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00:00Europe 1, 16h, 18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:05Non vraiment j'espère que ça va se faire.
00:06Jusqu'un petit jour on ira faire, qu'est-ce qui est fort, qu'est-ce qui est fort.
00:10On va danser le vélo même, la fiesta, la fiesta, ce soir on est les rois de la fête.
00:16Fait pas que ça nous porte l'œil, hein, d'il s'arrête.
00:17Oui, oui, oui, attention.
00:19Bon, je vous cache pas qu'il y a quelques indicateurs qui sont sortis dans la presse.
00:23On avait peur maintenant.
00:25Je vous cache pas qu'il y a quelques indicateurs qui sont sortis dans la presse.
00:27Après on n'a pas les quarts d'heure.
00:28Mais, a priori, l'après-midi d'Europe 1 est très fort, et l'après-midi d'Europe 1 est très très fort.
00:36Oh, ok, vers écarlate.
00:40Merci.
00:40Pavillon bleu.
00:42Il y a une trend.
00:43T'es dans les bateaux toi maintenant ?
00:45Non, je peux dans les bateaux, mais le bleu d'Europe 1.
00:46Ah, bien sûr.
00:48Il a bien le bateau lui maintenant.
00:49Chacun choisit le pavillon qu'il veut mettre sur son bateau.
00:52Exactement.
00:53Allez, merci Gauthier Leveil en tout cas.
00:55Allez, on a Christine qui est avec nous,
00:57on a Stéphane aussi qui nous appelle, 0182 39 21.
01:00Je voudrais m'arrêter deux petites secondes sur un sondage qui a été réalisé.
01:04Ce sondage, c'est un sondage qui est sorti hier.
01:07L'opinion.
01:08C'est le rapport Toluna.
01:10Toluna-Haris Interactive pour Comistra et l'opinion.
01:14Exactement.
01:15Et donc, si la prochaine élection présidentielle en France avait lieu dimanche prochain,
01:19pourriez-vous voter pour chacune des personnalités suivantes ?
01:21Alors, Gauthier Lebray, vous nous le débriefez.
01:25En fait, il y a plein de monde.
01:27Ah, il y a du bon monde.
01:28Ce n'est pas des intentions de vote.
01:29Oui.
01:30Est-ce que vous pouvez voter pour cette personne ?
01:31Oui ou non.
01:32Exactement.
01:33Et là, on a tous les oui.
01:33À l'instant T.
01:34À l'instant T.
01:35Donc, celui qui arrive en tête, c'est Jordan Bardel à 37%.
01:39Marine Le Pen, 36%.
01:39Là, il n'y a pas de grande surprise.
01:40Donc, il faut plutôt passer sur les personnalités qu'on attendait moins.
01:44Par exemple, Michel-Édouard Leclerc, 20%.
01:46Dominique De Villepin, potentiel électoral de 19%.
01:50Bruno Le Maire, 17%.
01:53Éric Zemmour, 16%.
01:55Gérard Larcher, Jean-Luc Mélenchon, Clémentine Autain.
01:58Alors voilà, Tony Estanguet, personnalité intéressante après les JO.
02:0214%.
02:02Laurent Berger, ancien patron de la CFDT, 14%.
02:05Lui aussi.
02:07Vincent Ladon, l'acteur.
02:08Vincent Ladon.
02:09Lardon.
02:09L'indon.
02:10Vincent Ladon.
02:11Travaille-vous, t'es le cochon.
02:12Qui est pro Bérou, qui est un ami du MoDem depuis longtemps, qui votait Bérou, souvenez-vous.
02:16Parce que j'ai pas compris pourquoi il y avait Vincent Ladon, en fait.
02:18Pourquoi, en fait ?
02:19Parce que c'est une personnalité qui s'est toujours un peu engagée, sans vraiment le faire.
02:23Dans ses films, déjà.
02:23Dans ses films, sur les questions sociales.
02:25Et il avait déjà répondu, je suis intéressé par la politique.
02:29Et il avait eu un portrait dans le monde qui lui prêtait des ambitions présidentielles.
