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00:00et ça veut dire déplacer la population gazaouie, et j'ai bien dit sur i24, et je l'assume,
00:05qu'une partie très importante des civils gazaouis ont participé aux exactions du 7 octobre,
00:11que tout cela est documenté par les terroristes eux-mêmes,
00:13par les témoins bien sûr des kibbouts dans lesquels ils ont commis leurs exactions,
00:17mais aussi par les vidéos eux-mêmes des djihadistes du Hamas.
00:20Donc j'assume mes propos, cher monsieur, et je les ai prononcés sur une chaîne qui s'appelle i24.
00:25Donc ce que vous faites la prochaine fois, c'est que vous appelez i24, et on en parle sur i24.
00:29Non, parce que Medhi Guézard, il n'était pas sur la chaîne RMC quand il a été directeur général.
00:33La différence, c'est que monsieur, l'apologie de ce que vous prétendez,
00:37l'apologie d'un crime contre l'humanité, et vous devriez être en tant qu'avocat de le savoir,
00:41on fait l'apologie d'un fait qui est advenu, mais on ne fait pas l'apologie d'un fait imaginaire.
00:46Donc quelque chose qui n'est pas advenu, c'est-à-dire une déportation ou un crime contre l'humanité,
00:50qui a tenu des bons avec Medhi Guézard, et qui a abouti à une réaction immédiate,
00:54et la main d'RMC n'a pas tremblé, monsieur le député.
00:57Alain Marchal, Olivier Truchot, vous avez été extrêmement serein.
00:59C'est vrai, vous savez pourquoi ? Je vais vous répondre pourquoi.
01:05Parce qu'il y a deux cas différents.
01:07Barbara a émis une opinion, et nous, ce qui nous a profondément peinés,
01:13et pourquoi est-ce qu'on a pris cette décision avec Olivier,
01:15c'est que Medhi avançait masqué, et qu'au moment où il tient ses propos,
01:20derrière, on découvre qu'il devient le porte-parole officiel de la campagne présidentielle du président Théboune.
01:25Voilà la différence.
01:27Eh non, Louis, vous êtes avocat, vous savez que les cas sont à différencier.
01:33Non, mais pardon, oui, Rachid, vous savez que les cas sont à différencier.
01:37Voilà.
01:38Le cas Medhi Guézard n'est pas le cas Barbara Lefebvre.
01:43Par ailleurs, je n'ai pas dit que le Maroc était dirigé en sous-main par les sionistes au passage.