de personnel
36:10en termes de ratio personnel administratif,
36:14plus de personnel dans nos brigades vertes de patrimoine,
36:17d'électricité et d'intervention pour toutes les communes.
36:21On a des compétences aussi qui absorbent beaucoup de crédits,
36:26soit liées à la petite enfance, à l'aspect social,
36:29la prise en charge, soit liées aussi à nos deux piscines.
36:33On savait dès le début que c'était déficitaire,
36:36mais c'est un outil important qui permet à nos enfants
36:38aussi d'aborder l'éducation à la piscine
36:41et à celles et ceux qui aiment nager,
36:43d'aller dans nos deux piscines.
36:45Et puis derrière, vous avez des multitudes d'interventions,
36:48des fonds de concours que l'on verse aux communes rurales
36:52qui sont à peu près à chaque fois dans des enveloppes.
36:54Le global, chaque année, 350 000 euros
36:57autour de trois thèmes différents.
37:00Et puis on a d'autres missions,
37:02l'électricité dans les rues,
37:04c'est nous qui le finançons.
37:07Et puis le volet le plus fort dans les investissements,
37:10c'est le volet économique,
37:12c'est nos zones d'activité qu'il faut qu'on défende.
37:15Notamment aujourd'hui, on a parlé d'un terrain à Bertry
37:19pour un industriel qui vient s'implanter.
37:23Donc on va l'aider à investir.
37:25On a parlé de la continuation de la Vallée des Ries.
37:30On a parlé enfin de la zone des quatre veaux
37:32où il y a à peu près une enveloppe de 4,9 millions.
37:34Et au moment où je vous parle,
37:36depuis cette date, les camions arrivent sur le chantier
37:41pour travailler à la réalisation,
37:44la voirie, l'assainissement, les puits.
37:46C'est des projets de travaux de 4 à 5 mois qui vont arriver.
37:51Alors il faut dire que tout ça, c'est la vie d'une interco.
37:55Mais la richesse, il faut bien que les gens comprennent,
37:58c'est la richesse du développement économique
37:59qui nous permet de reventiler vers les communes rurales
38:03et d'essayer d'avoir des communes rurales équilibrées
38:08autour des bourgs-centres des villes.
38:11Par exemple, ici, le hasard, on fait la réunion à Manincourt.
38:14Manincourt, on est en train de reconstruire une crèche pleine et entière
38:18qu'on va inaugurer, j'espère, en octobre.
38:21Et donc on va remettre une crèche dans une commune rurale,
38:24un centre-bourg, puisqu'il y a quand même 2100 habitants,
38:27mais qui va irriguer toutes les communes.
38:29C'est-à-dire que les parents, jeunes, peuvent venir ici.
38:32Ils ont aussi la fibre, la fibre, on l'a financée sur tout le territoire.
38:36Les enfants pourront être mis dans les crèches
38:38et eux, ils pourront aller travailler, quoi.
38:40En plus des investissements que participent les communes.
38:43Il faut savoir que c'est un esprit communautaire.
38:45Alors certes, il y a des différences,
38:47certes, il y a quelquefois des nuances,
38:50certes, il y a des contraintes de la loi,
38:52mais c'est un état d'esprit qu'on a passé aujourd'hui
38:54au niveau de l'agglo.
38:56Je vous remercie pour ces précisions,
38:58mais je pense qu'il y a aussi un autre volet
39:00qui est important dans la com' d'agglo,
39:02qui a été abordé ce soir,
39:03qui est en fait lié au service qui est apporté
39:06par la com' d'agglo aux habitants du territoire.
39:09J'ai par là en tête les choses qui sont
39:12comme le pôle multimodal de Caudry,
39:15qui va permettre une mobilité plus facile
39:17au travers du territoire.
39:19Il y a toujours l'action qui est soutenue auprès des jeunes,
39:21auprès des permis de conduire,
39:22qui est une action importante.
39:24Et puis, je dirais, tout ce qui est autour des services,
39:28l'aide au développement économique
39:29pour les petites et moyennes entreprises,
39:30qui sont autant de volets qui s'ajoutent
39:32à ce que vous venez d'exposer.
39:33Vous pouvez vous en dire quelques mots, s'il vous plaît ?
39:35Oui, bien sûr.
39:35Sur le pôle multimodal,
39:38nous allons assumer le concept de la mobilité.