02:33Donc, 13% Vincent Ladon.
02:35Il y a Jason Statham, également.
02:37Louis Sarkozy, dont on parle souvent.
02:39J'adore.
02:4012%.
02:40Il y a mon ami Karim Boimran.
02:4111% à égalité avec Cyril Hanouna et Xavier Niel.
02:4711%.
02:47Il commence.
02:48Ça va.
02:49Et puis, il n'a jamais dit qu'il voulait se présenter aux élections.
02:52Oui.
02:53Voilà.
02:53Il y a Xavier Niel, 11%.
02:54Comme vous, 11%.
02:55Il y a Francis Lalanne, 8%.
02:57Tiens, Francis Lalanne qui venait nous voir cette semaine.
03:00Arrêtez.
03:00Ouais.
03:01Il venait dans mon marché sur la tête.
03:03Je crois qu'il vient jeudi.
03:03Sérieux ?
03:04C'est lui qui m'a demandé.
03:05Je crois qu'il y a Patrick Sébastien aussi qui vient cette semaine.
03:08Ah ça, j'ai encore ce week-end écouté ces nouveaux tubes.
03:11Alors, il y a Thibaut Inchep aussi que j'aime beaucoup.
03:14Par contre, moi, ma grande fierté, c'est d'être devant Clémence Guetté.
03:18Ça me fait tellement plaisir qu'il y a 9%.
03:20Éric Piolle aussi, c'est pas mal.
03:22Éric Piolle, le maire de Grenoble aussi.
03:24Non mais ça, franchement, ça m'a fait du bien.
03:25Ça, vraiment, ça m'a fait du bien.
03:26Après, il y a plein de gens entre 11 et 15%.
03:28Mais ce qui est fou, c'est qu'il n'y a pas un énorme écart
03:30entre Yao Le Bonne-Pivet, 16%
03:32et Xavier Niel, 11%.
03:34C'est pas fou.
03:36Laurent Wauquiez, 16%.
03:38Elisabeth Borne, 17%.
03:39C'est-à-dire que...
03:39Non mais c'est vrai que c'est fou.
03:42Ce qui est intéressant, c'est la une du journal d'Olivier d'Artigol
03:44puisque tu peux le montrer ou pas, Olivier ?
03:46Oui, je peux montrer.
03:46Puisque c'est la tentation de l'outsider.
03:48Il y a cette tentation dans ce classement.
03:50C'est-à-dire une personnalité non-issue du paysage politique traditionnel.
03:56C'est-à-dire un profil qui pourrait émerger, faire irruption.
03:59Mais ça dit quelque chose.
04:00Parce que la politique est tellement décriée, contestée, abîmée d'ailleurs.
04:04Ça dit qu'il y a un espace.
04:06La recherche d'un autre profil.
04:08Ce qui est arrivé dans d'autres pays.
04:09Bien sûr.
04:12Justement, on va en parler.
04:12Est-ce que vous, ici, autour de la table,
04:14vous pourriez voter pour une personnalité
04:15qui suit des personnalités différentes ?
04:18Ils les appellent comment ?
04:20Les outsiders.
04:22Est-ce que vous pourriez voter pour un outsider ?
04:24Donc, ils ont proposé, voilà, on va voir.
04:26On va dire qu'ils ont proposé.
04:27Ils ont proposé Michel-Édouard Leclerc,
04:29Tony Estanguet,
04:30il y a Laurent Berger,
04:31Vincent Lindon,
04:33Michel-Édouard Leclerc,
04:34Michel-Édouard Leclerc, donc.
04:35Xavier Niel.
04:36Ma personne.
04:37Non, mais Jean-Marc Djokovici.
04:38Xavier Niel.
04:39Ils le mettent dans la une, je veux dire,
04:40comme un des outsiders.
04:42Après, ça reste marginal.
04:43Voilà, donc, dites-nous,
04:43si vous pourriez voter pour ces différentes personnes.
04:46Dites-nous.
04:47Voilà, 0, 1, 80, 20, 39, 21.
