• il y a 3 jours
Retrouvez le replay du super-G messieurs des championnats du monde de ski alpin de Saalbach du 07/02/2025.

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Sport
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00:00:00...
00:00:10La fête pour les bons duos de ski alpin à Salbar, 48e édition,
00:00:14et le Super-G Home qui est au programme.
00:00:16Bienvenue à vous si vous nous rejoignez.
00:00:18Bon courage à vous si vous êtes en même temps en télétravail,
00:00:21mais que vous jetez un petit coup d'œil sur ces championnats du monde.
00:00:24Ça va partir très fort, le Super-G, avec, on l'espère, une première médaille
00:00:27pour l'équipe de France.
00:00:28Adrien Coble, Jean-Baptiste Grange, ça va partir très vite
00:00:31et on va avoir la chance de suivre l'immense star Marco Odormatt
00:00:35qui court après une première médaille mondiale sur ce format du Super-G.
00:00:39Adrien, Jean-Baptiste.
00:00:41Effectivement, vous voyez la start list des favoris à attendre.
00:00:45Marco Odormatt, Vincent Griegmaier qui s'élancera juste après,
00:00:48l'Autrichien à domicile, Stéphane Roggentin, Franjo von Allemagne.
00:00:51Il y a une très grosse équipe de Suisse à laquelle il va falloir se mesurer.
00:00:55Aujourd'hui, pour nos Français et notamment pour Florian Lauriau
00:00:58qui va s'élancer très rapidement dans quelques instants.
00:01:00Il aura le Dossard n°3, Nils Allègre va arriver très vite aussi,
00:01:04Dossard n°6, Mathieu Bellet, Dossard n°26 et Nils Alfand, Dossard n°31.
00:01:09Ils seront quatre la sélection au complet aujourd'hui
00:01:12pour tenter d'aller décrocher un exploit, un podium,
00:01:15voire une victoire ici à Salbar, la première médaille française.
00:01:26Des Français qui vont être remontés à bloc.
00:01:31On l'a dit, le Super-G, une course ouverte.
00:01:34Julien nous l'a confirmé, il va falloir prendre des risques.
00:01:37Il n'y a pas de gros pièges.
00:01:40C'est être au skieur le plus audacieux.
00:01:43Regardez la remontée du drone jusqu'à Adrian Sejerstedt,
00:01:47les derniers instants avant le départ du Norvégien.
00:01:49Premier à s'élancer aujourd'hui sur la piste du Super-G de Salbar,
00:01:53championnat du monde.
00:01:55Jour 3.
00:02:00On va découvrir le tracé avec Adrian Sejerstedt.
00:02:03Une première partie pentue.
00:02:09Tout de suite de la courbe.
00:02:11On l'a dit, c'est vraiment un mix entre le géant pour la technicité,
00:02:16la vitesse de la descente.
00:02:19C'est important, à haute vitesse, d'avoir les bonnes lignes,
00:02:23de faire les bons choix.
00:02:25La reconnaissance ultra importante, on l'a dit.
00:02:29C'est un Super-G qui est engagé.
00:02:31Il y a de la vitesse.
00:02:34Il va y terminer 7ème des derniers championnats du monde.
00:02:37Sejerstedt en attendant Florio d'Aussard, numéro 3.
00:02:41Une partie très déversante au milieu.
00:02:45Il y a de la place.
00:02:47Par moments, c'est important de remplir les espaces,
00:02:50de prendre un maximum de vitesse.
00:02:52On est sur un Super-G plus direct aujourd'hui ?
00:02:55On est sur un Super-G rapide, très type et descente.
00:02:58Mieux pour les profils très descendeurs et moins pour les profils plus techniques.
00:03:03À la marque Audormat ?
00:03:05À la marque Audormat.
00:03:07Il y a aussi des descendeurs qui sont capables d'être très vite.
00:03:11Je pense que ça va être un Super-G ouvert.
00:03:13Ce n'est pas gagné pour Marco Audormat.
00:03:15On a eu une petite surprise, Stéphanie Vinier, hier.
00:03:20Et si on avait une grosse surprise aujourd'hui ?
00:03:23C'est certain qu'il y aura des surprises.
00:03:25Ce sont les championnats du monde, il y a toujours des surprises.
00:03:27Le dernier saut pour terminer.
00:03:29Il est imposant le dernier saut.
00:03:31Il y a de l'engagement. 1'25.72, premier temps de référence pour le Norvégien de 30 ans.
00:03:38Il n'y a pas eu de grosse faute pour Seierstedt.
00:03:43Mais on voit, c'est une piste très mouvementée.
00:03:45Il y a vraiment de tout.
00:03:47Regardez, Florian Lauriau.
00:03:49Beaucoup de mouvements de terrain.
00:03:51Ce sont des images exclusives dans l'air de départ.
00:03:54Il n'y a que chez nous que vous pouvez les voir ces images.
00:03:56Florian Lauriau en préparation.
00:03:58On a Niels Allais grâce à gauche.
00:04:00En attendant, Jared Goldberg, l'Américain de 34 ans qui a signé son premier podium en Super-G récemment.
00:04:06Deuxième à Val Gardena.
00:04:11Il faut tout de suite venir vraiment sur la taille de son ski.
00:04:14Avoir des virages très propres.
00:04:17Pas mettre de petites dérives.
00:04:19C'est de la perte de temps.
00:04:21Et on voit un 4'10.
00:04:23Il a été assez hésitant.
00:04:27On entend le bruit des skis.
00:04:29On a quand même un revêtement très dur.
00:04:31On voit la neige qui brille un petit peu.
00:04:33Un revêtement très glace.
00:04:38Et là on est sur une partie un petit peu plus tranquille.
00:04:42Mais les lignes sont ultra importantes dans ces dévers.
00:04:47C'est important sur les dévers de rester bien haut.
00:04:50Puis de lâcher les skis.
00:04:54Et toujours, on est souvent les skis en l'air.
00:04:58Ça nous jette un peu dans tous les sens.
00:05:00C'est important d'être très actif.
00:05:02D'amortir ses mouvements de terrain.
00:05:04Pas perdre la ligne.
00:05:07Et là, la partie beaucoup plus typée.
00:05:09Super-Géant.
00:05:11Avec de nouveau de la courbe.
00:05:13Un enchaînement de courbe.
00:05:15Et l'Américain pour sa quatrième championnat du monde qui est loin.
00:05:18Qui est très très loin.
00:05:20Il est hésitant. Pas tout à fait dans le bon ton.
00:05:22Souvent un petit peu sous la ligne.
00:05:24Sous la bonne ligne.
00:05:26Et juste après, ce sera au tour de Florian Lauriau.
00:05:29Il va faire ce dernier saut qui est imposant.
00:05:31Qui est impressionnant.
00:05:33Il est impressionnant.
00:05:35Et surtout, on vient à peine de finir notre virage.
00:05:37On est déjà en l'air.
00:05:39Ça crée des déséquilibres.
00:05:41Au tour de Florian Lauriau.
00:05:43Il avait chuté il y a quelques semaines sur le Super-Gé de Kitzbühel.
00:05:46Il souffrait d'une commotion cérébrale.
00:05:48Au même endroit d'ailleurs.
00:05:50Que là où Alexis Pintureau s'était blessé.
00:05:52On a une grosse pensée pour Alexis Pintureau.
00:05:54Qu'on aurait rêvé de voir aussi aujourd'hui.
00:05:56Grosse pensée pour Cyprien Sarrazin.
00:05:58Florian Lauriau.
00:06:00Il a toutes les qualités pour faire quelque chose de beau.
00:06:05Skieur très polyvalent.
00:06:07Très technique aussi.
00:06:09Le skieur du club des sports de Meuseve.
00:06:11Le mur est imposant d'entrée.
00:06:13Très vert glacé.
00:06:15C'est bien ce qu'il a fait sur le début.
00:06:17Ses courbes sont très propres.
00:06:19Il fait jeu égal.
00:06:22Allez maintenant.
00:06:24On va rentrer sur une partie un peu plus facile.
00:06:26Voilà.
00:06:28Bien passé ce premier dévers.
00:06:32Petit moment de répit.
00:06:34Avant de retourner dans le vide du sujet.
00:06:36Allez on a pris un peu de repos.
00:06:38Et boum on repart au combat.
00:06:40Il est bien.
00:06:42Il est très intérieur en ligne.
00:06:44Il va pouvoir lâcher les skis.
00:06:46Il faut tendre au maximum les lignes sur ces parties là.
00:06:48Amortir les mouvements de terrain.
00:06:51Voilà.
00:06:53Ils se font secouer.
00:06:55Attention là.
00:06:57Il est parti un tout petit peu arrière.
00:06:59Il y a du retard encore pour Florian Lauriau.
00:07:01Ça reste plutôt correct.
00:07:03Par contre on le voit par moment.
00:07:05Il finit un petit peu vite ses virages.
00:07:07Il ne remplit pas assez les courbes.
00:07:09Le skieur de Meuseve secoué.
00:07:11Il essaie d'y aller.
00:07:13Premier top 10 à Bormio.
00:07:15Il va reprendre un petit peu de temps.
00:07:17Il limite.
00:07:1980 centimes.
00:07:21Il limite la casse quand même.
00:07:23Pour l'instant on est sur le deuxième temps.
00:07:25Oulala.
00:07:27Il est compliqué.
00:07:29Et derrière ça va être le deuxième temps.
00:07:311.02 d'un Adrian Sejerstedt.
00:07:33Qui a signé un chrono intéressant.
00:07:35Sejerstedt.
00:07:37On pouvait le mettre aussi dans les Outsiders.
00:07:39Il a déjà montré qu'il pouvait monter sur les podiums.
00:07:45Et on connait les Norvégiens.
00:07:47Souvent présents sur les grands rendez-vous.
00:07:59Celui-là il va falloir le surveiller.
00:08:01Alex Simonet le fribourgeois.
00:08:03Pour remettre le drapeau suisse sur le podium.
00:08:05Une des premières flèches suisse.
00:08:09Cette grande équipe suisse.
00:08:11Mais on l'a vu hier.
00:08:13C'est des courses d'un jour.
00:08:15Vous aurez une nation suite aujourd'hui.
00:08:17Qu'il faudra surveiller très attentivement.
00:08:19Parce qu'en Super-G.
00:08:21Ce sont les boss du game.
00:08:23Cette année.
00:08:25Ça va être vraiment important.
00:08:27D'arriver à plaquer son ski au sol.
00:08:29On voit que ça commence à taper un tout petit peu.
00:08:31Attention là.
00:08:33Il s'est fait prendre dans la compression.
00:08:37Il est devant pour l'instant.
00:08:41Elle est belle cette partie déversante.
00:08:43Il y a vraiment de tout sur cette piste.
00:08:47Un terrain de jeu incroyable.
00:08:51Et on voit.
00:08:53Il allonge bien ses courbes.
00:08:57Et l'erreur !
00:08:59D'Alex Simonet.
00:09:01Oh la rage !
00:09:03Et un contender sans moins pour cette victoire finale.
00:09:05Parce que c'était un homme à surveiller.
00:09:07Il était bien.
00:09:09Il était vert.
00:09:11On l'a vu.
00:09:13Il est parti un petit peu trop vers l'intérieur.
00:09:15Avec son haut du corps.
00:09:17Malheureusement il tombe sur l'intérieur.
00:09:19Et il a compris tout de suite.
00:09:23C'est dommage.
00:09:25En plus c'est sur une partie facile.
00:09:27Un peu plus facile.
00:09:29Je pense qu'il était un petit peu tard.
00:09:31Il a dû tendre un petit peu trop les trajectoires.
00:09:33Il s'est retrouvé dessous.
00:09:35Il n'avait pas d'autre choix que d'essayer de mettre plus d'angles.
00:09:37Malheureusement.
00:09:39On le retrouvera à la descente.
00:09:41Alex Simonet qui a signé deux podiums en descente cette saison.
00:09:43Avec une victoire à Bormio.
00:09:45Une deuxième place à Kitzbühel.
00:09:47Ce sont évidemment deux grands monuments.
00:09:49Et cet homme là.
00:09:51Franjo von Neumann.
00:09:53On va le suivre aussi très attentivement.
00:09:55Il fait partie de cette nouvelle garde suisse.
00:09:57Stéphane Babinski.
00:09:59Et ensuite ce sera au tour de Nils Allègre.
