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00:00des militants pro-immigration ont distribué un tract intitulé
00:03« Réagir en cas de déportation près des portes d'embarquement de l'aéroport Charles de Gaulle à Paris ».
00:08C'est un journaliste de Valeurs Actuelles qui a partagé l'information.
00:10Ce tract appelle les passagers des avions à empêcher l'expulsion des personnes
00:14faisant l'objet d'une obligation de quitter le territoire français.
00:16Au QTF, bien entendu.
00:17Qu'est-ce que vous en pensez sur Europe 1.0, 1.80, 1.20, 1.39, 1.21 ?
00:22C'est révoltant.
00:23L'émission n'a jamais aussi bien porté son nom.
00:24Non mais c'est révoltant et puis on aborde ce sujet depuis un long moment dans cette émission.
00:28C'est-à-dire que le but de ces militants, c'est de créer une scène de tumulte dans l'avion
00:32pour que les pilotes disent « on ne peut pas décoller, c'est l'insurrection à bord, on ne peut pas décoller dans ces conditions ».
00:38Ça rappelle aussi, souvenez-vous Cyril, ce que nous avait dit la mère d'un pilote en direct sur Europe 1.
00:43Elle nous avait dit que les OQTF, donc ceux qui étaient sous obligation de quitter le territoire,
00:47pour éviter l'expulsion, ils se faisaient dessus et s'enduisaient de leur propre excrément
00:55pour pouvoir éviter l'expulsion.
00:58Pour que ça crée une scène de tumulte à bord et qu'on ne puisse pas les expulser dans cet état.
01:05Vous avez vu en plus, le plus choquant dans ce tract que révèle un journaliste de Valeurs Actuelles
01:10qui serait donc distribué à Roissy.
01:13« Réagir en cas de déportation ».
01:15Le terme.
01:16C'est très grave.
01:17Bien sûr.
01:18Il compare ça à la déportation.
01:20C'est une manipulation.
01:21C'est du négationnisme.
01:22Parce que si c'est ça la déportation, je vous garantis que les Juifs auraient adoré être déportés comme ça dans les années 40.
01:28Quitter le pays, excusez-moi, c'était bien mieux que d'aller dans les camps de concentration.
01:31Donc en fait, c'est comme ça.
01:32C'est du négationnisme.
01:33Il faut vraiment que ces associations font du négationnisme.
01:36Et c'est la même chose.
01:37Ce qui est choquant, c'est le parallèle.
01:39C'est le parallèle.
01:40C'est la comparaison.
01:41C'est ce que dit Gauthier Lebray.
01:42C'est ça, c'est la comparaison.
01:43En plus, c'est fait sciemment.
01:45C'est ça.
01:46Ils n'ont pas choisi ça par hasard.
01:48Ils comparent ça à un génocide.
01:50Quand ils mettent réagir en cas de déportation, ils font exprès.
01:53Ils comparent ça à un génocide.
01:54C'est extrêmement grave.
01:55Ces gens sont un danger pour la France.
01:58Vraiment, c'est un danger pour la France.
01:59Réagissez.
02:000 à 80, 20, 39, 21.
02:01Alors, les militants pro-immigration appellent les passagers à sauver une vie.
02:06Avant le décollage de l'avion, vous pouvez parfois sauver une vie.
02:09Ces actions mènent dans 7 cas sur 10 au débarquement à libération de la personne concernée.
02:13Les passagers sont invités à se manifester en vérifiant s'il y a quelqu'un au fond de l'avion
02:18puis en essayant de parler avec la personne embarquée.
02:20Si la personne refuse la déportation, informez les autres passagers
02:24et tentez de vous solidariser dans un refus que la personne soit embarquée de force.
02:27Vous pensez vraiment qu'il y a des passagers qui cèdent ?
02:29Bien sûr, il peut y en avoir.
02:30Par peur ? Par intimidation ?
02:32Non, non, non.
02:33Par idéologie ?
02:34Par idéologie, exactement.
02:35Des passagers ?
02:36Bien sûr.
02:37Mais réveillez-vous, Géraldine Manier.
02:39Je veux bien qu'il y ait des militants totalement endoctrinés.
02:41On les connaît, on en parle régulièrement.
02:42Bien sûr qu'il peut y en avoir.
02:43Tant de passagers dans un vol régulier, moi je serais curieuse de voir le pourcentage.
02:47Les passagers dans les vols réguliers, c'est que des mecs...
02:49Il n'y a pas de mecs d'extrême-gauche ou du Berlut ?
02:52Si, mais je ne suis pas sûre qu'il y a...
02:54Entre des idées et un passage à l'acte, je ne suis pas sûre qu'il y en ait beaucoup qui s'y opposent.
02:59Bien sûr, s'il y a un mouvement, bien entendu que si.
03:02C'est sûr que si.
03:03Restez avec nous sur Europe 1.0 à 81.20, 39.21.
03:06On a un pilote de ligne qui est avec nous.
03:08Jean-François qui sera avec nous dans un instant en ligne, qui nous a appelés.
03:11Et puis bien entendu, rappelez-vous, je vous l'ai dit, il y a une grande nouvelle.