04:50Vous, est-ce que vous y croyez autour de la table également ?
04:53Est-ce que vous, auditeurs d'Europe 1, vous y croyez ?
04:56Pourquoi, il y a beaucoup de gens qui y croient, je vais vous dire,
04:58c'est parce que personne, aujourd'hui, ne fait l'unanimité.
05:01Personne.
05:02On ne sent, on ne sent une dynamique derrière personne.
05:05Il n'y a pas une énorme dynamique,
05:07il n'y a pas un énorme espoir en quelqu'un.
05:08C'est parce qu'il y a un espace.
05:09Vous n'avez pas l'espace ?
05:10Alors, là, on m'a demandé d'ailleurs de faire la une d'un journal.
05:13Ah !
05:13Important pour, voilà, pour 2027.
05:15Lequel journal ?
05:16Je ne sais pas, je vous le dirai dans un instant.
05:18C'est un scoop, je vous le dirai plus tard.
05:20Il y a beaucoup de personnes qui attendent un profil d'une personnalité
05:24qui n'est pas dans la vie politique
05:26et qui a fait déjà sa carrière,
05:29qui a déjà eu des succès,
05:31qui n'a rien à prouver
05:32et qui pourraient donc arriver
05:34sans être dans une stratégie de conquête du pouvoir,
05:37mais pouvoir dire,
05:38écoutez, moi j'ai réussi dans tel domaine,
05:40mes capacités, la manière dont je vois les choses,
05:42je vais l'offrir à la collectivité.
05:44C'est un peu ce profil qui est à donner.
05:45Il n'y a aucune de ces personnes pour l'instant qui a dit qu'il allait se présenter.
05:47Donc on va en parler dans un instant.
05:50Je voudrais bien que les auditeurs réagissent là-dessus.
05:5101, 80, 20, 39, 21, tout de suite,
05:53sur Europe 1, on fait une petite pause d'une minute.
05:5416h-18h, Cyril Hanouna sur Europe 1.
05:59Europe 1, 16h-18h,
06:01on marche sur la tête,
06:03Cyril Hanouna.
06:04Merci d'être avec nous sur Europe 1,
06:0517h39,
06:07on est en direct, bien entendu,
06:0840 maintenant.
06:1040 maintenant, qu'est-ce qui se passe ?
06:11Vous le prenez la tête ?
06:12Qu'est-ce qui se passe ?
06:14C'est un digol qui dit les...
06:15Pas du tout, j'étais en train de...
06:17Ah oui, voilà, là je suis en train de refaire les calculs.
06:20Là, ça va être sérieux, sérieux, sérieux.
06:22Allez, ne parlons pas de ça.
06:2317h40, on est en direct sur Europe 1
06:25et on parle de ce sondage.
06:27Alors, Stéphane est avec nous,
06:28Stéphane Dunor,
06:29j'aimerais beaucoup...
06:30On va prendre beaucoup d'auditeurs là-dessus
06:31parce que c'est vrai qu'il y a eu ce sondage
06:33sur le potentiel électoral
06:35de différentes personnalités publiques françaises.
06:36Est-ce que vous pourriez voter
06:37pour une personnalité qui n'est pas issue du monde politique ?
06:40Voilà, donc ils ont proposé plein de gens.
06:42Ils ont proposé Michel-Édouard Leclerc,
06:43ils ont proposé Xavier Niel,
06:45ils ont proposé Vincent Lindon,
06:48ils ont proposé Thibaut Inchef,
06:50Louis Sarkozy.
06:50Ils m'ont proposé également.
06:52Voilà, et donc de savoir si vous pourriez le faire.
06:55On a Stéphane en ligne du Nord.
06:57Bonjour Stéphane.
06:58Bonjour Chéril, bonjour à toute l'équipe.
07:00Merci d'être avec nous, Stéph.
07:02Avec grand plaisir.
07:05Alors, pour répondre à votre question,
07:06ça serait génial qu'un candidat un petit peu atypique
07:11qui sorte un petit peu de la sphère politique soit élu,
07:14mais j'y crois pas une seule seconde.
