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Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Sébastien Tarrago, Gilles Verdez et Florian Gazan pour 1h30 de débats. Au sommaire ce 1er février 2025 :
- débrief Brest / PSG et fil rouge Monaco / AJA
- ⁠Dossier barrages LdC : Brest a-t-il ne serait ce qu'1% de chances ?
bilan nouvelle formule LdC : 100% concluant ou de la poudre aux yeux ?
A 20h les débats flash avec Carine Galli :
- Beye à Rennes : décision réfléchie ou risque inconsidéré ?
- Fonseca va-t-il réussir à qualifier l'OL en LdC ?
- Sans Wahi mais avec Gouiri, l'OM est il plus fort pour la fin de saison ?
- Neymar de retour à Santos. Un sursaut est il encore possible ou est ce la fin de sa carrière ?
Regardez On refait le match avec Philippe Sanfourche du 01 février 2025.

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00:00:0019h, 20h30, on refait le match sur RTL, présenté par Philippe Sanfourche.
00:00:16Bonsoir à tous, ravi de vous retrouver comme chaque samedi, c'est parti pour 4h30 de direct,
00:00:21d'analyse, de débat, de foot, plaisir sur RTL jusqu'à 23h avec tous les clubs qualifiés,
00:00:27encore qualifiés en Ligue des Champions qui sont sur le pont aujourd'hui, l'affiche du soir ce sera
00:00:32Lille-Saint-Etienne avec toute l'équipe d'RTL Foot dès 20h30, d'ici là on suivra bien évidemment
00:00:37Le Fil Rouge, Monaco, Agiossert, c'est parti depuis quelques instants, coup d'envoi 19h et
00:00:44puis évidemment Brest-PSG, le débrief dans un instant, la victoire du PSG, 5 buts à 2 ça promet,
00:00:50direction Francis Leblé avec Nicolas Georgerot. Du direct et de l'analyse, on refait le match avec
00:00:56le premier grand dossier Ligue des Champions, Brest-PSG encore une fois mais pour se projeter
00:01:01sur ce barrage à l'air tour, les Bretons ont-ils une infime chance de passer sur deux matchs,
00:01:06faut-il regretter que cette affiche n'ait pas lieu au Stade de France et puis Paris a-t-il
00:01:10changé de dimension pour devenir un des favoris à la victoire finale ? Quelques-unes des questions
00:01:15auxquelles nous tenterons de répondre dans Fait le match ce soir avec les chroniqueurs de la soirée,
00:01:22M. Sébastien Tarragot du groupe L'Equipe, bonsoir Sébastien, Gilles Vernez, l'éternel procureur
00:01:28dont on refait le match, bonsoir, salut Gilles et puis Florian Gazan, l'homme de tous les instants
00:01:34sur RTL, la matinale, le samedi soir, il est là, bonsoir à toutes et à tous. Le programme dont on
00:01:41refait le match ce soir, ce sera aussi la nouvelle formule de la Ligue des Champions, c'est le temps
00:01:46de tirer un peu des bilans, est-ce qu'elle est pleinement convaincante et puis moins drôle,
00:01:51les champs racistes ou homophobes, impossible à juger individuellement sur le plan pénal, ce combat
00:01:57dans les tribunes est-il perdu ? Les débats flash, ce sera à partir de 20h avec Karine Galli qui nous
00:02:03rejoindra, 4 thèmes, 4 débats, le novice Habib Bey, Arend pour éviter la relégation, décision réfléchie
00:02:08ou risque inconsidérée, Paolo Fonseca remplaçant de Pierre Sage, va-t-il réussir sa mission, qualifier
00:02:15l'Olympique Lyonnais en Ligue des Champions ? Sans Waihi mais avec Gouiri, l'OM est-il plus fort
00:02:20pour la fin de saison ? Enfin Neymar de retour à Santos au Brésil, le sursaut est-il encore possible
00:02:26ou est-ce la fin de carrière ? Voilà le programme, il est chargé, on est ensemble jusqu'à 20h30 avec
00:02:32Boris, c'est la réalisation, on refait le match, c'est parti !
00:02:36On refait le match ! Avant les frissons du Roudourou en Ligue des Champions, on reste sur la magie
00:02:43de Francis Leblé et de Nicolas Georgerot qui est notre homme de Brest cette semaine, il était
00:02:50évidemment à Guingamp pour le Réal, il est toujours à Leblé pour ce match face au PSG,
00:02:56salut Nicolas ! Bonsoir à tous ! Gâté Nicolas cette semaine quand même, il y a des buts,
00:03:02il y a du spectacle ! Oui c'est vrai, on a vu deux beaux matchs avec évidemment au milieu de
00:03:08semaine un Réal au-dessus et aujourd'hui quand même un match très spectaculaire entre Brestois
00:03:14et Parisiens, on verra ce que donneront les barrages donc aller-retour à partir du 11 février
00:03:20mais en tout cas deux équipes qui n'ont pas du tout calculé et c'est vrai que 5-2, triplé de Dembélé,
00:03:27le deuxième en quatre jours, le doublé de Ramos et puis ensuite, enfin auparavant,
00:03:33Del Castillo et Ajorque qui avaient marqué pour les Brestois mais on a vu cette équipe parisienne
00:03:38ce qu'elle dégage depuis maintenant un mois et demi, c'est-à-dire beaucoup de puissance,
00:03:43beaucoup de maîtrise notamment sur la fin de rencontre, ils sont très bien physiquement et
00:03:49voilà je regardais juste à l'instant les chiffres, il y a 14 tirs de part et d'autre, 14 tirs pour
00:03:55Brest, 14 tirs pour le PSG, 7 tirs cadrés, pareil mais par contre ça fait 5-2, le PSG a cadré et a
00:04:02marqué 5 buts sur 7 tirs cadrés et donc voilà c'est une des forces en ce moment de ces parisiens.
00:04:08Nicolas, avant de te libérer pour évidemment aller recueillir les premières réactions de la
00:04:15rencontre qui seront à écouter dans RTL Foot après 20h30, la Ligue des champions, le fait qu'il y
00:04:24ait ce barrage qui arrive très très vite dès la semaine prochaine, enfin pas celle-là mais
00:04:30dans dix jours, est-ce que ça a pesé sur la rencontre, est-ce que quelque part
00:04:36dans les duels, dans la manière de se jauger, est-ce que ça a pesé ? Moi je n'ai pas du tout
00:04:41ressenti, alors déjà il y a eu pas mal de changements puisqu'il y a eu six changements côté Brestois,
00:04:45quatre côté parisiens donc on n'aura pas les mêmes équipes au coup d'envoi du barrage Allais à
00:04:51Guingamp dans dix jours, moi je n'ai pas ressenti comme ça, je n'ai pas eu comme ça, hier on a vu
00:04:55Éric Roy qui nous disait que ça ne servait à rien de penser déjà à ça, que c'était
00:05:01complètement différent et qu'il fallait jouer ce match-là comme si c'était un match isolé,
00:05:05donc moi en tout cas je n'ai pas ressenti comme ça cet après-midi et au vu et dans les impressions
00:05:11dans ce que les deux équipes ont dégagé, elles n'avaient pas encore la tête au barrage.
00:05:17Merci beaucoup Nicolas Georgerot, correspondant pour RTL à Brest, non, envoyé spécial pour RTL à Brest,
00:05:22on le récupérera et on en a besoin, il est précieux dans notre service des sports Nicolas Georgerot.
00:05:30Tour de table messieurs, on va déjà se concentrer sur ce qu'on a vu cet après-midi, il sera temps
00:05:35après de se projeter sur la suite et sur la Ligue des champions, mais est-ce que vous avez vu un
00:05:42PSG, est-ce que le score reflète la différence entre les deux formations finalement ?
00:05:46Déjà c'est un match, parce qu'on se plaint quand même régulièrement de la qualité, de l'ennui que
00:05:52l'on peut ressentir parfois devant des matchs de football et en particulier en Ligue 1, et déjà
00:05:56c'était formidable à regarder, beaucoup de plaisir, même s'il y avait eu deux 1, on aurait eu beaucoup
00:06:01de plaisir, ce n'est pas juste les buts qui donnent ce plaisir, il y avait beaucoup d'intensité,
00:06:05beaucoup de mouvements, beaucoup de prise de risque, donc c'était formidable, après il y a un
00:06:10écart évidemment, mais qui se résume dans la statistique donnée par Nicolas, c'est à dire qu'à
00:06:14un moment l'efficacité ce n'est pas par hasard, et le talent fait une différence, le bantouche aussi,
00:06:20la qualité de l'effectif fait une différence sur la fin, et comme Brest a beaucoup poussé et s'est
00:06:27créé des situations sans forcément les concrétiser, derrière ils ouvrent des espaces, il y a trop de
00:06:32talent à Paris, c'est un résultat assez logique. Moi je trouve quand même que Brest s'inclinant 2-5,
00:06:41c'est un peu sévère, alors il y a eu des failles défensives, les latéraux ont été souvent pris de
00:06:47vitesse, mais je trouve que Brest à un moment est bien revenu, quand Brest revient à 2-3,
00:06:51je me suis dit, tiens il y a une esquisse de rébellion qui peut peut-être faire un tout
00:06:55petit peu douter le PSG, et à la fin Brest s'est écroulé physiquement, mentalement, etc. Mais pour
00:07:04moi, la différence de 3 buts ne reflète pas totalement la qualité du match des Brestois.
00:07:10Non mais ce que dit Gilles est intéressant, justement c'est dans ces moments-là où Paris
00:07:15se fait un peu reprendre, et ce n'est pas la première fois cette saison, qu'on voit qu'ils
00:07:17ont cette capacité à monter d'un niveau, à monter d'un cran, d'accélérer un peu,
00:07:21et ils marquent derrière, je ne les sens pas paniquer en fait, et ça c'est un enseignement
00:07:26depuis quelques matchs, et cette saison globalement avec ce que fait Louis Sénéqué, on sent quand
00:07:30même beaucoup de maîtrise et de sérénité, on les voit rarement paniquer, alors parfois ils ont des
00:07:33petits coups de chaud, ça arrive, défensivement ils prennent quand même beaucoup de buts cette
00:07:36saison, mais quand même on sent cette maîtrise, c'est une équipe qui est chiante à jouer,
00:07:41et les adversaires commencent à le dire, parce qu'il y a cette maîtrise, des joueurs qui sont
00:07:45en pleine bourre, et ça semble compliqué quand même. Il y a quand même un fait de jeu de match
00:07:50aujourd'hui, qui est le nouveau triplé de Ousmane Dembélé, si on nous avait dit il y a quelques
00:07:54semaines qu'on allait commenter deux triplés de Dembélé en l'espace d'une semaine, la première
00:08:00fois de l'histoire du PSG. À l'extérieur, l'un en Ligue des champions, l'autre dans un match face à
00:08:06un adversaire Ligue des champions en Ligue 1, on se serait pincé quand même. Ben ouais, mais
00:08:10finalement on se le disait entre nous que Dembélé finalement c'était peut-être lui le neuf qui
00:08:14manquait au PSG, il avait joué souvent à Barcelone dans cette position, il est assez à l'aise
00:08:19finalement, parce qu'il a moins à faire d'efforts, donc il ne perd pas de lucidité, et là il est en
00:08:23confiance totale, c'est-à-dire qu'aujourd'hui on a l'impression que n'importe quoi qu'il fait ça
00:08:27fait ficelle. Mais voilà, c'est un joueur aussi qui progresse et donc ça aussi, il faut lever le
00:08:33travail du coach. On disait il ne fait pas progresser les joueurs, moi je trouve que Dembélé
00:08:36cette année il a progressé. Est-ce qu'il bénéficie du fait que le Paris Saint-Germain se crée
00:08:40énormément d'occasions et qu'il soit neuf, ou est-ce qu'il a vraiment franchi un palier,
00:08:46parce que c'est une étape... Je sais que Sébastien Tarrago, on va rendre hommage à Sébastien Tarrago,
00:08:51parce que dans cette édition, et il y a des mois et des mois au moment où il n'en mettait pas un,
00:08:55Sébastien disait, moi je continue de penser que si on le rapproche du but, il va se bonifier.
00:09:01Non mais moi c'est vrai que je suis à la Liga avec un peu plus d'acuité, parce que ça m'arrive
00:09:07aussi de commenter des matchs de Barcelone, du Real, pour la chaîne d'équipe, et je l'ai vu
00:09:12jouer en neuf. Et dans des matchs que certains ne regardaient pas, parce que franchement c'était
00:09:18tout petit match, et il était fantastique. Donc c'est vrai que c'était ma marotte, j'insistais
00:09:24beaucoup là-dessus, parce que pour moi il devait jouer en neuf. Pourquoi ? Juste parce qu'en fait,
00:09:32quand il est sur un côté, il réalise des différences exceptionnelles, mais il y a un moment,
00:09:36c'est logique qu'il n'ait pas de lucidité devant le but, vu les différences qu'il fait. C'est-à-dire,
00:09:40un coup à droite, un coup à gauche, un coup à droite. Il y a un moment, le pied d'appui glisse
00:09:44tout le temps. Parce qu'à un moment, s'il avait mis des buts à ce poste-là, c'était Messi. C'était
00:09:51un joueur, c'était le numéro un au monde. Et donc il ne pouvait pas y arriver. Dans l'axe, il a
00:09:56des appels de balles fantastiques. Il sort le jeu, et il est obligé, naturellement, il va frapper
00:10:03plus vite. Il n'a pas besoin de dribbler. Mais il garde la possibilité, sur un appui, de faire une
00:10:09différence dans la surface. Pour moi, c'est son poste, c'est une évidence absolue. C'est là-dessus
00:10:16qu'il peut arriver à être dans le top mondial, dans le top 5 mondial.
00:10:20Gilles Verdez, ce qui est marquant aussi avec Dembélé, c'est qu'on parlait des efforts qu'il
00:10:24produit moins pour faire des différences et qui lui apporte plus de lucidité devant le but. Il n'a
00:10:28pas perdu son sens aussi du repli. On l'a vu, à un moment donné, dans le match, faire une course
00:10:33défensive de 30 mètres pour aller récupérer le ballon. Quelque part, il devient un joueur
00:10:38extrêmement complet. Toujours. Il a toujours eu son altruisme. Même au moment où il était un
00:10:43peu maladroit, il a toujours été, non pas sauvé, mais ses entraîneurs ont toujours souligné sa
00:10:49capacité à s'inclure dans le collectif. Ce n'est pas un joueur égoïste. C'est un joueur qui,
00:10:52parfois, concluait mal ses actions, mais pas par individualisme forcené.
