François Cocq s’exprime sur la stratégie de la France envers l’Algérie : «Emmanuel Macron et Jean-Noël Barrot sont les pantins du président Tebboune».
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00:00L'Algérie ne nous respecte pas, il faut dire les choses, on n'est pas respecté.
00:04Un comportement comme ça, nous renvoyer en 48 heures 12 agents, c'est qu'on n'est pas respecté.
00:09C'est pas une question de...
00:10Ah bah, moi je trouve que c'est une question de...
00:11Non, non, non, je vous assure que l'Algérie aime la France et que, globalement, l'Algérie, les Algériens...
00:17On parle du gouvernement, encore une fois.
00:18Je suis très heureux qu'il disait le mot de gouvernement, parce que régulièrement on entend parler de régime, c'est un gouvernement...
00:25Je n'ai pas dit les Algériens, je dis l'Algérie, l'Algérie c'est le gouvernement.
00:27Non, non, l'Algérie ne respecte pas la France.
00:31Il s'avère que, et je l'avais dit...
00:32Il y a une haine contre la France historique, mais bien sûr que oui.
00:35Il y a un grand amour entre l'Algérie.
00:38Ah bah, il le casse bien alors, surtout ne m'aimait jamais comme ça.
00:41La rente mémorielle.
00:43François Coq.
00:43Non mais, M. Macron d'un côté, avec M. Barrault et M. Retailleau de l'autre, sont pareillement quand même les pantins du président Tebboune.
00:50Quand M. Retailleau a fait monter les enchères il y a deux semaines, trois semaines,
00:55Alors, M. Macron a essayé de calmer le jeu et le président algérien a dit
01:00Ah non, non, non, on sait bien que M. Retailleau ne compte pas et on choisit notre interlocuteur, c'est M. Macron.
01:06Maintenant que M. Macron et M. Barrault sont arrivés sur le devant de la scène,
01:09Le président algérien dégaine la marionnette Retailleau parce que M. Retailleau est en voyage, comme par hasard aujourd'hui, au Maroc.
01:17Ça ne vous aura pas échappé.
01:19Non du tout.
01:19Et vu le différent qui existe entre les deux pays, on peut comprendre à quel point ça gêne côté algérien.
01:24Donc on a la sensation qu'on a un pouvoir aujourd'hui, que ce soit M. Macron d'un côté, que ce soit M. Retailleau de l'autre,
01:30qui sont sur des orientations différentes, mais qui se font pareillement l'un et l'autre manipulés par le pouvoir algérien.
01:35– On est d'accord, donc on n'est pas respecté.
01:37– On n'est pas respecté.
01:38– On n'est pas respecté, c'est ce que j'ai dit, Philippe Bouriachy me dit non, mais on n'est pas respecté, je suis désolé.
01:43– Si, on est respecté, sauf que la graduation, elle est dispensionnée, et je le dis, je lance un appel à mes amis.
01:48– D'accord.