07:17Je trouve que le français, en règle générale,
07:20montre souvent sa colère, sa colère, sa colère.
07:23Et puis le jour où il faut trancher,
07:25le jour où il faut aller aux urnes,
07:27je trouve que ça se défile.
07:29Moi, si vous voulez mon avis personnel,
07:31et je le vois gros comme une maison,
07:33le jour où Édouard Philippe a donné sa démission
07:38de son poste de Premier ministre,
07:40c'était déjà pour préparer les élections présidentielles.
07:44Il s'est fait virer.
07:45Il voulait rester.
07:46Il s'est fait virer.
07:48Il s'est fait virer par le Président
07:50parce qu'il prenait trop de place
07:51et qu'il était trop populaire.
07:53Oui, alors...
07:54On ne sait pas si c'est un accord
07:58ou si c'est viré, ça en tout cas.
07:59Non, il s'est fait virer.
08:02Derrière ça, il s'est un petit peu retiré
08:04de la vie politique.
08:05Aujourd'hui, on commence à le retrouver tout doucement.
08:07Moi, je vois gros comme une maison
08:08à un second tour
08:09où on aura Marine Le Pen
08:12ou Jordan Tardella
08:12face à Édouard Philippe.
08:15Édouard Philippe, c'est ce que j'ai dit.
08:16Et puis ensuite, il va se mettre en place
08:18le système qu'on voit maintenant depuis des années
08:19avec un appel à voter contre
08:21le Rassemblement national
08:22comme ce qu'on a vu au législatif.
08:25Ce qu'on voit depuis maintenant plus de dix ans.
08:27Et voilà, on va voter contre
08:28le Rassemblement national.
08:30Édouard Philippe sera élu.
08:32Et puis, on aura des législatives.
08:33Il n'aura pas de majorité.
08:34Et on est reparti pour la même musique,
08:35pas encore, pour les cinq dix prochaines années.
08:38Je...
08:38Voilà.
08:39Vous voulez que je vous dise la vérité ?
08:41Je pense que c'est...
08:42J'ai eu exactement le même scénario que vous, Stéphane.
08:43Et d'ailleurs, je l'ai dit...
08:44Vous l'avez dit, oui.
08:45...en cette émission.
08:46C'est... Voilà.
08:46On est assez d'accord, Stéphane.
08:48On est assez d'accord.
08:50Depuis qu'il a...
08:51Voilà.
08:51Le jour où il a quitté son poste,
08:54où il s'est fait virer,
08:54peu importe,
08:55j'ai tout de suite dit
08:56à ma femme,
08:57à mon entourage,
08:57c'est exactement comme ça
08:58que ça va se passer.
08:59Exactement.
09:00Merci, Stéphane,
09:01d'avoir été avec nous sur...
09:02Enfin, merci pour votre analyse
09:03et je suis assez...
09:04Oui, Stéphane.
09:05Je vais dire un petit mot.
09:06La télé est bien triste le soir.
09:07Maintenant, encore...
09:07Merci, Stéphane.
09:09On va revenir vite, Stéphane.
09:10Vous êtes un amour.
09:11Merci beaucoup, Stéphane,
09:12d'avoir été avec nous.
09:12Et je suis complètement d'accord avec vous
09:13sur ce que vous avez dit.
09:15Franchement.
09:15Eh ben...
09:16Eh ben voilà.
09:16Merci.
09:16Je pense qu'on se dirige
09:18vers ce scénario
09:18qui va...
09:20Ça ne va pas tellement bouger.
09:22Géraldine Maillet, oui.
09:23Une petite réflexion
09:23dans ce potentiel électoral
09:25de différentes personnalités,
09:26c'est que dans la première colonne,
09:28il n'y a que François Ruffin
09:29qui est un homme de gauche,
09:30voire d'extrême gauche,
09:32à l'Élysse,
09:32mais qui n'est pas vraiment à l'Élysse.
09:34Et Mélenchon est à la deuxième colonne.
