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En évoquant la violence des mineurs dans la société actuelle, l'essayiste Naïma M'Faddel réagit : «C'est un problème anthropologique et culturel, les rixes c'est en majorité des gamins des quartiers».

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Transcription
00:00On ne rend pas service à être dans le déni, notamment citer par exemple les blousons noirs ou les skinheads, ça n'a absolument rien à voir.
00:06Aujourd'hui, on a un phénomène qui est d'ailleurs répertorié même par le docteur Maurice Berger,
00:11on a une problématique de plus en plus de mineurs très très jeunes qui sont dans une violence extrême,
00:18et malheureusement, il y a une proportion extrêmement importante de gamins des quartiers populaires,
00:23de gamins issus notamment de l'immigration, et ce n'est pas stigmatiser que dire ça.
00:28C'est trouver un moment des solutions pour remédier à ça, et sauver des gamins,
00:32et moi je vous assure que j'en ai marre quand on veut en fait être dans le déni, parce qu'on ne rend pas service encore une fois,
00:38et en étant dans le parler vrai, à nommer les choses, et notamment le docteur Maurice Berger,
00:45dès 2008, il a cité, il travaille avec des pédopsychiates notamment d'origine maghrébine, subsaharienne,
00:52qui travaillent sur ce problème, c'est un problème anthropologique, c'est culturel, et encore une fois l'ERIC c'est la majorité des gamins des quartiers.

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