39:41Comment faire pour mieux déplacer nos populations ?
39:45Alors, bien entendu, il nous fallait retrouver deux centres.
39:48On a la gare Routière-au-Câteau,
39:50mais celle qui était à Caudry était obsolète.
39:53Donc, on va détruire la gare Routière,
39:55la reconstruire,
39:56avec des locaux quand même plus fonctionnels,
39:59des arrêts de bus,
39:59et en faire un nœud de coordination,
40:02aussi avec des possibilités,
40:04par une société qui est Wimov,
40:06et des voitures mises à disposition des gens
40:08qui y vont travailler.
40:10Donc, il faut réfléchir à partir de là,
40:12une petite étude,
40:14comment on pourrait,
40:14à partir du pôle multimodal de Caudry,
40:18qui va commencer cette année et l'année prochaine,
40:21qui fait quand même 4 millions d'euros,
40:22on va déposer aussi des subventions,
40:25PTS, au département, à l'État et à la région.
40:29Donc, on n'arrivera pas à ce coup-là.
40:31Il faudra essayer après de réfléchir entre le Câteau-Caudry,
40:36réanimer les bourses-centres,
40:38comment faire venir les gens des bourses-centres
40:40vers ces deux pôles multimodaux,
40:42multimodaux par contre,
40:43et puis réfléchir aussi,
40:45comment déplacer nos populations rurales
40:48si elles ont besoin de venir vers les bourses-centres.
40:52Je pense que l'enjeu de demain,
40:54c'est réfléchir par le biais d'une étude très légère
40:58qu'on a voulu mettre en place à cette facilité.
41:02Après, c'est vrai, on aide beaucoup les petits commerçants,
41:04les petits artisans.
41:05Ici, j'ai vu qu'on a encore deux petites entreprises,
41:10dont M. Langlois au Câteau,
41:13une société d'ospoir,
41:15je parle du Câteau parce qu'on est à la télé locale,
41:18qui va se faire au carrefour du boulevard Pâture.
41:23Donc, on a aidé quand même bien ces deux entreprises.
41:26Et on aide aussi tous les projets des communes rurales
41:29qui veulent améliorer leur cadre de vie,
41:32des accueils dans leurs bâtiments communaux,
41:34tout ce qu'on peut imaginer.
41:36Ils ont des fonds de concours de 20 000 ou 30 000 euros,
41:39selon la nature de leur choix.
41:41Alors, ces fonds de concours, c'est important pour les maires.
41:44Mais ces fonds de concours sont cumulables aussi
41:46avec le département,
41:49qui est un des principaux acteurs de l'aide,
41:52avec souvent parfois l'État, parfois la région.
41:55Et nous, on intervient aussi.
41:57Donc, ça fait diminuer l'enveloppe de dépenses
42:00par le biais de recettes pour nos territoires.
42:02Et nos territoires, il faut qu'ils vivent.
42:04Donc, pour qu'ils vivent, il faut réaliser des travaux,
42:07des investissements.
42:08Mais il faut savoir aussi, dire à nos citoyens,
42:11qu'on ne peut pas tout faire partout en même temps.
42:14Que les exigences pour certains d'aujourd'hui,
42:16parce qu'ils ont des jeunes enfants,
42:18c'est la petite enfance,
42:19que pour des personnes âgées,
42:21ils veulent des lieux de promenade,
42:23de découverte,
42:23ou une bibliothèque, médiathèque,
42:26eh bien, c'est d'autres aspirations.
42:27Donc, il faut essayer de satisfaire au mieux,
42:30tout en ayant une chose,
42:31c'est qu'il ne faut pas augmenter la fiscalité.
42:34Et ça, je crois que c'est le clé de voûte actuellement.
42:37Les gens ne nous pardonneraient pas
42:38si on augmentait la fiscalité locale.
42:41Et moi, je n'ai jamais augmenté la fiscalité locale
42:43depuis l'agglo un certain temps
42:46et je continuerai à maintenir le cas.
42:48Oui, je crois que la fiscalité, effectivement,
42:51on ne l'a pas augmenté.
42:52Ça a été délibéré tout à l'heure.
42:53Mais je vous remercie.
42:54Je crois qu'on a fait un tour d'horizon assez complet
42:56de ce qui s'est dit ce soir.
