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00:00Non, que ce soit
00:30C'est ce qu'il faut faire.
00:32Il m'a conforté et il m'a donné des preuves.
00:36Il m'a aussi parlé de lui-même.
00:40J'ai fait un travail pour le système avantière
00:45mais il y a des choses que je n'ai pas fait.
00:48Il y a des choses que nous devons s'assurer de faire.
00:51C'est ce qu'il faut faire pour s'assurer qu'il n'y a pas d'inquiétude.
00:56Il faut s'assurer qu'il s'occupe bien de ses affaires.
00:59Il doit s'occuper de ses territoires.
01:02Il n'y a pas d'inquiétude pour le journaliste.
01:05C'est ce qu'il faut faire.
01:08Il faut accéder au pouvoir et faire le point sur ça.
01:12Je sais que le journaliste doit être régularisé et être honnête.
01:18Je ne critique pas les hommes et les femmes.
01:22Mais ce qu'il dit sur la presse
01:25c'est vrai que les patrons de la presse sont parfois des promoteurs.
01:30Est-ce que ce sont des vrais acteurs?
01:32Parce qu'aujourd'hui, ils ont une entreprise
01:36ils prennent des risques existentiels mais ils ont aussi des profits.
01:40Mais il faut dire qu'il y a un historique dans la presse.
01:45Ce historique date du temps d'Abdou Diouf.
01:48Les premiers enveloppes datent de 1996, il y a 40 millions.
01:53Pendant 4 ans, il y en a eu 160 millions.
01:58C'est ça.
01:59Il y a eu 600 ou 700 millions d'inquiétudes.
02:04Il y en a eu un milliard et quelques.
02:07Un milliard, deux milliards, quelque chose comme ça.
02:10Il y a eu de l'inquiétude ou de l'inquiétude.
02:13Il y en a eu 4 milliards, je suis d'accord avec ça.
02:17Peut-être qu'on peut critiquer l'approche du ministre Aliou Salle.
02:21Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire.
02:26Ce qu'il dit sur la presse est vrai.
02:29Il y a des tiktokers qui sont des liveurs.
02:34Ils sont dans l'opposition, c'est ce qu'ils veulent.
02:37Il y a des gens qui sont dans la presse, c'est bien.
02:41Mais les conventions, c'est comme si c'était une saga écrite.
02:44C'est comme si c'était une saga écrite.
02:47Mais le président l'a brossé aujourd'hui.
02:50Aujourd'hui, on a fait la cartographie des organes de presse qui sont en règle.
02:57L'une d'entre elles, c'est de les 500 organes de presse.
03:00Si tu as 100 millions, tu peux avoir 150 millions.
03:04Je veux qu'il aille jusqu'au bout avec le ministre et le premier ministre.
03:10Il faut avoir des critères pour avoir un journaliste.
03:14Il doit être dans le journalisme, dans l'environnement où il travaille
03:19dans la capacitation, la formation, etc.
03:23Mais on ne peut pas avoir 150 millions.
03:26Il faut que l'Assemblée nationale le donne.
03:29Tu n'es pas le plus méritant car tu as une entreprise et tu dois faire des profits.
03:32Mais aussi, tu dois faire des profits pour des gens comme Mohamed Diallo ou Babacar Kébé.
03:38Il faut qu'on aille jusqu'au bout avec les 400 ou 150 millions.
03:44S'il tombe en panne, on prendra des problèmes.
03:48Mais au nom de la journaliste et du patron de presse, vous n'avez pas un Iphone 14.
03:55Depuis presque un an, j'ai travaillé sur mon Iphone.
04:02Même si je n'étais pas la meilleure.
04:03C'est un Iphone.
04:05Bien sûr, c'est une nécessité.
04:08C'est un téléphone d'ailleurs, un outil de travail.
04:11C'est ce qu'on appelle un conseil des ministres.
04:16Bien sûr, ce sont des outils de travail.
04:19Mais il y a un patron de presse qui nous a dit de ne pas l'accepter.