00:10:57Même en équipe de France.
00:10:58Même en équipe de France. C'est vrai qu'à la trêve, il a bien bossé. Ils lui ont mis un coach
00:11:01pour faire une sorte de travail physique, mental. Ça lui a réussi. Là, il est totalement galvanisé,
00:11:10transformé. Je trouve quand même que, souvent, les entraîneurs disent, de joueurs qui ne concluent
00:11:19pas bien leurs actions, l'essentiel, c'est de se créer des occasions. Je me souviens, à un moment,
00:11:24quand un avance-centre comme Moué a été critiqué parce qu'il ratait des occasions,
00:11:28ses entraîneurs disaient « mais il se crée, il se crée, et ça va revenir. »
00:11:31Ça va un temps, ça, Gilles.
00:11:32Mais la confiance de l'avance-centre...
00:11:35On m'a souvent dit, en soirée, il y a ceux qui dansent avec les filles, il y a ceux qui rentrent
00:11:38avec. Je suis désolé, mais je vous prenais un exemple d'un des plus grands avance-centre,
00:11:43et la confiance pour un avance-centre, c'est essentiel. Et là, il l'a.
00:11:47Après, je pense qu'il ne faut pas non plus s'emballer. Je ne pense pas que ce soit un joueur
00:11:51à 50 buts par saison. Je ne pense pas qu'on va aller vers cela.
00:11:55Là, il est à 20 buts, là.
00:11:56Oui, c'est déjà beaucoup, mais je n'arrive pas à croire. Et d'ailleurs, il apporte autre chose,
00:12:04donc ce n'est pas grave. Si c'était un joueur à 20-25 buts par saison, ce serait déjà formidable,
00:12:09puisqu'il apporte par ailleurs. Et effectivement, il est altruiste.
00:12:12Mais il faut aussi quand même souligner une chose, c'est que ses coéquipiers l'adorent,
00:12:15depuis toujours. C'est un ciment dans un groupe. En équipe de France, par exemple,
00:12:20à l'Euro 2021, quand il était parti sur blessure, ça avait été très mal vécu,
00:12:23parce qu'il soudait les uns les autres, les vieilles générations, les nouvelles.
00:12:29Il est comme ça, il est très aimé.
00:12:30Il est solaire.
00:12:31Mais vous n'êtes pas d'accord, Félipe ?
00:12:34Il a peut-être été un peu cantonné, pas uniquement à cela,
00:12:38mais ça lui a peut-être empêché pendant un temps de devenir un cadre dans un groupe
00:12:43et d'être considéré comme un top player, au-delà d'être un garçon sympa.
00:12:48En équipe de France, par exemple. En équipe de France, il se blessait tout le temps,
00:12:50jamais il n'a pu s'installer.
00:12:51Mais ça, c'est important aussi. Ça fait deux ans qu'il est au PSG, il ne s'est jamais blessé.
00:12:55Il y a aussi une mutation à ce niveau-là qui fait qu'il a aussi pris cette maturité-là.
00:12:58Ça avait commencé à Barcelone.
00:13:00Messieurs, il y a un match depuis 19h qui se joue à Louis II,
00:13:04avec un autre protagoniste de la Ligue des champions, Céleste Monaco,
00:13:10qui doit se remettre, Mickaël Lefebvre. Salut, Mickaël.
00:13:12Bonsoir, Philippe, bonsoir à tous.
00:13:13Qui doit se remettre d'une sortie compliquée à Milan.
00:13:17La GIA au cerf pour rebondir.
00:13:20Ça a failli mal débuter, là.
00:13:22Oui, effectivement, avec une vérification en cours, elle est terminée.
00:13:25Pas de but pour la GIA, puisque Gaëtan Perrin était parti en position de hors-jeu
00:13:29face à Radoslav Magycki et Gaëtan Perrin avait trompé Magycki.
00:13:35Un petit crochet, ça faisait but.
00:13:36Mais il y avait une position de hors-jeu pour l'Auxerrois.
00:13:40Des Monegasques qui, effectivement, doivent se remettre de la claque
00:13:43face à l'Inter de Milan cette semaine, malgré cette qualification
00:13:47pour les barrages et cette rencontre à venir contre Benfica.
00:13:51Et puis, mettre aussi la pression sur l'Olympique de Marseille,
00:13:53qui jouera demain face à Lyon.
00:13:54Revenir à hauteur de l'OM, c'est l'objectif des Monegasques ce soir,
00:13:5844 victoires, et bien ils reviendraient à la hauteur du deuxième haut-classement.
00:14:02Et puis, vous l'avez dit aussi, pour la GIA,
00:14:04sept matchs sans victoire en Ligue 1 pour les hommes de Christophe Pellissier.
00:14:08Essayez peut-être ce soir d'arrêter cette série.
00:14:1216 minutes de jeu, le corner pour les Monegasques 0-0.
00:14:16Et c'est Delvan Léon qui arrête ce ballon.
00:14:18Voilà, soirée quasi Ligue des champions ce soir avec tous les protagonistes.
00:14:22Mickaël Lefebvre à Louis II, ce sera le fil rouge de la soirée.
00:14:27Je vous rappelle que l'affiche de ce soir, ce sera à Lille face à Saint-Etienne.
00:14:32Et à suivre évidemment dans RTL Foot, 20h30, 23h.
00:14:36On refait le match, 19h17, la pause, on se retrouve dans un instant.
00:14:53Et puis, vous prendrez bien un petit Paris-Brest pour terminer ce journal.
00:14:56Pas de pâtisserie, mais du foot.
00:14:57Un duel 100% français pour les barrages de la Ligue des champions.
00:15:01Déception, personnellement, j'aurais préféré un Benfica, c'est sûr.
00:15:04Ça a plus de saveur de Coupe d'Europe, on va dire,
00:15:06c'est le plaisir de voir notre équipe en Europe se balader un peu partout.
00:15:10Le plaisir de voyager aussi, de les suivre.
00:15:12On ne se prend toujours pas pour ce qu'on n'est pas.
00:15:13On sait qu'il y a beaucoup d'équipes qui sont supérieures à nous.
00:15:16Et même dans le championnat de France.
00:15:18Après, ça n'empêche pas qu'on veut être capable de pouvoir rivaliser avec les meilleures.
00:15:22Et ça sera le cas encore.
00:15:24C'est bien parce que, reste, on fait de très bonnes saisons.
00:15:27Je suis très fier qu'on ait quatre clubs français qualifiés.
00:15:31Quelque chose de magnifique.
00:15:33Éric Roy, l'entraîneur à Brestois et Nasser El Khalaifi,
00:15:37le président du Paris Saint-Germain,
00:15:39pour évoquer ce barrage de Ligue des champions.
00:15:42On est toujours dans Refais le match avec Gilles Verdez, Sébastien Tarrago et Florian Gazan.
00:15:47On a entendu, comme si de ci de là, quand même un petit peu de déception.
00:15:51On l'entendait dans la voix du supporter.
00:15:54Est-ce qu'il y a, de votre côté aussi, une petite amertume ?
00:15:58C'est de la Ligue des champions et on va retrouver Brest-PSG, forcément.
00:16:01Oui, franchement, plus que de l'amertume.
00:16:04Là, c'est la faiblesse de ce système-là.
00:16:06C'est-à-dire qu'il fallait trouver un système pour qu'en barrage,
00:16:10deux équipes d'un même championnat ne s'affrontent pas.
00:16:12On a l'impression de la pérennité de la Ligue 1, qui est d'ailleurs agréable là.
00:16:17Mais ce n'est pas la Ligue des champions.
00:16:19C'est très déceptif pour moi.
00:16:21Ça n'a pas un parfum comme ça, sulfureux, mais au sens positif du terme.
00:16:25La tension ne sera pas là.
00:16:26Bon, ça permettra d'avoir au moins un club français en huitième de finale aux côtés de l'île.
00:16:30Donc, il y aura deux clubs français en huitième de finale.
00:16:34Je l'évoquais tout à l'heure, le Stade de France, ça avait été un projet
00:16:39qui avait été caressé par les dirigeants du Stade Brestois.
00:16:42Puis, finalement, la belle aventure au Roudourou, le fait d'avoir pris des marques,
00:16:46des difficultés logistiques aussi, forcément, avec le Stade de France.
00:16:50Tout le monde s'était dit, bon, on termine la compétition, quoi qu'il arrive, Roudourou.
00:16:54Est-ce que cette affiche, justement, n'aurait pas retrouvé un peu de lustre,
00:16:58un côté exceptionnel, s'il y avait eu Brest-PSG-Maths-Chalet,
00:17:0280 000 personnes au Stade de France le 11 février ?
00:17:04Mais qu'est-ce qu'on aurait dit pour l'équité que Paris joue deux fois à domicile ?
00:17:07C'est contre le PSG au Stade de France.
00:17:09Là, je pense qu'il y aura eu toute la Bretagne qui aurait débarqué.
00:17:11Ouais, mais je ne sais pas.
00:17:12Moi, le Roudourou, le côté breton jusqu'au bout, je trouve ça bien.
00:17:17Ils se perdraient à jouer au Stade de France, les Brestois.
00:17:19Je ne suis pas sûr qu'ils y gagneraient quelque chose.
00:17:22Je pense qu'ils y perdraient un peu d'âme et en contrepartie, il n'y aurait pas grand-chose.
00:17:25C'est un stade de 15 000 places qui va passer même à 12 000
00:17:28parce que la configuration Ligue des Champions,
00:17:31à partir de ce stade contre le Real, il y avait plus de 15 000 personnes.
00:17:34Là, on va passer à 12 000 personnes, on perd 3 000 places.
00:17:38Est-ce que... Voilà, c'est de la Ligue des Champions, quoi.
00:17:41Moi, j'étais très favorable au Stade de France
00:17:43parce que je pensais que c'était l'occasion pour Brest
00:17:47d'être l'équipe de France, de la France.
00:17:50Il y avait un scénario auquel, évidemment, j'avais même pas pensé,
00:17:54mais qui était évident, c'était Paris.
00:17:56Et alors là, pour le coup, je suis content que ce soit Gringant.
00:17:59Parce que quand même...
00:18:00Oui, ce sera au moins en Bretagne.
00:18:01Oui, c'est-à-dire que là, s'il y avait eu le Stade de France,
00:18:05il y aurait quand même eu, allez,
00:18:07au moins 30 000 à 40 000 supporters du Paris Saint-Germain.
00:18:11Donc là, ma théorie s'effondre totalement avec ce tirage au sort.
00:18:15Et dans ce cas-là, je préfère effectivement que ce soit à Gringant.
00:18:19Moi, je ne suis pas d'accord.
00:18:19J'étais aussi favorable au Stade de France pour Brest et je le reste.
00:18:23Enfin, je le serais resté.
00:18:24J'aurais aimé que ça se passe au Stade de France.
00:18:27Parce que là, pour le coup...
00:18:28Mais on sait que tu aimes le Stade de France, Gilles, tu nous l'as dit.
00:18:30Oui, mais ça aurait été l'immense fête du foot français.
00:18:32Franchement, ce match de barrage devant un Stade de France plein,
00:18:36là, j'aurais ôté ce que j'ai dit d'un côté un peu...
00:18:40Ouais, ça fait très liguain, etc.
00:18:43Là, on aurait pris une autre dimension.
00:18:45Et je pense que l'Europe entière aurait regardé le Stade de France et ce match.
00:18:49Donc ça, ça m'aurait emballé.
00:18:51Bon, objectivement, on a vu cet après-midi que même en ayant conservé
00:18:56toutes ses forces, toute sa capacité à rester mobilisé,
00:18:59il y a quand même une défaite de trois buts, trois buts d'écart pour Brest.
00:19:03Sur deux matchs, j'ai envie de dire que les valeurs intrinsèques des deux équipes
00:19:08ont encore plus de chance ou de risque, selon le camp dans lequel on se place,
00:19:12de positionner le PSG devant Brest.
00:19:16Vous l'évaluez à combien de pourcents
00:19:19la probabilité de qualification de Brest face au Paris Saint-Germain ?
00:19:23Elle est forcément très faible.
00:19:25Je crois que Brest n'a plus battu le Paris Saint-Germain depuis 1989, de toute manière.
00:19:28Donc, de toute façon, historiquement, il y a...
00:19:30Ils sont pas en train de les battre ?
00:19:31Oui, en faisant des 0-0 dans le tir au but,
00:19:33mais partant du principe que c'est des équipes qui encaissent pas mal de buts.
00:19:37Les deux, fondamentalement...
00:19:39Si on arrêtait le match retour en Bretagne,
00:19:41on allait peut-être sur un malentendu, mais là, ça me...
00:19:43C'est ça qui change la donne pour vous ?
00:19:45Ça joue quand même aussi, mine de rien.
00:19:46On l'a vu, Paris au parc contre Manchester City,
00:19:49voilà, c'était quelque chose.
00:19:51Je pense quand même qu'il n'y a aucun élément qui plaide en faveur des Bretons
00:19:55à part la magie et l'irrationnel du foot.
00:19:58Moi, je leur donne 20% et c'est déjà énorme.
00:20:01Oui, c'est beaucoup.
00:20:01Bah oui.
00:20:02Je pense que c'est possible, je pense qu'ils joueront différemment.
00:20:05Les Brestois, ils sont pas idiots.
00:20:07Je pense que l'atmosphère sera différente.
00:20:09Aujourd'hui, on voyait...
00:20:10C'était un super match agréable à voir.
00:20:12Un peu de florie, peut-être ?
00:20:13Mais il n'y aura pas...
00:20:14Jouer un peu haut, prendre trop de risques ?
00:20:16Oui, un peu, mais il n'y aura pas...
00:20:17Et puis, il n'y aura pas de...
00:20:19Aujourd'hui, il n'y avait pas le rythme Ligue des champions quand même.
00:20:22C'est autre chose.
00:20:23Il y a plus de méchanceté dans un match.
00:20:24Oui, il y avait moins, effectivement, d'agressivité en première période.
00:20:28Il y avait beaucoup de sourire.
00:20:29D'ailleurs, on n'en a pas parlé, mais alors, quel formidable joueur
00:20:32qu'est Ludovic Ajorque, pour tout un tas de raisons.
00:20:34Moi, j'adore.
00:20:35Vraiment, ça fait plaisir à voir aussi ça.
00:20:38Il a mis au supplice le dénommé Pacho,
00:20:40qui a fait un début de saison très bon, formidable avec le PSG.
00:20:43C'est le premier mauvais match de Pacho aujourd'hui.
