[#Journal] Le 19H30 du 17 Avril 2025
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00:00Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, bonsoir, ravis de vous retrouver dans votre nouvelle
00:21édition d'information.
00:24Cette édition d'information revient un caractère particulier puisque la rédaction de Gabon
00:29Media Time a décidé de la consacrer exclusivement à la Journée nationale de la femme décrétée
00:36en 2017 en l'optique de favoriser des politiques publiques inclusives.
00:42Nous ouvrirons ce journal avec un extrait du discours prononcé par la ministre de la
00:47Femme et de la protection de l'enfance à l'occasion de cette journée.
00:52En ouverture donc pour cette année, les célébrations officielles de la Journée nationale de la
00:58femme auront lieu en différé puisque la patronne de ces départements ministériels l'a
01:03officiellement annoncé la veille de l'événement.
01:06Écoutons-la.
01:07Mesdames et messieurs, le Gabon, notre pays, célèbre chaque 17 avril la Journée nationale
01:15de la femme.
01:15Par cette célébration, nous voulons réaffirmer l'engagement de notre pays à l'application
01:23pleine et entière de la Convention pour l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard
01:31des femmes, la CEDEF, et au protocole additionnel aux droits de la femme en Afrique adopté par
01:39la Conférence des chefs d'État et de gouvernement de l'Union africaine à Maputo en 2003.
01:46Le thème retenu cette année est l'engagement communautaire pour l'égalité de genre et
01:54l'autonomisation des femmes.
01:56Le gouvernement, considérant les droits de la femme comme une marque de développement
02:02inclusif de notre société, organisera en différé la Journée nationale de la femme
02:10le samedi 26 avril 2025 à Mouïla, dans la province de Langounier.
02:17Celle-ci consistera spécifiquement à assurer le lancement d'une campagne de communication
02:25nationale sur le changement de comportement dans la participation à la vie politique.
02:31L'appui à l'autonomisation socio-économique d'une dizaine d'organisations féminines par
02:40des accompagnements spécifiques.
02:42Nous poursuivons cette édition spéciale consacrée à la Journée nationale de la femme
02:46qui a pour thème l'engagement communautaire pour l'égalité de genre et l'autonomisation
02:52des femmes.
02:53Nous avons demandé à des personnalités politiques féminines ce qu'il en est des avancées
02:58dans ce milieu.
03:00Avec nous au téléphone dans un premier temps, Anna-Claudine Ayo, vous êtes cinquième
03:04vice-présidente du Sénat de transition.
03:07Merci d'avoir accepté notre invitation.
03:09Alors, qu'en est-il en ces temps de transition de l'implication des femmes dans les sphères
03:14de décision ? Et pour être tout à fait en cohérence avec la thématique retenue cette
03:19année, pensez-vous que les autorités actuelles prennent suffisamment en compte l'autonomie
03:24des femmes ?
03:25En cette journée du 17 avril 2025 dédiée à la femme gabonaise, il me plaît de saluer
03:32les avancées notables réalisées durant cette période de transition concernant l'implication
03:38de la femme dans les hautes sphères de décision, comme en témoigne la nomination de Mme Paulette
03:43Missambo à la présidence du Sénat et moi-même comme cinquième vice-président.
03:49Je suis témoin et acteur privilégié de cette dynamique d'équilibre des genres, aux côtés
03:54de nombreuses autres femmes bien sûr, occupant désormais des postes de responsabilité.
04:00Nous avons également assisté à la réactivation du ministère de la Femme et de l'Enfance,
04:06signe fort d'un engagement renouvelé en faveur des droits du bien-être des femmes et des
04:11enfants. Dans cette même volonté de promouvoir l'autonomisation des femmes, la création
04:18de la Banque de l'entrepreneuriat constitue un levier majeur pour soutenir l'initiative
04:23féminine et favoriser leur indépendance économique.
04:27Une toute dernière question, Mme la Sénatrice de la Transition.
04:31Quelles sont les recommandations que vous pourriez faire pour améliorer la place des femmes
04:35en politique ?
