Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 01/04/2025.
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00:00J'ai une autre question à vous poser sur ce match, puisqu'à la 27ème minute, Paris était mené 2-0 par le 5ème de Ligue 2.
00:09Je crois que cette saison, contre un adversaire français, les adversaires n'ont jamais fait le break.
00:13C'est arrivé parfois que notamment Saint-Etienne ouvre le score, mais après, prennent la valanche.
00:18Paris était mené 2-0 par Dunkerque à la 27ème minute. Est-ce pour vous préoccupant ?
00:22On fait un petit habillage, tranquille. Est-ce que c'est préoccupant, Gérôme ? Oui ou non ? Non ?
00:29Greg ? C'est pas anodin. Donc ? Oui, c'est préoccupant. Oui, plutôt oui.
00:35Hugo ? Non. Non ? Vous avez un peu hésité.
00:40Bernard ? Contrat ou pas contrat ? Contrat. Contrat.
00:43Là, on est sur un super duel. Café ou pas café, vous lancez le jingle, s'il vous plaît, Président ?
00:48Super jingle. Why so many reds ? Pourquoi cet accent anglais ?
00:52C'est super dual. C'est pour un super jingle.
00:57Bernard, Greg, qui commence ? Tonton Bernard ou cousin Greg ?
01:01Quand tu veux. Vas-y.
01:03Allez, Bernard, vous allez prendre la main. Hugo et Gérôme, dans ce couple, qui porte la culotte ?
01:08Allez, j'y vais vite fait. Allez, vite fait.
01:11Est-ce préoccupant ? S'il y a des gens qui sont préoccupés, on est toujours un peu inquiets.
01:16Bernard, Dr Love, vous avez la main. Qu'est-ce qui vous a chiffonné ? On y va, on vous écoute.
01:22Non, mais ça sera anecdotique, comme dirait mon camarade à l'instant de l'étage en dessous.
01:26Si c'était un one-shot, c'était arrivé que ce soir.
01:28Mais moi, je reste encore bien présent dans la tête.
01:33Ce qui s'est passé aussi lors de la première période à Saint-Etienne, où ils sont passés complètement à côté pendant une demi-heure.
01:38Moi, je n'ai pas trop compris le système hybride de Louisien Nériqué, avec une défense à trois,
01:43sans trop, avec le ballon, et à quatre avec un jeu nevesse sans ballon.
01:47D'ailleurs, on voit le but qu'ils se prennent aussi. C'est encore une erreur de marquage et de positionnement de l'équipe.
01:53Donc oui, si c'est une fois, ça va. Deux, je trouve que ça commence à faire beaucoup.
01:57OK. Et Jérôme ? Non, ce n'est pas préoccupant. Ça ne vous préoccupe pas plus que ça ?
02:02C'est le pari de cette saison. Il réagit beaucoup, il réagit trop, mais il réagit bien.
02:06Alors, il est mené souvent. Pelmel lance en coupe Monaco juste après, en décembre.
02:10Et puis évidemment, City. Et puis quelques matchs en championnat à Saint-Etienne récemment aussi.
02:14Donc ce pari-là se nourrit de ça. Alors oui, ça pourrait être préoccupant si tu laisses les plumes.
02:21Mais ce pari-là, quand il est mené, il gagne après. Et ça, c'est une nouveauté aussi.
02:25Donc non, je me suis habitué à ça. L'important, quand tu fais des erreurs, c'est qu'est-ce que tu en fais après tes erreurs ?
02:31Eh bien, Paris les transforme en rage et gagne après. Et ça, ça m'intéresse.
02:34Votre voisin a demandé pour le oui, qu'il était un peu préoccupé.
02:37Ils ont des problèmes. Si un problème, c'est derrière, parce que c'est une équipe forte, mais derrière, ça ne va pas,
02:41et dans les airs. Parce que là, quand même, le deuxième but de Dunkerque, c'est un remake du but de Liverpool.
02:45C'est Marquinhos qui ne monte pas au duel ou qui fait semblant d'y aller.
02:48Donc ça fait deux. Le premier but, c'est un coup de pierreté.
