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Gabriel Attal, président de Renaissance, évoque l'état de la politique française : «Depuis l'été dernier, elle est un véritable champ de ruines».

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Transcription
00:01Mes amis, il est temps de montrer ce que les démocraties ont dans le ventre.
00:06Il est temps, enfin, d'assumer notre propre puissance.
00:09Et nous, chez Renaissance, nous allons y aider.
00:12Nous, nous agissons, nous proposons.
00:16Nous ne passons pas notre temps, comme d'autres familles politiques,
00:20à nous déchirer, nous embourber dans des luttes intestines.
00:23Les partis avant le pays, voilà le virus mortel de la politique.
00:28La politique française est malade.
00:31Et depuis l'été dernier, elle est un véritable champ de ruines.
00:35Au milieu de ce champ de ruines, je vous propose une chose.
00:39Soyons ceux qui allument une lumière,
00:42une lumière modeste, humble au départ,
00:45mais bien déterminée à grandir,
00:47pour redevenir un point de repère pour les Français.
00:50Oui, au milieu de cette folie,
00:52au milieu de l'hystérie collective qui semble s'emparer de tout,
00:56au milieu des outrances, au milieu des insultes,
00:59au milieu des menaces, au milieu des haines,
01:02notre ambition est claire.
01:04Être un point de repère.
01:06Le repère de ceux qui disent la vérité.
01:09Le repère de ceux qui rassurent.
01:11Le repère de ceux qui se remettent en question.
01:14Le repère de ceux qui réfléchissent à l'avenir.

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