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Véronique Jacquier rebondit sur le recueillement au Sénat après la mort d’Aboubakar : «Il faut déclarer la guerre à ceux qui poignardent». 

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Transcription
00:00On l'expliquait, on ne peut pas le dire en deux mots.
00:02Soyons sérieux, c'est un sujet grave.
00:04Et j'avondrais dans son sens, c'est-à-dire que je pense qu'on est en train de réinventer des rites républicains
00:08parce que justement il y a des perditions des rites dans notre société en règle générale.
00:14Moi je ne pense pas que ce soit ça du tout.
00:17C'est la peur de l'émotion et la peur d'être ciblée.
00:20C'est la politique de l'émotion, il y a deux choses.
00:22Il y a la politique de l'émotion et la peur qui cachent toute l'impuissance
00:26que nous avons à juguler le nombre de victimes qui est de plus en plus important malheureusement
00:31parce que si on en est à se dire faut-il une minute de silence pour chaque victime
00:35c'est bien parce qu'il y en a quand même de plus en plus
00:36et qu'il y a 20 ans la question ne se posait même pas.
00:39Et la deuxième des choses c'est que si je vais dans votre sens Pascal
00:42c'est-à-dire mais ne faut-il pas une minute de silence pour toutes les victimes
00:46ça veut dire qu'il faut quand même déclarer la guerre à ceux qui poignardent,
00:51à ceux qui sont sur notre sol.
00:53Vous avez bien compris le sens de ma formule.
00:55Et il faut l'assumer.
00:57Et Gérard Larcher l'assume à moitié.
00:5930 secondes.
01:01On n'a pas entendu mais...
01:02Juste une chose.

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