00:10:01Allez Nils.
00:10:03Ce doit être les derniers moments.
00:10:05On l'a vu hier.
00:10:07Que les Autrichiens.
00:10:09Ils avaient à cœur brillé à domicile.
00:10:13Attention.
00:10:15Il fait un tout petit peu de chemin.
00:10:17Pas forcément ultra précis.
00:10:19C'est dans le ton.
00:10:21Il y a le top speed.
00:10:23Mais il y a du rouge derrière.
00:10:25On voit.
00:10:27Il y a de la place entre les virages.
00:10:29Il faut savoir alterner.
00:10:31Avoir la bonne trajectoire.
00:10:33Allonger sa courbe.
00:10:35Avancer tout le temps.
00:10:39Un petit dixième de retard.
00:10:41C'est toujours au contact.
00:10:43Il finit tard dans le dévers.
00:10:45Il a dû marquer le pied gauche suivant.
00:10:47On va voir si ça a des conséquences sur le temps.
00:10:49En tout cas il prend des risques.
00:10:51C'est ce qu'il faut aussi.
00:10:53Il prend des risques.
00:10:55Et il reste au contact.
00:10:57Même si 21 centièmes.
00:10:59Pour l'instant ça place en deuxième position.
00:11:01Par contre il faut qu'il reste vraiment précis.
00:11:03Un petit peu plus technique.
00:11:05Ne pas faire trop de chemin.
00:11:17C'est un super jet qui demande.
00:11:19Qui demande d'être présent tout du long.
00:11:21On n'a pas trop de moments de répit.
00:11:23À part au milieu.
00:11:25Attention le dernier saut.
00:11:27Bien passé.
00:11:29On va très vite voir.
00:11:31La séquence de Nils Salegre.
00:11:33Avant son passage avec son kiné.
00:11:39Tout le mur c'est excellent.
00:11:41Ça se fait super bien.
00:11:43En bas du mur on peut déjà lâcher.
00:11:45Pour créer la vitesse.
00:11:47Le premier de la banane.
00:11:49C'est maximum à 1 mètre.
00:11:51Un demi-mètre c'est bien.
00:11:53Chez Fred c'est pareil.
00:11:55Chez Sayot on y va.
00:11:57On est direct.
00:11:59C'est super bien.
00:12:01Chez Bichon nickel.
00:12:03Et chez David pareil.
00:12:05C'était intéressant d'avoir ces dernières consignes.
00:12:07Allez Nils.
00:12:09Le skieur du club des skis de Cerchevalier.
00:12:11Il faut intégrer toutes les dernières infos.
00:12:13Il faut y aller plein fer.
00:12:15C'est bien parti pour Nils.
00:12:17Là sur le haut.
00:12:19Très bien.
00:12:21Un centième d'avance.
00:12:23Allez Nils.
00:12:25Attention aux fautes d'équilibration.
00:12:27Le skieur en entrée.
00:12:29Le saut du corps doit être bien placé.
00:12:35Le skieur toujours très doux.
00:12:37Il faut vraiment y aller.
00:12:39Engagé à 6 dixièmes.
00:12:41Il y a beaucoup de retard.
00:12:43Je l'ai trouvé un peu hésitant.
00:12:45C'est pas fait.
00:12:47Il faut continuer d'y aller.
00:12:49Allez Nils.
00:12:51Un petit peu plus d'agressivité.
00:12:53Il y a des retards.
00:12:5592 centièmes de retard.
00:12:57Pour Nils Allègre.
00:12:59Ce n'est pas son jour.
00:13:01Entre un tout petit peu plus dedans.
00:13:07Il y a beaucoup de vitesse.
00:13:09On se fait secouer un peu dans tous les sens.
00:13:11C'est vrai qu'au niveau des intentions.
00:13:13Il faut en rajouter un petit peu.
00:13:15Pour dominer cette piste.
00:13:17Là ça fait trop.
00:13:19Une cesse de retard pour Nils Allègre.
00:13:21Assez dommage.
00:13:23Il était bien parti sur le haut.
00:13:25Après un petit cran en dessous.
00:13:27Attention.
00:13:29Il va être dangereux ce dernier saut.
00:13:31Ça va faire cher à l'arrivée pour Nils Allègre.
00:13:33Il vient de se positionner en 4ème position.
00:13:35A 1,17 il y aura de la déception.
00:13:37Forcément dans le stade des bleus.
00:13:39Et dans l'air d'arriver aussi.
00:13:41Pour Allègre.
00:13:43C'est ses courses d'un jour.
00:13:45C'est difficile.
00:13:47D'être ultra présent.
00:13:49Il y a aussi la tension qui monte.
00:13:51Le stress qui monte.
00:13:55Ça n'a rien à voir avec les épreuves de coupe du monde.
00:13:59Toutes les caméras sont fixées sur l'événement.
00:14:03C'est ce qu'il y a de plus dur.
00:14:05Quand on est attendu.
00:14:09D'arriver à donner le meilleur.
00:14:17Il ne se cesse pas.
00:14:21C'est bien comme ça.
00:14:31Allé go go go go !
00:14:33A 27 ans, c'est déjà une légende de sa discipline.
00:14:37Il entrera un peu plus dans l'histoire si il décroche ce titre qui lui manque.
00:14:41Deux champions du monde de SuperG.
00:14:43Marco Odermatt, la fusée suisse.
00:14:45parti sur les pistes de Salbar.
00:14:47Et tout de suite, 25 centièmes d'avance.
00:14:50C'est là où il peut faire les différences
00:14:52par rapport à ses meilleurs concurrents.
00:14:56Et on voit, c'est ultra propre sur la taille de son ski.
00:14:59Il n'y a pas de fumée.
00:15:01Ça se passe bien jusque là, mais attention,
00:15:03il peut se passer beaucoup de choses dans ce Super G.
00:15:07Oh là là là là là là, il est en train de découper la piste.
00:15:10Ça c'est un homme qui est au rendez-vous.
00:15:12Ça c'est quelqu'un qui sait répondre présent à la pression.
00:15:15Et on voit, il a une aisance technique.
00:15:18C'est trop facile.
00:15:21Il travaille bien les mouvements.
00:15:25Il stabilise son avance.
00:15:27On va re-rentrer de nouveau sur des courbes à tailler un petit peu plus.
00:15:35Légèrement large là, mais ça s'enchaîne bien.
00:15:39On va voir le prochain intermédiaire.
00:15:45Marco Odermatt, 76 centièmes.
00:15:48Il est en train de donner le tournis à tout le monde.
00:15:50Et on voit, il est toujours vraiment sur l'avant de ses skis.
00:15:53Le gros saut, pas trop là pour lui.
00:15:56Il est allé loin dans les étoiles, Marco Odermatt.
00:15:59Et il frappe très fort.
00:16:01Une pièce d'avance doit lever vers le ciel.
00:16:03Il tutoie le soleil, Marco Odermatt.
00:16:06C'est une légende.
00:16:08Il a marqué un très gros coup sur cette piste
00:16:11qu'il a découpé de A à Z.
00:16:14Champion bonhomme.
00:16:18Quelle classe.
00:16:20Quel monstre.
00:16:22Techniquement, il est vraiment au-dessus des autres.
00:16:26Tant par sa prise de risque aussi.
00:16:31Maintenant, on s'est enflammé.
00:16:33Maintenant qu'on a mis le feu.
00:16:35On va quand même préciser que c'est maintenant que les gros concurrents
00:16:38vont prendre le départ sur cette piste.
00:16:40Il y a une très grosse avance pour Marco Odermatt aujourd'hui.
00:16:43Mais voilà, il y a d'autres passages.
00:16:46Il est trop fort.
00:16:48Il est vraiment trop fort.
00:16:50Mais quelle légende, franchement.
00:16:53Il est déjà champion du monde de géant et de descente.
00:16:56Et s'il y avait la troisième discipline qui s'ajoutait à son escarcelle,
00:17:00en attendant, s'il y en a un qui peut le concurrencer,
00:17:03ici en Autriche, c'est lui, Vincent Krichmaier.
00:17:11Lui qui avait chuté à Wengen.
00:17:14Il est un peu diminué.
00:17:23C'est un des premiers à rivaliser, en tout cas, sur le haut.
00:17:28Attention, un tout petit peu trop de marge, là.
00:17:31Odermatt était vraiment rentré plein fer dedans.
00:17:35On le voit, il fait un tout petit peu plus de chemin.
00:17:38C'est vrai qu'avec Marco Odermatt juste avant,
00:17:40qui a pris des lignes très intérieures, le plus direct possible.
00:17:45Ça y est, là, il revient sur quelque chose,
00:17:48beaucoup plus dans la pente.
00:17:52Il finit tout pile, ces virages.
00:17:56Et malheureusement, le mal est fait.
00:17:59Le gaute est passé par là.
00:18:02Et a tracé dans son sillage du verre partout.
00:18:05Et pourtant, il met de l'engagement, Krichmaier.
00:18:11C'était magistral, ce qu'il nous a fait.
00:18:13Et il n'a jamais été en danger, c'est ce qui est fou.
00:18:17Une facilité, une aisance.
00:18:19Mais qui es-tu, Marco Odermatt ?
00:18:22Vincent Krichmaier, pour l'instant,
00:18:24qui va aussi parfaitement en ligne.
00:18:26Il va terminer quand même derrière.
00:18:28Il est troisième en plus.
00:18:30Il passe derrière Seierstedt.
00:18:32Derrière Seierstedt, qui pour l'instant est la surprise
00:18:35de ce début de Super G.
00:18:37On n'est pas au bout de nos surprises,
00:18:39mais on vous a parlé d'une possible surprise, justement, autour d'un...
00:18:44Regardez, les fumigènes, dans l'air d'arriver à la côté suisse.
00:18:47En tout cas, pour se rapprocher de Marco Odermatt,
00:18:51il va vraiment falloir sortir le grand jeu.
00:18:53Prendre tous les risques.
00:18:55Faire la course parfaite.
00:18:57C'est possible de se rapprocher.
00:19:06Les supporters suisses ont mis le feu pour Marco Odermatt.
00:19:09Lui, il est déjà en train de se focaliser sur la descente
00:19:12de dans deux jours.
00:19:14Même pas le temps de savourer.
00:19:16Ou peut-être qu'on pense au géant,
00:19:18ou peut-être qu'on pense au Kobine.
00:19:21C'est important, on l'a vu.
00:19:23On a parlé de cette équipe suisse qui s'entend très bien.
00:19:26Et là, il donne les informations à ceux qui sont encore au départ
00:19:29sur lui, son ressenti, les passages clés,
00:19:32comment les skier, comment aborder cette course.
00:19:35Petite faute sur le pied gauche avant.
00:19:38On le voit, limite sur les équilibrations par moment.
00:19:41Il plonge très vite avec le haut du corps
00:19:44sur l'entrée de son virage.
00:19:47Voilà, c'est la bonne ligne.
00:19:49Comme Marco Odermatt !
00:19:51On le voit, limite sur les équilibrations par moment.
00:19:55Il plonge très vite avec l'eau du corps sur l'entrée de son virage.
00:20:08Voilà, là c'est la bonne ligne, comme Marco Dormaat.
00:20:22Il y a vraiment de la vitesse, c'est super beau à voir.
00:20:26Lui qui a été deuxième à Kitzbühel en janvier dernier, Raphaël Hazard.
00:20:30Cinq-dixième, il a encore commis une petite faute juste au-dessus.
00:20:36Alors derrière, on a Dominique Paris, l'Italien de 36 ans.
00:20:40Il est âgé forcément, mais est-ce qu'il peut venir tutoyer Marco Dormaat aujourd'hui ?
00:20:45Je pense qu'il y en a qui vont se rapprocher.
00:20:48Après, il a vraiment fait une course incroyable.
00:20:50Et Hazard qui limite bien la casse.
00:20:53Le dernier saut, il a vraiment volé.
00:20:58Il va terminer deuxième et donc il va éjecter Vincent Krichmaier du podium.
00:21:03Pas de Vincent Krichmaier sur le podium, mais un Raphaël Hazard, un Autrichien en cache un autre.
00:21:09Il en restera un, Lucas Förstein avec le dossard numéro 16.
00:21:16Il a assommé tout le monde, Marco Dormaat.
00:21:20Il est tranquille, Marco Dormaat, dans l'air d'arriver.
00:21:29Maintenant, il a fait sa part du boulot.