02:50Donc sur l'agressivité défensive, c'est quand même Guéorgène qui n'est pas le plus grand qui les mange.
02:54Donc ça arrive quand même souvent. C'est un peu souvent le même scénario.
03:00Et je trouve que ça n'a aucune chance d'être à Aona. Je ne vois pas Louis-Henriqué faire l'impasse sur ces problèmes-là.
03:05Un mode opératoire qui a déjà été vu. Pourtant, vous n'êtes pas préoccupé, mon cher Hugo.
03:10Oui, mais Greg, il ne regarde pas assez la Ligue 2. Dunkerque, c'est une des meilleures équipes sur coup de pierreté de Ligue 2.
03:14Même Ligue 1 confondue. Et le PSG, ils souffrent depuis plus d'un an sur coup de pierreté.
03:18Donc ce n'est pas une nouveauté. Bernard est inquiet de voir le PSG mené à Saint-Etienne.
03:23Derrière, il y a 6-1. Je ne suis absolument pas inquiet. Il y a eu peut-être un petit peu de décompression
03:27parce que c'est une équipe d'un niveau inférieur. Il savait qu'ils allaient remporter ce match assez facilement.
03:31Je n'ai absolument aucun souci. Ils seront à fond, à 100% face à Aston Villa en Ligue des Champions pour bien finir la saison.
03:38Ça sera dans une semaine, ce quart de finale de la Ligue des Champions. Evidemment, le débrief dans l'équipe du soir.
03:43Patron, à vous de jouer. Préoccupé ou pas ? Des petits signes d'inquiétude ?
03:48Des petites informations pour affiner notre lecture du PSG ? A vous de jouer.
03:51Moi, je ne trouve pas. Je trouve que c'est même l'inverse. Je trouve que c'est du pain béni pour Louis-Henriquet
03:55par rapport à quand on affronte des équipes peut-être qui sont un peu plus faibles.
03:59Leur montrer que s'ils ne sont pas dans la tête prêts... Parce que moi, je trouve que ces deux buts, c'est vraiment qu'ils ne sont pas rentrés dans le match.
04:05Pas qu'ils les ont pris de haut, mais il y a des interventions sur les deux buts qui ne sont pas le PSG qu'on connaît, qui est impliqué à chaque seconde, etc.
04:14Dans les matchs, c'est très important. Donc, moi, je pense que c'est très intéressant pour la fin de championnat notamment,
04:19pour maintenir son groupe sous pression en leur expliquant que dès qu'ils sont un ton en dessous, on se met en danger.
04:26Donc, éviter cela au maximum. Et je trouve que ce n'est pas si préoccupant que ça.
04:31J'aime bien cette analyse. Je vais aller voir Giovanni Castelli. Vous étiez à Dunkerque.
04:36Je ne sais pas où vous étiez. Est-ce que vous avez entendu réagir Louis-Henriquet ?
04:41Vous n'avez peut-être pas forcément suivi sa conférence de presse, mais suivi un peu par écran smartphone interposé.
04:48Est-ce que c'est le genre de truc que Louis-Henriquet a dit après la rencontre ?
04:54Mémé, pour le coup, j'étais en zone mixte avec les joueurs. Je n'ai pas eu directement Louis-Henriquet en conférence de presse.
05:03Ce que je peux vous dire pour avoir échangé avec quelques membres du staff, c'est que ce qui s'est passé,
05:08et on a raison de le coller à ce qui s'est passé à Saint-Etienne, forcément, le staff n'était pas content.
05:14Les joueurs en sont pleinement conscients. Nuno Mendes, qui est venu en zone mixte, l'a dit. Effectivement, on a fait des erreurs.
05:22Maintenant, ce que je trouve hyper rassurant dans ce PSG-là, même s'ils font des erreurs et qu'ils prennent des buts,
05:28c'est que derrière, il n'y a pas de panique. Je trouve que c'est une équipe qui connaît son football.
05:31Elle sait que quand elle est en difficulté, elle doit s'appuyer sur ce qu'elle fait bien.
