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Nicolas Dupont-Aignan : «La vraie menace, c'est la faillite financière du pays, la fuite des emplois, les narcotrafiquants, c'est l'immigration illégale, l'islamisme terroriste. L'armée, ce n'est pas en Ukraine qu'il faut l'envoyer, c'est à notre frontière.»

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Transcription
00:00La vraie menace existentielle pour la France n'est pas du tout la Russie.
00:04C'est un mensonge qu'on va retrouver sans doute dans quelques minutes.
00:07La vraie menace, c'est la faillite financière du pays, la fuite des emplois.
00:13Et c'est pourquoi d'ailleurs Emmanuel Macron veut encore dilapider des dizaines de milliards.
00:19Ce n'est pas pour l'armée, c'est pour boucher les trous.
00:21Et puis la deuxième faillite et la deuxième menace fondamentale,
00:25c'est les narcotrafiquants qui tiennent nos villes, nos cités.
00:29C'est l'immigration illégale, c'est l'islamisme terroriste.
00:34L'armée, ce n'est pas en Ukraine qu'il faut l'envoyer, c'est à notre frontière.
00:37Donc moi je suis, comment vous dire, ébahi que la plupart des médias de France
00:44répètent des éléments de langage comme si c'était la vérité.
00:48On a eu ça sur le Covid, on l'a eu au moment de la guerre en Ukraine.
00:51Et ça recommence.
00:53Et moi j'en ai assez qu'on prenne les Français pour ce qu'ils ne sont pas.
00:57Je ne supporte plus ce mensonge d'État permanent.
01:00Et en plus on fait taire la liberté d'expression,
01:03comme Mathieu Bocoté le dit souvent.
01:05On ferme une chaîne de télévision, et puis après ça sera laquelle, une suivante.
01:08Et à un moment j'ai envie que l'opposition se réveille,
01:11parce que je la vois complètement manipulée par Emmanuel Macron.
01:14Je vois tout le monde, comment dire, envoûté par cet homme,
01:19qui a du talent pour cela.
01:20Et j'aimerais qu'on réagisse et qu'on dise,
01:22maintenant ça suffit, on ne va pas continuer encore deux ans comme ça.
01:25Parce que ce qui est en cause, c'est la survie de la France.
01:28Et le pire dans cette affaire,
01:29c'est que non seulement il s'est trompé pendant trois ans,
01:32et il veut continuer en liquidant notre force de frappe,
01:35la partageant, ça veut dire en fait la liquider,
01:38en transférant des centaines de milliards à Madame van der Leyen.
01:42Ça n'a pas marché, on ne va pas continuer.
01:44Voilà, donc si vous voulez, il y a un moment,
01:46moi mon rôle c'est de dire ce que je pense,
01:48et de dire quelques vérités qui ne sont plus dites par l'opposition.

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