09:36Donc voilà, je trouve que malgré tout,
09:37je pense que Mélenchon
09:38aurait été à la première colonne
09:39il y a encore quelques mois
09:40ou quelques années.
09:41Donc ça, je trouve que c'est plutôt
09:42pour moi un bon signal.
09:44Merci.
09:45Merci pour cette analyse pas mal
09:46de Géraldine Maillet.
09:48C'est pas nul.
09:48C'est pas nul.
09:49Bravo, Gégé.
09:53Non, non, mais c'est vraiment sympa.
09:54C'est à l'écoute.
09:55Allez, on a Cécile avec nous.
09:57Bonjour Cécile.
09:58Bonjour Cécile qui arrive,
10:00elle est actuellement dans le métro.
10:02Cécile, bonjour.
10:03Bonjour Cécile.
10:04Bonjour.
10:05Bonjour, merci.
10:06Non, je ne suis pas dans le métro,
10:07je suis dans l'Hérault.
10:08Bonjour, bonjour Cécile.
10:09Merci d'être avec nous,
10:10Cécile de l'Hérault.
10:11Merci d'être avec nous sur Europe 1.
10:13Il y a d'autres personnes
10:13qui peuvent nous appeler 0182 39 21.
10:16Est-ce que vous pourriez voter
10:16pour un candidat
10:17qui n'est pas issu
10:18du monde politique ?
10:20Cécile, vous vouliez nous dire quoi ?
10:22Vous êtes d'accord avec moi,
10:23je crois, sur 2027.
10:24Oui, je pense qu'on va vers
10:27Edouard Philippe
10:28parce qu'il va y avoir
10:28un front soi-disant républicain
10:31pour faire barrage
10:33au Front National,
10:34qui que ce soit.
10:36Mais franchement,
10:37on marche sur la tête.
10:39On va vers le même schéma
10:41qu'aujourd'hui.
10:42Ah non, mais Edouard Philippe,
10:44je n'ai vraiment rien contre lui,
10:45il est très sympa.
10:46Mais Emmanuel Macron,
10:48c'est pareil, les mecs.
10:49Donc, on va faire 15 ans
10:50d'Emmanuel Macron.
10:52Oui, c'est un petit peu
10:53la reproduction d'Emmanuel Macron.
10:54Mais ça ne changera rien du tout.
10:56Vous savez,
10:57il a été Premier ministre
10:57d'Emmanuel Macron
10:58et franchement,
11:00en plus,
11:00c'était au tout début.
11:01Donc, croyez-moi,
11:02au tout début,
11:03je pense qu'ils ont travaillé
11:05vraiment main dans la main
11:05Emmanuel Macron
11:07et Edouard Philippe.
11:08Et je pense sincèrement
11:09qu'au contraire,
11:10ils ont fait ce qu'ils avaient
11:11en tête.
11:12Au corps maintenant,
11:13ils se sont rendus compte
11:13qu'ils ne pouvaient rien faire
11:15et qu'ils laissent
11:16un petit peu le bateau dérivé.
11:18Mais au début
11:19du premier mandat
11:20d'Emmanuel Macron,
11:21ils avaient la foi,
11:23ils étaient à fond.
11:23Donc, pour vous dire...
11:25Oui, c'était nouveau.
11:26C'était nouveau.
11:27Il y avait une espèce d'élan...
11:29Qu'est-ce que va faire de plus
11:30Edouard Philippe
11:32par rapport à quand il était
11:33Premier ministre
11:34du premier mandat
11:35d'Emmanuel Macron ?
11:36Il va jouer la rupture
11:37en disant qu'il ne sera plus du...
11:38Il ne va rien faire du tout.
11:40Mais les mecs,
11:40il ne va rien faire du tout.
11:40On va se retrouver
11:41par le même schéma
11:42où on va...
11:44Les Français vont se mobiliser
11:45contre le Front National
11:47à l'initiative
11:48de Jean-Luc Mélenchon
11:49et ses sbires.
11:51Et franchement,
11:52on va vers la catastrophe
11:54ou la continuité.