05:35Il y a une forme de sérénité. Quand ça sera plus haut, ce sont des erreurs à ne pas refaire.
05:41Mais ils ont conscience de ça. Je ne vois pas une équipe qui doute, une équipe qui inquiète.
05:44Je voulais juste dire un mot à Bernard Lions. Je ne sais pas si je suis muté à Dunkerque, mais en revanche,
05:48je regarde tous les matchs du PSG. Et s'il est inquiet sur le système hybride A3, ils font ça depuis un an et demi.
05:54Ça ne les a pas empêchés de taper Liverpool et de les éliminer avec une défense A3.
05:58C'est ce que fait Luis Henrique depuis qu'il est arrivé. Donc, il n'y a pas de problème.
06:01Et par rapport à la décompression, on va écouter Vincent Cinso.
06:04Attendez ! Attendez ! Attendez ! On a le temps jusqu'au bout de la nuit.
06:09Regardez, Bernard vous regarde. Bernard, vous êtes trompé. Vous regardez que les matchs de Saint-Etienne.
06:17J'ai essayé de faire synthétique, mais c'était avec Joao Neves. On ne peut pas dire que c'est son arrière-droit.
06:23Mais il le fait tout le temps, Bernard.
06:24Joao Neves, je ne l'ai pas vu jouer.
06:27Il l'a fait face à Monaco. Ils ont tapé Monaco comme ça.
06:32Vous avez le sentiment que c'est en cette faute-là, le match il chante ?
06:36Attendez ! Attendez ! Attendez ! On a juste un petit truc.
06:39Il y a Bernard qui va répondre à Giovanni, puis après on écoutera Vincent Cinso.
06:42Joao Neves, il a joué toute la saison latérale-droite dont acte.
06:46Mais ce que je trouvais très étonnant, c'est la façon à la récupération de balles quand il passait à trois.
06:50Le seul point fort qu'il y avait à Saint-Etienne, c'est David Hachefili.
06:54Et le seul but qu'ils ont pris et qui est passé comme ça, c'est dans le dos de Joao Neves.
06:59Et c'est ça, ça m'a surpris. Ils l'ont réglé après. Et après, ça a été terminé. David Hachefili, on ne l'a plus vu et il est sorti.
07:04C'est ça que je voulais dire.
07:05Je n'ai pas dit que c'était la première fois qu'il jouait comme ça.
07:09Je dis juste que Joao Neves, je n'ai pas fait gaffe que depuis le début de la saison, c'était lui le titulaire au poste d'arrière-droite.
07:15Vous avez raison d'insister.
07:16Tu penses que c'était Hakimi, non ?
07:17Oui, mais je me suis trompé. Je présente mes plus plates excuses à Giovanni Castaldi.
07:22Il me semblait que Joao Neves n'y jouait pas depuis deux ans à l'arrière-droite.
07:27Je l'ai confondu avec celui qui joue au Belfique à Lisbonne.
07:30Et celui qui joue au Méditerranée, c'est le dernier au Belfique.
07:33Je m'excuse. Je présente mes plus plates excuses.
07:36Bernard, tu es d'une malhonnêteté sans nom.
07:39Je ne t'ai pas parlé de Joao Neves.
07:41Je te dis juste qu'à Troyes, peu importe qui c'est, ils sont comme ça.
07:44Même Warren Zahéri joue comme ça quand il est au poste de latéral droit.
07:48Donc tu t'es planté sur la défense à Troyes.
07:50Ce n'est pas grave. Tu fais ton tour de magie avec Neves.
07:52Mais tout le monde a compris que tu t'étais planté.
07:54Mais non, c'est toi qui n'as pas compris ce que je voulais dire.
07:56Mais ce n'est pas grave.
07:58Tu n'as pas parlé de Neves. Ce n'est pas vrai.
08:00On va avancer parce que vous avez croisé Vincent Sasso, le premier buteur de la soirée.
08:05On a entendu vos 12 questions.
08:07Je suppose que la conversation a été initiée par l'arrière droit de l'équipe du soir.
08:13C'est Giovanni Castaldi.
