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Près d'un an après les émeutes qui ont secoué la Nouvelle-Calédonie, des habitants nés hors de l'île partagent leurs incertitudes, alors qu'ont lieu de nouvelles consultations sur son avenir institutionnel.

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Transcription
00:30Je connais plusieurs personnes qui ont décidé de partir, la majorité en lien avec ce qui s'est passé quand même en mai.
00:40Moi personnellement, mon espoir c'est quand même de construire ma vie dans ce beau pays avec les belles personnes qui s'y trouvent.
00:47Donc tant qu'on ne me chasse pas, ce qui est quand même un risque potentiel, je resterai ici effectivement.
00:55Il y a des problèmes de chômage, il y a des problèmes avec tout ce qui est institutionnel et en plus on est dans une conjoncture mondiale assez difficile avec des ingérences de l'extérieur.
01:10Comment concilier à arriver à trouver une solution pacifique à ça ?
01:16J'ai pitié de Valse.
01:20Mais oui, comment il va arriver à jongler tout ça ?
01:24Je pense qu'on est exactement au même stade qu'il y a un an, c'est-à-dire qu'on voit que les politiciens ne pensent qu'à eux et ne regardent pas l'intérêt du peuple, que ce soit d'un côté ou de l'autre.
01:38Mes enfants sont nés ici, donc si je me bats c'est pour eux, pour qu'ils aient un avenir, même s'ils travaillent à l'extérieur pour le moment, mais je sais qu'ils reviendront.
01:47Donc voilà, non, non, pas du tout envie de partir.

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