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00:00C'est ce que j'ai découvert, c'est la douleur et la frustration que j'ai ressentie.
00:16C'est parce qu'il y a une chose qui m'inquiète.
00:22C'est que Mme Faisa n'a pas fait son travail.
00:25Au Sénégal, il faut qu'on s'équilibre.
00:31C'est dans ce pays que l'on voit des gens qui veulent détruire notre pays.
00:41Notre nation sénégalaise.
00:42C'est un pays où tout le monde est d'accord, où tout le monde est d'accord.
00:48Malheureusement, on voit aujourd'hui qu'il y a une éducation civique et religieuse sur nos enfants.
00:58Aujourd'hui, on voit que les gens n'ont plus de cliffs.
01:02On voit que les gens n'ont plus de cliffs.
01:09On voit qu'il y a des gens qui veulent détruire notre pays.
01:15On voit que les gens se battent pour détruire notre pays.
01:24Mais aujourd'hui, il n'y a pas de personnalité.
01:27Il n'y a pas de gens riches, il n'y a pas de cliffs.
01:30Mais ce n'est pas la même chose aujourd'hui.
01:32Il y a des cliffs, il y a des gens qui veulent détruire notre pays.
01:37On voit qu'il n'y a pas de cliffs aujourd'hui.
01:40C'est parce qu'il y a des réseaux sociaux et des connaissances certifiées.
01:47C'est pour ça qu'il faut qu'on laisse nos enfants en paix.
01:51C'est pour ça qu'il faut qu'on laisse nos enfants en paix.
01:55Parce qu'il faut qu'on laisse nos droits en paix.
02:01Personne ne connait le Sénégalais aujourd'hui.
02:04Nos parents ne connaissent plus le Sénégalais.
02:08Ils ne connaissent plus la génération.
02:11Même Marème Faysal ne connait pas le Sénégalais.
02:14Marème Faysal réagit comme si on l'avait tué.
02:23C'est pour ça qu'il faut qu'on le laisse en paix.
02:27Parce qu'il faut qu'on le réunisse.
02:30Il y en a qui l'ont reçu et d'autres qui ne l'ont pas.
02:33On est fatigués au Sénégal.
02:34Si on est fatigués au Sénégal, c'est parce que tout le monde s'en fout.
02:38C'est pour ça qu'on va valoriser nos personnalités.
02:44Pour qu'on soit dans les grands débats internationaux pour nos représentants.
02:51C'est pour ça qu'on a choisi Marème Faysal.
02:57Marème Faysal est très forte.
03:00Parce qu'elle a été élu président du Sénégal.
03:03C'est pour ça qu'elle a été élu président de Marème Faysal.
03:07C'est pour ça qu'elle est respectée dans la géopolitique mondiale.
03:15Marème Faysal est très respectée.
03:17C'est pour ça qu'on va toujours la valoriser au Sénégal.
03:22C'est pour ça qu'on a choisi Marème Faysal.
03:26C'est pour ça qu'on a choisi Marème Faysal.
03:29C'est pour ça qu'on a choisi Marème Faysal.
03:33Marème Faysal est la réaction d'une sœur.
03:37C'est une réaction quasiment privée.
03:40C'est une émotion naturelle.
03:42C'est un mythe.
03:45Quelque soit le poste qu'on peut occuper
03:49quelque soit la présidence de la République
03:52ses épouses peuvent avoir la même réaction que Marème Faysal.
03:55Il y a moins de deux ans, on avait vu les femmes de Sonko
03:59avoir la même réaction.
04:02C'est pour ça qu'on a choisi Marème Faysal.
04:07Est-ce que c'est une blague?
04:09Si c'est une blague, c'est une blague au Sénégal.
04:13Toutes ces mandats politiques ne sont qu'une blague.
04:18On dirait que les gens qui sont là-bas
04:22pensent que c'est une blague et que c'est fini.
04:25Ils pensent que c'est une blague et que c'est fini.
04:29Mais ce sont des réalités.
04:31Si quelqu'un t'a dit que tu étais là-bas, je t'ai dit que c'était une blague.
04:37Donc, si tu crois en Dieu, tu fais tout pour lui.
04:42Donc, c'est Marème Faysal qui a fait la blague.
04:45On a eu des gens qui se sont barricadés là-bas pendant 55 jours
04:49pour leur dire la vérité et qu'ils ont laissé leurs enfants en Guinée.
04:54C'est ce qu'ils ont fait.
04:56Tout le monde veut voyager mais il n'y a qu'une seule réaction.
04:59Peut-être qu'ils pensent que c'est eux qui ont fait tout ça.
05:03Si tu es né au Sénégal, tu sais bien qu'ils vont te tuer.
05:08Ils ne vont pas comprendre le message de mars 2024.
05:12Il y a un message, si les Sénégalais se sont barricadés
05:17pour changer le régime, c'est parce qu'ils ont peur de toi.
05:22Je suis sûr que les Sénégalais se sont barricadés pour changer le régime.
05:29C'est pour ça qu'ils se sont barricadés.
05:37Les Sénégalais ne sont pas passifs, ils sont des gens qui aiment leur pays.
05:42Ils ont le droit de l'homme et ils respectent tout le monde.
05:47Je me demande pourquoi ils attendent les organismes de droit de l'homme.
