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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 28/04/2025.

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Sport
Transcription
00:00Les gars, il a lancé une mode de jeu avant tout le monde.
00:03N'est-ce pas Raphaël ? Vous auriez pu aussi...
00:04Regardez la mèche virtuelle.
00:05Il a trop péruxidé du coup.
00:07Le résultat.
00:09On va revenir sur le Paris Saint-Germain qui va jouer contre Arsenal.
00:13On a les images de leur défaite vendredi ?
00:15La première défaite de la saison en Ligue 1.
00:16Ils ne termineront pas la saison.
00:17Les Parisiens invincibles dans notre championnat de France.
00:21Défaite 3 face à Nice.
00:23Regardez la 34e minute de jeu avec Morgane Sanson pour l'ouverture du score
00:26qui va tromper Gianluigi Donnarumma.
00:29L'égalisation du PSG avec Dembélé, le petit piquet pour Ruiz à la limite du hors-jeu
00:34qui égalise.
00:35Magnifique but Ludovic, vous avez raison.
00:37Le doublé de Morgane Sanson.
00:38Regardez à la reprise.
00:40En deuxième période, quel but de la part de Morgane Sanson
00:43qui donc permet avec ce joli geste de faire mener son équipe de 1
00:47de reprendre l'avantage magnifique.
00:50Franchement, un début du week-end.
00:51On verra un autre tout à l'heure.
00:52Celui d'Amin Goury bien évidemment avec l'Olympique de Marseille.
00:56Ndiaye Chimier fait le break sur un coup franc de Bouhani.
00:59Qui marque donc de la tête.
01:00Et donc Paris qui est tombé aussi, il faut le dire, sur un énorme bouleca
01:03qui sera dans le baromètre.
01:04On vous montrera d'autres arrêts tout à l'heure dans le baromètre de la Ligue 1.
01:08On va écouter Louis Senriquet qui n'est pas du tout un qui est malgré la défaite
01:11et avant d'aborder la demi-finale face à Arsenal.
01:13Ce que j'ai vu, je signe pour mardi à Londres et je signe aussi pour le match retour.
01:18Ce que j'ai vu sur le terrain de jeu, une équipe qui a 30 occasions de marquer, je signe.
01:24Alors bien sûr, je ne signe pas pour les résultats mais je ne suis pas du tout inquiet.
01:29Il n'est pas inquiet Louis Senriquet.
01:33Ludo Braignac, est-ce que vous restez confiant pour le Paris Saint-Germain ?
01:36Je reste très confiant.
01:37Malgré la semaine.
01:39Parce que je vais vous poser une question et je vous la pose à tous les deux.
01:41Désolé Karim, vous ferez votre sketch ancien joueur, tout ça.
01:43Mais tous les deux là, Benoît et Ludo.
01:45Non mais j'ai une question vraiment parce que moi je ne peux pas avoir la réponse.
01:49Est-ce que vraiment, quand le championnat est plié, il y a certes l'invincibilité.
01:52Mais vous avez Arsenal qui arrive le mardi.
01:56C'est normal ?
01:56Mais c'est dans les têtes, évidemment.
01:58Je ne sais pas, je vous pose la question.
01:59Évidemment que c'est dans la tête, vous avez déjà fait le boulot.
02:01Et franchement, Paris, déjà ils sont tombés sur un très bon Nice.
02:04Ce qui est déjà à signaler.
02:09Cette équipe, elle a vraiment challengé le Paris Saint-Germain.
02:11Le seul truc qui m'inquiète un petit peu, c'est que c'est encore une nouvelle fois.
02:15Coup de pied arrêté, centre.
02:17Et le positionnement des défenseurs parisiens sur les ballons qui viennent de côté,
02:22comme ça, sur des centres fuyants, c'est presque affolant.
02:27C'est-à-dire le laxisme de Marquinhos et parfois de Pacho sur ce genre de situation
02:33peut être de source à nous inquiéter un petit peu.
02:37Néanmoins, je pense que le niveau de concentration sera beaucoup plus élevé.
02:41Mais comment on peut ne pas être concentré à 100% sur un règle ?
02:45On ne peut pas les accuser parce que cette année, ils ont eu vraiment très peu de relâchement.
02:50Ils n'ont rien laissé. Honnêtement, très peu.
02:52Même là, ils ont 30 tirs.
02:53Là, tu es en demi-finale. Tu as fait le job, tu es champion.
02:56Tu as failli être à trois journées de la fin.
02:59Tu as poussé le record. Ça ne se joue à rien.