00:21:32Il n'a plus qu'à attendre, à regarder les concurrents.
00:21:36Je pense qu'il sait qu'il a frappé fort.
00:21:40Mais quelle classe.
00:21:42Allez, la famille de Dominique Paris, l'Italien qui a gagné le Globe du Super-G en 2019.
00:21:46Oui, ça remonte. Champion du monde aussi du Super-G en 2019.
00:21:49Oui, ça remonte. Oui, c'était il y a six ans. Mais pourquoi pas ?
00:21:54Il est toujours compétitif, Dominique Paris.
00:22:01Il est toujours compétitif, Dominique Paris.
00:22:05Il est toujours compétitif, Dominique Paris.
00:22:08Mais c'est vrai que pourquoi pas ? Ça pourrait lui aller.
00:22:14Un skieur qui met aussi énormément d'envie, de cœur.
00:22:20Là, c'est un tout petit peu hésitant, par contre.
00:22:25Ça risque de chiffrer dès le prochain inter.
00:22:31Il y a quand même moyen de vraiment prendre le coup.
00:22:35Il y a quand même moyen de vraiment prendre le coup.
00:22:39Un peu plus la tangente.
00:22:41Ça a très bien chiffré direct.
00:22:45Là, c'est bien rouge. Bien rouge, bien complet.
00:22:49Il n'est pas toujours en plus très juste, très saillant sur sa taille.
00:22:57On voit que ça s'échappe un petit peu de fumée.
00:23:01Meilleur temps sur le troisième intermédiaire pour Dominique Paris,
00:23:04qui a repris un petit peu de temps avec Odormat.
00:23:06C'est vraiment un pur descendeur.
00:23:08C'est normal aussi que sur des parties un petit peu plus faciles,
00:23:11il soit capable de rivaliser avec Odormat.
00:23:17Mais c'est vrai qu'Odormat a été bon vraiment de partout.
00:23:23C'est intéressant de voir qu'il y a aussi des athlètes qui rivalisent sur des secteurs.
00:23:28Bien dans son atterrissage, est-ce que ça le fera pour le podium ? Non.
00:23:32Sixième, on est déjà en train d'afficher très rapidement le temps pour le podium,
00:23:36parce qu'on a l'impression qu'il a découpé la concurrence Marco Odormat.
00:23:41Moi, la question que je vous pose maintenant, c'est est-ce qu'il est possible ?
00:23:45On vous l'a dit en préambule de cette course,
00:23:47la Suisse domine dans les grandes largeurs le Super-G cette saison.
00:23:51Est-ce qu'il est possible d'avoir un podium 100% suisse aujourd'hui ?
00:23:55On peut avoir une partie de la réponse après le prochain passage Stéphane Roegentil.
00:23:59Exactement. Après, il y a quand même de la place entre Marco Odormat et le deuxième.
00:24:07Donc pourquoi pas ? Il y a aussi encore Demathia Kassé,
00:24:11Frederik Möller et Cochrane Ziegle aussi,
00:24:14Lukas Forshteyn pour l'Autriche.
00:24:17Ce n'est pas fini.
00:24:21Stéphane Roegentil, le Suisse de 30 ans, qui a gagné sa place à l'entraînement.
00:24:25C'est normal. Actuel troisième du Super-G.
00:24:30Quatrième l'an dernier du Globe.
00:24:36Descente dans l'entraînement.
00:24:39D'ailleurs, c'est lui qui avait gagné sur cette piste à Salbar l'année dernière dans les finales de la Coupe du Monde.
00:24:46C'est des bons repères de prix souvent sur les hommes forts lors des finales de la Coupe du Monde.
00:24:55C'est l'enchaînement de pif-paf. Il faut arriver à bien remplir les espaces.
00:25:08Il y a un petit manque de vitesse.
00:25:16117 km heure.
00:25:19Elle est intéressante, cette vitesse, avant d'aborder une portion un peu plus plane.
00:25:24Cette vitesse qu'on a emmagasinée, on va l'emmener jusqu'au bout de cette partie plane.
00:25:41A une seconde, au troisième intermédiaire, on va avoir celui-là.
00:25:48Il est loin, il est loin. 1'21 pour l'instant.
00:25:52C'est une septième place qui se dessine pour Stéphane Rogenthin.
00:25:57On n'aura pas de podium 100% suisse aujourd'hui parce qu'il sera septième.
00:26:021'68, Stéphane Rogenthin, il est loin de Marco Odermatt.
00:26:10Déception pour les deux autres Suisses.
00:26:12On attendra Franjo Van Halmen pour voir s'il y aura un deuxième Suisse sur le podium.
00:26:18On vous l'a dit, c'est la nation qui domine le Super-G cette année chez les hommes.
00:26:22Pour l'instant, Adrian Sejerstedt, le Norvégien, qui est toujours présent sur le podium.
00:26:29A 1'15 de Marco Odermatt.
00:26:33Mentalement, Odermatt, il est incroyable. Il a tout gagné.
00:26:38Il y avait le Rhein-Hirscher la dernière décennie.
00:26:42Et là, c'est vraiment le règne Odermatt au-dessus.
00:26:52Attention à Mattia Cassi, qui a gagné à Val Gardena en décembre dernier en Super-G.
00:27:00Cinquième du globe de la discipline à 34 ans italien.
00:27:04On a vu les Italiens en forme sur ces débuts de championnat du monde.
00:27:11C'est important de rentrer plein fer dans ce premier mur, ne pas hésiter une seconde.
00:27:19Deux dixièmes.
00:27:20Différence qu'a faite Marco Odermatt dès le début.
00:27:28C'est bien lâché, il a pris la vitesse.
00:27:35Allez, cinq dixièmes. Rentrer très haut et ensuite avancer.
00:27:40Ça passe limite dans la bleue. Attention, là, il finit un peu trop tard.
00:27:45108 km heure, du coup. Pas une vitesse très élevée.
00:27:55Allez, tout de suite, ça chiffre. Malheureusement, une dix, ça commence à faire beaucoup.
00:27:59S'il veut aller chercher une médaille, il va falloir qu'il fasse vue égale à Odermatt sur le bas.
00:28:06De nouveau, c'est la faute de trop.
00:28:12Malheureusement pour l'Italien.
00:28:18Course manquée.
00:28:19Et pour l'instant, ça tient.
00:28:21Ça pouvait être un prétendant.
00:28:23Attention, là.
00:28:24Ça laisse presque l'équilibre.
00:28:27Je pense qu'il va être déçu, Nils.
00:28:29Il pouvait faire mieux.
00:28:31Il y a eu des petites erreurs.
00:28:35Il a manqué un tout petit peu d'engagement, de prise de risque.
00:28:40Mais ça va tellement vite, une fois qu'on ne rentre pas forcément dans le bon état d'esprit.
00:28:45C'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur, c'est dur.
00:28:51Mais ça va tellement vite, une fois qu'on ne rentre pas forcément dans le bon état d'esprit.
00:28:56C'est dur de changer la donne en descendant.
00:28:59On aura ensuite Mathieu Bellet.
00:29:02Dossard numéro 26.
00:29:03Mais surtout, ça ne se joue à rien.
00:29:05Et Nils Alfand, Dossard numéro 31.
00:29:07Voilà pour les prochains Français à s'élancer.
00:29:09Restez évidemment avec nous.
00:29:11On ne sait pas ce qui peut se produire.
00:29:13Il y a un podium qui semble peut-être accessible à une quinze de Marco Audermat.
00:29:17Bon, pour la victoire, je pense qu'il peut aller chercher son sac de couchage, son oreiller.
00:29:21S'attendre, s'installer sur ce siège de leader.
00:29:23Parce que franchement, mettre une seconde au deuxième, c'est monumental.
00:29:28On verra quand même le passage de Franjo Van Halmen et de Frédéric Moller.
00:29:32S'il peut y avoir de la concurrence.
00:29:34Elle est là.
00:29:35C'est la révélation du début de saison en Super-G.
00:29:36Frédéric Moller, première victoire à Bormio.
00:29:38Vu qu'il s'est lancé sur le circuit mondial l'hiver dernier.
00:29:48Et on l'a dit, avec Sejerstedt aussi.
00:29:51Les Norvégiens qui apprécient ce genre de grands événements.
00:30:05Ce passage d'Ever très intérieur, c'est bien.
00:30:08Pour l'instant, ce n'est pas mal pour le podium, ce que fait Frédéric Moller.
00:30:11C'est dans le bon ton.
00:30:12On va voir la vitesse qu'il génère.
00:30:14115, c'est plutôt correct.
00:30:17Ça se passe plutôt bien.
00:30:22Il a pris tout de suite du retard, Frédéric Moller.
00:30:25Il va falloir tenir.
00:30:26Il va falloir rester dans le rythme.
00:30:28On le voit, tous les concurrents prennent beaucoup sur cet inter là.
00:30:34Pour l'instant, le podium peut être encore en vue.
00:30:39Remettre la recharge de vitesse.
00:30:41Remplir au maximum.
00:30:43Ça va se jouer à rien pour le podium.
00:30:45Ça va se jouer à rien pour le podium avec Frédéric Moller.
00:30:48Le dernier saut.
00:30:49Le deuxième podium norvégien peut-être.
00:30:51Il va tenter de la...
00:30:52Frédéric Moller, non.
00:30:53A 1'22.
00:30:55Déception pour Frédéric Moller.
00:30:57Il était vraiment encore dans la course.
00:31:01C'est la fin.
00:31:02Capéché.
00:31:05Dommage.
00:31:07C'est la fin.
00:31:08C'est la fin.
00:31:09C'est la fin.
00:31:10C'est la fin.
00:31:11C'est la fin.
00:31:12Dommage.
00:31:14On va vous faire les présentations.
00:31:16Faire la connaissance sur la chaîne.
00:31:19L'équipe avec Franjo Von Holmen.
00:31:2123 ans.
00:31:22La nouvelle fusée suisse.
00:31:25Elle a été excellente à l'entraînement de la descente.
00:31:28C'est vraiment la révélation de cette saison.
00:31:33Sur la...
00:31:34La lignée...
00:31:36des tout grands.
00:31:38Barco, Dormaat, Beate Feuys, Didier Cuch, Didier Defago et j'en passe.
00:31:45On a vu Barco, Dormaat, tout sourire, le Boss, le Goat.
00:31:50Allez, Franjo van Almen !
00:31:53Faites la connaissance avec cette fusée suisse qui fera beaucoup parler.
00:32:00Qui se parle au départ ?
00:32:03Motivé.
00:32:08Allez, tout de suite, bien actionner son ski.
00:32:16Prendre un maximum de vitesse.
00:32:19Deux dixièmes.
00:32:24Lui, c'est vraiment sur ces parties là où il doit être bon.
00:32:27Attention là, il a tenté un truc.
00:32:31Il restait longtemps sur son pied gauche.
00:32:39Faute rédhibitoire sur le haut.
00:32:44Un moment où il faut vraiment prendre de la vitesse.
00:32:46Il a été hyper hésitant.
00:32:48Pour l'instant, là, ça fait loin, ça fait cher.
00:32:51Des places pour le podium.
00:32:54Pour ses premières intermédiaires.
00:32:56Il tente de reprendre un peu de vitesse là, mais non, non, non.
00:32:58Une quarante-trois de retard.
00:33:00C'est incroyable cette discipline.
00:33:02Il y a vraiment des purs spécialistes.
00:33:05Peut-être qu'on peut encore espérer le podium toujours présent.
00:33:12Il y a de la place et pourquoi pas un exploit.
00:33:23C'est impressionnant de voir Franjo van Almen qui va finir à deux secondes de Marco Odormat.
00:33:29Il est loin, très loin d'un Marco Odormat qui était attendu.
00:33:33D'un Marco Odormat qui a répondu pour l'instant.
00:33:36Large leader de ce Super G à Salba.
00:33:38On se retrouve dans quelques instants pour le passage des deux prochains Français.
00:33:42Mathieu Bellet, Dossard 26.
00:33:43Nils Salvan, Dossard 31.
00:33:48L'extraterrestre Marco Odormat a frappé.
00:33:50C'est lui qui signe le meilleur temps de ce Super G pour l'instant.
00:33:53Qui va pouvoir aller chercher Marco Odormat ?
00:33:56C'est ce qu'on va découvrir avec Adrien Combe, Jean-Baptiste Grange.
