Avec Frédéric Baldan, lobbyiste, auteur de "UrsulaGates" éd. Droits et Libertés
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00:00Ici Sud Radio. Les Français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:14Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:17On nous disait oui, oui, l'Europe, l'Europe, c'est la paix. Et l'Union Européenne, eh bien, c'est la justice, c'est le droit, c'est la prospérité.
00:28Et puis, là, aujourd'hui, quelques 50 ans après, 40 ans après, 30 ans après, tout ce qui s'est passé, qu'est-ce qu'on peut dire ?
00:38Eh bien, déjà, que quelqu'un s'en lave les mains.
00:42Sud Radio Bercov dans tous ses états. Le fait du jour.
00:47Et oui, vous l'avez déjà entendu, vous l'avez déjà entendu, c'est Ursula von der Leyen, l'importante, l'omniprésente et l'omnipotente présidente de la Commission Européenne
01:07qui se lave les mains en chantant, évidemment, l'hymne européen, l'hymne à la joie de Beethoven devenu l'hymne européen.
01:14Alors, très rapidement, quand même, on va rappeler pourquoi on en parle aujourd'hui, ça remonte à avril 2021.
01:21Vous voyez, il y a 4 ans, pratiquement 4 ans, New York Times révélait que la présidente de la Commission Européenne, donc Ursula von der Leyen,
01:28avait négocié directement par SMS avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccins contre le Covid pour la modique somme de 36 milliards d'euros.
01:41Alors, si ces accusations s'avèrent véridiques, Ursula von der Leyen aurait négocié un contrat d'achat de vaccins en dehors de toute règle commerciale européenne
01:49et il y a quelqu'un qui s'en est emparé, qui est Frédéric Baldan.
01:53Frédéric Baldan, lui, le 5 avril, donc 2 ans après New York Times, lui, il fait autre chose, il fait une première.
02:02Il dépose une plainte pénale avec constitution de parti civil dans les mains d'un juge d'instruction liégeois, donc belge, Frédéric Frenet.
02:12C'est une première, c'est une première parce qu'il charge, et cette plainte pénale charge, la présidente de la Commission Européenne, donc Ursula von der Leyen,
02:21pour corruption, prise illégale d'intérêt, destruction de documents administratifs, etc., etc.
02:27Donc c'était une question secrète. Frédéric Baldan, bonjour.
02:30Bonjour.
02:31Alors, on vous avait déjà reçu avec, pour ce livre, et même avant pour ce livre, je rappelle que vous avez écrit Ursula Gates,
02:39la comprémission par les lobbies. Nous sommes actuellement, nous sommes quoi ? Nous sommes début mars 2025.
02:47Et on voit très très bien que le pouvoir d'Ursula von der Leyen et de la Commission n'a jamais été aussi grand,
02:53puisque on parlait de ce qui se passe avec la Russie, avec l'Ukraine, etc., avec l'armée européenne, avec toutes les mobilisations qu'il y a en ce moment.
03:06Et est-ce que l'histoire des SMS, l'histoire des vaccins, l'histoire de Pfizer a disparu par profits et pertes ?
03:14Est-ce que vous n'êtes pas un peu découragé, Frédéric Baldan ?
03:17Alors non, absolument pas. C'est d'ailleurs toute cette affaire une occasion de revenir à des fondamentaux,
03:22de comprendre ce que c'est normalement au départ la promesse de l'Union Européenne, ce qu'est la charte des droits fondamentaux.
03:27Je suis très content que vous m'invitiez, parce que j'ai justement des journalistes belges qui m'ont fait grief en privé pour être venu vous donner des interviews.
03:34Donc je suis très content de rappeler que le pluralisme des médias est respecté, et cette sortie de la charte des droits fondamentaux de l'Union Européenne.
03:42Vous êtes un journaliste, je suis très content de venir vous voir pour vous aider à faire votre travail.
03:45Donc voilà, comme ça je leur fais coucou au passage, ça leur apprendra.
03:48Mais donc cette affaire, si vous voulez, elle a fait l'objet d'une décision de justice de la Chambre des Mises en Accusation de Liège.
03:56Je ne vais pas refaire toutes les péripéties dont on pourrait discuter entre temps,
04:01mais en fait ce qui se passe c'est que la Chambre des Mises en Accusation de Liège finit par nous dire que la destruction de nos droits fondamentaux,
04:09enfin la violation de nos droits fondamentaux n'a pas comme corollaire d'occasionner un préjudice aux citoyens.