00:20:45Non, il est formidable ce joueur.
00:20:46Sur les deux buts, Brestois, il est en cause.
00:20:49Effectivement, Hakimi n'a pas été top, mais je trouve que Pacho non plus.
00:20:52Moi, je divise...
00:20:53Je suis entre Flo à zéro et Sébastien Rabat.
00:20:55Je n'ai pas dit zéro, moi, j'ai dit cinq.
00:20:57Cinq, allez, cinq.
00:20:58On va transiger à dix.
00:20:59Il n'y a jamais eu de zéro au foot.
00:21:01Non, je pense que sur deux matchs, ce sera très dur.
00:21:03Ce qui me gêne, c'est qu'effectivement,
00:21:04Brest n'a pas été mauvais aujourd'hui et ça fait deux, cinq.
00:21:06Donc voilà, il y a 10% peut-être de chance.
00:21:09Mais bon, c'est l'irrationalité, la magie du foot.
00:21:11On ne sait jamais.
00:21:13Voilà, un pénalty, un zéro, Paris qui commence à douter.
00:21:16Et puis, voilà.
00:21:17J'ai le problème, c'est que la magie sur un match, ça marche.
00:21:19Je sais.
00:21:19Mais sur deux, c'est compliqué.
00:21:20Je sais, je sais, je sais.
00:21:21Oui, mais dans ce cas-là, contre le Real Madrid,
00:21:22vous leur auriez donné 3% ?
00:21:25Contre Barcelone, 1% ?
00:21:27C'est un seul match, c'est des matchs de poule.
00:21:30Non, mais s'ils avaient affronté ces équipes-là ?
00:21:33Oui, pareil, fondamentalement.
00:21:37Parce qu'encore une fois, il y a deux matchs
00:21:39et que Paris peut peut-être se rater sur un.
00:21:41Et encore, cette année, ils ne se ratent pas dans les grandes largeurs.
00:21:43Mais sur deux, je ne vois pas comment ils peuvent se rater deux fois.
00:21:45Ce qui m'embête pour eux, entre guillemets,
00:21:48c'est que je pense qu'un club étranger
00:21:50aurait continué à les prendre un peu de haut.
00:21:54En tout cas, pas comme s'ils affrontaient Arsenal.
00:21:56Et ça aurait pu les aider.
00:21:57Et Paris, je pense que ce ne sera pas le cas.
00:22:00C'est la différence.
00:22:01On a vu d'ailleurs, dès aujourd'hui, en Ligue 1,
00:22:03que Luis Henrique avait aligné une équipe proche de l'équipe type.
00:22:08C'est-à-dire, avec la blessure de...
00:22:11C'est l'équipe type.
00:22:12Les absences de Zahir Emry et de João Neves.
00:22:15C'est ce qu'ils voulaient.
00:22:16C'est casser le moral brestois sur ce match-là,
00:22:18en leur montrant qu'il y a une telle différence
00:22:21que la double confrontation sera vaine pour eux.
00:22:23Clairement, c'est ça.
00:22:24C'est jouer à fond, surmotiver,
00:22:27inscriver le plus de buts possible.
00:22:29On a senti ça, quand même, dans l'engagement des Parisiens.
00:22:31Et ça, c'est bien vu de sa part.
00:22:32Parce qu'effectivement, quand vous faites un match,
00:22:34je trouve, plutôt correct, vous prenez 5 buts.
00:22:36Ça fait beaucoup.
00:22:37Alors, ça fait 5 là, 3 face au Réal.
00:22:39Ça fait 8 ans de rencontres, ça commence à faire beaucoup.
00:22:41Pour conclure sur Brest, on peut rappeler,
00:22:43on l'a souvent dit, mais ils vont se jouer en barrage
00:22:46pour une place en 8e de Ligue des Champions.
00:22:49On a un ratio, un rapport de force sur le plan financier.
00:22:53On ne parle pas que d'argent,
00:22:54mais on doit être à 1 pour 25, à peu près, en termes de budget.
00:22:58C'est-à-dire que si Brest sortait le PSG,
00:23:01ce serait l'un des plus gros exploits de l'histoire
00:23:05de la Ligue des Champions, quasiment.
00:23:06Oui, là, ce serait un séisme dans le football français,
00:23:10un séisme dans le football européen.
00:23:12C'est qu'en Coupe de France qu'on voit des rapports comme ça.
00:23:15Oui, en Coupe d'Europe, il y avait quand Metz avait sorti Barcelone.
00:23:20C'était une autre époque.
00:23:21C'était en Ligue des Champions.
00:23:23Avec des champions là, oui, ce serait un séisme.
00:23:28Oui, ça paraît improbable.
00:23:31Je pense que Louis-Henriquet ne dégagerait pas,
00:23:34comme je l'ai déjà dit, il a un billet.
00:23:37Il a l'air bien installé, quand même.
00:23:38Il est bien installé, mais au niveau de la direction du PSG,
00:23:41là, ça déclencherait une forte soucousse, quand même.
00:23:43S'il y a un club qui peut le faire, c'est Paris, quand même.
00:23:47Je plaisante, les amis, je plaisante.
00:23:48On disait ça avant Stuttgart, en disant,
00:23:50après avoir fait un formidable match contre la City,
00:23:52s'il y a un club qui peut tout gâcher, je le dis directement.
00:23:54Mais non, non, non, ils ont vaincu le signe indien.
00:23:5819h29 sur RTL, on refait le match.
00:24:01On se quitte un instant et on revient justement pour analyser
00:24:05le nouveau potentiel de Paris Saint-Germain.
00:24:06Est-ce qu'au vu de leurs deux derniers matchs en Ligue des Champions,
00:24:09au vu de ce qu'ils font là sur ce mois de janvier,
00:24:11est-ce qu'ils ont changé de catégorie ?
00:24:12Est-ce que c'est devenu ou redevenu un favori possible à la victoire finale ?
00:24:16A tout de suite.
00:24:17On refait le match.
00:24:20Avec Philippe Sanfourche.
00:24:2319h20h30, on refait le match sur RTL.
00:24:27Présenté par Philippe Sanfourche.
00:24:32On refait le match avec Gilles Verdez, Sébastien Tarrago et Florian Gazan.
00:24:38Karine Galli nous rejoindra à 20h pour les débats flash.
00:24:41Et puis à 20h30, Karine Galli restera aux côtés d'Eric Sylvestreau
00:24:46et Xavier Demerckx pour RTL Foot.
00:24:47Et la soirée avec l'affiche des Lillois ce soir.
00:24:54Lillois ?
00:24:55Saint-Étienne.
00:24:55Saint-Étienne, bah oui, Lille-Saint-Étienne, où avais-je la tête ?
00:24:58Alors que cet après-midi, Brest s'est incliné 5 buts à 2 face au Paris Saint-Germain
00:25:02et que depuis 19h, Monaco reçoit l'AGI Auxerre sous les yeux experts de Mickaël Lefebvre.
00:25:11Eh bien, toujours 0-0 ici à Louis II.
00:25:14C'est vrai qu'on ne voit pas beaucoup d'action dans cette rencontre.
00:25:17Une frappe à l'instant de Traoré pour les Auxerrois.
00:25:20C'est globalement l'AS Monaco qui a la maîtrise des débats.
00:25:24Mais il va falloir qu'ils accélèrent les monégasques pour essayer de mettre un petit peu plus en danger
00:25:28cette équipe de l'AGI A.
00:25:30Car pour l'instant, c'est assez brouillon.
00:25:32Tout ça, on cherche dans la profondeur.
00:25:34Mika Birett, la recrue de cette équipe de l'AS Monaco à la pointe de l'attaque.
00:25:38Il remplace Mbolo ce soir.
00:25:39Mais pour l'instant, ça reste assez confus.
00:25:42Donc 0-0 après 33 minutes de jeu.
00:25:44Monaco qui s'essouffle, nous fait un petit peu moins rêver.
00:25:48Il y a des buts extraordinaires comme celui d'Akliouche la semaine passée.
00:25:51Mais sinon, dans le jeu, l'Inter, la marche était un peu haute.
00:25:55Mais on sent qu'il plafonne un peu face à Benfica.
00:25:59Vous le sentez comment, messieurs, ce barrage ?
00:26:03Sans problème pour Monaco.
00:26:05Qualification aisée de Monaco face à Benfica.
00:26:07En plus, il y a cette tricardesse, me ravit.
00:26:10Benfica est irrégulier comme Monaco.
00:26:11Mais il y a plus de talent individuel à Monaco.
00:26:13Donc Monaco va gagner.
00:26:16Là, on est dans l'incantation.
00:26:18Non, on est dans le pronostic.
00:26:19Tout à l'heure, vous donniez vos pourcentages de chance.
00:26:21Oui, tout à fait, on est bien d'accord.
00:26:24Et donc, sans avoir d'argument définitif, je dirais plutôt Benfica.
00:26:33Je pense que c'est une équipe plus mature.
00:26:36Une équipe plus mature aujourd'hui.
00:26:39Et puis, à chaque fois, j'ai l'impression que ça durera des décennies et des décennies.
00:26:44À chaque fois qu'un club français rencontre un club portugais,
00:26:48on a toujours cette impression que c'est jouable.
00:26:51Sauf que neuf fois sur dix, ça ne passe pas.
00:26:53Quand c'est Benfica ou Porto, vous prenez les stades.
00:26:55Je ne les ai pas là, ça me vient comme ça.
00:26:57Mais vous pouvez vérifier, ça ne passe quasiment jamais.
00:27:01Michael Lefebvre, Monaco se réveille.
00:27:04Oui, il fallait que vous le disiez ça pour que Monaco effectivement se réveille.
00:27:09Alors sur un coup de pied arrêté, certes mal dégagé par la défense au Cerroise.
00:27:14Et c'est bien au second poteau le défenseur central Thilo Kerrer
00:27:18qui vient tromper la vigilance du portier au Cerroise.
00:27:21Une frappe de l'extérieur du pied gauche dans la lucarne.
00:27:24Et ça fait donc un à zéro pour Monaco après 35 minutes.
00:27:27Ça va passer facile contre Benfica, Michael.
00:27:31C'est une revanche déjà.
00:27:32Parce qu'on se souvient qu'ici à Louis II, les Modégasques avaient perdu 3 buts à 2
00:27:36en menant 2-1 jusqu'à la 84ème.
00:27:39C'est le moment où ça a commencé à dérailler un peu.
00:27:41Et c'est ça, l'expulsion de Singo dans la rencontre à la 58ème
00:27:45avait un peu désorganisé les Modégasques, mais ils avaient réussi à mener.
00:27:47Et puis Angèle Di Maria avait fait un max exceptionnel ce soir-là.
00:27:51Il faut prier pour l'Est Monaco qu'il soit dans un mauvais soir deux fois.
00:27:54Angèle Di Maria, parce que c'est vrai que c'est l'atout numéro un quand même
00:27:57de cette équipe du Benfica.
00:27:58Voilà, Di Maria l'ancien parisien.
00:27:59Et là, c'est Thilo Kerrère, ancien parisien également, qui permet à Monaco
00:28:04de mener 1-0 face à la JOSR.
00:28:08J'aimerais qu'on en termine avec le Paris Saint-Germain,
00:28:11avec cette question que je posais avant la pub.
00:28:14Est-ce qu'on peut parler d'un nouveau Paris Saint-Germain ?
00:28:18Est-ce qu'au vu des récentes performances, des récentes sorties
00:28:23et de l'impression dégagée par cette équipe de Louis Sénriquet,
00:28:27on peut remettre le PSG avec un autre statut,
00:28:30c'est-à-dire désormais une équipe qui est capable d'aller au bout dans cette compétition ?
00:28:33Ou est-ce que c'est un petit peu tôt ?
00:28:35Vous allez vite quand même.
00:28:36Là, c'est un tarago.
00:28:37Parce qu'il y a deux matchs, on se demandait s'ils allaient se faire éliminer
00:28:40de la Ligue des Champions, avant d'affronter un City souffreteux.
00:28:45Donc là, ils ont gagné contre Stuttgart, grosse équipe.
00:28:51Donc vous êtes impressionnés.
00:28:54Rouleau compresseur parisien.
00:28:57La méthode Louis Sénriquet est la bonne.
00:28:59Il a trouvé la formule.
00:29:01C'est ce qu'il fallait faire.
00:29:02Ils vont gagner la Ligue des Champions, la Coupe intercontinentale,
00:29:04la Coupe du Monde des Clubs.
00:29:05Allez hop, youp, la boum.
00:29:07La réponse est non pour moi.
00:29:09Mais qui prouve un peu plus encore ?
00:29:12Ils ont affronté qui aujourd'hui qui nous permettrait de penser cela ?
00:29:17Je vois pas moi.
00:29:19On rappelle que s'ils passent les Cueilles-Brest, derrière c'est Barcelone ou Liverpool,
00:29:24qui sont sans doute les deux ou trois équipes les plus fortes d'Europe sur cette saison.
00:29:29Même si Barcelone, c'est particulier parce qu'en championnat,
00:29:31ils ont des difficultés parfois.
00:29:33Mais sur les gros matchs, quand même, globalement, quand même,
00:29:34ils sont là cette année, Barcelone, dès qu'ils jouent le Réal ou en Ligue des Champions,
00:29:37ils sont là.
00:29:38Et puis, Liverpool est sans doute la meilleure équipe d'Europe actuelle.
00:29:41Donc voilà, ce sera une bonne façon d'étalonner les Parisiens.
00:29:44Mais c'est une équipe qui a encore trop de manques encore.
00:29:48Défensivement, ils prennent beaucoup trop de buts.
00:29:50C'est une équipe jeune.
00:29:51Alors, les jeunes progressent, mais ça manque encore un peu de bouteilles.
00:29:54Dès qu'ils sont un peu brassés, dès qu'ils se prennent un peu de pression sur le milieu de terrain,
00:29:57ça craque un peu parce que les Ruiz, les Vitigna, les Joao Neves, c'est très bon.
00:30:01Mais dès que ça tombe sur du costaud, c'est un peu compliqué.
00:30:04Donc, je pense qu'ils sont sur la bonne voie.
00:30:06Je trouve vraiment que cette équipe a franchi un palier clairement,
00:30:09mais il faudra en franchir un autre pour prétendre à la Ligue des Champions.
00:30:12Reste au calme, Gilles Bardez.
00:30:13Oui, parce que pour moi, le point fort actuel peut se transformer en point faible.
00:30:16C'est-à-dire que c'est Dembélé dépendant pour moi aujourd'hui.
00:30:19Voilà, Barcola est fort, mais pour moi, c'est l'élément décisif incroyable.
