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00:00Il y a des choses que nous n'avons pas découvertes.
00:04C'est le cas de la poule judiciaire financière que nous avons mise en place.
00:10Il y a déjà des noms qui circulent mais il y a aussi la DJOP.
00:17Mais pour la configuration du ministère de la justice et les figures composées
00:24est-ce que ça peut répondre aux attentes de certains sénégalais pour qu'ils se rendent compte qu'ils existent?
00:30Je vous en prie, je vais vous dire ce qui m'intrigue.
00:36Qu'est-ce que c'est?
00:38Le ministre Ousmane Diagne, le procureur de la république
00:44je crois qu'à partir de ce jour, la justice sénégalaise sera en place.
00:50Quand j'ai vu que le gouvernement a apporté Ousmane Diagne au ministère de la justice
00:56j'ai eu peur.
00:57Je connais l'homme et les sénégalais savent qui c'est.
01:01Qu'est-ce qu'on peut dire sur lui?
01:03C'est un procureur qui a traversé tous les pouvoirs.
01:07Il a eu des problèmes avec Abdou Diouf, Aboulaye Ouad et Magassane.
01:11Le ministre Ousmane Diagne a fait tout ce qu'il a dû faire.
01:17C'est pour ça qu'il est devenu le procureur.
01:22Il a fait face à tous les régimes.
01:27Il a fait tout ce qu'il a dû faire en tant que procureur.
01:38C'est ce que j'ai appris de lui.
01:42Il a fait tout ce qu'il a dû faire en tant que procureur.
01:46Il avait plus le côté éducatif en tant que procureur
01:51que le côté répressif.
01:54Mais je sais qu'il n'est pas capable de faire ce qu'il veut en tant qu'homme politique.
02:04Les exemples qu'il m'a donnés ne sont pas très bons.
02:08Tout le monde le sait.
02:11Si j'étais un homme politique, je n'allais pas faire ça.
02:16Mais si quelqu'un a le droit de le faire face à un régime
02:19qui a fait tout ce qu'il a dû faire en tant qu'homme politique
02:23je ne dirais pas qu'il a fait ce qu'il a dû faire.
02:27Mais si quelqu'un a le droit de le faire, il doit être honnête.
02:30Il a juste besoin d'un maître pour faire son travail.
02:35Il a besoin d'un procureur et d'une assemblée nationale.
02:38Il a besoin d'une assemblée nationale et d'une assemblée nationale.
02:41Mais il y a quelque chose de très important au Sénégal.
02:44Il y a un côté globalement très important.
02:47C'est la presse qui gère la pression.
02:54Mais pas quand je dis la presse, c'est dans sa globalité.
02:58Mais on gère la pression.
03:02On aide la presse, elle aide les autres.
03:06On donne les moyens qu'il faut.
03:08Pour développer le Sénégal et l'Afrique, il faut renforcer la presse.
03:12C'est vrai mais on ne peut qu'en parler.
03:17Il y a des chroniqueurs qui sont comme moi.
03:23Prenons l'exemple d'aujourd'hui.
03:24On va parler de nos pensées.
03:27C'est ce que j'ai compris.
03:30Comme l'indépendance.
03:32Regardez le débat d'aujourd'hui.
03:34La dame, Aïcha Kamara.
03:39C'est l'incident qui s'est produit au Maroc.
03:42Avec le président Maguissala.
03:44Il a dit qu'elle avait tué son fils.
03:48Pour un président sortant.
03:51Un président actuel, un pré-ministre.
03:53Il a dit qu'il allait s'occuper du pré-ministre.
03:58C'est vrai?
04:00Pour vous, Mme Cade est l'opposition.
04:03C'est très grave.
04:06Un président sortant.
04:07Un pré-ministre qui dit publiquement que M. Maguissala a menti.
04:12C'est vrai.
04:15Est-ce ce que Ousmane Sougo a dit?
04:18Ou est-ce qu'on l'a oublié?
04:22Les conditions qu'il avait pour s'occuper du régime
04:25pour qu'on l'accorde.
04:28C'est différent de ce qui se passe aujourd'hui.
04:33On ne peut pas attendre.
04:37Je ne me légitime pas mais je suis d'accord avec ce qu'il s'est passé.
04:43On ne peut pas attendre.
04:48Ousmane Sougo, Diomaye, Sano Dion, Khalef Salle
04:52ont barricadé tout le monde.
04:55Aujourd'hui, la situation est différente.
05:00Aujourd'hui, le premier ministre est un autre homme.