04:15Donc ça veut dire qu'en fait les droits fondamentaux de la charte de l'Union Européenne n'existent plus.
04:19Ah oui, un citoyen privé de ses droits fondamentaux, il n'y a pas de préjudice.
04:22En fait on s'est clairement écrit dans le jugement, le fait de violer mes droits fondamentaux, par exemple le droit à la transparence,
04:27et on a très bien compris que ce droit est détruit par Ursula von der Leyen,
04:30par le fait de ne pas donner la copie de ses messages, et de l'organiser, le fait de ne pas avoir l'archive,
04:35par le fait de ne pas donner la copie des contrats signés avec Pfizer,
04:39on a manifestement détruit ce droit de transparence,
04:43et en fait la Chambre des Mises en Accusation de Liège, de manière complètement surréaliste,
04:48mais par la pression du politique et l'intervention pour en revenir le Parti Européen.
04:53Féline Guimaldan, pardon, moi aussi, et moi et tous, on se sent privés de nos droits fondamentaux.
04:59Pardon, le contrat, c'est nous qui avons payé pour l'achat des doses de vaccins.
05:04Et je ne discute pas de la légitimité ou pas du vaccin.
05:07Le problème, c'est que moi, j'aurais savoir le contrat,
05:10je veux dire, moi, Bercoff, moi, citoyen, moi, comme tout le monde,
05:14j'aurais savoir le contenu, y compris les alinéas, de ces contrats.
05:17Or, on ne les a pas, on ne les connaît pas.
05:19On est arrivé à une situation intéressante, parce que le deuxième point soulevé par les juges,
05:23c'est que la corruption ne nous concerne pas parce qu'elle préjudicie l'argent public,
05:27qui n'est pas le nôtre, c'est celui de l'État, donc c'est assez intéressant.
05:31L'argent public n'est pas le nôtre, mais c'est celui de l'État.
05:34Et en fait, il nous dit que c'est le ministère public qui doit poursuivre,
05:37et ce n'est pas les citoyens qui doivent s'en saisir.
05:39C'est un jugement assez fantastique à ce niveau-là.
05:41Je vous dirais qu'au niveau judiciaire, on a un arrêt à cette étape,
05:46mais on a plusieurs procédures en vue, et donc on n'est pas tout ou découragé.
05:50Vous continuez le combat.
05:51Oui, tout à fait, mais en termes d'activisme ou de lobbying pour les droits fondamentaux,
05:57on est quand même arrivé à avoir un succès unique pour le moment.
06:01Vous avez vu, les journalistes du New York Times essaient d'avoir des documents.
06:04Il y a des activistes, des citoyens, des députés européens,
06:06qui normalement ont le devoir de contrôler l'action de la commission
06:09et qu'on a privé de l'information utile.
06:11Des médecins ont été privés de cette information qui était indispensable pour leurs patients,
06:17idem pour les patients qui ont des effets secondaires.
06:19Et donc aujourd'hui, la victoire qu'on a, c'est qu'on a obligé les parties de cette procédure
06:25à produire un contrat.
06:27Et donc en fait, aujourd'hui, on a connaissance dans le cas de cette procédure.
06:30Vous avez la connaissance du contrat, vous et un certain nombre de gens.
06:33Et donc ce que je peux vous dire aujourd'hui, en tout cas,
06:35même si on a toujours quelques problèmes juridiques pour donner connaissance au public,
06:39c'est que moi je suis spécialiste de la transparence administrative en Belgique,
06:43et donc je connais très bien les conditions dans lesquelles une autorité publique
06:46a le droit de censurer un document.
06:49Donc ça s'appelle une transmission partielle.
06:51Et c'est dans des cas qui sont, vu que c'est un droit fondamental,
06:53légitime, proportionné, strictement nécessaire.
06:56Donc ça veut dire le secret défense, le droit à la vie privée, le secret des affaires.
07:00Ici dans ce cas-ci, quand je compare le document qui est fourni par la commission
07:03et qui est censuré, avec celui que je peux lire dans le cadre de mon enquête
07:07et qui n'est pas censuré, je comprends qu'en fait la censure est parfaitement illégale.
07:11Donc en fait, comme journaliste, vous auriez toujours dû obtenir ce document.
07:15Depuis le début.
07:16C'est ça. Et moi aujourd'hui, comme moi, comme tous les journalistes,
07:19comme tout le monde, on ne peut pas, on n'a pas ce document à l'heure où on parle.