11:55Mais ce n'est pas possible
11:56parce que la France,
11:57elle ne peut pas vivre
11:57dans cette continualité.
12:00C'est incroyable.
12:02C'est incroyable.
12:03On marche sur la tête.
12:05Exactement, Cécile.
12:06Je voulais vous embrasser,
12:07Cécile.
12:07Merci d'avoir été avec nous.
12:08Vous pourriez voter
12:09pour quelqu'un
12:12qui n'est pas issu
12:12du monde politique
12:13ou pas du tout ?
12:14Feu Coluche.
12:16J'aurais bien voté
12:17pour Coluche.
12:18Ah oui, bravo.
12:19Mais voilà.
12:19Donc voilà.
12:20Oui, je crois
12:22que je voterai pour moi
12:23aujourd'hui.
12:23Ou pour vous, peut-être.
12:24Merci, Cécile.
12:26On sera un couple présidentiel.
12:27Votez-moi.
12:28Voilà, merci, Cécile.
12:29Vous seriez ma première dame,
12:31Cécile.
12:31Exactement, Cécile.
12:32Voilà, je vous fais
12:32des gros bisous.
12:33Merci, Cécile,
12:34d'avoir été avec nous.
12:35Merci beaucoup.
12:35Au revoir, Cécile.
12:36Edgar est avec nous
12:36de Bastia.
12:37J'y étais ce week-end.
12:38Oh, il y a Edgar.
12:39Je suis content.
12:41Bonjour, Edgar.
12:41Oui, bonjour, Cécile.
12:44Effectivement.
12:45On s'est vu ce week-end.
12:46Oui, oui, super.
12:48Et j'ai pu vraiment
12:49admirer ta classe
12:52en paddle.
12:53J'avoue que pour moi,
12:55un ancien tennisman
12:56et que je joue un peu
12:56dans ce merveilleux C5,
12:59j'ai franchement été
13:00enthousiasmé par ton style
13:03parce que jouer en P1000,
13:05eh bien, c'est pas évident.
13:06Eh bien, merci.
13:07Merci.
13:07Et j'ai vu,
13:08non, non, vraiment,
13:09c'est du cœur
13:10parce que j'étais étonné
13:13de voir avec la facilité
13:15tes baradins,
13:16tes smashes,
13:17tes volets.
13:18Écoute, vraiment,
13:20là, tu m'as étonné
13:22parce que je ne croyais pas,
13:24je ne t'avais pas encore
13:25vu jouer comme ça en live.
13:26Et là, je suis tombé
13:28vraiment de ma planète.
13:29J'ai dit,
13:30eh bien, écoute,
13:31franchement,
13:32c'est un bon,
13:33c'est un bon
13:33parce que jouer en P1000.
13:35C'est vrai qu'il y avait
13:36un gros niveau en Corse
13:37et franchement,
13:38c'était monstrueux,
13:39le niveau qu'il y avait.
13:40Il y avait tous les meilleurs
13:40joueurs français
13:41et franchement,
13:42je me suis régalé.
13:42C'est vrai que
13:43beaucoup de gens m'ont parlé
13:45de mon niveau de jeu
13:45Edgar en Corse
13:46et je voudrais vous remercier.
13:48Il y avait beaucoup de public,
13:49non ?
13:50Il y avait beaucoup,
13:50beaucoup de public.
13:51Non, c'était la folie.
13:51Je veux remercier tous les Corse.
13:53Je les aime.
13:53Vraiment, je les aime.
13:54Je les aime.
13:55Il y avait une seule ambiance
13:56parce que nous,
13:57on a la chance.
13:57Moi, ça fait 12 ans
13:58que je vis sur Bastia.
14:00J'étais en Touraine avant
14:01et on a la chance
14:02d'avoir un complexe
14:03magnifique.
14:06Laurent Casanova
14:06qui est exceptionnel.
14:07Voilà, Laurent Casanova
14:09est vraiment fantastique.
14:09C'est un amour de mec
14:10et qui est exceptionnel
14:11et le club est magnifique.
