A 15h, cet après-midi s'est tenue à Nancy une manifestation à l'occasion, en théorie du 8 mars et pour défendre les droits des femmes, mais de nombreux mouvements sont très vite devenus pro-palestiniens et contre "l'extrême droite". Il se trouve qu'à Nancy au même moment Jean Messiha tenait une conférence pour Reconquête!, le parti d'Eric Zemmour.
En sortant de ce rendez-vous politique, l'homme politique a été pris à partie par plusieurs manifestants qui l'ont menacé et lui ont demandé de quitté immédiatement les lieux aux cris de "Tout le monde déteste Messiha" ou encore "Messiha dégage !".
Le service de sécurité de Jean Messiha sentant la situation se tendre a préférer évacuer dans le calme l'homme politique.
Joint en exclusivité par jeanmarcmorandini.com en fin d'après-midi, Jean Messiha a confirmé les faits et nous a expliqué:
"J'ignorai l'existence de cette manifestation, il se trouve que mon meeting était dans un restaurant face à cette place et je me suis retrouvé face à eux en sortant. Toute la place scandait des slogans contre moi, j'ai été agressé verbalement et mon service de sécurité a été débordé très vite et la police a du intervenir.
Mais, le plus fou dans cette histoire c'est que ces féministes de gauche refusent que les féministes de droite manifestent avec eux, mais ils acceptent que des hommes barbus, masqués et ultra-violent hurlant les slogans rappelant les heures les plus sombres soient à leurs côtés !"
La manifestation qui était censée être pour les droits de femmes mélangeait clairement d'autres idées aux droits des femmes comme la cause palestinienne et la lutte contre l'extrême droite. Dans la présentation de la mobilisation, on peut ainsi lire :
"Les idées d’extrême droite qui prônent la haine de l’autre, le racisme, la misogynie, les LGBTQIA+ phobies, le validisme, se banalisent, et sont aux portes du pouvoir, voire y accèdent partout dans le monde, à l’image de Trump aux États-Unis… Les femmes, les minorités de genre, les migrant·es en sont les premières cibles.
En France, nous dénonçons les propos racistes du ministre de l’intérieur, nous exigeons la régularisation et l’ouverture des guichets pour que tou·te·s les immigré·es puissent rester ici. Nous refusons l’abrogation du droit du sol à Mayotte et la remise en cause de l’Aide Médicale d’État."
En sortant de ce rendez-vous politique, l'homme politique a été pris à partie par plusieurs manifestants qui l'ont menacé et lui ont demandé de quitté immédiatement les lieux aux cris de "Tout le monde déteste Messiha" ou encore "Messiha dégage !".
Le service de sécurité de Jean Messiha sentant la situation se tendre a préférer évacuer dans le calme l'homme politique.
Joint en exclusivité par jeanmarcmorandini.com en fin d'après-midi, Jean Messiha a confirmé les faits et nous a expliqué:
"J'ignorai l'existence de cette manifestation, il se trouve que mon meeting était dans un restaurant face à cette place et je me suis retrouvé face à eux en sortant. Toute la place scandait des slogans contre moi, j'ai été agressé verbalement et mon service de sécurité a été débordé très vite et la police a du intervenir.
Mais, le plus fou dans cette histoire c'est que ces féministes de gauche refusent que les féministes de droite manifestent avec eux, mais ils acceptent que des hommes barbus, masqués et ultra-violent hurlant les slogans rappelant les heures les plus sombres soient à leurs côtés !"
La manifestation qui était censée être pour les droits de femmes mélangeait clairement d'autres idées aux droits des femmes comme la cause palestinienne et la lutte contre l'extrême droite. Dans la présentation de la mobilisation, on peut ainsi lire :
"Les idées d’extrême droite qui prônent la haine de l’autre, le racisme, la misogynie, les LGBTQIA+ phobies, le validisme, se banalisent, et sont aux portes du pouvoir, voire y accèdent partout dans le monde, à l’image de Trump aux États-Unis… Les femmes, les minorités de genre, les migrant·es en sont les premières cibles.
En France, nous dénonçons les propos racistes du ministre de l’intérieur, nous exigeons la régularisation et l’ouverture des guichets pour que tou·te·s les immigré·es puissent rester ici. Nous refusons l’abrogation du droit du sol à Mayotte et la remise en cause de l’Aide Médicale d’État."
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00:00C'est à vous tous d'y agir, pas j'aime plus !
00:59Merci, merci, merci pour votre travail.