07:22Juste un mot. Je ne vais pas vous demander le contenu,
07:25parce que pour le moment, il y a un certain nombre d'obstacles à franchir.
07:28Mais est-ce que ce contenu a des choses que, au fond, qu'est-ce qui les embête ? Pourquoi ?
07:34Je vais poser la question autrement, Fédéric, maintenant.
07:37Qu'est-ce qui fait qu'il se cogne avec autant d'acharnement
07:41sur la non-divulgation complète du contrat ?
07:44Alors, c'est l'idée que j'ai depuis le début.
07:46C'est qu'en fait, ils révèlent des crimes et délits commis par des fonctionnaires et des politiques.
07:49Ça ne peut pas s'expliquer autrement ce qu'on lit à l'intérieur.
07:52Il y a des choses, des révélations ?
07:55C'est totalement contraire à l'intérêt, enfin la mission de protéger la santé publique.
07:59C'est vraiment contraire à l'intérêt collectif ou général par rapport à l'intérêt du fabricant.
08:04Donc, c'est vraiment très net pour nous.
08:06Et ce que ça révèle au niveau politique est très grave.
08:09Vous avez vu le pass sanitaire en France,
08:11qui en fait est un projet porté par des lobbies au travers de Madame Van der Leyen.
08:16Ça s'est appelé le EU Digital Covid Certificate,
08:19qui a été décliné avec des appellations différentes dans les différents pays
08:22pour qu'on ne puisse pas se mobiliser contre.
08:24Chez nous, c'est le CST. Chez vous, c'est le pass sanitaire.
08:26En fait, ce dispositif, depuis toujours,
08:28quand la Commission l'a mis en place,
08:30elle l'a mis en place de manière malhonnête,
08:32en sachant qu'il était illégal
08:35et en sachant qu'en fait, il n'aurait aucune utilité
08:39si ce n'est détruire les droits fondamentaux.
08:41Et donc, on voit que l'intention de la Commission Van der Leyen
08:44a été de détruire la Charte des droits fondamentaux.
08:46Et donc, quand je la vois, si vous voulez,
08:48il y a quelques semaines, aller à la Cour européenne de justice
08:51dans le cadre de son deuxième mandat,
08:53qui est déjà une illégalité en soi.
08:55Je vous rappelle qu'elle a été poursuivie avec nous par deux États membres.
08:58Comment pouvait-elle être la personne la plus à même
09:00de représenter l'intérêt de l'Union ?
09:02Ça, c'est quand même un truc qu'il faudra m'expliquer.
09:04Elle va à la Cour de justice.
09:06Elle lève la main et elle dit, je jure,
09:08et je prête serment de défendre et d'appliquer
09:10la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne.
09:12Et elle le fait même devant les juges
09:14qui sont comme ceux qui, en fait,
09:16sont en charge dans l'affaire du New York Times.
09:18Donc, ils sont en train de délibérer
09:20sur la violation du droit de transparence
09:22dans l'affaire des SMS.
09:24Et en même temps, ils acceptent que Van der Leyen dise,
09:26oui, mais moi, je suis là pour défendre la Charte,
09:28je m'y engage.
09:30Mais on est chez les fous.
09:32Et ça en dit long sur ces juges aussi.
09:34En tout cas, sur une partie de ces juges.
09:36On voit que c'est une faillite institutionnelle grave.
09:38Pour vous dire, pendant le délibéré
09:40de mes juges à la Chambre de mise en accusation,
09:42le service communication
09:44d'Ursula Van der Leyen annonce
09:46qu'elle recevra le Carl Sprace,
09:48qui est un prix honorifique d'un lobby
09:50d'une fondation qui n'est pas déclarée.
09:52Mais il y a un problème grave qui est
09:54le roi des Belges est parrain de la fondation.
09:56Et donc, comment le juge qui doit juger
09:58quatre jours plus tard est en sérénité
10:00par rapport au fait que lui doit être
10:02normalement fidèle au roi.
10:04Et que madame, elle reçoit une récompense
10:06précisément sur les faits qui sont visés par l'affaire judiciaire.
10:08Donc là, on voit bien que le fait
10:10de ne jamais l'avoir suspendu comme le prévoyait les textes,
10:12ça a entravé
10:14le fonctionnement de la justice.
10:16C'est la situation dans laquelle on se trouve aujourd'hui.
10:18C'est une faillite institutionnelle.