00:33:59Toutes les coulisses, toutes les réactions bien sûr.
00:34:01C'est une journée particulière.
00:34:02Est-ce qu'il va réussir enfin à aller chercher le sacre sur ce format du Super G ?
00:34:06C'est ce qu'on va guetter, Adrien Jean-Baptiste.
00:34:08Marco Odormat, pour l'instant, c'est lui le meilleur.
00:34:10Franchement, il a posé les bases.
00:34:12Messaoud, Marco Odormat.
00:34:14Je vous assure que pendant la pub, Jean-Baptiste Grange, il était estomaqué par le spectacle qu'il a vu.
00:34:19Sous le choc, choc bar.
00:34:21C'est vrai qu'il a relégué toute la compétition.
00:34:24C'est vrai qu'il a relégué toute la concurrence à une seconde.
00:34:27C'est rare.
00:34:29D'autant plus que c'est une piste où on pouvait se dire que ce n'était pas fait.
00:34:35Mais voilà, je le redis, quelle classe.
00:34:38Il y a des skieurs qui arrivent à être au-dessus.
00:34:40C'est énorme, franchement.
00:34:41Tout le temps, mentalement, il faut être là, y répondre présent.
00:34:45Parce que c'est une course qu'il n'avait jamais gagnée.
00:34:48Oui, il l'avait coché.
00:34:51Son meilleur résultat, c'était une pauvre 11ème place.
00:34:54Et puis, il a répondu présent.
00:34:56Je suis attendu, je réponds.
00:34:57Et c'est ça qui est énorme.
00:34:59Il l'avait coché.
00:35:00Il a dit qu'il voulait gagner Super G.
00:35:02Et il le fait.
00:35:06Alors évidemment, on va attendre le dernier passage, le dernier tossard.
00:35:12Avant d'avancer, que Marco Odormat remporte un nouveau titre de champion du monde.
00:35:17Et Forstein aussi.
00:35:19Super skieur.
00:35:21Malheureusement, il n'y a pas match avec Odormat.
00:35:26Pourtant, il essaie.
00:35:27Il s'emploie.
00:35:28Il essaie de mettre de l'intensité dans cette partie plus Super G.
00:35:35Attention, un tout petit peu tard là.
00:35:38Quand les skis remontent la pente en travers, c'est de la perte de temps, de la perte de vitesse.
00:35:44L'important, ce dernier saut.
00:35:46Relâché au tout dernier moment.
00:35:48Voilà, ça s'est très bien passé pour lui.
00:35:52Le capteur Forstein, 9ème à 2'02.
00:35:57La concurrence casse les dents.
00:36:04Cette séquence intéressante aussi avec cet homme, James Crawford.
00:36:08C'est le champion du monde en titre.
00:36:12Et il est en pleine préparation aux côtés de Julien Lizerou et de Romain Favril.
00:36:15Parce qu'on a une position privilégiée là-haut pour vous faire vivre les départs des skieurs.
00:36:21Et on a vu Ryan Cochrane-Ziegle.
00:36:22Il fait chaud au départ, je pense.
00:36:25En train de se mettre de la neige sur la tête.
00:36:30Pour se réveiller.
00:36:32Garder les idées froides exactement.
00:36:34On n'aime pas, nous les skieurs, quand on a trop chaud au départ.
00:36:37Ce ne sont pas des sensations qu'on apprécie.
00:36:41Ça nous endorme un petit peu.
00:36:43Dans un sport aussi explosif que le ski alpin.
00:36:46Il faut vraiment être présent.
00:36:48Une minute de course où il faut être ultra présent.
00:36:51Tu préférais avoir froid ?
00:36:53Une minute trente pour les épreuves de vitesse.
00:36:55On a rarement froid.
00:36:57On est en tension, on est en mouvement.
00:36:59On est en tension, on est en mouvement.
00:37:01Quand il fait grand beau comme ça,
00:37:03Julien nous a parlé des inversions de température.
00:37:06Je pense qu'il doit faire un petit peu plus chaud au départ.
00:37:14Le Canadien encore loin, encore très très loin.
00:37:16On vous rappelle à Mathieu Bellet, c'est Dossard 26.
00:37:18C'est tout bientôt.
00:37:19Et puis on aura également Dossard.
00:37:21Le ROT1.
00:37:22Niels Alphand, qu'on a pris avec impatience.
00:37:25On va voir.
00:37:26On va voir.
00:37:27On va voir.
00:37:28Niels Alphand, qu'on a pris avec impatience.
00:37:32Le fils de Luc Alphand.
00:37:33Le frère d'Estelle Alphand et de Sam Alphand.
00:37:35Qui a montré des belles choses à l'entraînement de descente.
00:37:38Oui.
00:37:40Est-ce que la surprise peut venir de Niels ?
00:37:49Il va falloir y rentrer sans complexe.
00:37:51Ensuite, il y aura le passage d'un homme que vous avez coché, Jean-Baptiste.
00:38:01C'est Ryan Cochrad-Ziegle.
00:38:02Alors qu'on va remettre visiblement l'une des portes.
00:38:06On voit un piquet qui a cassé.
00:38:13L'organisation qui est au bord de la piste se dépêche de changer ce piquet.
00:38:18Et Niels Alphand.
00:38:20Regardez-le justement.
00:38:21Lui aussi en pleine préparation.
00:38:23Alors que ça chante dans l'air d'arriver.
00:38:27On voit le kiné qui a le téléphone dans la main.
00:38:29Ce qui permet de pouvoir regarder un passage.
00:38:34Pour voir un concurrent descendre.
00:38:36Voir les lignes qui sont prises.
00:38:37Ça permet aussi de se remettre le tracé un peu dans la tête.
00:38:43Et le kiné, c'est lui qui va accompagner jusqu'au départ l'athlète qui va être à côté de lui.
00:38:48Un petit café.
00:38:49Un petit kawa sur le siège.
00:38:54Un petit sourire aussi.
00:38:55Une petite ovation.
00:38:57Il est d'une telle sympathie ce coureur.
00:39:00Et d'un tel talent.
00:39:01Tel talent.
00:39:02Et c'est aussi quelqu'un qui est très humble.
00:39:06Une humilité.
00:39:07Voilà, c'est beau.
00:39:10Il est toujours là à soutenir ses compatriotes.
00:39:15Et au moment où Ryan Tocrantzic va s'élancer.
00:39:17Qui sont ces gens que l'on vient de voir sur ce petit promontoire ?
00:39:20Jean-Baptiste, on a vu des...
00:39:21Autour de Marco ?
00:39:22Non, qui étaient auprès de la piste.
00:39:24Au tournoi de la piste.
00:39:25Alors, c'est les coachs.
00:39:27Il y a à la fois pour la fise le chef de course.
00:39:31Celui qui va donner les ordres de quand on arrête ou on n'arrête pas la course.
00:39:35En cas de problème.
00:39:36S'il y a un pic à changer comme on l'a vu tout à l'heure.
00:39:38Et on a tous les coachs qui sont répartis tout du long.
00:39:42Pour pouvoir faire remonter les informations aux coureurs au départ.
00:39:46Ryan Tocrantzic avait été coché par Jean-Baptiste Grange.
00:39:49Notre double champion du monde.
00:39:52Comme un possible outsider pour le podium.
00:39:57Ce serait bien.
00:39:58Déjà s'insérer sous la seconde.
00:40:00Et déjà c'est pas mal ce premier secteur.
00:40:02C'est pas mal parti.
00:40:03Mais bon, c'est encore long.
00:40:07C'est toujours pas mal.
00:40:09C'est important de vraiment allonger ses virages.
00:40:12Laisser glisser les skis.
00:40:15Faut rentrer très intérieur sur cette partie déversante.
00:40:18Il le fait bien.
00:40:19Cinq dixièmes.
00:40:20Maintenant, il faut vraiment plonger sur cette porte bleue en sortie.
00:40:24On va voir la vitesse qu'il a générée.
00:40:26116, c'est correct.
00:40:29Allez, par contre, il faut tout de suite revenir actif.
00:40:32Après, on va rentrer sur cette partie.
00:40:36C'est bien.
00:40:37C'est bien.
00:40:38Il a fait jeu égal.
00:40:39Pour l'instant, c'est pas mal.
00:40:40Attention, là, il est un tout petit peu tard.
00:40:41C'est dommage.
00:40:44Il avait réussi à faire jeu égal avec Odormat.
00:40:46Par contre, celle-là, elle est bien faite.
00:40:49Tout va bien pour l'instant.
00:40:50Attention, de nouveau, un petit peu dessous.
00:40:52Mais bon, il essaye d'avancer.
00:40:54C'est aussi important de pousser ses virages au maximum.
00:40:59Ah, dommage.
00:41:00C'est quatre dixièmes.
00:41:02Cette partie un petit peu en dansy.
00:41:05Le dernier saut.
00:41:06C'est dommage parce qu'il était bien parti pour le podium.
00:41:08La grosse faute.
00:41:09Il va perdre encore un peu de temps.
00:41:10Mais ça va pas le faire.
00:41:11Il va être septième rien que Crans-Tiguel.
00:41:12Pas loin de ce podium, vous le voyez.
00:41:14Il y a seulement 16 centièmes entre le troisième et la huitième place.
00:41:19On va dire que jusqu'au deux tiers du parcours, il était en piste pour faire une médaille.
00:41:25Malheureusement, il y a eu trop d'erreurs sur ce dernier tiers.
00:41:29Et à nouveau sur le dernier saut, là, il a failli atterrir sur le dos.
00:41:34Essayer peut-être pour l'instant.
00:41:35Ça tient sur le podium aussi.
00:41:39Là, on voit le travail pour rester sur les skis.
00:41:44Giovanni Franzoni, italien.
00:41:47Neuvième de la discipline.
00:41:50Skieur très technique.
00:41:56Pas un gros gabarit.
00:41:58C'est sûr que lui, dès le début, il doit être au contact.
00:42:05Ce sont aussi des skieurs qui mettent de l'engagement, ces jeunes Italiens.
00:42:16Quatre dixièmes.
00:42:18Ça va encore.
00:42:20Bien sorti au niveau du DVR.
00:42:23Là, il faut y retourner.
00:42:28Le plus direct possible.
00:42:31Attention, non.
00:42:33On avait dit qu'il cherchait à être le plus direct possible.
00:42:36Malheureusement, c'était un peu trop.
00:42:39Et il loupe la porte.
00:42:43Il n'avait pas pris la bonne trajectoire.
00:42:47C'est vraiment les erreurs typiques qu'on peut voir en Super-G.
00:42:50La trajectoire est ultra importante.
00:42:52On va à 100 km heure.
00:42:54Sur cette porte cachée, on n'a pas la bonne direction.
00:42:59Et l'erreur.
00:43:00Ça va trop vite.
00:43:02On va atterrir.
00:43:03La porte est déjà à côté de nous.
00:43:04On n'est pas au bon endroit.
00:43:07Alors que ça s'est lancé James Crawford.
00:43:09On a vu tout à l'heure sa préparation aux Canadiens champions du monde en titre.
00:43:19De Super-G, vainqueur à Kitzbühel en janvier dernier.
00:43:24Ça peut être une surprise, Crawford.
00:43:28C'est des courses qu'ils apprécient.
00:43:29Et voilà, il a le dossard du champion du monde en titre.
00:43:47La possibilité pour James Crawford, pourquoi pas, d'aller chercher une place sur le podium.
00:43:51Pour l'instant, personne n'y arrive.
00:43:54Depuis le dossard numéro 4 de Raphaël Hazard.
00:44:00On l'entend crier là.
00:44:03Dommage, il a fait un petit écart sur son dernier pied gauche dans le mur.
00:44:09Et là, on l'a vu comme Von Hellmann.
00:44:11Un tout petit peu hésitant.
00:44:18Un peu trop propre sur ce début de parcours.
00:44:22Il faut prendre plus de risques.
00:44:23Ah, et ça chiffre énormément.
00:44:26Ah ouais, il s'est fait descendre.
00:44:30On l'a entendu crier.
00:44:34Ah, il est très emprunté, je trouve, aujourd'hui.
00:44:42Un peu sorti de sa course.
00:44:48On a l'impression qu'il subit un petit peu tout le long.
00:44:50Il ne devance jamais vraiment ce qu'il va faire.
00:44:54Ça arrive par moments.