03:02Mais là, ce match-là, il est hyper important.
03:03Ça change une vie d'aller en finale et de gagner une Champions League.
03:08Donc évidemment que c'est dans les têtes.
03:10Et évidemment qu'ils étaient déjà dans la projection du match d'après.
03:14On ne peut pas leur en vouloir.
03:15Non, mais je n'ai pas dit qu'il fallait leur en vouloir.
03:16Mais moi, je voudrais comprendre.
03:17Benoît, s'ils sont capables, alors.
03:20Je prends vos paroles d'anciens joueurs.
03:21Je bois ces paroles-là.
03:23Est-ce que la meilleure préparation, ce n'est pas la victoire ?
03:26Est-ce que ce n'est pas d'être concentré à 300% et pas à 98% ?
03:29Parce qu'ils n'ont pas fait un mauvais match.
03:30Je le disais, 30 tirs.
03:32Franck Haise avait fait une conférence de presse géniale après match.
03:35Puisqu'il dit qu'il fallait qu'on soit à 3 tirs, 3 buts et avec un super gardien.
03:40Est-ce que ce n'est pas une mauvaise préparation quand même ?
03:43Là, Luis Enrique fait de la bonne communication.
03:46Parce qu'en vrai, je pense qu'il aurait préféré que le Paris Saint-Germain domine le débat face à Lys.
03:54Après, il y a différentes raisons et ça peut se comprendre.
03:58Mais malgré tout, pour préparer un match de Champions League, c'est toujours mieux de se rassurer, de gagner.
04:03Bon, il y a eu des fêtes.
04:04À côté de ça, ils ont eu énormément d'occasions.
04:08Donc, il y a juste à rectifier le tir.
04:10Mais attention, c'était les mots du PSG.
04:12Je suis d'accord.
04:13Sauf que là, on joue une demi-finale de Champions League.
04:16Là, c'est un tout autre match.
04:17Puis t'arrives sur la fin, les organismes, ça commence à tirer.
04:20T'as fait beaucoup de matchs.
04:21Et là, même si ça tire, c'est dans la tête que ça se joue.
04:24Pour les quatre équipes, d'ailleurs.
04:26Là, tu gagnes ce match aller.
04:30Si tu le gagnes, c'est au mental.
04:32Et là, jusqu'au bout, ce sera au mental.
04:34Parce que toutes les équipes, on le voit.
04:35Toutes les équipes sont fatiguées.
04:37On a vu le Barça samedi.
04:39Ils ont eu un gros cœur en début de seconde période.
04:43On sentait que c'était compliqué pour eux.
04:45Tout le monde est fatigué.
04:46Là, ce sera au mental.
04:47Ce sera sans doute aussi au talent.
04:48Oui, parce que finalement, il y a l'Inter aussi qui a perdu ce week-end contre la Roma.
04:51Et qui a peut-être perdu même le titre.
04:53Puisque le Napoli est repassé devant.
04:54Mais c'est vrai que quand on regarde l'état de forme des deux équipes qui vont s'affronter Arsenal et Paris Saint-Germain,
04:58sur les dix dernières rencontres, on n'est pas sur une domination sereine sur des statistiques
05:03qu'on avait pu voir de ces deux équipes au mois de février et au mois de mars.
05:06Arsenal, c'est seulement 50% de victoire.
05:08Ça marque moins de buts.
05:10Ça réalise moins de clean sheets.
05:12Des deux côtés, il y a un état de forme qui est plus inquiétant ou pas.
05:17Mais en tout cas, qui est généralisé en Europe sur les demi-finales.
05:19Est-ce que c'est parce qu'il y a la demi-finale qui arrive ?
05:21En fait, Karim, on sera en huitième.
05:22Ces chiffres-là seraient alarmants pour les quatre équipes d'ailleurs encore en liste.
05:24Même si le Barça a gagné, je sais bien qu'on peut en faire exception.
05:27Mais de toute façon, ça sera une des quatre qui va remporter avec des champions.
05:30Donc on a bien compris que le PSG, oui je sais, merci, ou même Arsenal,
05:35finalement, et même le Barça et l'Inter en fait, ils gagneront en prenant des buts.
05:38Il faudra juste en mettre un de plus.
05:39Enfin je veux dire, maintenant on ne peut pas leur demander d'être imperméables.
05:41Non mais on ne peut pas comparer, et quel que soit le moment de l'année,
05:44un match de Ligue des Champions, un match de championnat.
05:46La motivation n'est pas la même, l'implication n'est pas la même,
05:49mais l'intensité n'est pas la même.