10:20On voit bien par exemple, parmi les journalistes,
10:22et il ne faut pas chacun des problèmes,
10:24mais normalement, ils ont un rôle de contre-pouvoir
10:26qu'ils n'ont pas assumé.
10:28Moi, j'ai été lire le code de déontologie des journalistes
10:30de mon pays, où il est marqué
10:32qu'un journaliste ne peut pas accepter
10:34un refus de transmission de pièces
10:36si ce n'est pas légitime.
10:38Et ils ont bien renoncé à obtenir ces contrats.
10:40Renoncer à cette acceptation,
10:42renoncer en tout cas à leur droit,
10:44et c'est effectivement
10:46très préoccupant.
10:48Malgré cela, Frédéric Baldin,
10:50aujourd'hui, on voit la situation.
10:52Quand je vous disais,
10:54ce n'est évidemment pas enterré,
10:56mais comme il y a, vous savez aussi bien que moi,
10:58ce qui se passe sur le plan continental
11:00et ailleurs,
11:02avec toutes les divergences
11:04au sujet de la Russie, de l'Ukraine,
11:06etc., de ce qu'il faut faire,
11:08est-ce que vous n'avez pas un peu la crainte,
11:10évidemment, ceci va passer,
11:12puis l'histoire avance,
11:14mais est-ce que vous n'avez pas la crainte que cette histoire de contrat
11:16que vous avez, que vous possédez,
11:18déjà c'est un progrès,
11:20savoir qu'un certain nombre de gens ont
11:22l'intégralité du contrat, je rappelle
11:24que ça apporte plusieurs dizaines de milliards d'euros,
11:26est-ce que vous n'avez pas
11:28l'impression que ça va continuer
11:30à être sous le boisseau tant que
11:32tant que la situation est celle-là ?
11:34Je vous dirais qu'il y a une double réalité
11:36aujourd'hui, d'abord il y a des victimes
11:38d'effets secondaires graves, et il y a des gens qui ont perdu
11:40leurs proches, des enfants et des conjoints,
11:42donc ça fait qu'on n'est pas vraiment
11:44Oui, on n'est pas seul.
11:46D'abord on n'est pas seul, mais en plus on n'arrêtera pas
11:48de suivre cette affaire, mais c'est clair
11:50qu'elle s'inscrit aujourd'hui dans un contexte plus large
11:52qui est comment l'Union Européenne
11:54gère les fonds,
11:56et comment, quand je dis l'Union Européenne je me trompe,
11:58comment les institutions européennes gèrent nos fonds,
12:00plutôt la Commission, et comment
12:02les institutions européennes sont en train d'accaparer
12:04tous les pouvoirs
12:06et de nous faire dévier vers un système politique
12:08qui n'est pas celui pour lequel on pourrait adhérer
12:10et qui n'est pas celui qu'on nous a promis.
12:12Donc je vous rappelle que normalement
12:14le système qui nous est promis c'est l'Union Européenne,
12:16si vous allez sur le site de la Commission,
12:18l'Union Européenne s'est définie par 4 symboles
12:20qui sont le drapeau, la journée
12:22d'Union Européenne, l'hymne, et
12:24le slogan, donc la devise,
12:26la devise c'est « Unis dans la diversité »,
12:28les institutions aujourd'hui
12:30veulent nous normaliser, qu'en fait
12:32on n'est qu'un seul politique uniforme partout
12:34en Europe, ce qui est quand même déjà assez violent.
12:36On nous a promis la paix
12:38et la prospérité, je ne sais pas si
12:40les gens remarquent l'inflation
12:42qu'on a dans tous les pays européens, mais normalement
12:44ça devrait être le cas. Et puis surtout
12:46qui audite
12:48la Commission Européenne ? Quel est le contre-pouvoir ?
12:50Vous dépensez quoi et comment, et combien ?
12:52Alors ça, ça va dans
12:54aussi la promesse de créer un espace
12:56de sécurité,
12:58de liberté et de justice,
13:00c'est que normalement on a le droit
13:02de savoir ce qui se passe, et on nous a
13:04privé de ce droit. Donc en fait on a un pouvoir
13:06qui est la Commission Européenne
13:08qui commence à capter
13:10et à concentrer tous les pouvoirs des
13:12pays de l'Union Européenne, qui
13:14s'émancipe de tout contrôle démocratique,
13:16qui fait des dépenses qui deviennent
13:18complètement lunaires, et sur le même modèle
13:20que ce qui a été fait avec Pfizer, ça veut dire que
13:22pour le moment, même moi je veux dire, je suis lobbyiste,
13:24je n'ai pas d'idée, j'ai interrogé
13:26des copains qui étaient journalistes à ce propos, je leur demande
13:28mais est-ce que vous êtes capable de me dire
13:30combien dépense la Commission Européenne ?