00:30:23Si jamais il est moins en forme, c'est déjà moins redoutable.
00:30:26Et effectivement, Liverpool ou Barcelone,
00:30:28s'ils sortent Liverpool ou Barcelone, après avoir passé Brest donc déjà,
00:30:32là, oui, ils redeviennent ou ils deviennent un favori de la Ligue des Champions.
00:30:37Mais ça ne sera que le quart de finale.
00:30:40Oui, mais vous aurez sorti effectivement deux équipes
00:30:43qui, dans des styles diamétralement opposés, représentent un obstacle majeur.
00:30:46Et là, si vous sortez une de ces deux équipes,
00:30:49je pense que vous pouvez prétendre à aller très loin.
00:30:51Après, qu'ils le veuillent ou non, Louis-Henri Quay,
00:30:54les équipes de très, très haut niveau ont des joueurs majeurs, dominants,
00:30:59qui mettent beaucoup de buts.
00:31:01Donc là, en ce moment, c'est Ousmane Dembélé.
00:31:02C'est pour ça que vous posez cette question.
00:31:04C'est tout.
00:31:05C'est-à-dire que son histoire, il n'y a pas de vedette,
00:31:09il n'y a pas de grand joueur qui va en mettre 25, 30, 35 buts par saison.
00:31:13Ça n'existe pas dans le foot aujourd'hui.
00:31:14Il faut des joueurs comme ça.
00:31:16Il faut des joueurs majeurs pour aller au bout.
00:31:17Oui, donc en ce moment, c'est Ousmane Dembélé.
00:31:18Alors, il ne voulait pas, ce n'était pas Kylian Mbappé.
00:31:20OK, très bien.
00:31:21Mais au final, il y en a un autre.
00:31:23Ça ne peut pas arriver.
00:31:25Et Gonzalo Ramos, il ne joue plus.
00:31:26Enfin, en tout cas, moins.
00:31:27Oui, parce qu'il n'avait pas de but, dites donc.
00:31:31Oui, c'est quand même incroyable, cette histoire.
00:31:34Il n'a pas réinventé la roue, notre ami Louis-Henri Quay.
00:31:36Vous ne me parlez que des joueurs qui mettent des buts,
00:31:38mais parlons de ceux qui les arrêtent.
00:31:41Gigio Donnarumma, il n'a jamais été aussi bon en ce moment.
00:31:44C'est la bala, François.
00:31:46Il a clairement, ouvertement
00:31:50affiché sa volonté de prolonger, sauf que pour l'instant,
00:31:53il ne voit pas venir de prolongation.
00:31:55Et on apprend ce jour que Lucas Chevalier,
00:32:00l'excellent gardien fraîchement international tricolore
00:32:05qui continue de prouver avec Lille,
00:32:08serait plus que dans le viseur du Paris Saint-Germain
00:32:10pour peut-être intégrer l'effectif du Paris Saint-Germain dès l'été prochain.
00:32:15Est-ce que pour vous, c'est une très bonne idée ?
00:32:17Est-ce que c'est un coup à faire ?
00:32:18Absolument.
00:32:20Et d'un point de vue un peu plus immédiat,
00:32:22est-ce que ça ne crée pas un souci vis-à-vis de Donnarumma ?
00:32:25Moi, si vous pouvez le faire, il faut le faire.
00:32:27C'est le gardien qui sera le numéro un de l'équipe de France dans quelques années.
00:32:30C'est un joueur extraordinaire.
00:32:31C'est dans leur dynamique de jeune Français à fort potentiel.
00:32:34Donnarumma est sans doute bien.
00:32:36Mais pour moi, Chevalier, c'est une dimension au-dessus.
00:32:38Donc, il faut le faire et l'introniser numéro un
00:32:39puisqu'il ne viendra que comme numéro un.
00:32:41Pour moi, il n'y a aucun doute là-dessus.
00:32:42Donc, il ne faut pas prolonger Donnarumma,
00:32:44quitte à le fragiliser un peu pour la fin de saison ?
00:32:45Oui, mais là, je pense que si Donnarumma est si exceptionnel en ce moment,
00:32:49c'est parce qu'il sent la menace venir.
00:32:51Donc, pour moi, il faut le laisser dans cette fébrilité contractuelle.
00:32:54Il est bon quand il est fébrile.
00:32:55Il faut mettre les gens sous pression.
00:32:56Vous êtes un peu comme John Textor.
00:32:57Vous aimez bien un peu l'Américaine.
00:33:00Pas quand il y a concurrence entre deux gardiens.
00:33:02Ça, je n'aime pas du tout.
00:33:03Mais là, je constate que Donnarumma, quand il est incertain sur son avenir,
00:33:06il est très, très bon.
00:33:07Bon, tout le monde est d'accord avec ça, Chevalier ?
00:33:09Oui, Chevalier, c'est sûr que c'est un gros potentiel.
00:33:12Après, il ne faut pas non plus enterrer Donnarumma.
00:33:13Il est quand même, malgré tout, on peut le critiquer.
00:33:17Ça reste quand même un grand gardien.
00:33:18Il fait comme aujourd'hui encore deux arrêts à Brest.
00:33:21Important et en Ligue des champions.
00:33:22Il y a un Stuttgart exceptionnel.
00:33:24Il ne faut pas le minorer non plus.
00:33:26Oui, mais la réalité, c'est qu'encore une fois,
00:33:29pour aller gagner la Ligue des champions,
00:33:31il faut bien souvent des gardiens d'exception.
00:33:33Il n'a pas prouvé qu'il était un gardien d'exception
00:33:36comme peut l'être Thibault Courtois,
00:33:37comme a pu l'être Alisson ou Ederson.
00:33:41Et il a commis des erreurs majeures.
00:33:43Chevalier, il n'est pas encore.
00:33:44Il y a du potentiel, mais entre le potentiel et l'arrivée...
00:33:46Je suis d'accord, mais on a l'impression que la marge de progression
00:33:49est encore importante chez Chevalier.
00:33:51Et chez Donnarumma, moi, je n'ai pas l'impression.
00:33:54Les arrêts qu'il effectue, par exemple, aujourd'hui, il les a toujours effectués.
00:33:56Il a toujours été excellent sur sa ligne.
00:33:57Oui, mais sur Donnarumma, je trouve que cette saison...
00:34:01Oui, mais sur les airs, il est un petit peu mieux.
00:34:03Le jeu au pied, il a vraiment progressé sur les relances.
00:34:06Donc voilà, c'est un peu...
00:34:08Oui, mais il est plus âgé.
00:34:11Dans ces deux domaines-là, Chevalier est exceptionnel.
00:34:13Oui, Gilles, mais Chevalier, pour l'instant,
00:34:14il n'a pas prouvé que sur des très, très, très, très gros matchs,
00:34:17il était un très, très, très grand gardien.
00:34:19Ah bah, c'est à prouver.
00:34:20Ceux qu'il a eu à jouer, il les a bien joués.
00:34:22Mais on n'a pas cette garantie à 100%.
00:34:24Donc, moi, je trouvais qu'on allait trop vite avec lui
00:34:26parce que je l'avais vu commettre des erreurs
00:34:29énormes dont on ne parlait jamais parce qu'il jouait à l'île.
00:34:32Il en fait encore.
00:34:33Il continue à en faire, mais il progresse beaucoup, beaucoup, beaucoup.
00:34:37Vraiment.
00:34:37Et tout le monde en dit.
00:34:38Et il a un truc,
00:34:40il a un truc en plus au niveau de...
00:34:42dans la tête.
00:34:43Il a quelque chose d'un peu...
00:34:46d'un peu animal comme ça,
00:34:48qui me rappelle certains très grands joueurs.
00:34:51Le côté un peu Barthez, quoi.
00:34:52Un petit peu.
00:34:53Et puis, il doute de rien, cet homme-là.
00:34:55Il faut, à ce poste-là.
00:34:57Détour par Monaco avec...
00:35:00On disait que ça allait mieux à Monaco.
00:35:01Et puis, bah, d'aboom, Mickaël Lefebvre.
00:35:03Et quel but, quel but pour la J.O.S.R.
00:35:05Un but de Diomandé extérieur du pied droit de la surface,
00:35:09à l'entrée de la surface de réparation en pleine lucarne de Majiskim.
00:35:14But magnifique pour la J.A.
00:35:15qui est une nouvelle fois à l'attaque.
00:35:16Et la claquette, une nouvelle fois de Majiki pour mettre ce ballon en corner.
00:35:19Donc, effectivement, Monaco qui est menacé.
00:35:21Monaco qui a été donc rejoué en score juste avant la mi-temps.
00:35:24Il reste deux minutes à jouer dans le temps réglementaire.
00:35:27Un but partout entre les deux équipes.
00:35:28Ce n'est pas facile pour Monaco.
00:35:30Ce sera dur jusqu'au bout.
00:35:3119h44, la pause, on refait le match.
00:35:33On se retrouve après pour tirer un petit bilan de cette première phase de Ligue des champions
00:35:38qui a été plus que toilettée, qui a été changée.
00:35:41Est-ce que vous êtes tous satisfaits pleinement de cette nouvelle formule ?
00:35:44Ou y a-t-il des bémols ?
00:35:45On parlera aussi de la lutte contre les chants racistes, homophobes en tribune.
00:35:51C'est très compliqué d'aller sur le terrain des sanctions individuelles.
00:35:55Il y a l'illustration encore cette semaine avec une lettre très intéressante du préfet de Saint-Etienne.
00:36:01On refait le match jusqu'à 20h30.
00:36:02A tout de suite.
00:36:26Oh la volée ! La volée comme elle vient !
00:36:291-0 pour l'Alliance.
00:36:29Le Manchester City, toujours éliminé.
00:36:31Hop, hop, hop, le centre tire.
00:36:34Oh les buts ! Les buts vivants !
00:36:38J'aurais pu vous mettre ça pendant une heure.
00:36:41C'est le petit florillage de ce multiplexe qu'on a vécu avec grand plaisir sur l'antenne de RTL cette semaine.
00:36:48C'est un petit peu l'heure du bilan sur cette première phase de Ligue des champions.
00:36:52Il y a eu 144 matchs en tout au lieu de 96 dans l'ancienne formule.
00:36:57Ça fait 3,27 buts en moyenne par match.
00:37:01On avait à peine 3 l'an passé, donc on voit qu'il y a plus de buts.
00:37:05Suspense quasi-totale jusqu'au dernier jour avec ce multiplexe,
00:37:10qui est une réussite aussi chez Diffuseur, 2,3 millions de téléspectateurs.
00:37:14Donc est-ce qu'on peut parler d'une réussite pleine et entière,
00:37:17comme l'UEFA s'en gargarise assez logiquement,
00:37:20ou est-ce que vous avez des bémols à opposer à cela ?
00:37:23Déjà, l'UEFA a atteint son but qui était de créer du suspens jusqu'à la fin.
00:37:29C'était ça le principal reproche fait aux phases de groupes précédentes.
00:37:33C'était que les dernières journées parfois ne servaient à rien.
00:37:36Donc l'UEFA a atteint son but et les Diffuseurs globalement sont contents.
00:37:40Moi personnellement, je n'aime pas trop parce que je trouve ça confus.
00:37:44Vous dépendez du tirage au sort, vous ne savez pas trop qui vous allez affronter.
00:37:50Je préfère le système de pool très carré, très organisé.
00:37:54Je trouve que ça dépend vraiment de quels adversaires vous affrontez.
00:37:57Il y a des équipes qui sont dans les 8 premières,
00:38:00qui ne me semblent pas les 8 meilleures d'Europe.
00:38:02Donc pour moi, il y a une sorte de dilution du talent.
00:38:04Donc personnellement, je ne suis pas emballé et il y a trop de matchs.
00:38:06Alors suspens jusqu'au bout, sauf qu'à l'arrivée,
00:38:08quand on regarde l'identité des clubs qui sortent avant la fin,
00:38:12c'est-à-dire de la 25e à la 36e,
00:38:15on aurait choisi au début de la compétition,
00:38:19on n'était pas loin de mettre ceux-là finalement.
00:38:21Mais pas les 8 premières.
00:38:23Pas les 8 premières, effectivement, sinon l'île n'y serait pas.
00:38:26Mais au final, ceux qui sortent de la compétition,
00:38:29c'était ceux qu'on pouvait prévoir.
00:38:32Oui, mais pour le coup, moi j'étais sceptique
00:38:34parce que c'est toujours plus de matchs.
00:38:37On constate que maintenant, il n'y a plus un mois sans Ligue des Champions.
00:38:40Voilà, c'est tout le temps.
00:38:41Bref, c'est comme ça.
00:38:42Mais cette saison est une réussite pour moi.
00:38:47Je suis content, au contraire, que dans le top 8,
00:38:50ce ne soient pas ceux qu'on attend forcément.
00:38:52C'est plutôt positif, il s'est passé plein de choses.
00:38:57Malheureusement, c'est une réussite.
00:39:00Le seul bémol que j'ai, moi, c'est sur le multiplex à la télé.
00:39:03C'est-à-dire qu'il n'y a aucune critique de nos confrères de Canal+.
00:39:05Parce que là, je ne sais même pas comment ils ont réussi.
00:39:07C'est un virage, c'est pas tout ça.
00:39:08Non, mais c'est incroyable.
00:39:09Ils se sont très bien sortis par rapport à ce qui s'est passé.
00:39:12Ce n'est plus du foot, c'est de la compétitivité.
00:39:13J'en pouvais plus, j'avais l'impression d'être dans un parc d'attractions.
00:39:17Avec des trucs, ça sonnait de partout, j'en pouvais plus.
00:39:19Il me fallait trois médicaments pour que ma tête revienne.
00:39:24On avait privilégié les quatre clubs français.
00:39:25Et puis, on avait une veille sur les autres matchs.
00:39:27Déjà, c'est avec le nombre de buts.
00:39:29Mais bon, eux aussi, ils découvraient la formule.
00:39:33Très vite, à Monaco, Mickaël Lefebvre, juste avant la réunion.
00:39:36Le pénalty, le pénalty de Joubal, arrêté.
00:39:39Arrêté par Adosave Magéky, le pénalty.
00:39:41Osserwam, il va être à retirer, peut-être.
00:39:44Non, ce sera à la mi-temps.
00:39:45Parce que le coup de sifflet de l'arbitre intervient juste après.
00:39:48La J-O-C-R qui avait l'occasion de mener deux buts à un.
00:39:51En toute fin de match, après cette faute de Denis Zakaria sur Joubal, justement.