42:58Un tour d'horizon qui nous permet de voir un petit peu plus loin
43:01dans ce que sera l'avenir de la CA2C
43:03qui s'annonce prometteur.
43:06Alors, maintenant, c'est le moment tant entendu
43:08de certains d'entre vous,
43:10de se replonger en 2005 au catho.
43:12Cette fois, nous allons revivre
43:15le Challenge Interstructure.
43:28Aujourd'hui, nous sommes réunis
43:32au Challenge Interstructure du Cambresi
43:36pour une action à la fois de loisirs, de sport,
43:39mais aussi de santé
43:40autour d'une activité qui s'appelle Acapulco
43:43qui a été conçue par le CDPA
43:45qui est ma structure au niveau de la prévention
43:48de l'alcoolisme et des conduites addictives.
43:51À ce niveau-là, nous proposons un programme éducatif
43:54autour d'activités sportives et de loisirs
43:56qui sont pratiquées pendant les vacances scolaires
43:58dans différentes structures.
44:00Et depuis le mois de décembre,
44:01à chaque vacance scolaire,
44:03nous réunissons avec les animateurs
44:04des différents centres d'accueil et de jeunes,
44:08comme la maison des enfants du catho,
44:10le centre social Avenir Jeunes de Caudry,
44:12l'office municipal des sports d'Anich,
44:15le service Enfance et Jeunesse de Cambrai
44:17et la maison des jeunes de Beauvoir en Cambraisie,
44:20autour desquels, en fait,
44:21ils ont réuni des équipes d'activités sportives
44:25et les différentes équipes des différentes communes
44:28vont se rencontrer,
44:30non pas pour un tournoi de sport,
44:33mais plus pour un challenge
44:34où le plaisir est de fête
44:36et où aucune compétition n'est admise.
44:40Nous ne comptons pas les points,
44:42mais des activités ludiques sont proposées
44:44par rapport à des jeux qui nous proviennent
44:46du Mexique à Acapulco.
44:50En termes de travail,
44:53il consiste dans ce cadre-là
44:55de présenter une carte postale.
44:59Les jeunes sont invités,
45:00après chaque jeu qui sont pratiqués,
45:03à écrire une carte postale
45:04et exprimer ce qu'ils ont ressenti
45:06et ce qu'ils ont aimé,
45:07ce qu'ils n'ont pas aimé également
45:08au niveau de l'activité,
45:10pour le présenter sous forme de carte postale.
45:12Ce travail sera envoyé au Mexique,
45:15à Acapulco,
45:16pour ensuite être retourné
45:17sous forme de journal
45:19qui sera rétribué au niveau des jeunes.
45:21Donc à ce niveau-là,
45:23l'ambiance est de fête.
45:25L'ambiance est non pas à la compétition,
45:27mais plus au plaisir de jouer ensemble.
45:29Et c'est vraiment une activité de prévention
45:31et d'éducation pour la santé
45:33parce que par ce biais-là,
45:35nous développons chez eux l'estime de soi,
45:38nous développons aussi les capacités
45:40à trouver les qualités qu'on a chez soi,
45:43exprimer ses émotions,
45:44exprimer son ressenti,
45:46et en fait qui sont des déterminants
45:47de santé majeurs
45:48dans la prévention des conduites addictives
45:49et la prévention de l'alcoolisme.
45:51Le programme pédagogique à Acapulco existe depuis 1993
45:55et il a fait ses preuves,
45:57notamment au sein de l'éducation nationale,
45:59puisqu'il a été travaillé avec l'inspection académique.
46:03Et au niveau des collèges,
46:05donc du département du Nord,
46:07le programme est assez bien suivi
46:09et se développe pas mal.
46:11Depuis deux ans,
46:12en fait, Acapulco est sorti des collèges
46:14pour se développer au niveau des centres de loisirs
46:17et des centres sociaux.
46:18Et nous avons proposé des versions sportives,
46:21des versions de loisirs
46:22et une version aussi culturelle par le théâtre.
46:25Donc les activités qui sont proposées là
46:27sont issues, en fait,
46:28en les mêmes objectifs que le programme pédagogique
46:30qui a été travaillé avec l'éducation nationale.
46:32Toute l'équipe de Beffroi Vision se joint à moi
46:35pour vous remercier de votre fidélité.
46:38Au revoir et à bientôt.
46:40Sous-titrage Société Radio-Canada