00:44:57C'est vraiment une discipline où il faut savoir ce qu'on va faire.
00:45:00Il faut dominer tout du long.
00:45:02Anticiper.
00:45:04À la fois anticiper et être dans le temps T.
00:45:14Waouh, l'éclat pour le champion du monde en titre.
00:45:18Il n'y aura pas de doublé, là.
00:45:20On l'a bien vu.
00:45:21Il était en dehors de sa course.
00:45:24Il a pris, sous les yeux du gouverneur de Salzbourg, la tempête.
00:45:28James Crawford, compliqué.
00:45:29On l'a entendu dès le début.
00:45:30Les cris qui poussaient.
00:45:31Il passait complètement au travers.
00:45:33C'est vrai qu'on n'avait pas l'impression de le reconnaître.
00:45:49Elle est dure, cette deuxième porte.
00:45:51Pour vraiment actionner le ski.
00:45:52C'est le long ski de descente de Super G.
00:45:57Des skis qui font plus de 2 mètres.
00:46:04Et je pense que la piste s'est légèrement dégradée.
00:46:07On voit des fois le ski extérieur qui tape beaucoup à nouveau.
00:46:12C'est normal au fur et à mesure des passages.
00:46:15C'est normal au fur et à mesure des passages.
00:46:17Des concurrents.
00:46:27Cette partie déversante a tendance à nous tirer vers le bas.
00:46:31Et on voit des coureurs qui passent limite la porte qui est située à la sortie.
00:46:45On voit l'Esteguerre et loin.
00:46:48Au sein d'Aussard, 26, Mathieu Belay.
00:46:51On a encore deux chances françaises.
00:46:53Comment est la piste ?
00:46:54Elle a bougé, vous pensez, Jean-Baptiste ?
00:46:56Je pense que la piste est très bonne.
00:47:03Il y a des coups de vol.
00:47:09On a deux chances françaises.
00:47:10On a deux chances françaises.
00:47:12Je pense que la piste est très bonne.
00:47:14Après forcément, avec le passage des concurrents,
00:47:17il y en a déjà 21 qui se sont élancés.
00:47:19Vraiment dans la ligne, ça doit commencer à taper un tout petit peu.
00:47:23Donc ça va être important d'arriver à plaquer son ski au sol,
00:47:27à avoir les bonnes lignes, parce que souvent,
00:47:29quand on a les bonnes lignes, on se fait un petit peu moins taper.
00:47:34Mais la piste est super bien préparée,
00:47:36revêtement très compact, très dur.
00:47:38Ce dernier saut, il est impressionnant.
00:47:48Beaucoup de déceptions, forcément.
00:47:50Pour l'instant, c'est bien Marco Darmath
00:47:53qui a explosé les chronos, les compteurs.
00:47:56On a vécu franchement un très grand moment,
00:47:59avec cette fois-ci le leader de la discipline
00:48:02qui a totalement assumé son rang.
00:48:04Son statut a montré qu'il était au-dessus des autres.
00:48:08Brice Bennett peut-être un peu plus à l'aisance.
00:48:11En descente, l'Américain.
00:48:13Il l'a dit au Darmath, qu'il visait la descente,
00:48:16le superjet, le géant.
00:48:18Est-ce qu'il va être capable de le faire ?
00:48:20Et est-ce qu'on peut l'attendre sur le combiné
00:48:22pour aller chercher une quatrième médaille ?
00:48:24Je pense qu'il va...
00:48:26Après, bon, c'est aussi un coureur
00:48:28qui a fait tous les entraînements descente,
00:48:30qui fait les superjets là.
00:48:32Dimanche, il va faire la descente.
00:48:34Il a encore le géant vendredi prochain.
00:48:36Voilà, il faut aussi savoir récupérer.
00:48:41Après, c'est un coureur, je pense,
00:48:43qui va apprécier ce type de format,
00:48:45courir par équipe aussi.
00:48:48Il sera là sur place.
00:48:52Je pense qu'il peut potentiellement y participer.
00:48:56Et c'est sûr que ça pourrait faire une grosse équipe.
00:48:59Ils ont des très bons slaloms,
00:49:01ils ont des très bons joueurs.
00:49:03Ils ont des très bons slalomeurs aussi.
00:49:06Loic Maillard, Daniel Youlle,
00:49:10Tanguy Nef.
00:49:13Ils ont du monde de partout, les Suisses.
00:49:15Toutes les disciplines, filles, garçons.
00:49:182'26 pour Bryce Bennett.
00:49:20Dans quelques instants, ce sera au tour du Français,
00:49:22Mathieu Bellet.
00:49:23Et puis, Nils Salfon dans une course
00:49:25découpée par le découpeur en chef,
00:49:27Marco Odermatt.
00:49:30Marco Odermatt, méga star du ski alpin.
00:49:32Il visait le triplé sur ces championnats du monde.
00:49:34Et bien, il est en route vers une première médaille d'or
00:49:36sur le Super G.
00:49:38Le prochain Français à s'élancer d'Aussard n°26,
00:49:40ce sera Mathieu Bellet.
00:49:42Allons l'écouter rapidement avec Franck Spiron.
00:49:44C'était tout à l'heure, après sa reconnaissance.
00:49:47Mathieu, quelle est la particularité
00:49:49d'avoir toujours des casques de folie ?
00:49:51Tu peux nous présenter celui-ci ?
00:49:53La particularité, c'est de se faire un vrai kiff.
00:49:55Et cette année, c'est la première fois
00:49:57pour les championnats du monde.
00:49:59C'est le meilleur moment pour représenter la France.
00:50:01J'avais à cœur de porter avec moi
00:50:03un symbole important de notre pays.
00:50:05Et du coup, on a porté Notre-Dame.
00:50:07Mais aussi avec des couleurs,
00:50:09car c'est important.
00:50:11C'est un casque rempli de couleurs,
00:50:13d'histoire et d'énergie
00:50:15pour ces beaux championnats du monde.
00:50:17Parfait, merci.
00:50:19Magnifique anecdote.
00:50:21On espère que ça va lui porter chance.
00:50:23Jean-Baptiste, Adrien, d'Aussard 26,
00:50:25Mathieu, Belay.
00:50:27Il restera Nils, Alphand, d'Aussard 31.
00:50:29Côté équipe de France également.
00:50:31On les attend, nos deux Français.
00:50:33Parce que la concurrence
00:50:35a frappé très fort
00:50:37avec l'extraterrestre Audermatt.
00:50:39Qui, on le rappelle, domine le géant,
00:50:41la descente, le Super-G,
00:50:43le classement général, champion du monde de géant,
00:50:45champion du monde de descente, champion olympique.
00:50:47Et désormais, en train de prendre
00:50:49son premier titre de champion du monde de Super-G.
00:50:51J'ai dû prendre 2-3 fois ma respiration
00:50:53pour dresser le palmarès de Marco Audermatt.
00:50:55Quelque chose me dit que ce n'est pas fini.
00:50:57Et que ça peut être les championnats du monde
00:50:59non pas de Salbar, mais d'Audermatt.
00:51:03En tout cas, c'est bien parti.
00:51:05Mais après, il y a un podium qui est loin.
00:51:07Il y a une deuxième, une troisième place
00:51:09qui sont loin.
00:51:11Alors évidemment, c'est très optimiste
00:51:13d'envisager...
00:51:15Mais il faut l'être aussi un petit peu.
00:51:17Après, il y a quand même
00:51:19ce deuxième qui a une seconde.
00:51:21Donc, on peut se dire qu'il y a de la place
00:51:23après avoir aussi l'évolution de la piste.
00:51:25Est-ce que c'est encore
00:51:27possible de rentrer
00:51:29sous la seconde ?
00:51:31Ça tape un petit peu plus, on l'a dit,
00:51:33au fur et à mesure des concurrents.
00:51:37On a quand même beaucoup de coureurs
00:51:39qui sont arrivés autour des deux secondes.
00:51:43On a envie de continuer d'y croire.
00:51:45C'est certain.
00:51:47Il a signé son premier top 10
00:51:49en descente à Kitzbühel.
00:51:51Mais là, il va être loin.
00:51:53Notre ami Félix Monsen, en attendant
00:51:55le passage de Simon Zoscher,
00:51:57l'allemand skieur de Garmisch.
00:51:59Ce sont des bons souvenirs, Jean-Baptiste Garmisch.
00:52:01Exactement.
00:52:03Garmisch,
00:52:05l'équipe d'Allemagne
00:52:07qui ont peu de skieurs
00:52:09sur les disciplines de vitesse.
00:52:11Garmisch, lieu de votre sacre
00:52:13en 2011.
00:52:15Pour préciser à ceux qui ne connaissent pas,
00:52:17le palmarès Simon,
00:52:19c'est de Jean-Baptiste Grange.
00:52:21En plus d'être consultant à la chaîne,
00:52:23l'équipe est votre première fonction.
00:52:25Garmisch, c'est aussi des Félix Neurothert,
00:52:27le skieur allemand qui vient de là-bas,
00:52:29Maria Rich.
00:52:31Il y a eu pas mal de grands noms du ski
00:52:33qui étaient licenciés au club de Garmisch.
00:52:37Dans deux dotations de ski
00:52:39autour de Mathieu Beyle.
00:52:41Et son casque Notre-Dame.
00:52:45Mathieu,
00:52:47qui lui aussi a les armes
00:52:49pour aller vite.
00:52:51Est-ce qu'il va arriver
00:52:53à tout mettre en place aujourd'hui ?
00:52:55C'est aussi un skieur
00:52:57qui peut souvent être très rapide
00:52:59et qui commet des grosses erreurs.
00:53:01Il prend des risques.
00:53:11On aura aussi Myaro Bat,
00:53:13le prochain concurrent à s'élancer.
00:53:15On le suivra également.
00:53:17Il fait des très belles choses
00:53:19en début de saison.
00:53:21C'est peut-être surtout en descente
00:53:23qu'on attendra.
00:53:25Il est troisième de la descente.
00:53:27C'est loin encore une fois.
00:53:29On attend Mathieu Beyle.
00:53:31Le niçois qui va s'élancer,
00:53:33Issa Nissa.
00:53:35Avant le passage de Mathieu Beyle.
00:53:37Dans quelques instants,
00:53:39il y a un skieur.
00:53:41Ensuite, Mathieu Beyle s'élancera.
00:53:43De 131, ce sera Niels Salfan.
00:53:47Pour les deux derniers Français du jour
00:53:49dans ce superjet de Stalbach.
00:53:53Compliqué forcément la saison
00:53:55de Mathieu Beyle.
00:53:57La saison du descendeur
00:53:59n'a pas été sélectionnée
00:54:01sur la descente hier.
00:54:03Il s'est un peu loupé sur l'entraînement.
00:54:05On a dit qu'il commet des grosses erreurs.
00:54:07C'est ce qui s'est passé hier.
00:54:11Mathieu a montré
00:54:13notamment en début de saison
00:54:15à Bivercreek qu'il était ultra rapide
00:54:17avant de sortir sur le bas de parcours.
00:54:25Regardez-le, lui.
00:54:27Le champion.
00:54:29En pleine préparation, Mathieu Beyle.
00:54:31En attendant, Mira Robat va s'élancer.
00:54:33Le Sloven.
00:54:35Et juste après, ce sera dans la cabane de départ.
00:54:37Mister Beyle.
00:54:41Je pense qu'ils vont nous zapper
00:54:43le haut du parcours.
00:54:45Les intervalles sont réduits.
00:54:473 dixièmes, c'est bien.
00:54:49Attention !
00:54:51C'est dommage, il avait pas mal de vitesse.
00:54:53Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas vu un concurrent.
00:54:55Il se trompe sur cette porte cachée.
00:54:59Il a pris tous les risques
00:55:01de sortir de ce dévers.
00:55:03On parle de ces portes cachées.
00:55:05L'importance de la reconnaissance.
00:55:07D'avoir la bonne ligne.
00:55:09D'être sûr dans ses choix.
00:55:11Un peu trop d'engagement.
00:55:13Peut-être un peu moins de lucidité.
00:55:15Le Sloven.
00:55:19Allez, Mathieu !
00:55:21A ton tour, Mathieu Beyle.
00:55:25On risque de le voir depuis le haut.
00:55:27Mathieu.
00:55:31En pleine préparation.
00:55:33On va vivre les derniers instants.
00:55:35Avant le départ du Niçois.
00:55:49Mathieu Beyle.