13:32Oui, quel montant ?
13:34Il y a eu 800 milliards maintenant
13:36pour les armes, il y a déjà
13:38724 ou 734
13:40milliards pour le fonds de relance COVID,
13:42en plus c'est des fonds dont on dit maintenant
13:44qu'on les perd, qu'on en perd la trace,
13:46qu'on ne connaît pas les bénéficiaires économiques, alors je ne vous dis pas
13:48les détournements de fonds publics et la plateforme de blanchiment
13:50que ça finit par être, il y a les 200 milliards
13:52qu'on dit qu'on met dans l'IA.
13:54En fait, on voit ce qui se passe aux Etats-Unis,
13:56avec ceux qui sont en train de faire l'audit
13:58de la corruption du blanchiment
14:00américain, on se dit qu'en Europe
14:02c'est pas mal non plus.
14:04Dans le livre sur elle, j'avais déjà évoqué le cas
14:06de l'USAID, en fait, la Commission Européenne
14:08fonctionne comme l'USAID, d'ailleurs elle finance
14:10massivement des lobbies,
14:12je crois que ça avait été relevé par un journaliste
14:14italien qui est à Bruxelles, qui s'appelle
14:16Fazzi,
14:18qui a un secret de polychinelle,
14:20c'est qu'elle fabrique
14:22elle-même une
14:24simulation, une artificialisation d'opinion publique.
14:26Donc en fait, elle paye des lobbies
14:28pour venir lui dire
14:30sa propre propagande.
14:32Et c'est à ça que sert aujourd'hui...
14:34La fabrique du consensus, comme disait
14:36Sartre à Édouard Bernays.
14:38Et donc ce que je vois aujourd'hui dans la propagande des différents
14:40représentants des institutions,
14:42c'est que peu à peu ils sont en train,
14:44parce qu'ils nous ont rendu confus à ce niveau-là,
14:46c'est pour ça que j'ai voulu le clarifier en écrivant,
14:48c'est que l'Union Européenne
14:50et l'Europe, c'est deux choses différentes.
14:52Ça, on le savait déjà, mais on ne savait pas
14:54à quel point c'était différent.
14:56Il y a souvent une confusion, et en fait la confusion de langage,
14:58elle vous empêche de penser la différence.
15:00Ça veut dire que l'Europe, c'est notre continent,
15:02et quelque part, ça monte notre civilisation.
15:04L'Union Européenne, c'est un projet politique
15:06pour la paix et pour la prospérité.
15:08Et on est en train d'aller vers un modèle
15:10qui est la nouvelle Europe, qui ne rencontre démocratiquement
15:12à personne, qui consente tous les pouvoirs
15:14dans la personne de Madame Van der Leyen.
15:16Ça, c'est clairement tout ce qu'on a voulu éviter
15:18en créant l'Union Européenne.
15:20Vous imaginez aujourd'hui
15:22que Volkswagen est en train
15:24de promettre, oui, nous pouvons fabriquer
15:26des chars, donc on est en train de dire
15:28pour l'armée allemande,
15:30on va sérieusement,
15:32massivement investir pour que Volkswagen
15:34fabrique des chars pour l'armée allemande.
15:36Est-ce qu'on se rend compte de ce qu'on est en train
15:38de faire symboliquement ?
15:40Et puis, oui, est-ce qu'on se rappelle
15:42qu'il y a une certaine histoire ? Non, non, on ne s'en rappelle plus.
15:44Frédéric Baldan, merci,
15:46on va continuer d'en parler, de parler avec vous
15:48et puis, voilà, vous nous dites
15:50qu'on ne le reçait pas, et puis nous attendons,
15:52nous avons un rendez-vous.
15:54Quand les contrats européens
15:56consignés, et aussi
15:58Madame Van der Leyen et la Commission Européenne
16:00avec Albert Bourla, PDG de Pfizer,
16:02j'espère que pour l'honneur
16:04et de l'Europe et pour la liberté,
16:06on aura la copie
16:08de ces contrats dans leur intégralité,
16:10enfin.