04:36Pour la Ve République, dans ce Gabon nouveau que nous construisons ensemble, mon souhait
04:43est que cet élan s'intensifie conformément aux dispositions constitutionnelles.
04:48Il est important de respecter le quota de 30% des femmes au minimum dans les postes électives
04:55et toutes les instances de décision.
04:57Je dirais que l'avenir du Gabon se construit avec les femmes, car leur contribution est
05:06indispensable pour bâtir un pays plus juste, plus équilibré et résolument tourné vers
05:12le progrès.
05:14Merci, Mme Anna Claudine Ayo.
05:17Je rappelle que vous êtes cinquième vice-présidente du Sénat de Transition.
05:20Cette fois, nous sommes avec la députée de la Transition, Pé-Pé-Ci Oguli-Gende, qui
05:27vient nous parler également des avancées et des défis dans l'implication des femmes
05:32en politique.
05:33Bonsoir, honorable, et merci d'être parmi nous ce soir.
05:36Alors, nous étions à l'instant avec la sénatrice Anna Claudine Ayo, qui parlait
05:41des avancées pour les femmes en politique.
05:44Elle a notamment cité le retour du ministère de la Femme.
05:47Au niveau du travail parlementaire, quelles avancées concrètes pouvez-vous énumérer ?
05:54Le Parlement de Transition a acté la représentativité des femmes dans la nouvelle constitution,
06:05à travers l'article 15, qui consacre l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats
06:12électoraux aux responsabilités politiques et professionnelles.
06:16Nous avons également le code électoral, pour la première fois, qui a pris en compte
06:24l'inclusion des femmes avec la représentativité de 30 % dans les listes pour les élections
06:32locales.
06:35Nous pouvons dire que ce sont les grandes avancées obtenues.
06:40Alors, bien évidemment, certes, il y a des avancées, mais les attentes sont aussi
06:44nombreuses, j'imagine.
06:45Parmi les attentes, nous avons ce vœu de voir dans notre pays consacrer la parité,
06:55parce qu'il s'agit désormais de la parité.
06:58Donc, dans ce renouvellement du paysage politique, nous devrions acter cette parité par un texte.
07:05Nous attendons également la budgétisation sensible au genre.
07:09Dans la réforme des partis, il faudrait que l'inclusion des femmes, donc la présence des femmes dans les instances décisionnelles, soit actée.
07:18Nous souhaitons vivement qu'il y ait un fonds pour le financement des candidatures féminines
07:24et surtout le respect scrupuleux de tous les textes en faveur des femmes.
07:31N'oublions pas également que lors du dialogue national inclusif, il y a eu une trentaine de recommandations favorables aux femmes,
07:39notamment la création du Conseil constitutionnel des femmes qui aurait une maison de la femme pour la formation,
07:46sur l'ensemble du territoire, et un observatoire des droits de la femme pour nous assurer que les mesures ou les textes sont en train d'être mis en place.
07:57Ce sera un outil d'évaluation.
08:00Nous avons également obtenu le relèvement du quota à 40%,
08:04mais nous pensons que dans cette nouvelle configuration, il faudrait que nous ayons des textes qui consacrent la parité
08:12et progressivement, nous allons mettre en œuvre des mesures qui nous permettront d'atteindre cette parité.
08:18C'est entendu, honorable, et merci encore pour votre disponibilité.
08:24Toujours sur cette actualité, l'émancipation des femmes, c'est aussi lutter contre leur chosification.
08:31Je vous laisse suivre cette analyse.
08:34Face à l'exhibition ordurière à laquelle est limitée la femme par des codes non écrits de pratiques politiciennes
08:39depuis le système Bongo PDG. Au système Oligi-CTRI, le législateur gabonais a un rôle crucial à jouer.
08:45En effet, il doit interdire ses mises en scène fantastes pour promouvoir une participation féminine authentique.
08:51L'interdiction des groupes d'animation politique centrées sur les femmes présenterait des bénéfices majeurs.
08:56Premièrement, l'adoption d'une loi devant interdire ce qui a été relevé plus haut libérerait les femmes de stéréotypes réducteurs,
09:03leur permettant d'accéder à des responsabilités décisionnelles au sein des partis et institutions.