14:12Et franchement,
14:13je me suis régalé.
14:13T'as vu ?
14:14Vous avez vu tous les matchs, Edgar ?
14:15Ou bien vous en avez vu combien ?
14:16Ah oui, oui, oui.
14:17Non, mais j'ai tout vu.
14:18Vous avez tout vu,
14:19notamment les demi-mails.
14:21Oui, oui.
14:21Et puis aussi les demi-mails
14:22et les finales,
14:23effectivement,
14:23avec la franchement
14:25des tisons-là.
14:26Laurent Francais,
14:27exactement.
14:29Franchement,
14:29c'était mythique.
14:30Alors, franchement,
14:31encore, bravo.
14:33Merci, Edgar.
14:34Ah ouais,
14:35en paddle,
14:35j'avoue que vraiment,
14:37Cyril,
14:37j'ai été agréablement surpris
14:40du style.
14:42En paddle,
14:43en télé,
14:43en radio.
14:43Oui, oui,
14:44parce que moi,
14:44j'ai quand même
14:45un certain âge
14:46et j'ai toujours
14:47joué au tennis,
14:48j'étais placé 15-4.
14:50Mon fils était
14:51seconde série
14:51et en paddle,
14:53je me suis vu
14:54récemment
14:56progresser assez vite.
14:58Je joue,
14:58bon,
14:59j'ai quelques petits
14:59soucis de genoux,
15:00vu l'âge.
15:01J'ai passé 70 ans,
15:03mais je suis resté
15:04très sportif
15:04et là,
15:05vraiment,
15:05c'est ce que je disais
15:06à mon frère,
15:06on te regardait
15:07avec ma nièce,
15:08mon frère et tout,
15:09j'ai dit vraiment,
15:10là,
15:10Cyril,
15:11chapeau,
15:11parce que tenir tête,
15:13surtout qu'ils ont tout
15:15joué sur toi,
15:16ils ne se sont pas
15:18embêtés.
15:20J'étais monstrueux
15:21physiquement,
15:21Edgar.
15:24Honnêtement,
15:24je tire mon chapeau
15:28parce que je sais
15:28ce que c'est que
15:29le tennis,
15:30le sport,
15:30notamment le padel,
15:31et je dis là,
15:32Cyril,
15:33ce n'est pas simplement
15:35quelqu'un qui passe
15:38sur les antennes,
15:39etc.,
15:39qui se fait mouter.
15:41D'ailleurs,
15:41on t'a offert
15:42un joli suite
15:43composé par toutes les équipes.
15:47La mélonite !
15:48Voilà,
15:49pour la mélonite.
15:50La mélonite,
15:51bravo à elle,
15:52c'était formidable.
15:53Franchement,
15:54c'est ça,
15:54elles sont magnifiques.
15:55C'est une belle famille,
15:56d'ailleurs.
15:56Vous êtes un amour,
15:57Edgar.
15:57Franchement,
15:57je me suis régalé
15:58en tout cas en Corse,
15:58je voulais le dire
15:59aux auditeurs d'Europe 1,
16:00c'était exceptionnel,
16:01et l'accueil était fou.
16:02C'est très sympa
16:03de m'avoir pris
16:03et j'en profite pour vous.
16:05Et il y a beaucoup de Corses
16:06qui m'ont dit,
16:06parce qu'on parlait
16:07du sondage présidentiel,
16:08tous les Corses que je voyais
16:08me disaient,
16:09Cyril,
16:09si tu te présentes,
16:10on vote pour toi.
16:11Voilà,
16:11j'aurais dit,
16:11pour l'instant,
16:12je me présente
16:12au tournoi de padel.
16:13C'est le plus important.
16:15Exactement,
16:15c'est le plus important.
16:17Moi,
16:17c'est clair que là,
16:19sans hésitation,
16:21oui,
16:21je sais pour qui voter.
16:22Merci, Edgar.
16:23Merci beaucoup, Edgar,
16:24d'avoir été avec nous.