00:39:56Eh bien, l'arrêt de Magéky.
00:39:57Mais attention, parce que l'arbitre semble dire des choses aux joueurs.
00:40:01Les laisser sur la pelouse.
00:40:02Il vérifie que Adosave Magéky n'était pas parti avant la frappe de Joubal.
00:40:07Il n'avait pas quitté sa ligne.
00:40:08Et il semblerait, oui, il semble que Magéky soit parti avant.
00:40:12Donc, ce pénalty devrait être à retirer pour la J-O-C-R, juste avant la mi-temps.
00:40:16C'est très sévère.
00:40:18C'est ces joueurs qui nous font une Neymar à vouloir attendre le dernier moment.
00:40:24Il part avant, il part avant.
00:40:25Mais l'arbitre a raison par rapport au règlement.
00:40:28Mais là, c'est extrêmement sévère.
00:40:30Comment il fait le gardien ?
00:40:31Il y a un moment, comment il fait ?
00:40:32Il ralentit sa course, le joueur.
00:40:34Ce n'est pas possible.
00:40:36Il doit partir derrière sa ligne.
00:40:37Oui, mais là, il ne tire pas vraiment avantage de la situation.
00:40:40Le joueur joue avec sa course d'élan.
00:40:43Il faut assumer.
00:40:44Mais l'arbitre ne se trompe pas par rapport au règlement.
00:40:47Il n'y a pas de souci.
00:40:47Mais c'est vrai que ça feinte le gardien.
00:40:49Le joueur s'arrête, donc il repart.
00:40:50Ça feinte le gardien qui…
00:40:51Comment il peut faire le gardien ?
00:40:52Excusez-moi, le joueur est réglementaire.
00:40:54Le gardien ne l'est pas.
00:40:55Oui, mais il a raison.
00:40:56Il s'est fait avoir.
00:40:57Il a retiré le pénalty.
00:40:58Il est légaliste.
00:40:59La décision est bonne par rapport au règlement, mais ce n'est pas normal.
00:41:03Il faut changer le règlement.
00:41:05En attendant qu'il soit retiré, parce qu'il va être retiré,
00:41:08revenons rapidement à Nous Moutons.
00:41:09On parlait de…
00:41:10Ah non, ça y est ?
00:41:11C'est parti ?
00:41:12Oui, ça y est, Philippe.
00:41:13C'est parti.
00:41:14Joubal pour son deuxième face-à-face face à Radeck.
00:41:17Magik est-ce qu'il va tirer du même côté ?
00:41:19C'était à gauche tout à l'heure.
00:41:20Il est parti.
00:41:21Et ça, c'est au plan centre.
00:41:22Et cette fois, ça fait but pour la GIA de Buzyn,
00:41:25donc pour OCR, juste avant la mi-temps.
00:41:28OCR qui mène face à Monaco.
00:41:31Compliqué pour Monaco.
00:41:32Merci beaucoup, Mickaël Lefebvre.
00:41:33Donc, Buzyn pour la GIA face à Monaco.
00:41:36On termine avec cette première phase de Ligue des champions.
00:41:41C'était un petit peu évoqué par Gilles Verdez.
00:41:44Quand on voit Liverpool qui termine premier sur 36,
00:41:48qui fait le job jusqu'au bout,
00:41:51et qui va peut-être prendre le PSG dès les huitièmes de finale.
00:41:54Finalement, ce classement, bon, il faut être dans les 24, mais…
00:41:58Oui, mais ça, on le voyait avec les systèmes de poules.
00:42:00Vous finiez en premier, puis vous tapez le Barça en huitième.
00:42:04Ça arrive au Paris Saint-Germain.
00:42:05Donc, ça, ça arrive.
00:42:06Moi, sur cette formule, au final, ce qui m'embête un petit peu,
00:42:10hormis le fait que c'est complètement illisible
00:42:12et qu'on se demande s'il y a une vraie équité,
00:42:13parce qu'on ne sait pas qui tombe contre qui.
00:42:15C'est un peu bizarre.
00:42:16C'est que, dans l'absolu, c'est le même résultat, en fait.
00:42:22C'est-à-dire qu'on se retrouve avec les gros qui sont là.
00:42:25On découvre.
00:42:26Donc, il y a un peu l'attrait de la nouveauté.
00:42:28Moi, je me dis que l'année prochaine, on connaîtra la formule,
00:42:30que les clubs vont aussi connaître la formule.
00:42:32Je pense qu'il y a beaucoup de surprises,
00:42:33parce que tout le monde découvre ce truc-là.
00:42:35Donc, même, y compris les gros,
00:42:36ils ne savent pas comment l'aborder.
00:42:37Les préparations…
00:42:38Peut-être s'assurer un petit peu plus les points…
00:42:39Je pense que l'année prochaine, ils vont dire…
00:42:41Ça, c'est possible.
00:42:42C'est pour ça qu'il faudrait un peu de temps avant de répondre à cette question.
00:42:45On verra ça.
00:42:46Le mot de la fin, Gilles,
00:42:47parce que j'aimerais qu'on aborde la question de…
00:42:48Je suis désolé,
00:42:49Cité Réale en Ligue des Champions en barrage,
00:42:51mais pour moi, ça n'a pas de sens.
00:42:53Un barrage, Cité Réale,
00:42:54et un des deux lourdé avant même les huitièmes…
00:42:57Ça aurait pu arriver si l'on avait le sens de leur résultat, quand même.
00:43:00Je ne suis pas d'accord.
00:43:01Ça fallait qu'ils gagnent leur match.
00:43:02Mais les en finale…
00:43:03Comme vous, avec les pénalités, il faut changer.
00:43:05Finalement, il y a des choses à redire.
00:43:07Petite info qui est passée un petit peu inaperçue
00:43:09dans l'euphorie de la Ligue des Champions cette semaine.
00:43:11Cette lettre du procureur de Saint-Etienne, Damien Chiamat,
00:43:16c'est en réponse au signalement effectué au sortir de match,
00:43:19notamment à Marseille et Saint-Etienne ces derniers temps,
00:43:22où des chants à caractère homophobe avaient été entonnés en tribune.
00:43:25On a souvent entendu dire que la vidéosurveillance dans les stades allait tout régler,
00:43:29couplée aux enregistrements sonores qu'on allait pouvoir identifier
00:43:32et condamner individuellement les auteurs de ces chants devant la justice.
00:43:35Pas du tout.
00:43:36Cette réponse du procureur dans une lettre aussi limpide que cinglante,
00:43:39malgré l'existence d'un réseau efficace de caméras,
00:43:42il n'est absolument pas possible d'envisager de poursuivre les auteurs de tels faits
00:43:45qui mettent en cause bien trop d'individus
00:43:47pour pouvoir assurer une réponse pénale efficace.
00:43:49Le procureur qui rentre dans le détail.
00:43:51J'ai 250 caméras qui ne zooment pas.
00:43:53On entend des slogans homophobes, mais on ne sait pas d'où ça vient.
00:43:56Envisager des poursuites supposerait le recours à des experts en lecture labiale,
00:44:00ce qui entraînerait des coûts disproportionnés
00:44:03pour un résultat de toute façon incertain devant une juridiction répressive.
00:44:07Quand on voit ça, quand on lit ça, on se dit qu'on avait de belles intentions,
00:44:12il y a la théorie, il y a la pratique.
00:44:14Qu'est-ce qu'on fait ?
00:44:15On pose les armes, on se dit que finalement,
00:44:17ces champs en tribunes, il n'y a rien à faire.
00:44:19Déjà, David Charmat, il est là depuis 2018,
00:44:22il bosse sur tous les dossiers chauds du foot concernant Saint-Etienne
00:44:26et je trouve très bien qu'en tant que procureur,
00:44:28il réponde à ceux qui disent que la justice ne fait rien.
00:44:31Et c'est implacable.
00:44:32Individualiser, individualiser, c'est super sur le plan moral, éthique,
00:44:38mais c'est injouable et ça ramène le football à ce qu'il est.
00:44:42C'est-à-dire, il dit lui, en bande organisée,
00:44:45on peut condamner des gens, mais ils sont 6 ou 8,
00:44:48une tribune entière qui eut, qui injurie, c'est impossible.
00:44:51Ce n'est pas injouable, c'est une question de moyens.
00:44:53Il le dit lui-même.
00:44:54Oui, mais il ne les aura jamais.
00:44:56Donc, ce n'est pas injouable.
00:44:58C'est une question de moyens.
00:45:00Si, il le dit, parce qu'en fait, pour identifier,
00:45:02il faudrait présupposer de la culpabilité quelque part
00:45:07avant même que le match ait lieu.
00:45:09Ce qui permet de zoomer sur une personne,
00:45:11si il y a un stade de 47 000 places ou de 60 000 places,
00:45:13vous n'allez pas mettre 60 000 caméras sur chaque visage.
00:45:15Déjà, vous pouvez interpeller les gens pendant les matchs.
00:45:18Oui, et...
00:45:19Ils y arrivent en Angleterre, on n'y arrive pas nous.
00:45:21Il faudrait des gens en tribune alors.
00:45:22Oui.
00:45:23Oui, mais déjà, si on était...
00:45:24Les forces de l'ordre, elles n'ont pas le droit d'être...
00:45:26Déjà, quand il y avait des champs racistes ou homophobes dans les tribunes,
00:45:29si on arrêtait vraiment les matchs,
00:45:30si on allait vraiment au bout de la logique purement
00:45:32de ce qui est décidé par nos instances, ça irait mieux.
00:45:35Déjà, le problème, c'est qu'il y a un laxisme à ce niveau-là.
00:45:38Quand même, si à un moment donné, tu te dis...
00:45:40Il y a quelque chose à faire du football, ces gens-là ?
00:45:42Tu pénalises le club, peut-être que les gens...
00:45:45En plus, il n'y a que les solutions collectives.
00:45:47C'est-à-dire...
00:45:48Arrêter les matchs, changer les points...
00:45:50En Angleterre, ils y arrivent, et nous, on n'y arrive pas.
00:45:52Non, mais il nous ramène au collectif, le procureur-là.
00:45:54Je suis d'accord avec lui.
00:45:55Oui, mais... D'accord.
00:45:56Mais c'est le procureur de Saint-Étienne, c'est intéressant, ce qu'il dit.
00:45:59Mais...
00:46:00C'est intéressant, mais on est rappelé par l'heure, M. Tarrago.
00:46:03On va se retrouver après les informations de 20h pour la suite et la fin d'« On refait le match »
00:46:06avec les débats flash.
00:46:07On parlera d'Abib Bey à Rennes, on parlera de Fonseca à Lyon,
00:46:10d'Amine Goué à Marseille ou encore de Neymar.
00:46:12De retour à Santos.
00:46:13A tout de suite.
00:46:34On refait le match avec toujours le procureur Gilles Verdez,
00:46:38avec Sébastien Tarrago de l'équipe,
00:46:41avec Florent Gazan, RTL,
00:46:43et avec Karine Galli qui nous rejoint.
00:46:46Salut, Karine.
00:46:47Bonsoir à toutes, bonsoir à tous.
00:46:49On a parlé évidemment longuement de la Ligue des champions.
00:46:52On a parlé aussi des soucis pour la justice
00:46:56de pouvoir trancher dans les tribunes
00:46:59et tenter de mettre fin à ces champs
00:47:02qui polluent les matchs du championnat
00:47:05et globalement tous les matchs en France depuis des années.
00:47:08On va passer désormais au traditionnel débat flash.
00:47:11Vous connaissez parfaitement la formule.
00:47:13Chaque samedi de 20h à 20h30,
00:47:154 chroniqueurs, 4 débats flash.
00:47:17C'est parti.
00:47:19Les débats flash.
00:47:20On va parler pas mal de Mercato
00:47:23puisque ça bouge beaucoup.
00:47:25Ça bouge sur le terrain, ça bouge sur les bancs aussi,
00:47:28avec notamment ce club de Rennes
00:47:32qui a débuté sa saison avec Julien Stéphan,
00:47:36qui a ensuite fait venir Sampaoli,
00:47:38Fiasco Total, Chao Sampaoli,
00:47:40et puis, on a aussi le club de Rennes
00:47:43qui a débuté sa saison avec Julien Stéphan
00:47:47et donc c'est Habib Bey
00:47:49qui débarque sur le banc du stade Rennes à 47 ans.
00:47:52Il va diriger demain face à Strasbourg
00:47:55son premier match de Ligue 1
00:47:57dans sa jeune carrière d'entraîneur
00:48:00dans un club en crise sportive,
00:48:0216e au classement,
00:48:04peut-être aussi un peu en crise structurelle,
00:48:07ce qui n'effraie d'ailleurs pas le nouvel entraîneur Habib Bey.
00:48:12Il y a énormément d'énergie dans le club
00:48:14et donc cette énergie, j'en déborde,
00:48:16je suis hyper actif,
00:48:17je ne me pose pas la question
00:48:18si j'arrive dans un club en crise,
00:48:19et je vais même être très honnête avec vous,
00:48:21vous avez parlé de classement,
00:48:23je ne regarde pas ça aujourd'hui,
00:48:24je me concentre sur toute autre chose
00:48:26et surtout d'être en capacité
00:48:27que cette équipe dégage une identité très très vite.
00:48:29Je suis juste quelqu'un qui travaille beaucoup
00:48:31et qui se donne les moyens
00:48:32de pouvoir afficher cette sérénité.
00:48:34Habib Bey, lors de sa présentation
00:48:37le stade Rennes, 6e budget de Ligue 1,
00:48:39qui confie son maintien à un entraîneur surmotivé
00:48:41mais novice dans le footpro,
00:48:43c'est une décision réfléchie
00:48:44ou un risque à considérer ?
00:48:46Karine Galli, vous avez 45 secondes.
00:48:48C'est une décision réfléchie,
00:48:50contrairement à celle de Sampaoli
00:48:51où depuis le début,
00:48:52on était quasiment tous d'accord
00:48:54pour dire que ça ne pouvait pas marcher
00:48:55et qu'il était déjà dépassé
00:48:57et on l'a vu avec 10 matchs qui ont été pénibles.
00:48:59Habib Bey, c'est un homme
00:49:01qui a franchi les étapes,
00:49:03il a passé ses examens,
00:49:05il a été d'abord adjoint,
00:49:06puis il est devenu entraîneur numéro 1
00:49:08au Red Star,
00:49:09il avait une mission,
00:49:10il les a fait remonter en Ligue 2,
00:49:11il n'a pas eu d'opportunité
00:49:12pour débuter la saison,
00:49:14il l'a maintenant,
00:49:15je trouve que c'est une bonne chose.