05:51Là, quand vous regardez dans le détail, si on s'arrête juste à la lecture du résultat,
05:54on va dire que le PSG a perdu, le record d'inversibilité ne sera pas là,
05:58et Paris perd contre Nice à domicile 3-1.
06:01Mais quand vous regardez le match, Boulka, il fait un match extraordinaire.
06:03On n'en a rien à Nice, qui fait franchement une fin de championnat superbe,
06:06et vraiment une saison vraiment intéressante.
06:09Mais voilà, le match de Boulka fait que, dans un monde normal,
06:12avec un gardien un peu moins fort, il y a un minimum match nul,
06:15dans ce match-là, entre le PSG et Nice, et on n'aurait peut-être pas à ce débat-là aujourd'hui.
06:19En revanche, le match qui m'inquiétait un peu plus, c'est celui de Nantes,
06:21où je n'ai pas vu un Paris souverain non plus,
06:24contre une équipe qui se bat pour se maintenir.
06:28Oui, les organismes sont fatigués,
06:29oui, la réussite est moins présente pour un joueur comme Dembélé, par exemple,
06:32même si, dans ce match-là contre Nice, je ne l'ai pas trouvé.
06:35Il fait une belle passe.
06:35Voilà, il fait une super passe pour Fabien Ruiz.
06:38Moi, la semaine dernière, je disais que le PSG, pour moi, avait une avance par rapport à Arsenal.
06:46Je le pense toujours, je pense que la confiance est toujours là,
06:48que Luce Enrique saura trouver les mots pour son équipe.
06:51En revanche, Arsenal, on ne parle pas beaucoup de l'adversaire,
06:56mais c'est vrai que cette équipe-là, cette saison,
06:58a montré une qualité de rebond également intéressante.
07:02Ce fut le cas dans le même match contre le Real Madrid, la semaine dernière.
07:05Oui, mais les deux équipes se ressemblent en face,
07:06parce que Paris-Count City, ils ont eu du rebond aussi.
07:09Et je ne sais pas si c'est une bonne chose, vraiment, d'avoir une équipe un peu miroir,
07:12même si ce ne sont pas les mêmes styles de jeu, tout cela.
07:15Parce qu'ils ont quand même pris deux buts, on peut aussi dire que Paris prend trois buts,
07:17mais ils en prennent deux contre Crystal Palace à domicile.
07:19Il va falloir vraiment que le PSG ait un degré, au-delà du talent dont tu parles,
07:22je suis complètement d'accord avec toi, le maître mot sera la concentration.
07:26Vous avez évoqué ce mot-là, la concentration sera primordiale dans ce match-là contre Arsenal.
07:30C'est ce qui a fait des faux, d'ailleurs, au Real Madrid dans ton précédent.
07:33Ce qu'il fallait absolument, c'est que les joueurs aient du rythme, le 11 titulaire aient du rythme.
07:37Je crois qu'à Arsenal, ils ont pris une autre option, d'ailleurs, de faire plutôt du frais.
07:43Je pense qu'il y a une équipe qui arrive encore en canne à ce niveau de la compétition,
07:51c'est bien le Paris Saint-Germain.
07:52De par l'intelligence du turnover de Luce Henriquez sur la saison,
07:55je pense que s'il y a une équipe des deux qui a plus de canne que l'autre, ça sera pareil.
07:59Il faudra encore le démontrer parce qu'on l'a dit, le mental rentrera en ligne de compte.
08:03Il faudra aller chercher des valeurs et aller à la limite de la souffrance pour essayer d'aller faire un résultat là-bas.
08:09Mais je trouve qu'ils ont quand même beaucoup d'arguments.
08:12Il y a quand même cette série d'invincibilité.
08:14Alors, ça nous a permis un truc, c'est de voir que les Nantais aient beaucoup d'humour.
08:18C'était plutôt sympa de voir leur réaction, ce record, tout ça.
08:20Est-ce qu'ils en font un drame, les Parisiens ?
08:22Absolument pas.
08:23Alors, vous parliez, Greg, de la réaction, c'était sympa ce petit chambrage des Nantais, pour le plaisir.
08:28On revoit ensemble cette photo publiée par le compte X des Nantais avec Patrice Loco, Nicolas Ouédek.
08:36C'est 32 matchs, donc que les Parisiens ne battront pas.
08:40Ce record qui restera pour les Canaries.
08:43Alors, les Parisiens, franchement, cette défaite, elle reste finalement assez anecdotique.