03:15Truc de fou.
03:16Lundi sur Europe 1.0, on aura un invité.
03:19Si j'avais à choisir un invité actuellement, ce serait lui.
03:23Je sais qui c'est, mais je ne dis pas.
03:24Il a dit oui.
03:25Il sera avec nous.
03:26Pour moi, c'est exceptionnel.
03:30Appelez-nous 01.80.20.39.21 pour savoir de qui il s'agit.
03:35Il sera avec nous de 16h à 17h sur Europe 1.0 avec les auditeurs.
03:39Il répondra aux auditeurs et bien sûr aux questions des personnes qui seront là.
03:42Parce que là, je vais faire une équipe au cordeau.
03:44Ce sera resserré.
03:45Quand je dis au cordeau, c'est au cordeau.
03:47Il n'y aura que toi, Gauthier.
03:48Exactement.
03:49Il y aura apparemment le cordeau et le renard.
03:52Restez avec nous sur Europe 1.0.
03:54Europe 1.0, 16h, 18h.
03:56On marche sur la tête.
03:58Cyril Hanouna.
03:59On marche sur la tête sur Europe 1.0, 17h32.
04:01On est heureux.
04:02On est bien.
04:03Non seulement parce qu'on est avec vous, mais en plus, on marche sur la tête, vous le savez.
04:07Et l'émission qui a le plus progressé, toute radio confondue.
04:10C'est magnifique.
04:11C'est grâce à vous qui êtes autour de la table, bien entendu.
04:13Bravo.
04:14Celui qui est au bout de la table, surtout.
04:15Non, non, non.
04:16Arrêtez.
04:17Ne parlez pas de Dartigold comme ça.
04:19Merci.
04:20J'ai accepté avec plaisir.
04:21Merci.
04:22Alors, on a une grande nouvelle.
04:24Si vous trouvez qui est l'invité lundi, bien sûr, hébergement, transport.
04:29De Paris.
04:30Voilà, vous viendrez avec nous à la radio, etc.
04:32018203921, vous nous appelez pour savoir qui est notre invité lundi.
04:36C'est, pour moi, je ne pouvais pas rêver mieux.
04:38Je ne peux pas rêver mieux actuellement.
04:40Je le dis.
04:41Je ne peux pas rêver mieux actuellement.
04:42En politique au moins ?
04:43En tout, en tout.
04:44Non, non.
04:45En tout, en tout.
04:46A toute catégorie ?
04:47Toute catégorie, oui.
04:48Sport, tout ?
04:49Tout, tout, toute catégorie.
04:50Jean-François est avec nous, bien sûr, des Alpes-Maritimes, parce qu'on va réagir.
04:54Il y a beaucoup d'auditeurs qui veulent réagir à cette info qu'il va nous redonner, bien
04:58entendu, Gauthier Lebray.
04:59Donc, c'est une information de nos confrères de Valeurs Actuelles.
05:03Hier, des militants pro-immigration ont distribué un tract pour informer les passagers des avions
05:11de Roissy-Charles-de-Gaulle comment s'opposer en cas d'expulsion d'OQTF.
05:15Parce que vous savez que les OQTF, il y a les charters.
05:18Il y en a quelques-uns, d'ailleurs, qu'a fait partir Bruno Rotailleau.
05:20Donc, rempli à 100% de personnes sous obligation de quitter le territoire avec les policiers
05:25qui les accompagnent.
05:26Et puis, il y a des expulsions qui se font par des avions de ligne classique.
05:29Donc, vous pouvez être dans un avion et avoir quelqu'un sous OQTF qui est accompagné de
05:33policiers pour l'expulser.
05:35Et donc, ces militants essayent de créer des scènes de tumulte au sein de l'avion.
05:40Ce qui permet ensuite de dire aux pilotes, écoutez, je ne suis pas dans la capacité
05:45de décoller.
05:46Il y a une scène d'insurrection au sein de mon avion.
05:49Et donc, ils ont mis un petit manuel.
05:51Comment en fait créer une scène d'insurrection dans un avion avec le titre « Réagir en
05:55déportation ».
05:56Donc, ces militants d'extrême gauche comparent.
05:58Ils sont aussi invités à s'opposer et à empêcher la fermeture des portes de l'avion.
06:02On leur recommande même de rester debout en signe de protestation et à lancer une
06:06polémique avec les autres passagers.
06:07Alors, il y a Géraldine Maillet, il y a un instant, qui nous dit « Qui ferait ça ? ».
06:09Mais, Gauthier Lebray et moi, qui sommes dans la vraie vie, on a la scène.
06:13Mais la scène, on vous l'écrit, on vous la fait en direct.
06:16Mais allez-y !
06:17Alors, j'arrive.
06:18Donc, il y a les personnes sous OQTF qui arrivent, qui disent « C'est scandaleux,
06:21libérez-moi, libérez-moi, libérez-moi, libérez-moi, je vais être expulsé ».
06:24Là, vous avez la petite gauchiste dans l'avion.
06:26Elle ne prend pas l'avion, la gauchiste.
06:27Elle rigole, mais tu rigoles.