05:52Ils attendent qu'on les interpelle dans ce genre de cas.
05:57Il y a des sujets sur lesquels ils doivent se prononcer immédiatement.
06:02Et montrer leur frustration.
06:04C'est ce qui est vrai.
06:06C'est la vérité.
06:11C'est pour ça qu'ils attendent.
06:13C'est pour ça qu'ils attendent qu'on les interpelle.
06:21C'est pour ça qu'ils se sont barricadés pour changer le régime.
06:28Ils ont peut-être fait autre chose.
06:31Mais ces violations flagrantes de la loi et de la constitution
06:38ne nous ont jamais fait penser à la mort.
06:44On a été interpellés sans aucun document.
06:46On a été violés de nos droits délibérément et personne ne nous a parlé de ça.
06:52C'est impossible.
06:54Est-ce que c'est pour ça qu'ils attendent qu'on les interpelle dans ce genre de cas?
06:59Je me souviens de ce qui s'est passé ici.
07:03On ne sait pas si c'est une société civile ou autre chose.
07:06Est-ce que c'est pour ça qu'ils attendent qu'on les interpelle?
07:09Je pense que c'est pour ça qu'ils se sont barricadés.
07:16On parle de Marème Faysal mais au-delà de elle
07:20le ministre Amman Gondobaltank a dit qu'on doit réfléchir à ça.
07:26Au fond de vous, vous pensez que c'est une carte de mort.
07:30Que pensez-vous de ce qui s'est passé avec Marème Faysal?
07:37Si on insiste sur ce qui s'est passé ici
07:41et sur le Sénégal que nous voulons, c'est le même Sénégal que nous cherchons.
07:46Je suis conscient que le Sénégal
07:51est un endroit où les gens se battent.
07:56Donc, c'est une prise de conscience collective.
08:01Malheureusement, c'était fait à partir de débats publics
08:04intensifs sur l'élection présidentielle.
08:08C'était un contexte particulier, il y a eu des déportations.
08:12Les gens n'ont pas eu le temps de faire campagne en parlant de ces sujets.
08:18Il faut que les sujets soient abordés et les hommes politiques aussi.
08:22Il faut avoir un terrain de discussion pour les diriger ensemble.
08:27Il faut aussi avoir un minimum de respect pour les diriger ensemble.
08:34Il faut respecter l'opposition et les droits fondamentaux au minimum.
08:42Je ne pense pas qu'il y ait une autorisation de marche.
08:47On ne peut pas interdire des marches comme ça.
08:50Avez-vous des décisions à prendre?
08:58Je pense qu'ils n'ont pas compris ce qu'on leur a dit.
09:01Ils pensent que nous aimons le Sénégal mais qu'on ne peut pas l'accepter.
09:06C'est pas ça.
09:07Ils ne comprennent pas le message de 54% des Sénégalais qui ont voté pour eux.
09:12Si on pense que c'est un projet, on doit découvrir les bribes de ce projet.
09:18On doit découvrir le projet.
09:20On a fait un new deal avec des plans de 2050.
09:25On doit découvrir ce projet.
09:30On doit découvrir ce projet.
09:33On doit découvrir ce projet.
09:37On ne peut pas le faire avec un projet comme celui-ci.
09:42On doit changer les plans de Sénégal.
09:48On doit changer notre stratégie nationale sur le numérique.
09:53Politiquement, au niveau de l'affaire,
09:57le président Maksal n'est plus là mais si ce n'est plus le maire d'Aignam
10:03il y a une autre force au sein de l'affaire.
10:08Politiquement, on sait ce qu'il pose au niveau de l'affaire.
10:12C'est peut-être là aujourd'hui mais on est dans une situation...
10:15Très bien.
10:17Est-ce que vous ne fragilisez pas l'affaire?
10:22L'affaire a géré pendant 12 ans le pays de Sénégal.
10:30C'est un changement.
10:32L'affaire n'est pas encore finie.
10:35Il faut avoir une récomposition politique et un rafraîchissement du parti.
10:41Il y a des talents, des jeunes très compétents, des cadres, des femmes et des hommes.
10:46On a l'impression d'être le président Maksal.
10:51On a l'impression d'être l'héritage du président Maksal.
10:53Il faut aussi travailler dans la durée sur des générations.
11:00La politique n'est pas un parti, il faut avoir des cadres.
11:07Il faut avoir une vision et un axe.
11:09On ne peut pas développer un mandat sur un seul pays.
11:15C'est ce qu'on voit en Sénégal.
11:20Après, il faut réfléchir sur cette affaire.
11:30Il y a des jeunes qui veulent faire partie de l'affaire.
11:33Il faut qu'on mette des jeunes en orbite.
11:36Il faut qu'on mette des jeunes femmes et des jeunes hommes en orbite.
11:41Pour qu'ils puissent proposer une force de proposition à des gens encore crédibles.
11:46Si la politique perd ses pouvoirs, on ne peut pas l'écouter depuis 12 ans.
11:51Il faut un nouveau souffle pour impulser une force de proposition.
12:00Il faut y aller avec de l'ambition politique.
12:05On doit travailler ensemble pour transformer les choses.
12:11Président Dauda, qu'a-t-il inspiré la sortie de Mme Faisal?

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