05:03Aujourd'hui, c'est quelqu'un d'autre.
05:08Je respecte ce que vous dites.
05:10Aujourd'hui, le premier ministre est un autre homme.
05:15Il a fait une conférence et tu ne peux pas t'en aller.
05:18C'est des chiffres.
05:21Nous devons être à l'assemblée, on en sait beaucoup sur ce dossier.
05:24Je ne veux pas t'interrompre mais laisse-moi l'anticiper.
05:27On nous parle de falsification de chiffres.
05:30Ca vous surprend, vous qui étiez dans l'Assemblée?
05:32Non, ce débat s'est posé à l'Assemblée.
05:35Pourquoi ça?
05:37Même le budget est entre les 5 000 milliards.
05:41Le pochon a toujours dit que ce n'est pas 7 000 mais 5 000 milliards.
05:44La dette, c'est toujours...
05:46Quand on est allé à l'Assemblée, on a eu des retards de 5 ans.
05:52Des lois de règlement.
05:54Au Sénégal, quand on est allé à l'Assemblée,
05:59on a eu des retards de 5 ans.
06:01Mais ici, on a eu des retards de 5 ans.
06:05C'est juste l'exécutif qui est venu avec des lois de règlement.
06:10Parce qu'on n'a jamais pensé à ce qui se passait ici.
06:15Et on n'a jamais pensé à ce qui se passera dans le monde entier.
06:19Tout ce qu'on a dit sur la réduction des comptes, on ne l'a pas fait.
06:25C'est vrai qu'il y a des rapports entre vous.
06:28Quand le ministre du travail est venu à l'Assemblée
06:34on était au niveau de l'agence de l'emploi.
06:38600 millions d'euros pour moi.
06:41Ce n'est rien pour les Sénégalais.
06:44C'est pour ça qu'on a perdu leur salaire.
06:47Quand les gens disent que la réduction des comptes a été laissée jusqu'à l'élection passée
06:51c'est extrêmement grave.
06:53C'est une enquête de moralité.
06:56Si tu veux être ministre, tu devrais faire une enquête de moralité.
06:59On sait bien où tu vas en tant que député.
07:02Pour toi, la réduction des comptes...
07:04Pas du tout, c'est une enquête de moralité d'un parlementaire.
07:08On a fait tout ce qu'on pouvait pour l'affairisation.
07:12C'est pour ça qu'on a laissé le dossier pour un autre député.
07:15C'est pour ça qu'on a laissé le dossier pour un autre député.
07:21Procédure après procédure.
07:23On devait tous sortir avant l'élection.
07:26J'ai fait tout ce que j'avais pu pour sortir.
07:30Je n'ai même pas parlé du coût des comptes et de l'information qu'on avait.
07:34J'ai fait tout ce que j'avais pu.
07:35Le Premier ministre m'a dit qu'il y avait des choses que je ne connaissais pas.
07:39Il y a des choses que je n'ai pas vues.
07:41Est-ce qu'il y a des gens qui...
07:42Tu sais, je ne peux pas...
07:44Tu veux dire où exactement?
07:45Je veux aller au DIC.
07:47Elle m'a encore parlé hier.
07:49Je veux aller au DIC.
07:50Je veux aller à la poste.
07:51La poste?
07:52Je veux aller à la poste.
07:53Que se passe-t-il exactement chez eux?
07:55Si je te dis que l'Etat reste plus de deux ans
07:59pour payer les salaires,
08:00c'est à la poste ou à l'immigration.
08:02Plus grave, tu sais les gars qui parlent de salaire?
08:05Si tu es un travailleur et que tu rentres à la retraite, tu n'as pas de salaire.
08:09Parce qu'on n'a jamais baissé le coût des actions sociales.
08:11Et on l'a fait.
08:13Oui, on l'a fait.
08:14L'Etat ne paye que les salaires.
08:17Mais tu n'es pas dans l'écoute des actions sociales.
08:21Nabakar, je veux voir les documents.
08:24J'y vais.
08:25Maïna Ro a placé les documents pour qu'on les regarde exactement.
08:31Avant de commencer l'émission,
08:34je voudrais vous donner quelques détails sur la reddition des comptes
08:38que nous avons pris 5 heures pour en parler.
08:40Pour le judiciaire financier,
08:42Elle m'a aussi rappelé qu'elle est allée à l'hôpital et qu'elle s'est réveillée.
08:49Elle a dit qu'elle allait à l'hôpital et qu'elle s'est réveillée.