08:15Giovanni, face à Vincent Sasso.
08:17On y va.
08:18On en parlait un peu avec Victina.
08:20Forcément, inconsciemment, de jouer en on-field contre Liverpool.
08:23Tu joues Dunkerque en Coupe de France.
08:26Ce n'est pas forcément la même motivation.
08:28Je ne pense pas qu'il nous ait pris de haut parce que tu n'arrives pas en demi-finale par hasard.
08:31Surtout qu'on avait quand même sorti trois équipes de Ligue 1 dont deux de Ligue des champions.
08:34Mais inconsciemment, c'est sûr que tu ne peux pas demander à des joueurs d'être aussi concentrés.
08:39Même dans l'envie quand tu joues en on-field que quand tu joues contre Dunkerque.
08:43Il faut être réaliste.
08:44Alors là, il vient de réveiller Freud.
08:46L'inconscient, le truc.
08:48Moi, je n'ai pas trouvé nos Parisiens les mains au-dessus du guidon.
08:51Les 20 premières minutes, si.
08:53Ah, les 20 premières minutes ?
08:55La première demi-heure, si.
08:56Moi, j'ai vu le double but Dunkerque.
08:58Parce que Dunkerque passe à ça de mettre le troisième pendant les arrêts de jeu de la première mi-temps.
09:03Il ne faut quand même pas une première mi-temps.
09:05Les 20 premières minutes, après vous faites référence à...
09:07Oui, parce que tu sens que c'est un petit peu plus, un petit peu moins.
09:09Mais ce n'est pas si simple.
09:10Le but d'Embelé, il tombe même un peu comme ça, je trouve.
09:12Mais c'est surtout sans le ballon.
09:14Il évoquait Johan.
09:16Il ne s'attendait pas, je pense, à prendre des transitions comme ça.
09:18Et que les mecs se projettent à 4-5.
09:20Parce qu'ils n'ont pas eu le ballon.
09:21Mais quand ils ont attaqué quand même.
09:22Ils n'ont pas fait semblant.
09:23On parle de double but.
09:24C'est le double but.
09:25Mais quand ils ont attaqué, ils y sont allés.
09:26Ils ont eu des grosses occasions.
09:27Ils ont eu des occasions.
09:28Pendant tout le match.
09:29On remarque, pendant le Superduel, qu'il avait noté, c'est Grégory Schneider,
09:32sur les problèmes, sur Cornet, grâce à les coups de pied arrêtés du Paris Saint-Germain.
09:36On remarque que vous avez donné, juste avant le match retour,
09:39contre Liverpool, Bernard Lyons.
09:40Mais vous, vous aviez suivi contre Brest.
09:43Je vous rassure.
09:44Et c'est vrai que sur les coups de pied arrêtés, on sent qu'ils sont emmerdés ou désorganisés.
09:50Et à l'inverse, Dunkerque marque trois fois contre Brest.
09:53D'accord.
09:55Jérôme, ce qui, moi, me surprend, c'est que tu vois la progression du Paris Saint-Germain,
10:03de Luis Henrique, depuis dix-huit mois.
10:05Et tu te dis, ça arrive à progresser dans tous les secteurs de jeu, sauf sur celui-là.
10:09Et que quand même, ce sont des phases de jeu statiques, où tu travailles,
10:13que ce soit offensivement ou défensivement.
10:15Et là, tu as l'impression que c'est récurrent.
10:17Et qu'il continue à prendre des buts qui sont évitables.
10:21Il a Donnarumma, qui...
10:23Bon, là, c'était Safonov.
10:24Ce soir, il n'est pas là, Donnarumma, le pauvre.
10:26Non, mais je sais.
10:27Ce soir, il n'est pas là.
10:28C'est d'habitude.
10:29C'est un gardien qui ne règne pas dans sa surface.
10:33Un Liverpool, un peu, quand même.
10:35Oui, mais tu ne peux pas prendre un match comme ça et en faire une généralité.
10:38Vous avez même dit, la conversation est née de votre observation.