00:49:16Rennes, comme d'autres clubs français,
00:49:18doivent permettre à des entraîneurs
00:49:20de débuter leur carrière au plus haut niveau
00:49:22et Habib Bey, c'est un énorme bosseur
00:49:24donc il n'y a pas de raison pour que ça soit un fiasco.
00:49:26Le fiasco, c'était déjà Sampaoli
00:49:27et je pense qu'il y a quand même du matériel
00:49:29pour travailler dans cette équipe du Stade Rennes.
00:49:31C'est marrant, j'entends tout le temps ça,
00:49:33celui qui parle de lui
00:49:34ou les autres qui parlent de lui,
00:49:35on dit toujours que c'est un bosseur.
00:49:37Même si les autres ne foutent rien.
00:49:39Excusez-moi,
00:49:40il y a des gens qui sont plus ou moins bosseurs,
00:49:42oui,
00:49:43ou qui sont plus ou moins psycho-rigides
00:49:45sur certaines choses,
00:49:46comme dans le journalisme d'ailleurs.
00:49:48Tous les entraîneurs bossent énormément.
00:49:50Moi, je peux te citer des entraîneurs
00:49:52qui pendant la semaine...
00:49:53C'est juste que j'entends ça à chaque fois.
00:49:55Je peux te citer des entraîneurs
00:49:56qui pendant la semaine
00:49:57laissent pas mal de séances d'entraînement
00:49:59à ses adjoints
00:50:00qui ne sont pas forcément là
00:50:01mais tant que ça gagne le week-end,
00:50:02on ne dit rien.
00:50:03C'est vrai.
00:50:04Bon, en tout cas,
00:50:05un grand oui pour Karine
00:50:06à l'arrivée d'Habib Bey.
00:50:07Karine, en tout cas,
00:50:08elle a bien bossé.
00:50:10Elle a des statistiques dans les débats Flash.
00:50:14Si je fais la moyenne de classe
00:50:15sur les débats Flash,
00:50:16vous êtes loin.
00:50:17Après, elle arrive dans une émission
00:50:18qui marche aussi.
00:50:19Bon, tour de table.
00:50:20D'accord ou pas d'accord
00:50:21avec Karine Galli
00:50:22et après, on argumente.
00:50:23Elle a peut-être bien bossé
00:50:24mais elle n'aura pas de points.
00:50:27C'est vrai ça, Tarago ?
00:50:28Elle n'a pas répondu à la question
00:50:30mais je suis d'accord avec elle.
00:50:32On fait quoi ?
00:50:33Oui, j'ai répondu à la question.
00:50:34Non, elle n'a pas répondu à la question.
00:50:35Non ?
00:50:36Elle réfléchit,
00:50:37elle n'a pas répondu à la question.
00:50:38Elle réfléchit.
00:50:39Oui, mais elle n'a pas répondu à la question.
00:50:40Je suis d'accord avec elle.
00:50:41Je lui donne le point
00:50:42ou je ne lui donne pas ?
00:50:43Oui, oui.
00:50:44Je lui donne le point alors.
00:50:45Elle ne le mérite pas.
00:50:46Ça fait donc un point.
00:50:47J'ai dit que Sam Paoli
00:50:48ne s'était pas réfléchi
00:50:49et Khabib Bey s'était réfléchi.
00:50:50Oui, ça j'ai entendu.
00:50:51Est-ce que Karine Galli
00:50:52va remporter au niveau
00:50:53de son débat Flash ?
00:50:54Comme Sébastien,
00:50:55je pense qu'elle ne le mérite pas
00:50:56mais pas comme Sébastien
00:50:57et je ne lui donne pas mon point.
00:50:59C'est rare,
00:51:00Karine de ne pas avoir le point.
00:51:01Tu vois, je suis finalement
00:51:03assez surprise
00:51:04mais de la pire des façons
00:51:05parce qu'en fait,
00:51:06là, les garçons,
00:51:07vous me faites penser
00:51:08à tous les crasseux sur les sites
00:51:09qui disent
00:51:10« Ah, on va voir
00:51:11celui qui se permettait
00:51:12de donner des conseils »
00:51:13après deux heures.
00:51:14« Celui qui ne se permettait
00:51:15pas de donner des conseils »
00:51:16Est-ce qu'on peut argumenter ?
00:51:17Non, mais non seulement
00:51:18elle ne lui donne pas le point
00:51:19mais elle nous reproche
00:51:20de ne pas lui donner le point
00:51:21en continuant à argumenter.
00:51:22Donc, je lui enlève un point
00:51:23que je lui donnerais peut-être
00:51:24la prochaine fois.
00:51:25Moi, je trouve ça formidable
00:51:26et je fais court,
00:51:27je trouve ça formidable
00:51:28que Khabib Bey
00:51:30je pense que
00:51:31ça faisait longtemps
00:51:32qu'il aurait dû l'avoir
00:51:33en tout cas, quelques mois
00:51:34et donc, on verra ce que ça donne.
00:51:37En revanche,
00:51:38c'est réfléchi.
00:51:39Pourquoi ?
00:51:40Parce que déjà,
00:51:41ils avaient pensé à le prendre.
00:51:42Donc, ce n'est pas une idée
00:51:43qui sort comme ça
00:51:44parce qu'ils sont en panique.
00:51:45Rennes voulait envisager
00:51:46déjà de le prendre
00:51:47il y a quelques mois.
00:51:48Donc, c'est une décision réfléchie.
00:51:52C'était ça le thème
00:51:54qu'Ariane a oublié.
00:51:55La question, c'est pourquoi
00:51:56il ne l'avait pas pris aussi.
00:51:57Moi, franchement,
00:51:58Khabib Bey,
00:51:59j'ai envie de le voir.
00:52:00C'est quelqu'un
00:52:01qui est plutôt brillant,
00:52:02intelligent
00:52:03et qui fait plaisir à entendre.
00:52:04J'ai envie de voir
00:52:05ce qu'il va donner.
00:52:06Je suis excité par l'idée
00:52:07sauf qu'il arrive à un moment
00:52:08où Rennes joue le maintien.
00:52:09Rennes joue le maintien.
00:52:10Khabib Bey,
00:52:11il a fait du bon boulot
00:52:12au Red Star
00:52:13mais au Red Star.
00:52:14Là, il arrive dans un club
00:52:15compliqué,
00:52:16structurellement compliqué,
00:52:17sportivement en crise
00:52:18avec aucune expérience
00:52:19à ce niveau-là.
00:52:20Je lui souhaite de réussir
00:52:21mais c'est pour moi
00:52:22un pari très casse-gueule.
00:52:23Pierre Sage non plus l'année dernière.
00:52:24Oui, mais je veux dire par là
00:52:25que Khabib Bey,
00:52:26franchement,
00:52:27t'as envie de le voir
00:52:28commencer une saison
00:52:29avec une équipe,
00:52:30choisir l'effectif.
00:52:31Là, il arrive,
00:52:32il débarque.
00:52:33Pourquoi ?
00:52:34C'est privilégié.
00:52:35C'est aussi pour ça,
00:52:36Gilles Verbes,
00:52:37que je vous ai mis
00:52:38le petit morceau de son
00:52:39dans la présentation
00:52:40du débat Flash
00:52:41où on l'entend.
00:52:42Il parle déjà
00:52:43de vouloir
00:52:44imprimer sa patte.
00:52:45C'est-à-dire
00:52:46qu'on se demande
00:52:47si la priorité,
00:52:48c'est de mettre en place son jeu
00:52:50ou de sauver le club.
00:52:51Moi, je ne comprends pas
00:52:52ce choix de Rennes
00:52:53aujourd'hui,
00:52:54d'Habib Bey.
00:52:55J'avais dit que
00:52:56Sampaoli était délirant
00:52:57mais quand vous choisissez
00:52:58Sampaoli,
00:52:59vous ne le virez pas
00:53:00au bout de 10 matchs
00:53:01pour mettre Bey
00:53:02auquel vous aviez pensé avant.
00:53:03Je trouve que c'est
00:53:04panique à bord.
00:53:05Et là, vous le laissiez
00:53:06Sampaoli jusqu'à la fin ?
00:53:07Non, mais c'est panique à bord
00:53:08à tous les étages.
00:53:09Un choix comme ça
00:53:10alors que Bey,
00:53:11effectivement...
00:53:12Bon, alors Bey,
00:53:13il a l'avantage
00:53:14c'est qu'il a étudié
00:53:15quelques équipes
00:53:16au cas où ça se libérait
00:53:17et il a étudié Rennes
00:53:18depuis beaucoup.
00:53:19Et ça, c'est vrai.
00:53:20Mais là, c'est vrai,
00:53:21il a vraiment étudié
00:53:22Rennes énormément.
00:53:23Mais je trouve que ça
00:53:24reflète tellement...
00:53:25Le côté Rudy Garcia
00:53:26dans la préparation...
00:53:27Oui, mais Garcia,
00:53:28c'est que de la com' au début.
00:53:29Bey, il y a quand même
00:53:30du fond après.
00:53:31C'est la différence
00:53:32entre les deux,
00:53:33pour moi.
00:53:34Rudy Garcia, il a quand même
00:53:35fait des choses dans sa carrière.
00:53:36Il a fait un doublé avec Lille.
00:53:37Je pense que si Habib Bey
00:53:38a la carrière de Rudy Garcia,
00:53:39il signe.
00:53:40Je vous rappelle qu'Habib Bey,
00:53:41il n'a même pas entraîné
00:53:42en Ligue 2.
00:53:43Je vous dis ce que je pense.
00:53:44Après, peut-être que
00:53:45j'aurais tort.
00:53:46Mais là, je trouve
00:53:47que le choix,
00:53:48ça ne va pas du tout.
00:53:49Changer autant de fois
00:53:50comme ça...
00:53:51Mais là, tu parles de Rennes.
00:53:52Oui.
00:53:53Mais même Habib Bey,
00:53:54c'est bizarre.
00:53:55Moi, je laisse ça
00:53:56sur Maoli, franchement.
00:53:57Même Habib Bey, c'est bizarre
00:53:58parce qu'on a l'impression
00:53:59quand même qu'il était assez
00:54:00difficile dans le choix
00:54:01qu'il voulait faire,
00:54:02qu'il avait refusé des trucs.
00:54:03Et là, il accepte quand même
00:54:04un truc...
00:54:05Il n'a pas refusé
00:54:06tant de choses que ça.
00:54:07Non, mais tu as l'impression
00:54:08qu'il était plus en mode
00:54:09à la Zidane.
00:54:10C'est-à-dire que je prends
00:54:11vraiment le projet
00:54:12qui collera à mort
00:54:16Il aurait été prêt
00:54:17à aller à Strasbourg.
00:54:18Non.
00:54:19Oui, mais c'est ce qu'il disait.
00:54:20Il avait conscience.
00:54:21C'est l'image qu'il se donnait.
00:54:22Il avait conscience.
00:54:23Dans une interview à l'équipe
00:54:24qui, effectivement,
00:54:25n'était pas la meilleure
00:54:26des idées, à priori,
00:54:27je pense qu'il avait
00:54:28beaucoup d'ambition
00:54:29et notamment qu'il rêvait
00:54:30de Marseille.
00:54:31Je pense que ses conseillers
00:54:32dans cette interview,
00:54:33ils n'ont pas été
00:54:34extrêmement pertinents
00:54:35parce qu'annoncer ça
00:54:36comme ça,
00:54:37ça peut refroidir
00:54:38un peu des envies.
00:54:39Mais je suis désolé.
00:54:40Rennes, c'est une opportunité
00:54:41géniale.
00:54:42Rennes, il suffit
00:54:43qu'il sauve les Rennais,
00:54:44donc qu'il se maintienne
00:54:45pour avoir l'option
00:54:46d'une année supplémentaire.
00:54:47Ce n'est pas la mer à boire.
00:54:48Mais Rennes se serait maintenu
00:54:49même sans lui.
00:54:50Oui, mais c'est le contrat.
00:54:51Pour lui, c'est une opportunité.
00:54:52Donc, il a un argent.
00:54:53Il y a quand même
00:54:54du matériel.
00:54:55Rennes, en plus.
00:54:56Sans doute.
00:54:57En tout cas,
00:54:58c'était un débat intéressant
00:54:59même s'il est perdu
00:55:00par Karim Ghali.
00:55:01Il shooterait
00:55:02par tous les gens
00:55:03qui espèrent le voir
00:55:04se casser la gueule
00:55:05parce qu'il était consultant
00:55:06et qu'il faisait son métier.
00:55:07Ce n'est pas nous.
00:55:08Je vous le dis quand même.
00:55:10Deuxième débat flash.
00:55:15Il a les mêmes préceptes de jeu,
00:55:17un peu le même schéma tactique,
00:55:19mais l'expérience en plus.
00:55:20Paolo Fonseca,
00:55:21c'est Pierre Sage en mieux,
00:55:23à en croire John Textor,
00:55:24le président de l'OL.
00:55:25Le coach portugais
00:55:26va devoir convaincre son vestiaire,
00:55:28son public,
00:55:29mais il se dit prêt au défi.
00:55:31Je suis ici
00:55:32parce que John a la confiance
00:55:34dans mon travail.
00:55:35Je suis, comme vous le savez,
00:55:37un traîneur
00:55:38qui aime dominer les matchs.
00:55:41Je crois beaucoup
00:55:42à cette équipe
00:55:43et à ces joueurs.
00:55:44Le confiant Paolo Fonseca
00:55:46a-t-il toutes les armes
00:55:47pour réussir
00:55:48à faire passer l'OL
00:55:49actuellement sixième
00:55:50à l'une des quatre premières places
00:55:52de Ligue 1,
00:55:53synonyme de Ligue des champions.
00:55:54C'est la mission
00:55:55qui lui est confiée par John Textor.
00:55:56Sébastien Tarrago,
00:55:57vous avez 45 secondes.
00:55:58Oui, mais là encore,
00:55:59vous posez une question
00:56:00où franchement,
00:56:01ce n'est pas impossible,
00:56:03loin de là,
00:56:04de finir quatrième.
00:56:06Alors que vous êtes sixième.
00:56:07Donc, s'ils étaient douzièmes...
00:56:09Bon, OK.
00:56:10Donc, je vais répondre à la question
00:56:11un peu différemment.
00:56:12Vous me donnerez les points ou pas.
00:56:13Mais est-ce que là, tout de suite,
00:56:15il va forcément faire mieux
00:56:16que Pierre Sage ?
00:56:17Moi, je ne suis pas sûr.
