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00:00C'est ça que je veux dire avec le trésor, c'est ce qu'on a tous vécu, c'est ce qui a fait qu'on est là aujourd'hui.
00:09On sait que si on n'avait pas le trésor, personne n'aurait été là.
00:12Tout le monde serait mort.
00:14Tout le monde serait mort.
00:15En fait, le trésor, il y a une urgence.
00:17Il faut le balayer, le reformer, tout.
00:21Non seulement une nébuleuse,
00:25Si on sait que beaucoup de choses vont se passer dans notre vie,
00:30c'est l'exemple le plus palpable de tout ce qui peut se passer.
00:34En même temps,
00:36nous avons des machines, nous avons des infractions.
00:42C'est-à-dire qu'il y a des infractions.
00:44Si il y a des infractions, il y a des risques.
00:49Parce qu'on ne peut pas saboter les machines.
00:51On ne peut pas saboter les serveurs.
00:53On ne peut pas saboter les machines.
00:55On ne peut pas saboter les données.
00:57Donc, on a dit qu'il y a des infractions.
01:00S'il y a des infractions, il y a une urgence à sécuriser le trésor.
01:04C'est vrai, je ne comprends pas pourquoi les trésors ne sont pas vigilés.
01:09Effectivement, ils ne sont pas vigilés.
01:11Pourquoi pas un élément GIGN, un élément BIP, un élément GMI,
01:15ou un élément GIGN.
01:17C'est pour ça qu'il y a des troupes d'élites.
01:20On a deux ou trois gendarmes,
01:22ou deux policiers, trois policiers.
01:24C'est stratégique.
01:26Les gardiens ne sont pas vigilés.
01:28En fait, il faut le sécuriser.
01:30Si tu as un enfant, il faut le sécuriser.
01:32Donc, ça c'est ça.
01:34Les trésors ne sont pas vigilés.
01:36Je vais aller le voir.
01:38Peut-être que c'est le contexte qui a été justifié.
01:40Mais même les banques ne les feront pas.
03:12donc
03:16donc les choses
03:19déployés
03:22des faits
03:25donc
03:28ministre de l'intérieur
03:31ou les zones
03:36d'accessibilité ou de
03:39Pour moi, l'actuel DG du Trésor doit faire une initiative
03:46adresser directement au ministre de l'Intérieur
03:49pour qu'ils puissent analyser les risques
03:54et qu'ils soient désormais assermentés.
04:01C'est comme Netflix, on ne peut pas lirer l'affaire.
04:05Le Trésor, c'est une urgence réforme.
04:09C'est pas sérieux.
04:10C'est une image de l'administration.
04:12La presse internationale, le Trésor public...
04:16C'est ce que la presse veut.
04:20C'est l'image du gouvernement.
04:23On ne peut pas lirer ça.
04:24C'est le titre.
04:25On ne peut pas lirer ça.
04:29Il y a des titres comme ça.
04:32On ne peut pas lire ça.
04:33Tu peux lirer les journaux mais après,
04:38tu dois demander à quelqu'un de l'aider.
04:42Ousmane Ntouri, c'est un mauvais exemple.
04:49Si le braquage était un Trésor, je ne serais pas là aujourd'hui.
04:53On devrait prendre des mesures pour ne pas croire qu'on va le faire.
04:57Je ne crois pas qu'il y ait un braquage.
05:00Je ne crois pas qu'il y ait un braquage.
05:02Je crois qu'ils ont commandé 6, 7 ou 10 personnes pour braquer le Trésor.
05:08Je crois qu'il y a eu un dossier et que c'est eux qui l'ont commandé.
05:13C'est vrai.
05:14Ils ont commandé des vols.
05:17Si c'était vrai, on pourrait le mettre en relief avec le VF.
05:23Pour voir s'il y a des données qui ne sont pas effacées.
05:27Est-ce qu'on essaie de protéger...
05:28Je ne suis pas là pour ça.
05:30Je suis là pour protéger le lien avec l'affaire Farba.
05:35On ne peut pas exclure les hypothèses humaines.
05:40On ne peut pas exclure des bureaux, des documents, des discusseurs...
05:46On ne peut pas l'exclure dans ce contexte.
05:50Ousmane Ntouri, il n'y a pas d'excuses.
05:52Tout ce que nous avons entendu, le Trésor a des complices.
05:59Ce genre de choses ne se produiront pas.
06:03Quand tu entends des explosions, tu ne dois pas t'attendre à l'explosion.
06:08Tu dois être prudent.
06:10Tu dois te sauver.
06:11Donc, pendant ce temps-là, nous avons entendu parler de ces transactions.
06:16On a dit qu'il n'y a pas de complicité entre nous et le Trésor.
06:20Je ne peux pas vous éliminer d'alerte.
06:24Je pense que le Trésor doit apporter des changements profonds.
06:29Ousmane Ntouri, qu'est-ce qui s'est passé à Dourouka?
06:35Il y a eu des bêtises.
06:37Il y a eu des bêtises à la banque.
06:39Il y a eu des bêtises à Fonjib.
06:41On ne peut pas entendre ça, est-ce que c'est vrai?
06:44Il n'y a pas de bêtises?
06:46Fonjib?
06:47Il n'y a pas de bêtises.
06:49J'ai oublié.
06:50Je pense qu'il n'y a pas de bêtises.
06:53Fonjib c'est une blague.
06:54Je t'ai dit que j'ai oublié quelque chose.
06:57C'est symptomatique.
06:58Je sais que c'est ça.
07:00Il faut faire des réformes.
07:02Je sais qu'il y a eu des enquêtes sur le secteur urbain et le secteur de l'administration.
07:09On est sur une piste très sérieuse.
07:12Ce n'est pas une enquête, c'est un scandale.
07:15C'est une enquête et il n'y a pas de complicité.
07:19C'est ce que je disais.
07:20C'est ce que je disais.
07:23On va arrêter d'en parler.
07:26Ce bâtiment n'a rien à voir avec ce qu'il s'est passé.
07:31Je suis d'accord avec les visées de la police.
07:34On va lui donner des éléments GIGN, BIP, snipers, tireurs, délits...
07:40On va le faire.
07:42C'est ce que j'ai dit.
07:44On va prendre 5 jours et on va arrêter d'en parler.
07:48Je vais m'occuper de Rémy.
07:50Je t'en prie, je t'en prie.
07:52Je vais lui donner le point de vue.
07:54Monsieur le ministre,
07:55à part de l'élimination du crédit de Rémy,
08:00le gouvernement n'a pas fait son travail.