00:55:57Allez, Mathieu !
00:55:59Allez, Mathieu Beyle, le départ.
00:56:01Pris par le Français.
00:56:03Pour rentrer tout de suite dans sa course.
00:56:05Oser dans ce mur.
00:56:07D'entrée de jeu.
00:56:09Prend de gros risques.
00:56:13C'est correct.
00:56:15C'est bien.
00:56:17C'est bien.
00:56:19C'est bien.
00:56:21C'est bien.
00:56:23C'est bien.
00:56:25C'est correct.
00:56:27A deux dixièmes.
00:56:29C'est pas la partie
00:56:31où Mathieu sera le meilleur.
00:56:33C'est certain.
00:56:35Par contre, là, il faut vraiment
00:56:37remettre des intentions, de l'intensité.
00:56:39Prendre des risques.
00:56:43Rentrer très intérieur ici.
00:56:45Neuf dixièmes.
00:56:47Ça fait déjà beaucoup.
00:56:49Ça fait beaucoup.
00:56:51Malheureusement.
00:56:53Par contre, c'est plutôt sorti.
00:56:55Il est plutôt sorti assez juste. 115 kmh.
00:56:57Pour la vitesse.
00:56:59Attention, là.
00:57:01La même erreur.
00:57:03La même erreur.
00:57:05Il est énervé, là.
00:57:09La même erreur que Miyarobat.
00:57:11Le Slovéne, juste avant lui.
00:57:13Il n'aura pas d'exploit.
00:57:15C'est marrant. Cette porte, jusque-là,
00:57:17n'est pas forcément trop posée de problèmes.
00:57:19Là, ça fait deux concurrents qui font la même erreur.
00:57:21D'affilée.
00:57:25Et donc, ça sera au tour de Nils Alphand.
00:57:27Pour le prochain Français
00:57:29dans cinq dossards.
00:57:33Dernier bleu à s'élancer aujourd'hui.
00:57:35Pour l'instant, le meilleur résultat d'un Français.
00:57:37Malheureusement, il fallait chercher la treizième place
00:57:39de Florian Lorient.
00:57:41On a vu Luc Alphand.
00:57:43Le papa de Nils.
00:57:45A mon avis, ils vont nous le remontrer tout à l'heure.
00:57:47Juste avant le passage de Nils.
00:57:49Lucho.
00:57:59Jan Sabistran.
00:58:01Le Tchèque.
00:58:03Qui avait des résultats en combiné.
00:58:05Un peu moins en Super-G.
00:58:07Un peu moins en vitesse. Un peu moins en descente.
00:58:09Les Tchèques qui ont toujours eu
00:58:11quelques coureurs sur la Coupe du Monde.
00:58:19Et la vue du drone.
00:58:21Neuf centièmes.
00:58:23Il a découpé ce premier mur.
00:58:33Ça va être intéressant
00:58:35de voir au prochain inter.
00:58:41Sept dixièmes.
00:58:49La porte cachée.
00:59:01Ça enchaîne bien pour l'instant.
00:59:05Ça a aussi baissé d'un ton par rapport au tout meilleur.
00:59:13Il a pris beaucoup de marge ici.
00:59:19Il y a beaucoup de retard.
00:59:21On va prendre ce temps justement
00:59:23pour aller retrouver Nils Alphand.
00:59:25C'était tout à l'heure en interview
00:59:27au micro de Franck Spierron
00:59:29avec Charlie Fort-Bonsoro.
00:59:31C'était juste après la reconnaissance.
00:59:33Lui qui va se lancer avec le dossard numéro 31.
00:59:39Tracer.
00:59:41Il va falloir s'engager.
00:59:43Être intelligent sur les points clés.
00:59:45On va essayer d'en profiter.
00:59:47Tu peux nous dire dans quel état
00:59:49tu te mets dans ta tête ?
00:59:51On est encore loin du départ.
00:59:53On se concentre juste sur les points clés
00:59:55qu'on a vu à la reconnaissance.
00:59:57On se remet bientôt en tête
00:59:59pour pouvoir se le refaire
01:00:01durant la matinée.
01:00:03D'ici le départ, ça va être quoi pour toi ?
01:00:05Je vais remonter, me poser un petit peu.
01:00:07Je vais me changer.
01:00:09Après je vais aller faire des pistes d'échauffement
01:00:11sous berger.
01:00:13Je vais regarder les premiers concurrents
01:00:15et je vais montrer petit à petit au départ
01:00:17pour me préparer.
01:00:19Fais-nous rêver !
01:00:25En décontraction.
01:00:27Il était bien.
01:00:29Il n'est même pas encore parti.
01:00:31C'est vrai que lui a beaucoup de temps.
01:00:33Il le disait.
01:00:35Il va faire son échauffement
01:00:37après la reconnaissance.
01:00:39Il va avoir encore du temps après
01:00:41pour se préparer.
01:00:43Il va remonter en température petit à petit.
01:00:45Il a été champion du monde de super-drift.
01:00:47C'était dans un autre temps.
01:00:49En 2011, en même temps que vous, JB ?
01:00:51Oui, c'est aussi un skieur de 84.
01:00:53Stephine Ruffer,
01:00:55tout comme Adrien Théo
01:00:57qu'on retrouvera sur la descente.
01:00:59Il y a plus de skieurs âgés en vitesse ?
01:01:01Un petit peu plus,
01:01:03mais il y en a aussi en technique.
01:01:05C'est sûr que ça fait
01:01:07une paire d'années
01:01:09qu'il est sur le circuit.
01:01:11Il a été vice-champion olympique
01:01:13du côté de Sochi.
01:01:15Il a décroché une médaille de bronze
01:01:17dans le Super Combiné.
01:01:19Il en a eu des médailles, des titres,
01:01:21mais il est encore là.
01:01:23Il avait fini 12e
01:01:25lors du Superjet Kids Bowl récemment.
01:01:27C'est sûr que ça devient plus difficile
01:01:29à 40 ans passés.
01:01:33En tout cas, chapeau à lui.
01:01:35C'est bon.
01:01:37C'est le dernier saut à chaque fois.
01:01:3920e.
01:01:41Délicat pour les coureurs.
01:01:43Ça fait loin, ça fait cher quand même.
01:01:47Regardez, ça c'est la caméra
01:01:49de Charlie Courant
01:01:51qui capte un peu les familles
01:01:53qui se baladent dans les coulisses.
01:01:55Et il a qui ? Il a le papa de Nils Alfand,
01:01:57Luc Alfand, présent
01:01:59dans l'air d'arriver
01:02:01pour suivre le passage de son fils.
01:02:03On a beau avoir gagné
01:02:05et on a beau avoir un gros palmarès.
01:02:07Quand il y a le petit rejeton qui passe
01:02:09dans le portillon de départ,
01:02:11ça doit faire un certain stress.
01:02:13Quand on est parent,
01:02:15on est aussi spectateur.
01:02:17Et c'est toujours plus difficile
01:02:19d'être dans la peau du spectateur,
01:02:21d'un proche.
01:02:23On est en dehors de la course.
01:02:25On subit que le stress finalement.
01:02:27On voit comme tout le monde à la télé
01:02:29le chrono qui défile.
01:02:31C'est un stress passif.
01:02:33Romet Beaumane,
01:02:35c'est un Allemand
01:02:37mais qui a couru sous la nationalité autrichienne
01:02:39parce qu'il est Autrichien de base.
01:02:41On l'a vu rendre à Chamdig à domicile
01:02:43lors de ses derniers championnats du monde
01:02:45disputés en Autriche en 2013.
01:02:47Puis derrière, il a pris la nationalité allemande
01:02:49une fois qu'il n'avait plus sa place en équipe d'Autriche.
01:02:51Et il a été vice-champion du monde
01:02:53de Super-G à Cortina.
01:02:55Romet Beaumane,
01:02:57que j'ai côtoyé très tôt dans ma carrière.
01:02:59C'était un super skieur
01:03:01qui a fait des podiums en combiné.
01:03:03Il était même présent à Slalom
01:03:05au tout début de sa carrière.
01:03:07C'était un skieur très complet.
01:03:09C'est sûr qu'il y a une concurrence
01:03:11énorme en équipe d'Autriche.
01:03:13À un moment, sa place était incertaine.
01:03:15Il a préféré faire le choix
01:03:17de passer du côté
01:03:19de l'équipe d'Allemagne, le pays voisin.
01:03:294 skieurs par nation sont sélectionnés.
01:03:31Donc quand vous avez une nation comme l'Autriche
01:03:33ou comme la Suisse, parfois, vous avez peut-être
01:03:354 des skieurs qui font partie du top 15 mondial.
01:03:37Oui, on prenait l'exemple
01:03:39des Norvégiens en Slalom l'autre jour.
01:03:41C'est vrai qu'ils ont quasiment
01:03:434 skieurs dans les 15 premiers mondiaux.
01:03:45Donc ça veut dire
01:03:47que si on est 17, 18, 20ème mondial,
01:03:49on ne participe pas
01:03:51aux championnats du monde.
01:03:59Ce qui va être sympa,
01:04:01c'est qu'on va l'équiper
01:04:03d'un micro du Calphan
01:04:05et qu'on pourra revivre
01:04:07la course de Niels Alphand
01:04:09tout à l'heure.
01:04:11Ça va être une super séquence
01:04:13avec son papa.
01:04:15C'est pour ça qu'on
01:04:17est là pour vivre ce genre de choses
01:04:19qui étaient stressées.
01:04:21On vous offre ce genre de dispositif
01:04:23en attendant River Adamus.
01:04:25Et après, ce sera au tour de Niels Alphand,
01:04:27qui est un géantiste.
01:04:29Cette première partie,
01:04:31c'était pour lui.
01:04:33Est-ce qu'il peut nous enflammer ?
01:04:35River Adamus, le géantiste.
01:04:37Plutôt pas mal.
01:04:39Il va peut-être pêcher
01:04:41un peu sur les parties plus faciles.
01:04:457 dixièmes,
01:04:47c'est plutôt correct.
01:04:49Il est là sans grande prétention,
01:04:51je pense.
01:04:53Ça lui permet de rentrer
01:04:55dans ses champions du monde.
01:04:57Lui qui combat
01:04:59peut-être le Team Event,
01:05:01mais le géant.
01:05:13Bolly ballon.
01:05:15River Adamus.
01:05:17Et c'est Irsted,
01:05:19toujours 3ème.
01:05:21Il est 16ème seulement
01:05:23de la discipline cette année.
01:05:25Son dernier podium en Coupe du monde,
01:05:27c'était il y a 4 ans.
01:05:29C'est ce genre d'histoire.
01:05:31Il y a toujours ça.
01:05:39Prochain départ,
01:05:41ce sera un Français.
01:05:43Niels Alphand, dernier Français
01:05:45dominé de la tête et des épaules
01:05:47par Marco Odormatt.
01:05:53Et les Autrichiens,
01:05:55qui sont 2-4-6.
01:05:57Ils ont placé un sur le podium.
01:06:05Pour l'instant, c'est le roi Marco Odormatt
01:06:07qui est en train de décrocher
01:06:09sa première médaille d'or
01:06:11sur ce format du Super G.
01:06:13Pour le tripler avec la descente
01:06:15et le géant, il avait réussi d'ailleurs
01:06:17le doublé descente-géant en 2023.
01:06:19Il se prépare à vivre un grand moment.
01:06:21Niels Alphand, 28 ans,
01:06:23et son papa qui est là pour vivre cette course
01:06:25intensément avec lui.
01:06:27C'est pas si simple d'être le fils d'un champion,
01:06:29mais il s'est affranchi de ça,
01:06:31Niels Alphand,
01:06:33avant d'espérer réussir quelque chose aujourd'hui.
01:06:37C'est jamais évident.
01:06:39Je me souviens de Félix Neurothert
01:06:41son père, champion du monde Christian Neurothert
01:06:43et surtout sa mère, Rosie Mittermeyer
01:06:45qui a gagné le gros globe de cristal
01:06:47championne olympique.
01:06:51Il faut s'affranchir de ça.
01:06:53Niels qui commence à avoir roulé
01:06:55un petit peu sa bosse dans le milieu.
01:06:57Il a pris de la maturité.
01:07:03Luc, c'était mon idole de jeunesse.
01:07:07Voir ses enfants courir,
01:07:11et sur la lignée de leur père,
01:07:17on voit qu'il a du stress.