09:08En 2025, il est judicieux de souligner que les femmes doivent être connues comme des stratèges,
09:13des porte-paroles ou des candidates et non comme des figurantes.
09:17Deuxièmement, une telle mesure renforcerait la crédibilité du Gabon sur la scène internationale
09:21en respectant des engagements comme la Convention sur l'élimination
09:24de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes.
09:27Laquelle promeut l'égalité des genres ?
09:29Enfin, elle dynamiserait la démocratie en diversifiant les voix dans le débat public,
09:34favorisant des politiques plus inclusives.
09:36Par ailleurs, la concrétisation de cet objectif passe par une loi claire assortie de sanctions
09:41contre les partis ou candidats exploitant les femmes à des fins décoratives,
09:45sur est un signal fort.
09:48Au Gabon, derrière chaque femme victime de violences,
09:51il y a souvent un silence, un rejet et trop souvent la pauvrité.
09:55Mais certaines initiatives redonnent espoir à travers l'autonomisation économique,
10:01le savoir et la protection juridique des femmes que reconstruisent leur vie,
10:07à l'exemple concret du centre IIS ou Mounou,
10:12où l'on soigne des blessures par le travail, la reconnaissance et la dignité retrouvées.
10:19Voyons cet élément.
10:19En cette journée nationale des droits des femmes, l'heure est à l'action.
10:26Au Gabon, alors que les violences basées sur le genre persistent,
10:28certaines voix rappellent que la solution passe par l'autonomisation.
10:32Une autonomie à construire sur trois piliers fondamentaux.
10:35C'est ce que défend la présidente de l'ONG Cri de Femmes.
10:38Lorsqu'on parle de l'autonomisation de la femme, on ne voit que l'aspect économique.
10:43Lorsqu'on parle de l'autonomisation de la femme, il faut savoir que ça englobe trois grandes parties.
10:50Il y a l'autonomisation économique, il y a le développement humain,
10:54qui concerne la connaissance et l'acquisition des lois, formation et tout,
11:00et le développement social, donc l'indépendance sociale.
11:04Lorsqu'on atteint ces trois points, on est autonome.
11:08L'indépendance financière permet de ne plus dépendre d'un conjoint ou d'un parent.
11:12Le développement humain, lui, passe par l'éducation, la formation et la connaissance des droits.
11:17Enfin, la reconnaissance sociale et juridique est ce qui permet aux femmes d'exister et d'être protégées.
11:22Un exemple concret de cette approche, le centre Isse-Mounou, qui signifie refuge en langue locale.
11:28Et c'est ce que nous avons pu faire au niveau du centre d'accueil qui est dénommé Isse-Mounou, Isse-Mounou.
11:37Et par la suite, nous avons mis un atelier de transformation des produits agroalimentaires.
11:44Parce que les femmes victimes de violences, lorsqu'elles arrivent au centre,
11:49c'est comme si la femme trahissait toute la famille.
11:53C'est une trahison et elle est automatiquement rejetée de la société.
11:59Et pour se remettre, il faut qu'elle soit autonome.
12:03Et d'où donc la construction de cet atelier.
12:07Dans cet atelier, les survivantes reprennent confiance à travers des activités génératrices de revenus.
12:11Transformation de produits agroalimentaires, cosmétiques, vanneries.
12:15Une manière de reconstruire leur vie malgré le rejet social.
12:18Car dans la réalité, la pauvreté est une violence en elle-même.
12:21Elle réduit les femmes au silence, face même à l'impensable.
12:25Vous savez que la plus grande guerre, c'est la pauvreté.
12:28Lorsqu'elle est pauvre, on va utiliser notre gabonitude.
12:31Qui signifie « je vais encore faire comme moi ».
12:33Donc, même si mon mari viole ma fille, je vais encore faire comme moi.
12:39Mais c'est un crime.
12:41L'autonomie économique, le savoir et la protection juridique.
12:44Ensemble, ces trois piliers forment un bouclier.