16:25J'étais mon frère,
16:26alors moi,
16:27je voulais dire
16:27deux, trois trucs
16:28sur l'équipe
16:31que je trouve
16:32toujours aussi
16:34adorable,
16:36professionnelle,
16:37etc.
16:38Alors évidemment,
16:39j'ai quelques petits bémols
16:40pour les absents,
16:41notamment ce pauvre
16:43Gilles Verdez,
16:44évidemment,
16:45pour son amour
16:46pour Fatou,
16:47etc.,
16:47avec sa déviance
16:48vers les LFI
16:49qui ne sont pas
16:50ma tasse de thé,
16:51mais c'est à chacun
16:51la sienne.
16:52Et Olivier,
16:54quand même,
16:55Olivier d'Artigol,
16:56que j'aime beaucoup,
16:57que je trouve
16:58très intelligent,
16:59très pro,
17:00mais j'ai peur
17:01qu'il soit un peu,
17:03on va dire,
17:04imbibé par son penchant
17:05de gauche.
17:06Il en revient,
17:06il en revient.
17:08Voilà,
17:08qu'il le contraint
17:09quelques fois
17:09à nous lâcher un peu,
17:11à lâcher un peu,
17:12oui,
17:13à lâcher la défense
17:14du pays.
17:15Valérie,
17:16magnifique que je suis
17:17depuis des années,
17:18tout comme Géraldine,
17:20par contre,
17:20je n'arrive toujours pas
17:21à savoir dans quel camp
17:22elle joue
17:22et à quel poste.
17:23C'est ça qui est bien
17:24chez elle.
17:25On ne sait pas
17:26dans quel camp
17:26elle joue,
17:26c'est vrai.
17:27On n'arrive pas
17:27à savoir,
17:28Edgar.
17:29Mais c'est pour ça
17:30qui est intéressant.
17:31Moi,
17:31je pense que
17:31elle aime bien
17:34Emmanuel Macron,
17:34mais ce n'est pas grave.
17:36Elles en reviennent aussi.
17:38Elles en reviennent aussi.
17:40Alors,
17:41Emmanuel Macron
17:41de moins en moins,
17:42justement.
17:43Edgar,
17:44je voulais vous dire,
17:46il nous reste 30 secondes,
17:47les chéris.
17:48Merci Edgar,
17:49je voulais vous embrasser.
17:49Edgar,
17:50vous pouvez nous appeler
17:50demain,
17:50parce qu'on aura
17:51les audiences radios.
17:53Sinon,
17:53je voulais juste dire
17:54un truc sur
17:55les possibles potentiels.
17:57On va continuer demain.
17:58Edgar,
17:59on le reprend demain.
18:00Edgar,
18:00on fera ça
18:02avec vous demain.
18:03Je vous fais
18:03des gros bisous,
18:04Edgar.
18:04C'est vrai que
18:05je t'ai monstreux
18:05physiquement.
18:06je t'ai monstreux.
18:08C'est vrai,
18:09c'était important.
18:11Physiquement,
18:12j'étais monstreux.
18:12La tenue était belle
18:13en tout cas.
18:13J'étais monstreux
18:14physiquement.
18:14J'étais monstreux.
18:15Petit pastel.
18:17J'étais monstreux
18:17physiquement.
18:18Vous avez dit
18:19que c'était
18:19votre meilleur
18:20niveau de jeu
18:21de l'année.
18:21Vous étiez content.
18:23Vous êtes une bête.
18:24J'étais monstreux.
18:25Vous vous appréciez
18:25physiquement ?
18:27Vous avez pris
18:28des jambes.
18:28J'étais monstreux
18:29physiquement.
18:29Les gens le disaient.
18:32Merci.
18:33Merci à tous
18:33d'avoir été avec nous
18:34sur Europe 1.
18:35Demain,
18:35restez avec nous.
18:36A 16h du temps,
18:37je pense que ça va être
18:37une émission de fou.
18:38Merci à tous
18:39d'avoir été avec nous.
18:39Tout de suite,
18:39c'est Laurence Ferrari
18:40sur CNews et Europe 1.
18:41Punchline.