00:56:19Je pense que c'est quelqu'un...
00:56:21C'est un bon entraîneur.
00:56:22C'est quelqu'un qui a besoin de temps
00:56:23pour imprimer sa marque,
00:56:24pour imprimer son style de jeu.
00:56:25On l'a vu à Lille.
00:56:26Après, on aime, on n'aime pas.
00:56:27Mais là, tout de suite,
00:56:29maintenant, pourquoi ?
00:56:30Comment ?
00:56:31Je ne vois pas ce qui va changer
00:56:32comme ça en cinq minutes.
00:56:33Et Pierre Sage,
00:56:34il était surtout victime
00:56:36parce qu'il s'est passé en août
00:56:37pendant le Mercato
00:56:38et en janvier pendant le Mercato
00:56:39parce que le club de Lyon
00:56:40est en difficulté dans ces moments-là
00:56:41parce qu'il fait un peu n'importe quoi.
00:56:42Mais après, ça serait reparti.
00:56:43Donc, il y a des chances que ça reparte.
00:56:45Mais pourquoi lui ?
00:56:46Donc, voilà.
00:56:47Je n'ai pas vraiment répondu
00:56:48à votre question,
00:56:49mais ce n'est pas grave.
00:56:50C'est pour ça que je l'avais posé comme ça.
00:56:51Ça rappelle effectivement
00:56:52un petit peu
00:56:53l'arrivée du PSG version Qatari
00:56:55qui avait mis Antoine Comboiré
00:56:57à la mi-saison sur le côté
00:56:59pour pouvoir installer
00:57:00Carlo Ancelotti
00:57:01et préparer d'ores et déjà la saison.
00:57:05Antoine Comboiré
00:57:06était le premier,
00:57:07donc c'était vraiment injuste.
00:57:08Mais il prenait Ancelotti.
00:57:10Comboiré-Ancelotti-Sage-Fonseca,
00:57:13il y a quand même une grosse différence.
00:57:16Même Comboiré avait reconnu
00:57:18que c'était quelque part le victime.
00:57:20Ancelotti faisait déjà partie
00:57:21des meilleurs entraîneurs du monde.
00:57:22Il était dans un pot à part.
00:57:23C'est une opportunité fantastique pour le PSG.
00:57:25Au final, vous nous avez un peu embrouillés.
00:57:28Je ne sais même pas quel est votre avis.
00:57:30C'était quoi la question ?
00:57:31La question, c'est est-ce qu'il va…
00:57:34Est-ce qu'il emmène Lyon vers les champions ?
00:57:36On va faire comme si j'avais répondu non.
00:57:38Mais bien sûr que c'est possible.
00:57:40Mais on va faire comme si j'avais répondu non.
00:57:42Donc il ne va pas faire progresser Lyon.
00:57:45Il ne va pas les emmener en Ligue des champions
00:57:47dès cette saison.
00:57:48C'était ça la question.
00:57:49Florent Gazan.
00:57:50Très bel édito de Sébastien en tout cas.
00:57:53Non, mais je pense que fondamentalement,
00:57:55il ne va pas faire mieux que Pierre Sage.
00:57:57Je pense que Pierre Sage serait resté.
00:57:58Il aurait fait pareil que Paolo Fonseca.
00:58:00C'est juste qu'il est mieux que Pierre Sage
00:58:02au niveau des fringues.
00:58:03Il met un beau costume.
00:58:04Mais voilà.
00:58:05Je donne un point à Sébastien.
00:58:06Un point pour Sébastien.
00:58:07Karine.
00:58:08Oui, moi je trouve que Fonseca,
00:58:09c'est un très bon entraîneur.
00:58:11On est ravis de le revoir en Ligue 1.
00:58:13Mais ce n'est pas la question.
00:58:14Donc je donne le point à Sébastien.
00:58:18Gilles Verdez.
00:58:19Il n'a pas du tout répondu à la question.
00:58:20Mais moi, je déteste Textor.
00:58:21Et j'adore Sage.
00:58:22Donc je donne le point.
00:58:23Parce que je suis comme lui.
00:58:24J'aime bien Sage.
00:58:25Là, on est sur des bons arguments.
00:58:26Très bien.
00:58:27Merci Gilles.
00:58:28En fait, il a tordu le coup à mon débat.
00:58:31Et il fait grand chelème.
00:58:32C'est beau.
00:58:33J'en perds mon latin.
00:58:34Vous savez quoi ?
00:58:35On va faire une pause.
00:58:36Je vais boire un coup d'eau.
00:58:37Je vais essayer de revenir
00:58:38avec un petit peu plus de sérénité.
00:58:39Et on parlera de l'OM
00:58:40avec l'arrivée d'Amin Gouiri.
00:58:42Est-ce que l'OM est plus fort
00:58:43avec Gouiri
00:58:44qu'avec Eliouahi avant ?
00:58:46Et puis, on parlera aussi de Neymar.
00:58:48Neymar, de retour à Santos
00:58:50à 33 ans.
00:58:52Est-ce que c'est la fin de carrière
00:58:53ou est-ce qu'il y a encore
00:58:54la possibilité d'un sursaut ?
00:58:56On se pose la question.
00:58:57On fait le match.
00:58:58A tout de suite.
00:59:00Philippe s'enfourche.
00:59:01On refait le match sur RTL.
00:59:04RTL.
00:59:05On refait le match.
00:59:06Les débats flash.
00:59:09La fin des débats flash.
00:59:11Alors que Karine Galli
00:59:13n'a pas gagné son débat flash.
00:59:14Je suis outré.
00:59:15C'était un petit événement dans l'ordre.
00:59:16Elle n'a failli pas.
00:59:17Mais Abid Bey, dès le match
00:59:18face à Strasbourg,
00:59:19et Dieu sait que c'est un match particulier
00:59:20pour lui,
00:59:21va vous prouver
00:59:22qu'il a les compétences
00:59:23pour être entraîneur.
00:59:24Mais ce n'était pas la question.
00:59:25Ce n'était pas la question.
00:59:26Seul contre tous.
00:59:27Ce n'était pas la question.
00:59:28Ce n'était pas la question.
00:59:29Elle veut faire croire
00:59:30qu'on est contre Abid Bey.
00:59:31Tout à fait.
00:59:32Ce n'est pas vous
00:59:33qui les a raté des points.
00:59:34Vous n'allez pas avoir le culot
00:59:35Sébastien Tarrago
00:59:36de nous dire que
00:59:37ce n'était pas la question.
00:59:38Vous avez répondu totalement
00:59:39à côté
00:59:40sur votre débat flash.
00:59:41J'ai le culot aussi.
00:59:43On va voir s'il y a
00:59:44un petit peu plus
00:59:45de rigueur
00:59:46du côté de Florent Gazan.
00:59:47Avec Amine Gouiri.
00:59:49Ça se saurait quand même.
00:59:50Amine Gouiri, 24 ans.
00:59:51Et donc marseillais
00:59:52pour les 4 saisons et demie à venir.
00:59:54L'attaquant Rennais
00:59:55rejoint la cité phocéenne
00:59:57contre un chèque
00:59:58de 19 millions
00:59:59plus 3 de bonus.
01:00:00Donc possiblement
01:00:0122 millions d'euros.
01:00:03L'OM
01:00:04qui s'est séparé auparavant
01:00:05d'Eliouaï
01:00:06parti à Francfort.
01:00:07Est-il plus fort
01:00:08désormais
01:00:09avec Amine Gouiri ?
01:00:10Florent Gazan,
01:00:11vous avez 45 secondes.
01:00:12C'est la troisième question.
01:00:13On verra bien de la soirée.
01:00:14Je ne suis pas médium.
01:00:16Je ne peux pas le deviner.
01:00:17Je pense quand même que
01:00:18Marseille sera forcément
01:00:19plus fort
01:00:20qu'avec rien du tout.
01:00:21Parce que Eliouaï
01:00:22n'a rien prouvé.
01:00:23Il n'a rien apporté à cette équipe.
01:00:24C'est un raté total.
01:00:25Amine Gouiri
01:00:26amène quand même
01:00:27une bonne attitude.
01:00:28C'est un joueur
01:00:29qui a 15 buts par match.
01:00:3015 buts par match ?
01:00:31Par saison.
01:00:32Oui.
01:00:33Certes,
01:00:34il est un peu intermittent
01:00:35du spectacle.
01:00:36Mais il est quand même
01:00:37capable de faire
01:00:38de très belles choses.
01:00:39Après,
01:00:40ça dépend de la façon
01:00:41dont Dozerbi va l'utiliser.
01:00:42En tout cas,
01:00:43Dozerbi le voulait absolument.
01:00:44Il est plutôt
01:00:45Gouiri fort
01:00:46quand il a un deuxième
01:00:47attaquant autour de lui.
01:00:48C'était le cas
01:00:49de Dolberg à Nice
01:00:50ou de Kalimando à Rennes.
01:00:51Donc,
01:00:52il faut voir comment
01:00:53ils vont le faire jouer.
01:00:54Mais en tout cas,
01:00:55ça ne peut pas être
01:00:56un joueur avançant.
01:00:57Donc,
01:00:58il y a beaucoup de possibilités
01:00:59de le faire jouer intéressant.
01:01:00Donc,
01:01:01je pense que oui,
01:01:02l'OM sera plus fort avec lui.
01:01:03L'OM plus fort
01:01:04avec Gouiri.
01:01:05L'OM soulagé
01:01:06de 22 millions d'euros.
01:01:07Mais l'OM
01:01:08qui sera plus fort
01:01:09avec Amine Gouiri.
01:01:10Tour de table,
01:01:11d'accord,
01:01:12pas d'accord
01:01:13avec Florent Gazan.
01:01:14Karim Ghali.
01:01:15Alors là,
01:01:16les bras m'en tombent.
01:01:17Non.
01:01:18Ça,
01:01:19c'est de l'avenir.
01:01:20Gilles Bernaise.
01:01:21Je suis d'accord,
01:01:22ça ne peut pas être pire
01:01:23qu'avec Waii,
01:01:24de toute façon.
01:01:25On revient donc
01:01:26à Sébastien Tarago.
01:01:27Je vois les yeux
01:01:28de Karim Ghali
01:01:29et je tremble.
01:01:30Je vois son jugement
01:01:31terrible.
01:01:32Eh bien,
01:01:33je vais donner le point
01:01:34à monsieur Gazan.
01:01:35Eh bien,
01:01:36c'est une victoire
01:01:37pour Florent Gazan.
01:01:38Pardon Karim.
01:01:39Moi,
01:01:40je pense qu'à court terme,
01:01:41Gouiri va apporter à l'OM.
01:01:42Mais de toute façon,
01:01:43c'est un joueur
01:01:44de période,
01:01:45de courte période.
01:01:46Voilà.
01:01:47Mais donc là,
01:01:48on est fin janvier.
01:01:49Il reste quatre mois
01:01:50au final.
01:01:51Je pense
01:01:52qu'il va apporter
01:01:53à l'OM
01:01:54pendant quatre mois.
01:01:55L'investissement
01:01:56sur le long terme,
01:01:57j'ai plus de doutes.
01:01:58C'est autre chose.
01:01:59Non mais moi,
01:02:00ce qui me sidère,
01:02:01c'est qu'alors,
01:02:02évidemment,
01:02:03bravo Marseille
01:02:04parce qu'ils ont vendu
01:02:05magnifiquement Waii.
01:02:06C'est-à-dire qu'ils l'ont vendu
01:02:07plus cher que ce qu'il avait acheté
01:02:08alors qu'effectivement,
01:02:09sur la première partie de saison,
01:02:10il était en échec.
01:02:11Mais Gouiri,
01:02:12ça reste quand même très cher
01:02:13pour un joueur
01:02:14qui a marqué trois buts,
01:02:15dont un donné par le gardien
01:02:16de Monaco la semaine dernière.
01:02:17Et surtout,
01:02:18vous me comparez Waii
01:02:19qui est un oeuf
01:02:21Marseille avait besoin
01:02:22d'un vrai remplaçant
01:02:23au poste du numéro 9
01:02:24parce que Nile Maupé,
01:02:25on voit bien que c'est un joueur
01:02:26qui n'est pas un oeuf
01:02:27de l'envergure
01:02:28pour l'Olympique de Marseille
01:02:29et qui là,
01:02:30actuellement,
01:02:31est un petit peu dans le dur.
01:02:32Pourquoi ils ont besoin
01:02:33d'un vrai oeuf ?
01:02:34Ils ont mis 40 buts,
01:02:35c'est la deuxième attaque
01:02:36du championnat,
01:02:37l'OM cette année.
01:02:38Parce que c'est toujours mieux
01:02:39quand tu es Marseille
01:02:40et que ta devise est droite au but
01:02:41d'avoir un vrai oeuf
01:02:42et ça fait des années
01:02:43qu'ils le cherchent.
01:02:44Et quand tu n'as que Nile Maupé
01:02:45de numéro 9,
01:02:46je trouve que c'est
01:02:47un petit peu léger
01:02:48pour l'Olympique de Marseille.
01:02:49Excusez-moi, Karine,
01:02:50mais ce n'était pas la question.
01:02:51La question, c'était
01:02:52qui est le plus fort
01:02:53entre Wai et Gouiri.
01:02:54Non, non, non.
01:02:55Elle répond à la question
01:02:56est-ce que l'OM
01:02:57est plus fort
01:02:58avec
01:02:59Gouiri
01:03:00qu'avec Wai ?
01:03:01Et ça sous-entend
01:03:02au-delà de la qualité
01:03:03des joueurs,
01:03:04ça sous-entend aussi
01:03:05la structure de l'effectif.
01:03:06Elle a raison, Karine,
01:03:07de voir les choses comme ça.
01:03:08C'est-à-dire qu'on enlève
01:03:09un joueur à un poste,
01:03:10on le remplace par un autre
01:03:12Wai a été totalement transparent
01:03:13dans son aventure olympienne.
01:03:14On le sait, mais il fallait un vrai neuf.
01:03:15Tu revends Wai.
01:03:16C'est un vrai neuf
01:03:17qui n'a jamais joué,
01:03:18qui n'a rien fait.
01:03:19Tu vends Wai.
01:03:20Bravo !
01:03:21Parce que franchement,
01:03:22là ils l'ont vendu aux Allemands,
01:03:23c'est un tour de passe-passe
01:03:24fabuleux vu le tarif.
01:03:25Mais il fallait absolument
01:03:26trouver un autre neuf
01:03:27et un neuf titulaire potentiel
01:03:28à l'Olympique de Marseille.