04:23Mais le journal doit être dans l'horizon.
04:26Il faut avoir un véhicule de ramassage rapide et un service sympa.
04:30Le ministère est venu à la place de la nation et il nous a dit de ne pas l'accepter.
04:35Oui, c'est ça.
04:36Mais il faut avoir de bons bus, des longs voyages au moins qu'il y ait du confort.
04:44Je pense que c'est vers ça que nous devons aller.
04:46C'est très clair.
04:48Ce que je veux dire aujourd'hui, c'est que la presse l'a fait objectivement.
04:54C'est clair.
04:55Mais on ne peut pas l'accepter car on est toujours sur le plateau.
05:00On parle de précarité et de manque de communication avec les ministres.
05:08Mais aujourd'hui, j'ai entendu le président Djamal dire qu'il ne voulait pas qu'on s'occupe de ses ministres de tutelle.
05:15Il a tout recadré.
05:19Il a deux médias de sport.
05:22Il a déclaré qu'il allait arrêter le faillite.
05:25Il a fait un chômage à 22 journalistes.
05:29Mais on peut constater qu'il n'a pas déclaré le faillite.
05:33Une entreprise a été arrêtée.
05:35C'est la réglementation qui a déclaré le faillite.
05:40Si les états de l'économie apportent leurs services à travers une mission
05:45et qu'ils font des rapports, est-ce qu'ils ne peuvent pas le faire?
05:48Pourtant, les états sont en train de s'occuper de leurs affaires.
05:52C'est ce qu'ils disent.
05:53D'accord, on vous a apporté des services.
05:58Je vous jure que j'ai un organe qui existe au moins pendant 20 ans.
06:04Vous avez fait des profits.
06:06Vous avez fait de l'argent avec des gens qui vous ont apporté des services.
06:11Mais en une seule année, on vous a apporté un faillite.
06:15Tu penses que c'est possible?
06:18C'est impossible.
06:20Pour moi, c'est impossible.
06:24C'est ce que je crois en fait.
06:27Ce que Djomaye a dit dans les médias, je n'ai rien à dire.
06:32Parce que tout ce qu'il a dit est vrai.
06:34Je n'ai pas entendu ce que le président Djomaye a dit.
06:38Ne vous régularisez pas, je n'ai aucun problème pour vous.
06:43C'est ce qu'il a prouvé en préambule.
06:46Il a dit qu'il y avait une volonté manifeste de liquider les médias.
06:51Mais c'est la réglementation.
06:54C'est le code de la presse, ça date de juillet 2017.
06:57A l'époque, c'était Yaramba qui était secrétaire de la communication.
07:01Ils ont dit que ça faisait trois ans.
07:04Et ils ont dit que les oppositions étaient très agressives.
07:10Je pense que le président a été très lucide sur cette question.
07:14Mais aussi très ferme et très humble.
07:17Il n'y a pas de problème avec l'humilité.
07:20Si vous vous en prenez soin de vous, vous ne saurez pas ce que je veux dire.
07:25Le problème est que la presse n'a pas son ministre.
07:30Mais qui est journaliste d'abord?
07:32Je ne suis pas un journaliste, tu es un journaliste.
07:34Le président a dit ce qu'il a dit.
07:37Mais il n'y a pas de journaliste, ils sont des patrons de presse.
07:41Mais ce qu'il a dit est vrai.
07:44Mais il y a des personnes qui sont des patrons de presse.
07:48Des promoteurs de...
07:52Ils ont des comptes pour les propres comptes.
07:58C'est ce que j'avais dit.
08:01C'est ce qu'a fait Bode Danké.
08:03C'est vrai que Bode Danké est un bon gars.
08:08Ils ont porté leur budget.
08:10Je ne peux pas comprendre pourquoi Faye a déclaré.
08:13C'est une mission qu'on doit accomplir.
08:16C'est ce que j'ai compris.
08:17Et quand vous avez déclaré Faye,
08:21vous avez demandé de l'éliminer.