08:55C'est un document du ministère des Finances.
08:58Sur les risques budgétaires de 2004.
09:03Le soleil était à moins de 2 milliards 373.
09:11Demdik était à 3,39 milliards de déficit.
09:15Ils n'ont même pas mangé.
09:18Si tu prends la SNHLM qui est un risque modéré
09:28on sait que la RTS était un risque très élevé.
09:35Si tu vas à Sogepa ou même à La Lonnaze
09:41les risques opérationnels et financiers étaient très élevés.
09:47On a trouvé un état en ruine.
09:51Si tu vas à Sogepa ou à RTS
09:57ou à Dakar, c'était la catastrophe.
10:01Le soleil était à moins de 2 milliards 373.
10:05Ce sont des sociétés dont l'état paye.
10:09Malgré la puissance qu'ils ont.
10:12Aujourd'hui, quand tu fais les recettes de l'état
10:15si tu payes les fonctionnaires et la dette
10:20les sociétés pensent que c'est l'état qui paye leur salaire.
10:24Mais l'état ne peut pas payer leur charte sociale.
10:30Donc, c'est des gens qui vont aller à la recette.
10:34Si les sociétés ne sont pas redressées
10:38et qu'on paye les retards au niveau de l'état
10:41c'est impossible.
10:42Si on prend l'exemple de Demdik
10:50qui a un patrimoine à travers la soterrade.
10:58Si tu le changes et qu'il y ait un siège à paire
11:04et qu'il y ait un patrimoine à travers la soterrade
11:08et qu'il y ait 9 milliards...
11:10Ils vont le payer.
11:13Non, ils vont le payer eux-mêmes.
11:15Ils vont le payer eux-mêmes.
11:18Mais si tu les donnes à l'état, tu n'as rien à perdre.
11:23Si tu les donnes à l'état et qu'il y ait un siège à paire
11:30et qu'il y ait un siège à paire, ils vont le payer eux-mêmes.
11:34L'Allemagne nous annonce plus de milliers de contrats de cédille.
11:38C'est juste le directeur qui est venu.
11:42Mais aussi des BD.
11:44Oui, c'est cadossu.
11:46Babacar, les Sénégalais doivent s'occuper des choses.
11:52Ils ne doivent même pas faire campagne.
11:54Ils ont fait beaucoup de mal dans ce pays.
11:59Tu vas à l'Assemblée Nationale.
12:02Le bureau va voter pour transgresser une loi.
12:05Je vais te faire une révélation que les gens n'ont pas comprise.
12:10L'Assemblée Nationale va faire un débat d'orientation budgétaire.
12:17C'est la conférence des présidents.
12:20Ils vont fixer le calendrier et tout.
12:23Si on le fait, ils vont sortir sur leur page.
12:27Le poste Facebook pour répondre à la réunion.
12:30L'Assemblée Nationale, le bureau et la majorité
12:36vont discuter pour un débat d'orientation budgétaire.
12:39Cheikh Diba.
12:40Ce n'est rien de grave.
12:42En ce qui concerne le DPG, il y a beaucoup d'erreurs.
12:48Ah bon?
12:49Je ne suis pas le siège.
12:51Tu es au coeur.
12:52Oui, c'est moi qui suis au coeur.
12:54Je suis à la place de Fatou Gissée.
12:56D'accord.
12:57Quand on a annoncé la programmation du DPG au président Diomaye Dioche
13:02on a fixé le calendrier.
13:06Qu'est-ce qu'il s'est passé?
13:07Rien.
13:08On a discuté sur les huit jours.
13:11On a décidé de prendre les huit jours pour l'Assemblée Nationale.
13:19On a calculé les huit jours.
13:225 plus 8 égale 11.
13:24Aïb a fait la même chose.
13:27Je sais ce qu'ils ont fait, ils ont voté.
13:30Aïb a dit qu'il n'allait pas voter.
13:32Il a appliqué la loi et ils ont voté.
13:36Quand ils ont voté?
13:37C'est en ce moment qu'on a saisi le Président de la République.
13:40Attention, les huit jours que tu parles
13:44on a fait le 11.
13:46Si le Président de la République envoie une lettre
13:50en commission et qu'on lire
13:52au même moment, le président de l'Assemblée nous a envoyé une lettre
14:00pour nous dire que les huit jours c'est le 13.
14:03Mais les gens pensent que le Président a convaincu le 13.
14:06Il nous a rappelé que les huit jours ce n'est pas le 11, c'est le 13.
14:11Tu as vu la nuance?