10:42Et ensuite, il y a un problème d'agressivité et aussi de gabarit, de taille,
10:49dans ces phases de jeu au Paris Saint-Germain.
10:51Berraldo...
10:52Écoute, Pierreté, c'est l'agressivité, de toute manière.
10:54C'est la disposition mentale.
10:56C'est ce que tout le monde m'a toujours expliqué.
10:59Vous partez sous le contrôle.
11:00Non, j'ai l'impression que vous êtes un peu loin.
11:02Vous avez jeté un oeil.
11:04Ça se travaille aussi.
11:07Alors, voilà, j'allais finir.
11:08Beaucoup, ça se travaille.
11:09Ce n'est pas que de l'agressivité.
11:10Notre gardien.
11:11C'est une illusion.
11:13Je pense que ça se travaille, oui.
11:15Mais tu ne progresses pas toujours forcément.
11:17Parce que, comme vous le dites, et vous avez attaqué là-dessus,
11:20c'est de quoi tu es fait.
11:22De quoi tu es fait sur coup de Pierreté.
11:24Moi, je peux vous garantir que si un jour...
11:25Enfin, à l'époque, on les travaillait.
11:26Notamment, je me rappelle avec Wahid.
11:28Vous prenez les buts sur coup de Pierreté.
11:30Le mercredi ou le mardi, tu les travailles.
11:32Mais tu n'en prends pas un à l'entraînement.
11:34Tu n'en prends pas un.
11:35Parce que ce n'est pas pareil.
11:36Ce n'est pas la même implication.
11:37En face, tu n'as pas les mêmes mecs.
11:39Moi, je pense que les travailler, c'est bien.
11:41Oh, j'ai eu peur.
11:43C'est la musique de votre partenaire.
11:46Ils ne sont pas préoccupés.
11:47Donc, il y a le travail.
11:49Mais il y a de quoi tu es fait aussi.
11:50Moi, je pense qu'effectivement, les joueurs du PSG qui forment cette défense-là,
11:53en ce moment,
11:54il n'y avait pas Pacho, en plus, au début du match aujourd'hui.
11:56Pacho, lui, c'est un arbre.
11:57Ce n'est pas pareil.
11:58Lui, tu ne le bouges pas.
11:59Ce n'est pas Beraldo.
12:00Et puis, même les travailler, c'est Pierreté,
12:02l'attente, le mec qui tire le truc.
12:04Donc, tu es concentré.
12:05Tu vois, ce n'est pas...
12:06Après une phase de jeu, tu arrives, tu dois te placer.
12:08Pour moi, la base, c'est vraiment un truc de concentration.
12:11Placer.
12:13On va quitter Giovanni Castaldi.
12:14Giovanni, vous étiez mis en lumière par Sébastien Bouec.
12:17Je vous salue.
12:18Juste un petit truc.
12:19Une petite indiscrétion.
12:20Un petit truc que vous avez relevé ou pas du tout.
12:23Enfin, voilà.
12:24Ou soit, on se dit au revoir.
12:25Et puis, voilà.
12:26Un joueur Néves, peut-être.
12:27Si il peut demander, quand il arrive à Dunkerque,
12:30que le joueur du Benfica, Dunkerque, joue un Néves,
12:32il m'envoie une petite carte postale.
12:34Ça me ferait plaisir.
12:35Quel salaud.
12:37Bernard est malhonnête, mais on l'aime.
12:38Voilà.
12:39D'accord.
12:40On vous embrasse, Giovanni.
12:41À côté de Boulogne-Biancourt.
12:42Voilà.
12:43En hélicoptère, évidemment.
12:44Bonne soirée.
12:45Bonne soirée.
12:46T'as quelques minutes, là ?
12:47Il n'y a pas le carnal, là ?
12:48Comment ?
12:49Il n'y a pas le carnal, là ?
12:50Encore, oui.
12:51Encore.
12:52On n'a pas le temps, là.
12:53Il faut que je lance la pause.
12:54Je suis désolé.
12:55C'est fini ?
12:56Non.
12:57À tout de suite.
12:58Au revoir.
12:59Au revoir.