08:47Ils en avaient fait, certes, un objectif pour motiver les troupes en cette fin de saison.
08:50Luis Enrique avait longtemps dit, je ne suis pas là pour établir des records, mais pour gagner des titres.
08:55Et pour avoir échangé avec Loïc Tanzi, qui suit de près le Paris Saint-Germain, en interne, on n'en fait absolument pas un drame.
09:01On est 100% focus sur la Ligue des Champions, comme le disait Ludo, comme le disait Benoît.
09:06On part du côté d'Arsenal, on va à l'Emirates.
09:08On a retrouvé notre Tintin reporter, Giovanni Castellit, avec nous, avec Jérémy et Jalingro derrière la caméra.
09:13Bonsoir, messieurs, bonsoir, Giovanni.
09:15Giovanni, on en a pris l'habitude, maintenant, il faut nous gâter, on attend ça.
09:18Une petite visite de l'Emirates.
09:20Bien sûr, Greg, pour votre retour de vacances, j'espère que ça se passe bien, la reprise au boulot.
09:28Alors, on va commencer par la tribune de presse.
09:29Une fois n'est pas coutume, juste là, ici, à l'Emirates.
09:32On est très, très proche de la pelouse.
09:34Ça, c'est une grande chance.
09:35Et on va descendre, justement, sur cette pelouse, qui est sublime, comme toutes les pelouses anglaises.
09:40Et pour une fois, Greg, la température est exceptionnelle.
09:43Donc, il va y avoir, en plus, du soleil sur un terrain anglais.
09:46C'est rare.
09:46Alors, Jérémy, ne te casse pas la figure, on voit sur la gauche le staff d'Arsenal qui est déjà présent, même si c'est les Parisiens qui vont débuter l'entraînement dans quelques instants.
09:56Et puis, ces tribunes magnifiques de l'Emirates Stadium.
09:58Alors, on ne va pas vous vendre une ambiance aussi folle qu'à Villapark ou à Anfield, parce que là, c'est un peu plus calme.
10:04Disons que les londoniens ici à Arsenal sont plus tranquilles, mais c'est un stade vraiment qui a du coffre, qui a de l'ampleur.
10:10Jérémy, viens, on va s'approcher un petit peu pour voir cette belle et magnifique pelouse.
10:15Voilà, vous voyez, conditions impeccables.
10:17Pelouse sublime, soleil.
10:20Là, il y a des anciens joueurs.
10:21Je crois qu'il y a Ludo Obragnac en plateau.
10:23Et j'ai entendu aussi Karim Benhani qui a joué à Coventry, même si c'est loin.
10:26Là, ça doit rappeler des souvenirs.
10:27Elle est magnifique, cette pelouse anglaise.
10:29Ce qui est bien, c'est que vous faites double faute.
10:31C'est-à-dire que vous relancez Karim sur Coventry, ce que je ne veux pas, et vous oubliez Benoît Trébounias en tant que joueur.
10:36Donc là, autant vous dire, Giovanni, qu'à mon avis, vous êtes une énorme casserole.
10:40Je ne peux pas vous dire autre chose.
10:41Giovanni, connaissez le classique.
10:42Oui, vraiment, c'est terrifiant.
10:43La pelouse est belle, on l'a bien vu.
10:46Allez-y.
10:49Oui, non, mais je n'avais pas entendu qu'il y avait Benoît, évidemment.
10:52Benoît à l'immense latérale gauche des Girondins et de l'équipe de France.
10:55Un bien plus beau pied gauche que Ludo, d'ailleurs.
10:57Voilà, là, c'est bien.
10:58Là, vous remettez un peu d'huile sur le feu.
11:00Là, on apprécie.
11:00Vous restez avec nous, Giovanni.
11:02Il est beau ce stade-là, Benoît.
11:04Je ne suis pas sûr qu'il soit très brouillon sur le match.
11:07Apparemment, ce n'est pas non plus une ambiance incroyable.
11:09Et là, c'est une demi-finale.
11:10C'est encore autre chose, là.
11:12Oui, mais là, après, ce sera les ambiances à l'anglais.
11:14C'est-à-dire que sur le premier tact de Partey,
11:17qui va rentrer dedans sur du Dimbélé.
11:20Il ne joue pas à Natchez.
11:21Il ne joue pas à Partey.
11:23Si c'est des Clannery, c'est pareil.
11:24Ça va gronder.
11:25Parce que les Anglais, ils aiment ça.
11:26Ils aiment mettre un peu la pression.
11:30Imaginez le coufran.