08:25Mais il y a quelque chose à dire à eux.
08:27Est-ce que vous l'avez fait?
08:29C'est ce qu'on dit dans le CDC.
08:31Est-ce que vous l'avez fait?
08:33Est-ce que vous l'avez fait?
08:34Même si c'est pour la CDC.
08:37Il y a quelque chose à dire à Moustapha et à Ahmed Diallo.
08:40Je dois dire à la journaliste de la RDS aussi.
08:44Parce que le protocole d'interview est un point qu'on est d'accord sur.
08:49Pour qu'on en parle parce que c'est ce qu'on a fait.
08:52On a fait beaucoup de clips.
08:55Mais la question de relance n'est pas une nouvelle question.
08:59C'est une question qui complète une question initiale.
09:03Donc, on est d'accord sur le timing.
09:06Je l'ai compris mais aussi...
09:09C'est ce que je veux dire aussi.
09:12Je ne suis pas d'accord sur ce qui s'est passé en ce moment.
09:18Mais tout le monde s'en fout.
09:20Pourquoi?
09:22Pourquoi quoi?
09:23Tu ne vas pas y aller.
09:24Non, tu sais ce que c'est.
09:26Je ne fais aucun effort pour qu'on me désigne.
09:31Parce que le soleil, on l'a déjà entendu.
09:35Je ne fais aucun effort pour aller là-bas.
09:40Je n'ai pas un esprit confiné.
09:46D'autant plus qu'en confinement, je n'ai pas de relance.
09:52Tu as vu l'occasion du président du Ségur.
09:59Si on a une relance, on ne peut pas la relancer.
10:04Une autre chose que je suis d'accord avec c'est que la question doit être courte et concise.
10:09Il y a beaucoup de journalistes qui nous posent des questions.
10:12Parfois, tu as l'impression que si on te pose des questions, tu te dis qu'on te connait.
10:16Je ne parle pas de moi en général.
10:20Je suis d'accord avec elle lorsqu'elle dit qu'on pose des questions courtes pour plus de clarté.
10:28Mais à deux reprises, j'ai senti que le président voulait répondre à des relances.
10:32Il veut aller sur une autre question mais il n'y a pas de référence.
10:36Après-midi, on ne peut pas parler de ça.
10:38Donc, on laisse les journalistes qui posent des questions.
10:40Une question de relance est une question qui complète une interrogation initiale.
10:48Autrement dit primitive, c'est la première question.
10:51Il y a beaucoup de choses à dire sur ce sujet.
10:54On a déjà parlé de ce sujet il y a quelques jours.
10:59Il ne faut pas s'inquiéter sur les complexes.
11:03Il faut juste parler à le président.
11:08Le président n'est pas là tous les jours.
11:11C'est vrai.
11:12Il me pose des questions pertinentes.
11:16Il a parlé des affaires financières.
11:20Il a parlé de l'emploi.
11:23Il a parlé de l'emploi politique.
11:26Il a parlé de l'économie.
11:35Il faut s'en féliciter parce qu'il est arrivé à neuf heures et quelques.
11:41Le président a parlé de trois heures de temps.
11:44Il a fait le tour des questions.
11:47On comprend le protocole du palais.
11:53Mais le président n'a pas laissé parler d'une heure et deux du matin.
11:57Il est à l'aise.
11:59Ce sont des questions qu'il a posées.
12:01Il s'en fiche pour nous poser des questions.
12:06Il y a des zones d'ombre.
12:08Pour l'apprêt, je pense qu'il n'y a rien à voir.
12:13Pour l'opposition, il faut s'assurer qu'il parle de la vérité.
12:18Pour le moment, je vais me présenter.
12:20Je suis là pour vous parler de la vérité.
12:23Je suis là pour parler de la vérité.
12:31Si vous me demandez de poser des questions,
12:37je vous dirai que je vous donnerai la meilleure solution.
12:43C'est plus courageux.

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