01:03:29Et donc là,
01:03:30tu prends un joueur
01:03:31qui est quand même
01:03:32beaucoup plus un élié gauche.
01:03:33Vous avez un meilleur joueur.
01:03:34Vous avez un meilleur joueur.
01:03:35Sauf que Wairi,
01:03:36si tu le regardes,
01:03:37et ça fait des années
01:03:38qu'on le connaît,
01:03:39c'est un joueur effectivement
01:03:40qui va te marquer
01:03:41quatre buts,
01:03:42cinq buts
01:03:43en l'espace de trois matchs
01:03:44et qu'après,
01:03:45il y a des trous noirs énormes.
01:03:46Donc ce n'est pas un joueur
01:03:47qui va te marquer.
01:03:48Ils leur vendront en juillet,
01:03:49ce n'est pas grave.
01:03:50Ils vont vendre 26 millions.
01:03:51Mais je suis désolé,
01:03:52moi je trouve que
01:03:53l'histoire de l'attaquant,
01:03:54c'était une question
01:03:55qu'il fallait résoudre
01:03:56et finalement,
01:03:57ils ont décidé de mettre
01:03:58de l'argent
01:03:59sur un autre profil.
01:04:00Bon,
01:04:01il n'y a aucune possibilité
01:04:02qu'il y ait un autre attaquant
01:04:06possible avec Marseille.
01:04:07Ils viennent de signer
01:04:08un latéral là.
01:04:09Ils veulent un central aussi,
01:04:10ils viennent de prendre
01:04:11un latéral qui vient
01:04:12de Salzbourg.
01:04:13Ils ont un truc,
01:04:14c'est un robinet.
01:04:15Moi c'est de l'eau,
01:04:16chez moi,
01:04:17eux c'est de l'argent.
01:04:18On ne sait pas comment.
01:04:19On ne sait pas,
01:04:20on a des équilibres financiers,
01:04:21on ne les comprend pas,
01:04:22personne ne les comprend.
01:04:23Si vous connaissez la marque
01:04:24et que vous savez les installer.
01:04:25Non,
01:04:26manifestement,
01:04:27il n'y a que eux
01:04:28qui le connaissent.
01:04:29Est-ce qu'on n'irait pas voir
01:04:30Michael Lefebvre
01:04:31à Monaco
01:04:32faire un petit point
01:04:33sur le match
01:04:34face à l'Agia
01:04:35puisque les Bourguignons
01:04:36mènent toujours au score
01:04:37Michael ?
01:04:38Effectivement,
01:04:39deux buts à un
01:04:40en faveur de l'Agia.
01:04:41Début de Diomandé,
01:04:42il joue bal.
01:04:43Kerrère avait ouvert le score
01:04:44pour l'Aix-Monaco
01:04:45en première période.
01:04:46On joue depuis 54 minutes.
01:04:48Triple changement
01:04:49pour Adi Huteur
01:04:50à la mi-temps
01:04:51avec les entrées
01:04:52de Mbolo, Magassa
01:04:53et Caillou-Henry
01:04:54qui est à la place
01:04:55de Maouissa,
01:04:56Camara
01:04:57et Golovin.
01:04:58Mais pour l'instant,
01:04:59pas d'effet sur le score,
01:05:00pas d'effet sur les occasions
01:05:01monégasques
01:05:02qui sont bel et bien menées
01:05:03ici au stade Louis II.
01:05:05Monaco qui...
01:05:06Je ne suis pas très sûr
01:05:07que Monaco va sortir
01:05:08Benfica finalement.
01:05:11Après,
01:05:12cette année aussi,
01:05:13à l'extérieur,
01:05:14ils ont fait nul à Lyon,
01:05:15ils ont été gagnés à Marseille,
01:05:16ils ne sont pas mauvais
01:05:17sur les gros matchs à l'extérieur.
01:05:18Sur la première mi-temps,
01:05:19ils font des différences
01:05:20incroyables
01:05:21et Monaco
01:05:22est à chaque fois
01:05:23en infériorité.
01:05:24Ils se font percer
01:05:25avec une facilité déconcertante.
01:05:26En tout cas,
01:05:27effectivement,
01:05:28Monaco va se poser des questions.
01:05:29Ça fait donc
01:05:30pour l'instant
01:05:31une victoire
01:05:32pour Florent Gazan,
01:05:33une victoire bonifiée
01:05:34on va dire
01:05:35pour Sébastien Tarrago
01:05:36et une défaite,
01:05:37il faut bien le dire,
01:05:38c'est assez rare
01:05:39pour être souligné.
01:05:40Scandale !
01:05:41Karine Gallis
01:05:42est donc l'heure
01:05:43du quatrième
01:05:45et dernier débaflage
01:05:46de la soirée.
01:05:50Neymar
01:05:51de retour
01:05:52à Santos,
01:05:53le club de ses débuts
01:05:54au Brésil.
01:05:55A 33 ans,
01:05:56il n'a joué
01:05:57que 11 matchs,
01:05:5811 petits matchs
01:05:59en Arabie Saoudite
01:06:00depuis son départ
01:06:01du Paris Saint-Germain.
01:06:03Peut-il lui permettre
01:06:04de connaître
01:06:05un dernier sursaut
01:06:06ou est-ce
01:06:07une sorte
01:06:08de jubilé
01:06:09qui annonce un peu
01:06:10la fin de carrière
01:06:11dans les mois à venir ?
01:06:12Gilles Verdez,
01:06:13vous avez 45 secondes.
01:06:14Je pensais là
01:06:15qu'il n'y aurait pas
01:06:16de sursaut Neymar.
01:06:17Vous employez le terme
01:06:18jubilé, oui,
01:06:19c'est une sorte
01:06:20de kermesse
01:06:21de fin de partie
01:06:22après sa vie dissolue,
01:06:23après la grave blessure
01:06:24au genou gauche,
01:06:25suivie d'une blessure
01:06:26à la cuisse droite
01:06:27après cette vie dissolue,
01:06:28après son corps
01:06:29qui est extrêmement fatigué,
01:06:30je pense que même
01:06:31s'il n'est plus tout à fait
01:06:32au foot,
01:06:33je n'y crois pas du tout.
01:06:34Il va redynamiser Santos,
01:06:35il y a même la voix
01:06:36par intelligence artificielle
01:06:37de Pelé
01:06:38qui lui a dit
01:06:39viens,
01:06:40ils ont recréé Pelé,
01:06:41c'est incroyable.
01:06:42L'histoire est belle
01:06:43mais elle se terminera mal.
01:06:44Il rêve de la prochaine
01:06:45Coupe du Monde
01:06:46mais dans quel état ?
01:06:47Si c'est pour réveiller
01:06:48les fantômes,
01:06:49il ne l'a jamais gagné
01:06:50quand il était bon,
01:06:51je pense que maintenant
01:06:52qu'il est mauvais,
01:06:53il ne la gagnera pas non plus.
01:06:54Vous avez dit 11 matchs
01:06:55en 17 mois,
01:06:56pour moi Neymar c'est fini.
01:06:57Neymar c'est fini,
01:06:58Gilles Verdez n'y croit pas.
01:07:00Il y a une forme
01:07:01de tristesse un petit peu.
01:07:03En tout cas,
01:07:04moi je le vis comme tel
01:07:05parce que c'est un joueur,
01:07:06je dois bien le dire.
01:07:07On parlait
01:07:08des matchs
01:07:09au Roudourou,
01:07:10moi j'ai le souvenir
01:07:11de son premier match.
01:07:12C'était son premier,
01:07:13incroyable.
01:07:14Ça restera
01:07:15un des moments forts.
01:07:16C'était un simple match
01:07:17de Ligue 1,
01:07:18c'était la première de Neymar
01:07:19mais il avait
01:07:20enchanté
01:07:21le public
01:07:22présent.
01:07:23C'est pour voir ces choses-là
01:07:24qu'on va au stade.
01:07:25C'est un phénomène.
01:07:26C'est pour ça
01:07:28qu'on accroche des posters
01:07:29sur leur mur.
01:07:30Il y a quelques matchs
01:07:31comme ça de Neymar
01:07:34qui ont scellé
01:07:35un peu plus ma passion
01:07:36du foot.
01:07:38Ce n'est pas le débat.
01:07:39Le débat c'est de savoir
01:07:40s'il y aura un sursaut
01:07:41ou pas
01:07:42à 33 ans.
01:07:44On va faire un débat
01:07:45flash sur vous.
01:07:46On va faire
01:07:47un tour de table
01:07:48plutôt
01:07:49et on va voir
01:07:50si on valide ou pas
01:07:51le point
01:07:52pour Gilles Verdez.
01:07:54Sébastien Tarrago.
01:07:56J'ai peur qu'il ait raison
01:07:57mais moi j'ai envie
01:07:58d'y croire.
01:08:00Je ne vais pas lui donner.
01:08:02Vous m'avez compris.
01:08:03Il ne va pas m'en vouloir.
01:08:04Non.
01:08:05J'ai envie d'y croire.
01:08:06J'ai envie de croire
01:08:07à la Coupe du Monde.
01:08:08Il y a un peu de nostalgie
01:08:09et d'irrationalité aussi.
01:08:11Florent Gazan.
01:08:12J'aimerais bien y croire
01:08:13mais
01:08:15je crois
01:08:16que je n'y crois pas.
01:08:18Donc non, je ne lui donne pas
01:08:20le point.
01:08:21Karim Ghali.
01:08:22Je donne le point.
01:08:23On va garder le suspense
01:08:24entier.
01:08:25On va faire le petit détour
01:08:26par Louis II
01:08:27puisque ça réagit
01:08:28côté Monegasque.
01:08:29Mickaël Lefebvre.
01:08:30Et oui, enfin
01:08:31du côté de l'AS Monaco
01:08:32avec l'égalisation
01:08:33de Micka Adir
01:08:34avec le deuxième but
01:08:35de la recrue hivernale
01:08:36de l'AS Monaco.
01:08:37Il est venu tromper
01:08:38d'un plat du pied
01:08:39de le gardien
01:08:40de la GIA
01:08:41la cinquante septième minute
01:08:42de cette rencontre.
01:08:43Donc Monaco égalise
01:08:44face à Hausser
01:08:45de but partout.
01:08:46À Kriouf, je l'aime.
01:08:48De but partout.
01:08:49Donc si on se résume
01:08:51Sébastien Tarrago
01:08:52et Florent Gazan.
01:08:54Moi, je donne le point à Gilles.
01:08:55Vous avez donné le point.
01:08:57C'est bien ça.
01:08:58On est à un point.
01:08:59Donc Karim Ghali
01:09:00va décider ou non
01:09:01de la victoire
01:09:02de Gilles Verdez.
01:09:03C'est mon drame
01:09:04parce que je suis obligé
01:09:05de le donner à Gilles.
01:09:06Je suis d'accord avec lui.
01:09:07Arrêtons de rêver.
01:09:08Arrêtons d'espérer.
01:09:09Déjà son arrivée
01:09:10en hélicoptère
01:09:11sur la pelouse.
01:09:12Il a dit merci
01:09:13aux dindons
01:09:14qui ont payé
01:09:15une fortune
01:09:16pour le voir
01:09:17sept matchs
01:09:18en Arabie Saoudite, etc.
01:09:19Non, c'est trop.
01:09:20Je suis désolé.
01:09:21Il nous aura beaucoup plu
01:09:22mais il nous aura aussi
01:09:23beaucoup déçu
01:09:24et beaucoup frustré.
01:09:25Bon, Sébastien,
01:09:26au-delà de l'envie,
01:09:27il y avait...
01:09:28Non, mais bien sûr,
01:09:29la raison amène
01:09:30à souscrire
01:09:31à la thèse de Gilles.
01:09:32Il est très fragile.
01:09:33Est-ce qu'aujourd'hui,
01:09:34psychologiquement,
01:09:35il est prêt
01:09:36à effectuer
01:09:37des efforts nécessaires
01:09:38pour redevenir
01:09:39un joueur de haut niveau ?
01:09:40Je n'en sais rien.
01:09:41J'ai des doutes, évidemment.
01:09:42Moi, je rêve
01:09:43quelque part
01:09:44d'une Coupe du Monde
01:09:45à la Maradona.
01:09:46Bon, ça,
01:09:47le contrôle antidopage,
01:09:48c'est possible.
01:09:49Oui, ça peut se terminer
01:09:50autrement qu'avec...
01:09:51Et avec
01:09:52une préparation incroyable.
01:09:53Alors, je sais,
01:09:54vous allez me dire,
01:09:55le foot a changé,
01:09:56c'est plus dur,
01:09:57c'est compliqué
01:09:58de se préparer
01:09:59comme ça
01:10:00pour une compétition.
01:10:01Y compris au Brésil.
01:10:02Oui, oui.
01:10:03Mais j'ai envie d'y croire
01:10:04parce que j'aimerais...
01:10:05L'histoire serait incroyable.
01:10:06Elle serait magnifique.
01:10:07Ce serait
01:10:08un truc incroyable.
01:10:09Eric Sylvestreau,
01:10:10on s'est beaucoup posé
01:10:11la question.
01:10:12Salut, Eric.
01:10:13Le veut-il ?
01:10:14Le peut-il aussi ?
01:10:15Il va être encore
01:10:16un nouveau patron.
01:10:17Même s'il le veut,
01:10:18il ne s'est déjà pas sûr.
01:10:19Est-ce qu'il le pourra ?
01:10:20Le vouloir et le pouvoir.
01:10:21C'est un peu comme Monaco
01:10:22face à Benfica
01:10:23en Ligue des Champions.
01:10:24Mais comme tout le monde,
01:10:25on a envie de voir
01:10:26les grands joueurs brillants.
01:10:27Hein ?
01:10:28Monaco face à Benfica
01:10:29en Ligue des Champions,
01:10:30le vouloir et le pouvoir.
01:10:31Ça sera ça.
01:10:32On verra.
01:10:33C'est vrai qu'il gagne
01:10:34face à Hausser, c'est pas...
01:10:35Oui, parce qu'ils font
01:10:36un très mauvais match.
01:10:37On passe la main à Eric Sylvestreau
01:10:38avec la dernière affiche
01:10:39de la soirée.
01:10:40Ce sera l'Île-Saint-Étienne
01:10:41avec Lille,
01:10:42le représentant,
01:10:44On se retrouve la semaine prochaine
01:10:45à 19h
01:10:46et en attendant tous les jours
01:10:47avec la quotidienne,
01:10:48le podcast
01:10:49sur rtl.fr,
01:10:50sur l'appli
01:10:51et sur les plateformes partenaires.
01:10:53Salut à tous.

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