01:07:23Il est plus stressé qu'avant de prendre le départ du Dakar.
01:07:25Peut-être bien, oui.
01:07:27C'est ce que j'expliquais.
01:07:29C'est vrai que le stress passif
01:07:31quand on ne maîtrise rien...
01:07:35Il vient de vous remercier, Jean-Baptiste.
01:07:37Lui aussi, c'est mon idole.
01:07:41Pourquoi c'était votre idole, Jean-Baptiste ?
01:07:43Niels va partir dans un instant.
01:07:45On est d'abord sur la course.
01:07:55Allez, Niels !
01:08:01Il a montré des belles choses
01:08:03sur les entraînements descentes.
01:08:05Tout de suite rentré à fond dedans.
01:08:07C'est plutôt pas mal.
01:08:09Trois dixièmes.
01:08:11Attention à ne pas finir trop vite ces virages.
01:08:13Il faut vraiment remplir les espaces avancés.
01:08:15Allonger la courbe.
01:08:19Oh non !
01:08:21Le manqué de Niels Alfons.
01:08:23Les Français ne sont vraiment pas
01:08:25à la fête en vitesse pour le moment.
01:08:27Ce groupe a souffert.
01:08:29C'est difficile
01:08:31quand on n'a plus les leaders devant.
01:08:33C'est la vie.
01:08:35C'est assez vite terminé.
01:08:37Mais il y aura une autre chance
01:08:39dimanche pour Niels.
01:08:45Il y a de la frustration
01:08:47pour nos Français
01:08:49qui terminent malheureusement mal
01:08:51cette journée de Super G.
01:08:53On voit les images.
01:08:55C'est vraiment une portion.
01:08:57On a vu certains coureurs
01:08:59qui ne savaient plus trop quoi faire
01:09:01sur ce pif-paf.
01:09:03Il y a des courbes qui vont
01:09:05beaucoup plus droit.
01:09:07Je pense que Niels s'est dit
01:09:09qu'il fallait vraiment qu'il
01:09:11arrive à lâcher ses skis.
01:09:13Malheureusement un petit peu trop.
01:09:21Le passage maintenant.
01:09:27Daniel Netto, le Finlandais.
01:09:2924 ans.
01:09:3135 départs en Coupe du Monde.
01:09:33C'est son 3ème Mondial.
01:09:37Pour répondre à la question de Metz,
01:09:39c'est vrai que Luc,
01:09:41quand il était au sommet de son art,
01:09:43j'avais 11, 12, 13 ans.
01:09:45C'est vraiment des âges
01:09:47où on regarde le ski à la télé.
01:09:49C'est ces grands champions
01:09:51qui nous font rêver, qui nous donnent
01:09:53envie de faire du ski.
01:09:55Pour la petite histoire, mon parrain
01:09:57Martin était l'entraîneur
01:09:59de Luc Alphand.
01:10:01Ça a créé un lien
01:10:03fort avec lui.
01:10:13Daniel Netto,
01:10:15loin encore.
01:10:1761.
01:10:21Tous ces coureurs-là,
01:10:23quand on est dans les 15 premiers
01:10:25d'une course
01:10:27de Championnat du Monde,
01:10:29on marque des points pour la Coupe du Monde.
01:10:31Mais il faut vraiment être dans les 15 premiers.
01:10:33D'habitude, il faut être dans les 30 premiers
01:10:35d'une Coupe du Monde pour marquer des points.
01:10:37Sur les Championnats du Monde, c'est uniquement
01:10:39les 15 premiers qui vont marquer des points.
01:10:41Donc c'est vrai que là on a des coureurs
01:10:43qui peuvent aller grappiller quelques petits points
01:10:45pour la suite de la saison.
01:10:55Il va avec moi encore une fois.
01:10:59Eliane Letto.
01:11:07Marco Odormatte, donc...
01:11:09Vous pouvez le dire ou pas ?
01:11:11Je pense que c'est clair.
01:11:13Et Champion du Monde du Super-G.
01:11:15Sauf cataclysme !
01:11:17Sauf fusée sur les skis
01:11:19d'une grosse surprise.
01:11:21Marco Odormatte, donc,
01:11:23il arrive encore à créer la sensation
01:11:25l'extraterrestre du ski.
01:11:33C'est absolument incroyable
01:11:35quand on est attendu
01:11:37à la première place.
01:11:39Parce que si Marco Odormatte
01:11:41faisait deuxième ou troisième,
01:11:43sa course n'était pas totalement réussie.
01:11:45On attendait de lui qu'il écrase cette course
01:11:47et c'est ce qu'il a fait.
01:11:53Il est encore là.
01:12:07Riley Seger, le Canadien.
01:12:09Dixième à Aspen.
01:12:11Son meilleur résultat en Super-G en 2023.
01:12:13C'est ces jeunes coureurs
01:12:15qui participent à leur première championnat du monde.
01:12:17Et qui restent loin encore une fois
01:12:19du podium
01:12:21et des belles places.
01:12:23Martin Cater.
01:12:47Ensuite, ce sera le tour de Martin Cater.
01:12:49Alors lui, il n'est pas tout jeune.
01:12:51Il a fait la prise de la descente en 2020 à Val d'Isère.
01:12:53Le Stoven.
01:12:59Et ensuite, on aura le passage d'un Chilien.
01:13:01C'est là qu'on voit aussi parfois les nationalités
01:13:03qui peuvent nous offrir cette championnat du monde.
01:13:21Martin Cater qui a eu un...
01:13:23Malheureusement, il est sorti de piste.
01:13:25Mais qui a eu de très belles années
01:13:27à haut niveau.
01:13:33Et ça s'arrête vite pour Martin Cater.
01:13:35À l'image de Mathieu Bellet tout à l'heure.
01:13:37Et de Nils Salfon.
01:13:47Allez, Henrik von Appen.
01:13:49Chilien.
01:13:51Grande famille de...
01:13:53De sportifs.
01:13:55Son cousin était skieur alpin olympique.
01:13:57Et sa cousine, Nadja Erfitz, a participé aux épreuves
01:13:59de voile olympique avec le Chili.
01:14:03Ça fait pas mal d'années qu'on le voit.
01:14:05On voit son nom.
01:14:07Et on le rappelle.
01:14:09Une grosse partie des skieurs
01:14:11vont s'entraîner en Argentine et au Chili
01:14:13l'été.
01:14:15Puisque c'est l'hiver.
01:14:19Quasiment toutes les équipes...
01:14:21Beaucoup des équipes de vitesse
01:14:23se rendent au Chili
01:14:25pour les entraînements.
01:14:27Ciro Castor, par exemple.
01:14:29Ciro Castor, c'est Argentine.
01:14:31Donc là, c'est plutôt les techniciens
01:14:33qui vont s'entraîner là-bas.
01:14:35Et on en a aussi qui vont s'entraîner
01:14:37en Nouvelle-Zélande.
01:14:41Le skieur voyage l'été
01:14:43pour aller là où il y a la neige.
01:14:45Là où c'est l'hiver.
01:14:49Et juste après, on aura
01:14:51Tiziano Gravier.
01:14:53L'Argentin, voilà.
01:14:55Un nom qu'on connaît par chez nous.
01:14:57On parle de l'Amérique du Sud.
01:14:59Il a un peu de sang moriennais.
01:15:01De Valsenie.
01:15:09C'est un skieur qui va
01:15:11s'entraîner en Nouvelle-Zélande.
01:15:13C'est un skieur qui va s'entraîner
01:15:15en Nouvelle-Zélande.
01:15:17C'est un cousin.
01:15:19Pas à moi.
01:15:21À France,
01:15:23c'est avec Mathieu Bellet.
01:15:25C'est du direct.
01:15:29Mathieu, quel sourire
01:15:31malgré la déception.
01:15:33Raconte-nous ce qui s'est passé
01:15:35sur ton erreur.
01:15:37Le sourire, c'est un sourire jeune.
01:15:39C'est un rire nerveux.
01:15:41Qu'est-ce qui s'est passé ?
01:15:43J'ai raté une porte.
01:15:45Les intentions étaient bonnes.
01:15:47Le skate n'était pas mauvais.
01:15:49J'ai regardé mes intermédiaires.
01:15:51Ce n'était pas la folie non plus.
01:15:53Le premier regret, c'est que c'était excellent.
01:15:55Une grosse frustration de ne pas
01:15:57avoir pu m'exprimer jusqu'à la fin.
01:15:59J'ai besoin de construire sur des résultats
01:16:01pas forcément des goûts de folie
01:16:03mais sur des résultats solides.
01:16:05Ça commence à être dur.
01:16:07Les analyses sont faites.
01:16:09Elles sont hyper objectives à chaque fois.
01:16:11On sait que ce n'est pas loin.
01:16:13On sait qu'il y a plus de bonnes choses
01:16:15que de mauvaises choses.
01:16:17Malheureusement, on est jugé.
01:16:19Le juge de paix, c'est que le résultat final.
01:16:21Aujourd'hui, c'est une sortie de piste.
01:16:23Ça commence à être dur.
01:16:25Tu n'es pas qualifié pour la descente.
01:16:27Ça s'est joué hier.
01:16:29C'est hyper décevant pour toi ?
01:16:31Hyper décevant, c'est dur.
01:16:33C'est hyper frustrant.
01:16:35C'est les courses d'un jour.
01:16:37Ici, tout peut se retourner.
01:16:39C'est une saison pas facile.
01:16:41J'avais à coeur d'attaquer fort.
01:16:43Je ne passe pas loin de gros résultats.
01:16:45Derrière, le doute s'insale un peu.
01:16:47Le ski est toujours là
01:16:49mais avec des approximations.
01:16:51Je manque un peu de réussite.
01:16:53Ça commence à faire beaucoup
01:16:55au niveau sportif.
01:16:57Après, tout va bien.
01:16:59Je ne réagis pas n'importe comment.
01:17:01Je ne prends pas des risques stupides
01:17:03comme je pouvais le faire à l'époque.
01:17:05Au bout d'un moment, on est dans un milieu
01:17:07où on est jugé que par nos résultats.
01:17:09Il y a beau avoir 80-90% de positif
01:17:11dans mon ski dans mes journées,
01:17:13comme hier,
01:17:15il y a une faute.
01:17:17Tout change
01:17:19à cause d'un virage.
01:17:21J'ai hâte que ça tourne.
01:17:23Je ne lâche absolument rien.
01:17:25J'ai une chance extraordinaire
01:17:27d'avoir des gens et des partenaires
01:17:29autour de moi.
01:17:31C'est un peu dur pour ça aussi
01:17:33parce que c'est dur de renvoyer
01:17:35l'ascenseur dans ces conditions.
01:17:37On lui souhaite que ça tourne
01:17:39du bon côté.
01:17:41C'était dur pour Mathieu Bellet.
01:17:43Le meilleur Français, c'est Florian Lauriau
01:17:45qu'on écoutera avec Nils Alfand.
01:17:47On découvrira cette séquence
01:17:49où c'était dur pour Luc Alfand.
01:17:51Le papa de Nils qui est là
01:17:53et l'idole de votre jeunesse.
01:17:55On va au bout
01:17:57de ce dossard.
01:17:59Ensuite, on marquera une courte pause
01:18:01avant de vivre la célébration
01:18:03pour Marco Odormatt
01:18:05devant le ski de Bosse aux Etats-Unis.
01:18:07On est à Deer Valley,
01:18:09lieu des Jeux Olympiques de Salt Lake City
01:18:11en 2002 avec Péril Laffont
01:18:13et Ben Cavey notamment.
01:18:15Et les écarts Jean-Baptiste ?
01:18:17Quand on est au-delà des 3 secondes,
01:18:19on rentre dans
01:18:21des gros écarts.
01:18:23C'est certain que
01:18:25le niveau est vraiment
01:18:27descendu d'un cran.
01:18:29Je dirais que ça s'est plutôt maintenu
01:18:31jusqu'aux alentours du dossard
01:18:33numéro 20.
01:18:35Après, on rentre sur des couloirs
01:18:37qui vont moins vite.
01:18:39On ajoute à cela que la piste
01:18:41se dégrane un tout petit peu.
01:18:43Forcément, il y a des écarts importants.
01:18:45Toutes les réactions sur les coulisses.