12:47Un levier puissant pour combattre les violences faites aux femmes et bâtir une société plus équitable.
12:53Vous pouvez retrouver l'intégralité de l'intervention de ces dames sur toutes nos plateformes.
13:00Quelles sont vos attentes en tant que femmes vis-à-vis de l'État,
13:03au-delà des femmes politiques, commerçantes et simples citoyennes,
13:07ont aussi des revendications à faire valoir.
13:09Découvrons leurs avis sur la question.
13:13Déjà, je souhaite d'abord bonne fête de la femme à toutes les femmes gabonaises.
13:18Et pour cela, j'aimerais qu'au Gabon, la femme soit beaucoup plus valorisée.
13:25Que ce soit une femme commerçante, que ce soit une femme fonctionnaire,
13:29qu'elle soit beaucoup plus valorisée.
13:30Qu'ils puissent tous mettre à disposition pour nous.
13:33Encore que nous sommes déjà à l'ère de la femme.
13:36La femme occupe beaucoup de postes en ces temps.
13:40On va par exemple prendre le cas de Mme Leclerc, qui est ministre de l'éducation nationale.
13:46Mme Ibinga, qui est ministre de l'éducation et de l'enseignement supérieur.
13:50Nous sommes déjà à l'ère de la femme.
13:51La femme se démarque déjà sur plusieurs points.
13:55Alors, je pense que c'est aussi aux femmes de ménager beaucoup d'efforts,
13:59de pouvoir parvenir à leur fin.
14:01Nous qui sommes dans le marché, là, jamais, jamais,
14:04aucune grande dame ou bien un grand monsieur est venue sur le terrain
14:08pour dire que vous, en tant que femme, vous voulez quoi ?
14:12Vous désirez quoi ?
14:13Vos besoins, c'est quoi ?
14:15Vos attentes, c'est quoi ?
14:16Il n'y a eu jamais ça.
14:18Le droit de la femme, là, c'est pour eux-mêmes, les grandes dames, là-bas.
14:22Au haut lieu, là-bas.
14:23Nous, on souffre en bas, ici, là.
14:25On a dit aujourd'hui, là, c'est la journée de la femme.
14:30Mais pour une première fois, quand même, pour une première fois,
14:34qu'un monsieur est passé, là, on ne sait même pas de quel côté il sort,
14:38il est venu, il a fait le partage de l'eau à toutes les commerçantes qui sont femmes.
14:44Mais on ne l'a pas vu.
14:47Il a payé, il a donné un don d'argent aux vendeurs de l'eau
14:50qui font le partage de l'eau, là, pour une première fois.
14:54Depuis l'époque de Bongo, jusqu'à aujourd'hui, là, c'est une première fois.
14:59On n'a jamais vu aucune autorité ou bien aucune autorité venir sur le terrain
15:03pour nous dire que non, voilà, voilà, voilà,
15:05vos attentes, c'est quoi ? Vos besoins, c'est quoi ?
15:08Jamais.
15:09Mais nous sommes les femmes, on ne refuse pas.
15:11Nous sommes les femmes, nous sommes les mères de famille dans les maisons.
15:14Mais si c'est pour les vraies choses, là, c'est eux-mêmes là-bas au lieu.
15:18Si le gouvernement peut faire ça, les femmes qui vont au marché,
15:22même les remèdes par moins de 1 000 somme de 50 000 pour chaque femme,
15:26je crois bien que ça, ça ferait quand même l'affaire.
15:29Ce n'est pas beaucoup, mais c'est encourager nos membres
15:31parce qu'il y a des membres qui n'ont plus d'enfants.
15:36Déjà, si le gouvernement peut penser à ça, ça serait une très bonne chose.
15:39Donc, on a éregistré les femmes qui vont au marché
15:41et donné même une somme de 50 000, 100 000 par femme.
15:46Il faut qu'ils viennent aussi dans les marchés.
15:49On a besoin aussi qu'ils viennent nous voir,
15:52qu'ils nous donnent aussi logique.
15:53Ce n'est pas tous les jours.
15:55Les femmes ruches, là, ils gagnent.