14:14Mais les gens pensent que le Président a fixé la date le 13.
14:17Nous avons fixé la date le 11, suivant on vote.
14:20Aïb l'a rejeté, on l'a voté.
14:23Aïb a dit au Président
14:25que si on doit respecter les huit jours c'est le 13.
14:33C'est un rappel que le Président a fait.
14:35Mais c'est pas que le Président.
14:36Mais ils ont oublié d'expliquer ça.
14:39Le Président nous a rappelé que compte tenu de la réception du projet de loi le 5
14:46si on doit respecter la date, ce n'est pas le 11, c'est le 13.
14:49Exactement.
14:50Mais ils ont oublié.
14:52Je suis surpris que le Président nous parle de huit et ne parle pas du 13.
14:59Le 12 allait découdre.
15:01Parce qu'à un moment donné, quand Abou Doumbaou est venu au tribune
15:06il a dit qu'il allait faire une motion de censure.
15:13Il allait y aller?
15:14Oui mais à un moment donné, ils ont fait de la politique.
15:17Alors qu'on pensait que dans la constitution, il y avait le pouvoir de dissoudre le Président.
15:25A un moment donné, les gens faisaient de la politique.
15:27C'est pourquoi les Sénégalais se sont réunis.
15:31Ils se sont réunis pour faire face à la réduction des comptes.
15:42C'est ce que tu penses?
15:44Oui, pour que les Sénégalais comprennent qu'ils sont tous les mêmes.
15:50C'est pour ça qu'ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour le pouvoir.
15:56C'est pour ça qu'ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour le pouvoir.
16:00Oui, je suis entièrement d'accord.
16:02Tu le penses?
16:03Oui, je le pense.
16:05Ce pays ne peut plus sortir.
16:07C'est terminé.
16:09Il ne peut plus sortir de ce pays.
16:12Mais comme tu le dis, la falsification a détruit le pays.
16:17On ne peut plus parler de ce pays.
16:19Il modise avec ses notes.
16:21C'est un peu l'FMI.
16:23C'est un peu l'FMI.
16:26Tu dois prendre le temps de parler la vérité.
16:30Si tu ne parles pas la vérité, tu n'auras pas d'argent.
16:36Maintenant, on attend les vrais chiffres.
16:39Si on ne confirme pas les vrais chiffres, on ne pourra pas faire la guerre.
16:44C'est pour ça qu'on a adopté la loi des finances.
16:49On a voté la loi des finances pour les Sénégalais.
16:53Pour que les Sénégalais sachent leur orientation.
16:56Tu ne peux pas juger un régime qui n'a pas encore fait une loi des finances.
17:00C'est vrai.
17:02Tu ne peux pas le faire.
17:03Tout ce que tu as dit est de la politique politique.
17:06Je l'ai entendu dire qu'il fallait prendre l'allurium.
17:12Ou plutôt les détruire.
17:14Je pense que l'appel que je lance
17:18c'est de soutenir la liste.
17:21C'est tout pour les Sénégalais.
17:24Notre objectif est de les soutenir.
17:30Soutenir et accompagner les Sénégalais.
17:33Tout ce qu'on a fait, c'est de les soutenir.
17:36Tout ce qu'on a dit, c'est de les soutenir.
17:41Les Sénégalais ont été sanctionnés.
17:44Est-ce que tu ne veux pas que les Sénégalais votent ici?
17:48Non, le calife s'est retiré et dit qu'il n'est pas candidat.
17:51D'accord, donc vous êtes d'accord.
17:55Mais il y a des gens qui sont dans la liste.
17:57Ils sont allés prendre des photos avec eux.
18:00C'est la liste de Sam Moussa Kardo.
18:03Quand le calife est allé prendre des photos avec Sam Moussa Kardo
18:06il pensait que les Sénégalais étaient dans la bonne place.
18:09Il n'y en a pas.
18:10D'accord.
18:11Je suis responsable de ce qui s'est passé.
18:17D'accord.
18:18Je suis responsable de ce qui s'est passé.
18:21Mais on ne peut pas prendre un calife comme le maire de Dakar.
18:25On ne peut pas le prendre pour un client.
18:28On a besoin de gens mais aussi de personnalité.
18:31C'est vrai aussi.
18:32Des personnalités fortes.
18:33C'est vrai que les Sénégalais peuvent prendre des références.
18:38D'accord.
18:38Et d'autres.
18:40D'accord, merci beaucoup.
18:42C'était un honneur de vous rencontrer.
18:44Merci beaucoup.