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L'autopsie du corps de Louise, 11 ans, retrouvée dans la nuit du 7 au 8 février à Épinay-sur-Orge (Essonne), a livré ses premières conclusions. Selon le parquet, la fillette présente de très nombreuses plaies commises par un objet tranchant dans des zones vitales.

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Transcription
00:00Sa sécurité est remboursée aux abords de tous les établissements du département, c'est ce que nous a expliqué Alexandre Toussaint, vice-président du conseil départemental de l'Essonne.
00:09Il y a une attention particulière, surtout la direction de la sécurité par rapport à la vidéo-protection des 101 collèges qui sont connectés à Eurie, à notre centre de supervision.
00:19Et puis c'est aussi une vigilance de tout le personnel de l'éducation nationale, mais le personnel du département aussi, qui travaille dans les loges pour faire un suivi.
00:28Parce qu'aujourd'hui, le crime n'est pas spécialement rattaché à une commune, on ne connaît pas les raisons, et donc la vigilance doit porter sur l'ensemble des établissements scolaires et pas seulement sur cet établissement.
00:43On a entendu la peine, le traumatisme aussi de cette maman d'élève. On imagine que beaucoup d'habitants dans votre département sont choqués, sont sous le choc ?
00:54Oui, parce que nécessairement, il y a un fort sentiment d'identification. On réagit en tant que papa, en tant que maman.
01:00Et effectivement, cette jeune fille sans histoire, avec une famille qui a été sans histoire, aujourd'hui c'est toute une famille qui est tombée dans la peine.
01:09Il y a forcément un sentiment fort d'identification. Et c'est vrai que c'est l'âge où les parents font confiance aux enfants, les laissent un peu aller au collège à pied ou en prenant les transports comme un seul.
01:22Ce qui n'est pas forcément le cas à l'école primaire. Et donc forcément, il y a un sentiment fort d'identification.
01:27Dans ce collège, on peut comprendre que des parents qui ont des enfants au lycée, ce soit la même chose, ou même dans des départements franciniens d'ailleurs.
01:33Puisque aujourd'hui, même s'il y a une présence forte de la police, mais qui est plus, j'allais dire, pour réconforter, pour accompagner cette rentrée,
01:42comme il y a une cellule d'écoute pour accompagner les jeunes dans leur traumatisme qui est nécessairement important,
01:50on voit bien que le risque dépasse ce collège précisément, ou cette ville précisément, qui n'est pas connue en Essonne comme une ville spécialement criminogène.

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