01:18:47La célébration de Marco Odormatt
01:18:49avec ses supporters et puis un Autrichien
01:18:51qui est mélaillé d'argent,
01:18:53Raphaël Hasseur. Ça veut dire que ce sera la folie
01:18:55du côté de Salbar pour ce super
01:18:57G-home avant de filer aux Etats-Unis
01:18:59pour le ski freestyle, le ski de Bosse
01:19:01et puis la troisième étape de l'étoile
01:19:03de Bessèges également au programme. A tout de suite.
01:19:09Il répond déjà
01:19:11aux interviews qui sont nombreuses.
01:19:13La star Marco Odormatt qui va décrocher
01:19:15dans les minutes qui viennent. Ce n'est pas encore officiel
01:19:17parce qu'il reste encore quelques dossards
01:19:19mais aucun danger a priori pour Marco Odormatt
01:19:21qui va décrocher la médaille
01:19:23d'or sur ce super G.
01:19:25C'est sa première médaille mondiale
01:19:27sur ce format. Lui qui avait décroché
01:19:29le doublé descente et géant en 2023.
01:19:31Il vise le triplé et pour l'instant
01:19:33il est bien parti. Et ce ne sont pas les derniers dossards
01:19:35a priori Jean-Baptiste et Adrien
01:19:37qui vont lui poser soucis. Regardez
01:19:39l'Allemand
01:19:41Voigt qui...
01:19:43D'ailleurs c'est assez rare sur ce format
01:19:45Jean-Baptiste de voir des gamelles
01:19:47de cette hauteur-là quand même.
01:19:51Un dernier saut qui n'est vraiment
01:19:53pas simple à négocier.
01:19:55On a eu pas mal de coureurs
01:19:57qui se sont fait un peu désarçonner en l'air.
01:20:01C'est toujours des chutes
01:20:03qui sont spectaculaires quand on est à 100km.
01:20:07Et il ne s'est pas fait mal, c'est le principal.
01:20:09L'Allemand après cette chute.
01:20:11Ce genre de chute ça permet de mesurer
01:20:13à quel point les autres sont
01:20:15d'un niveau assez exceptionnel.
01:20:17Le super G, on va aller jusqu'au bout
01:20:19vivre la célébration, le podium
01:20:21la remise de la médaille évidemment
01:20:23la remise des médailles. Il y a un Autrichien
01:20:25qui occupe la deuxième place.
01:20:27Les derniers d'Aussard, Adrien
01:20:29on va les surveiller avec vous et Jean-Baptiste.
01:20:31On va aller écouter Florian Lauriau
01:20:33avant de filer aux Etats-Unis, à Salt Lake City
01:20:35d'Irevalais, plus précisément pour le ski de Bosse
01:20:37avec Ben Cavet et Perrine Lafourme.
01:20:39Allons écouter le meilleur Français du jour
01:20:41Florian Lauriau avec Franck Spiron, c'était il y a quelques minutes.
01:20:45Florent, raconte-nous comment ça s'est passé.
01:20:47On a l'impression que tout le monde s'est un peu secoué sur cette piste.
01:20:49C'est une piste
01:20:51qui est quand même top, mine de rien.
01:20:53Pour moi, j'ai l'impression de faire une bonne manche
01:20:55je pense que dans tous les cas, c'est une bonne manche.
01:20:57Après, il y a des extraterrestres devant
01:20:59ils ont fait des super manches
01:21:01donc tant mieux.
01:21:03J'avais à cœur de me livrer à 100%.
01:21:05Je pense que c'est chose faite.
01:21:07Je ne vais pas refaire ma course.
01:21:09Je suis content du résultat, on verra à la fin.
01:21:11On parle d'extraterrestres, tu as vu ce que nous fait Marco Audermath
01:21:13on a l'impression que vous ne faites pas le même sport que lui.
01:21:15Oui, je pense qu'il est
01:21:17surtout très en confiance
01:21:19et il le montre encore aujourd'hui.
01:21:21C'est le jour de la course
01:21:23et c'est quelqu'un qui arrive
01:21:25à faire les choses à 100%.
01:21:27Nous, on les fait aussi, mais je pense qu'il faut
01:21:29prendre le temps d'empiler les assiettes
01:21:31comme on dit, et l'objectif, ce sera un jour
01:21:33d'être à sa place.
01:21:37Florian Lauriot, 13ème provisoire
01:21:39et qui rêve grâce à Marco Audermath.
01:21:41D'ailleurs, pourquoi il est sur une autre planète,
01:21:43Jean-Baptiste, rapidement ?
01:21:47Il y a des athlètes comme ça qui sont au-dessus
01:21:49comme je le disais tout à l'heure,
01:21:51il y a eu des Hirschers,
01:21:53il y a eu chez les filles des Vosnes, des Chiffrines
01:21:55qui se tient encore.
01:21:57Et Marco,
01:21:59il est capable
01:22:01de tout mettre bien en place le jour J,
01:22:03de répondre
01:22:05présent, mentalement,
01:22:07de prendre des risques quand il faut prendre des risques
01:22:09et je dirais que là,
01:22:11son super G,
01:22:13il est juste parfait.
01:22:15Il a eu la bonne dose de prise de risque,
01:22:17il ne s'est jamais mis en danger,
01:22:19c'était juste
01:22:21parfait techniquement.
01:22:23Ce qu'on oublie, c'est quand même que techniquement,
01:22:25c'est un skieur qui est un peu au-dessus des autres,
01:22:27il fait des choses que les autres skieurs ne font pas.
01:22:29Je prends l'exemple aussi de Clément Noël
01:22:31en slalom, c'est deux skieurs
01:22:33de la même année d'âge, et quand ils sont
01:22:35arrivés sur le circuit, ils faisaient
01:22:37un truc que les autres ne faisaient pas.
01:22:39Donc c'est vrai qu'à partir de là, tu as déjà un petit avantage.
01:22:41Suite Caroline,
01:22:43qui est retentive, vous connaissez ça en biathlon,
01:22:45c'est le ski alpin, c'est pareil.
01:22:47Les championnats du monde de biathlon, ce sera du 12
01:22:49au 23 février, donc en partie.
01:22:51En même temps que ces championnats du monde de ski alpin,
01:22:53on surveille encore une fois les derniers
01:22:55dossards, c'est pour la forme,
01:22:57avant de pouvoir déclarer officiellement Marco Odormatt
01:22:59champion du monde du super G,
01:23:01le deuxième, il est autrichien,
01:23:03Raphaël Hasseur, là aussi on le retrouve avec
01:23:05Franck Spian.
01:23:09Est-ce que vous aviez déjà
01:23:11vécu un truc comme ça
01:23:13avec une foule de dingues à domicile ?
01:23:15Non, franchement, c'est la première fois.
01:23:17Comment ça fait ? Qu'est-ce que ça fait ?
01:23:23Franchement, peut-être à Kitzbühel, il y a une ou deux semaines,
01:23:25mais franchement, je n'avais rien vu de tel et c'est incroyable.
01:23:29Vous pensez quoi de cette deuxième place ?
01:23:31Franchement, je suis hyper fier de moi.
01:23:33Imaginez-vous, c'est à domicile,
01:23:35c'est toujours spécial, c'est la salle Bach.
01:23:39C'est extraordinaire. Merci beaucoup.
01:23:43C'est amazing quand on est juste derrière Marco Odormatt
01:23:45à domicile, mêlée d'argent
01:23:47à venir pour Raphaël Hasseur.
01:23:49Le troisième, il est norvégien,
01:23:51Adrian Seierstedt.
01:23:53C'est aussi simple que ça.
01:23:55Dossard numéro 1,
01:23:57il est sur le podium
01:23:59également. On va
01:24:01surveiller ce qui se passe toujours en direct
01:24:03avant d'aller à Deer Valley pour
01:24:05suivre les boss avec Péril Lafaux
01:24:07et Ben Cavey. Encore combien de
01:24:09Dossards, Adrian, avant de déclarer
01:24:11officiellement ? On est au Dossard numéro 42
01:24:13et il y en aura 62 aujourd'hui, donc il reste encore
01:24:1520 Dossards très précisément. La liste est beaucoup plus longue
01:24:17qu'hier dans le Superjet féminin.
01:24:21On va effectuer un détour par Deer Valley
01:24:23et retrouver Bertrand Plucheux
01:24:25pour le ski de boss avec
01:24:27Ben Cavey et Péril Lafaux. Ensuite,
01:24:29on revient à salle Bach pour
01:24:31la fin de ce Superjet et surtout le podium
01:24:33qui pourra démarrer dans quelques instants
01:24:35mais
01:24:37on respecte toujours chaque Dossard qui est en
01:24:39piste et on va jusqu'au bout, on laisse
01:24:41franchir la ligne d'arrivée et ensuite on va
01:24:43à Deer Valley.
01:24:45On ne sait jamais, la fusée sur les skis...
01:24:47On ne sait jamais, visiblement non.
01:24:49Rasmus
01:24:51a quand même un très bon
01:24:53géantiste
01:24:55à surveiller dans les prochains jours.
01:24:57Et avant cela,
01:24:59Marco Audormat également au micro de
01:25:01France Piranço sera dans quelques
01:25:03instants.
01:25:09Marco Audormat,
01:25:11méga star, médaille d'or
01:25:13de ce Superjet avec France Piranço.
01:25:17Marco, comment fais-tu
01:25:19des choses si faciles ? Tu ne voulais pas
01:25:21avoir de difficultés, tu fais tout simplement.
01:25:23Oui, merci.
01:25:25Ce n'est pas si simple
01:25:27comme ça a l'air aujourd'hui,
01:25:29mais quand tout
01:25:31s'est fait parfaitement,
01:25:33tout s'est déroulé
01:25:35exactement comme sur le plan
01:25:37et franchement, j'ai fait exactement
01:25:39ce que je voulais sur la piste.
01:25:41J'ai pu prendre confiance
01:25:43de plus en plus, de porte en porte
01:25:45et quand ça se passe comme ça,
01:25:47on peut pousser les limites.
01:25:49Mais vous allez gagner combien de titres
01:25:51dans ces mondiaux ?
01:25:53Franchement, déjà un, ça me suffit.
01:25:57Vous savez, j'ai maintenant
01:25:59des titres dans toutes les disciplines,
01:26:01mais c'est déjà incroyable.
01:26:03Merci.
01:26:07Il lui manquait ce titre mondial
01:26:09sur le Super G et il va pouvoir le savourer.
01:26:11Marco Audormat qui fait la tournée
01:26:13des médias et c'est long.
01:26:15Quand on a remporté, on sait qu'on a gagné la médaille d'or.
01:26:17Il faut attendre encore 20 dossards.
01:26:19Jean-Baptiste, vous avez vécu ça ou pas
01:26:21quand vous étiez devenu champion du monde ?
01:26:23Je l'ai vécu. Il y a une grosse tournée
01:26:25médiatique à faire, tout de suite
01:26:27en direct sur les chaînes TV.
01:26:29Après, ce n'est que du bonheur.
01:26:31Tu es champion du monde,
01:26:33on te pose des questions qui sont sympas.
01:26:35Après, on voit
01:26:37au micro de France,
01:26:39Marco est resté très succinct.
01:26:41Il ne s'est pas prononcé
01:26:43même sur la suite.
01:26:45Il fait le minimum syndicat.
01:26:47Sachant que lui, il lui attend
01:26:49le combiné homme peut-être, la descente
01:26:51en tout cas, ça c'est certain, et le géant ensuite.
01:26:53Il faut quand même garder un peu d'influence.
01:26:55Première médaille d'or pour Marco Audormat.
01:26:57Il va pouvoir la savourer et la célébrer
01:26:59le podium qui va démarrer dans quelques minutes.
01:27:01Ça nous laisse le temps d'aller cette fois-ci
01:27:03à Dirvalet avec Bertrand Pucheux.
01:27:05Les boss, ce sont les tout derniers d'Aussard
01:27:07qui n'ont pas de chance sauf miracle
01:27:09d'aller chercher une médaille.
01:27:11Ça veut dire qu'on peut aller à Dirvalet
01:27:13avant de revenir ici vivre le podium
01:27:15du côté de Salbar pour les Mondiaux.
01:27:17Bertrand Pucheux, on commence avec les garçons
01:27:19en étant en super finale
01:27:21du côté de Dirvalet.
01:27:23La finale d'abord avant les super finales
01:27:25pour Ben Cavet et ensuite ce sera
01:27:27Péry de Lafond.

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