Alors que l’OQTF de l’influenceur algérien Doualemn vient d'être annulée par la justice, Charlotte d'Ornellas se désole : «On passe encore un cran dans l'impuissance. Nous ne pouvons plus maîtriser qui rentre et qui sort en France».
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Oui, qui a importé un conflit algéro-algérien sur le territoire français, comme si on n'avait pas assez d'ennuis comme ça.
00:07Mais le plus fou dans cette histoire, initialement, c'est qu'il a quand même été rapatrié avec un passeport biométrique en sa possession.
00:13Il avait le passeport de son pays, parce que vous savez que l'énorme problème des OQTF, pour les appliquer, c'est d'obtenir le laissé-passer consulaire.
00:19Là, on n'en avait même pas besoin, on n'y arrive pas non plus, donc on passe encore un cran dans l'impuissance.
00:25Nous ne pouvons plus maîtriser qui rentre ou qui sort en France, de manière absolument évidente.
00:30Et même quand il y a, en effet, des poursuites...
00:33Et on ne peut pas l'expulser, et on lui enlève l'OQTF.
00:36Oui, mais là, ça va se faire sur un terrain d'argusties juridiques.
00:41Mais la question même du point de vue de la justice élémentaire due au peuple français sur cette question a disparu derrière les argusties juridiques.
00:48Comme, d'ailleurs, la justice tout court, bien souvent.