15:57Et nous, les Macayons, ne gagnent pas. Pourquoi ?
16:00Vous allez voir au Gabon, à Libreville, pratiquement,
16:02il y a des gens, il y a des femmes étrangères,
16:05qui font du commerce avant des gâteaux, avant des babouches.
16:12Mais par contre, on n'y trouve pas les Gabonais dans ce genre de domaine.
16:16Et pourtant, c'est un commerce qui rapporte l'argent.
16:20Donc, il faut que le président de la République
16:23doit amener les femmes aussi à se battre.
16:26Vous voyez bien constamment,
16:27les autres mamans qui sont à la République,
16:29qui vendent les bananes, tout ça, sont un peu exposées.
16:31L'émancipation de la femme, c'est également avoir une sexualité responsable.
16:58Voici quelques astuces sur les gestes à adopter
17:02pour avoir une bonne santé sexuelle.
17:07La question de la santé sexuelle féminine
17:10semble très souvent reléguée au second plan.
17:13À l'occasion de la Journée nationale de la femme,
17:14célébrée ce 17 avril 2025,
17:17sous le thème « L'engagement communautaire pour l'égalité des genres
17:20et l'autonomie des femmes »,
17:22Gabon Media Time revient sur les gestes à adopter
17:25pour préserver la santé sexuelle.
17:27L'Organisation mondiale de la santé définit la santé sexuelle
17:31comme un état de bien-être physique, mental et social
17:34eu égard à la sexualité qui ne consiste pas seulement
17:38en une absence de maladies, de dysfonctionnements ou d'infirmités.
17:42En effet, pour l'organisme onusien,
17:44il est primordial que chaque femme ait une sexualité épanouie et agréable.
17:50Pour ce faire, des habitudes doivent figurer dans leur quotidien
17:53pour influencer cet aspect de leur vie.
17:56Les spécialistes de la santé sexuelle s'accordent à dire
17:59que les habitudes et l'hygiène de vie influencent directement la sexualité.
18:04Dès lors, une question essentielle se pose.
18:07Que faire pour entretenir la santé sexuelle féminine ?
18:11Avant tout, il est recommandé de consulter régulièrement un spécialiste en santé sexuelle.
18:17Il faut également adopter une alimentation saine et équilibrée.
18:21Selon les professionnels, l'alimentation idéale pour la sexualité est pauvre en graisse, en sucre et en sel.
18:28Il convient aussi d'éviter l'alcool, le tabac et de pratiquer une activité physique régulière.
18:33Le sommeil joue lui aussi un rôle crucial pour l'équilibre sexuel.
18:39Par ailleurs, avoir accès à une information complète est indispensable
18:43car cela permet de connaître les méthodes de contraception sûres,
18:47efficaces et accessibles pour éviter les infections sexuellement transmissibles
18:51et les grossesses non désirées.
18:53Autant de gestes simples mais souvent négligés dans nos communautés.
18:57Il est temps d'y remédier.
19:00A tout seigneur, tout honneur, nous consacrons le chiffre de cette édition spéciale
19:05consacrée à la Journée nationale de la femme aux employés avec E.M.U.S. de Gabon Media Time.
19:12Le chiffre de ce soir est donc 5 qui correspond au nombre de femmes employées
19:17au sein de la rédaction du Gabon Media Time.
19:21Nous notons plusieurs avancées en faveur des femmes durant la transition.
19:24Cependant, parmi les attentes, nous avons ce vœu de voir aboutir la consécration de la parité,
19:32la mise en place d'un fonds pour le financement des candidatures féminines lors des élections,
19:37mais surtout le respect scrupuleux de tous les textes en faveur des femmes.
19:42C'était l'ouverture de la team de ce soir et il est de la députée de la transition,
19:46PPC Oguli Guendé, que vous avez écouté dans ce journal.
19:50C'est ainsi que prend fin cette édition d'informations.
19:53Je vous remercie pour votre fidélité.
19:56Au nom de toute la rédaction, je tiens à souhaiter une bonne fête de la femme
20:01à toutes les femmes gabonaises.
20:03Bonne soirée chez vous.