11:30Imaginez qu'ils aient un coufran à 25 mètres.
11:32Ça va pousser.
11:33Ça va faire du bouillie.
11:33Ça va complètement pousser.
11:35Et puis, juste pour terminer,
11:37la chance à ces équipes anglaises,
11:39c'est qu'ils jouent sur des terrains exceptionnels.
11:41C'est-à-dire que là, le terrain…
11:43Le parc aussi.
11:44C'est vraiment une des plus belles…
11:45Là, je peux vous dire que ça va aller très vite.
11:47Il va y avoir beaucoup d'intensité.
11:49Le terrain est très grand.
11:50Pelouse parfaite.
11:51On s'attend à un très beau match.
11:52On oublie l'attente qu'il y a autour d'Arsenal aussi.
11:54Parce qu'on parle beaucoup du PSG, évidemment.
11:55En France, c'est logique.
11:57Mais l'attente autour de ce club-là,
11:582006, la dernière finale de Ligue des Champions,
12:00autour de Barça.
12:01On s'en souvient avec la victoire du Barça de Ronaldinho,
12:03la sortie de Pires, etc.
12:07Il y a une attente quasiment 20 ans, 19 ans,
12:10qu'Arsenal n'a pas été en finale de la Ligue des Champions.
12:12C'est une attente colossale.
12:14Et c'est aussi une sorte,
12:18et on en parlait beaucoup sur ce plateau
12:20et dans les autres émissions de foot,
12:22une sorte d'aboutissement pour Arteta.
12:24On a fait confiance à Arteta depuis de nombreuses années,
12:27souvent critiqué parce qu'il n'arrivait pas à gagner
12:30un trophée avec cette équipe-là.
12:32Il a mis en place une stratégie, une tactique.
12:34Il a vraiment remodelé ce club-là
12:36comme a essayé de le faire vinguer pendant de nombreuses années.
12:38Il est là depuis longtemps.
12:39C'est une sorte d'aboutissement et d'apothéose aussi pour lui.
12:41Donc voilà pourquoi c'est un match qui lui tient à cœur aussi peut-être.
12:44Giovanni, la confe tout à l'heure,
12:46on a vu Vitinha, on l'a écouté un petit peu,
12:49on a écouté Louis-Sénriquet.
12:50Comment vous les avez trouvés ?
12:51Qu'est-ce que vous avez retenu de cette confe ?
12:52Parce que Vitinha, c'était un des leaders.
12:54Ça fait un petit mois quand même qu'il est un peu en deçà
12:56et en dedans,
12:58et qu'il livre même des prestations plus que quelconques,
13:00un peu suffisantes.
13:01Qu'est-ce que vous en pensez de leurs prestations ?
13:04Pour le coup, Vitinha a été assez honnête.
13:08Il a dit qu'effectivement, il était moins bien.
13:10Il a dit qu'on n'est pas des robots.
13:11On est des humains,
13:12donc je ne suis pas particulièrement inquiet.
13:14Demain, tout ira bien.
13:15Pour ce qui est de Louis-Sénriquet,
13:16honnêtement, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas trouvé.
13:19Alors tendu, c'est un tantinet excessif,
13:21mais disons que voilà,
13:22il n'était pas aussi décontracté que d'habitude.
13:25Il a joué la carte qu'ont joué les deux Olympiques
13:27depuis le début de la saison,
13:28à savoir seul contre tous.
13:29Vous êtes négatif autour de nous,
13:31alors que j'ai l'impression,
13:32et pour le coup, je pense que tout le monde le partage en plateau, Greg,
13:35que le climat est extrêmement positif
13:36autour du Paris Saint-Germain depuis la victoire
13:38face à Manchester City.
13:40Donc ça veut dire, mine de rien,
13:42en dépit de ce qu'on nous raconte
13:43et de ce qu'on nous dit,
13:44que la période actuelle que traverse le PSG,
13:47ce n'est pas anodin
13:48et qu'il y a un petit peu de tension,
13:50mais c'est logique.
13:51En tout cas, c'est ce que j'ai ressenti
13:52à travers le comportement
13:54et les mots de Louis-Sénriquet.
13:56Oui, logique.
13:57Demi-finale de la Coupe d'Europe,
13:58on en parlera dans un instant.
13:59On aura l'entraînement du PSG en direct.
14:01Vous restez avec nous.
14:02On sera sur la pelouse de l'Emi-Rex
14:04pour vous faire vivre l'entraînement du PSG
14:06à J-1.
14:07A tout de suite.

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