06:30Mais tu rigoles, la petite gauchiste du Marais qui mange du quinoa, tu crois qu'elle ne
06:35prend pas l'avion pour aller à Marrakech le week-end ?
06:37Bien entendu.
06:38Voilà, évidemment, ou ailleurs.
06:40Elle a raison.
06:41Elle roule en voiture électrique.
06:42Non, non, c'est un scandale.
06:43C'est un scandale.
06:44Libérez cet homme, libérez cet homme, c'est un scandale.
06:46Exactement.
06:47Et là, t'as le vieux.
06:48Avec une pipe.
06:52Qui se rappelle ce qu'il était en mai 68 sur les barricades.
06:55Il fait « oui, c'est pas possible, c'est pas permis, libérez cet homme ».
06:59Là, il y a toujours un mec derrière « hé, libérez cet homme, les fachos ».
07:03C'est au théâtre ce soir.
07:05Et là, il y a la pilote qui sort de son cockpit et qui fait « je ne suis pas en mesure de décoller,
07:09excusez-moi, c'est un scandale ».
07:11Là, je ne sais pas s'il y a dans l'avion des mecs un peu comme moi.
07:14Voilà, truc, silence.
07:16Là, ça va.
07:18Oui, qu'est-ce qui s'arrive ?
07:19Je vais essayer de calmer tout ça, bien entendu.
07:20Et en s'opposant, on ne risque rien pénalement.
07:22On ne risque pas d'un moment de choses comme ça.
07:24Laissez-moi rentrer dans la conversation.
07:26Vous vous rappelez que je suis venu pour parler de Trump.
07:28En revanche, aux Etats-Unis, ça ne se passerait pas comme ça.
07:31Parce que non seulement le type serait expulsé,
07:34mais le gauchiste,
07:36pouilleux, punk à chien,
07:38qui viendrait à terre.
07:40Calmez-vous.
07:42Laissez-le parler, tranquillement.
07:44Qui viendrait s'opposer.
07:46Lui aussi, il serait sorti de l'avion
07:48et il serait banni de la compagnie aérienne à vie.
07:50C'est exactement ce qui est arrivé plusieurs fois.
07:52Il y a beaucoup d'images qui ont circulé.
07:54On voyait les gens qui essayaient de se mêler.
07:56Et là, c'est arrivé une fois, deux, trois fois.
07:58Maintenant, ça n'arrive plus.
07:59On expulse le type, très clairement.
08:01Et vous savez ce qui est formidable,
08:03parce qu'on m'avait invité pour parler de Trump
08:05et de les expulsions.
08:07La politique de Trump est très claire.
08:09D'abord, il va expulser les criminels.
08:11Tous les gens qui ont commis des délits.
08:13Ce qu'on appellerait en France des OQTF qui ont causé des problèmes.
08:15Ça, c'est le premier point.
08:18Et ça, il faut le remercier.
08:19Il avait dit pendant sa campagne,
08:21tous ceux qui manifestent dans les universités
08:23contre les Etats-Unis, en soutien de groupes terroristes
08:25type Hamas, Hezbollah ou T.
08:27Tous ces gens-là, on a vos noms.
08:29On sait qui vous êtes et on vous expulsera.
08:31Tous ces gens qui ont des visas étudiants,
08:33ils ne vont plus pouvoir étudier aux Etats-Unis.
08:35Merci Donald Trump.
08:37Merci Philippe Kersanti. Restez avec nous.
08:39On a Jean-François qui est avec nous
08:41des Alpes-Maritimes.
08:43Jean-François qui est pilote de ligne.
08:45On va le prendre dans un instant.
08:47Je voudrais avoir l'avis d'Olivier D'Artigolle.
08:49Il est effondré par votre sketch.
08:51Notre sketch était incroyable.
08:53C'était incroyable. On y était.
08:55Olivier D'Artigolle, à chaque fois que je me tourne vers lui,
08:57il dort debout toute l'émission.
08:59Non, je suis très attentif.
09:01Je lui dis, et vous,
09:03qui se faisant penser ?
09:05De quoi ?
09:07J'allais répondre.
09:09J'attendais l'acte 2 de la pièce.
09:11Qu'est-ce qu'il dit ?
09:13Quelqu'un,
09:15je l'ai toujours dit,
09:17parce que vous me soupçonnez sur ce dossier-là,
09:19une personne qui est sous OQTF,
09:21elle doit quitter le territoire national.
09:23Puisqu'il y a eu une décision d'OQTF.
09:25Après, le fait que ça puisse se faire
09:27dans de bonnes conditions sur le plan humain,
09:29que les choses puissent se passer correctement,
09:31tant mieux. Ce tract est insupportable
09:33tout simplement parce qu'il détourne
09:35et il utilise le terme de déportation.
09:37Olivier, on te donne ce tract.
09:43T'es dans un avion.
09:45Je m'interpose pas.
09:47Il fait rien, il est avec sa meuf,
09:49en train d'embrouiller sur Bélaïd.
09:51Tu l'as dit tout à l'heure.
09:53Il est de gauche et il fait rien.
09:55C'est tout.
09:57Mais il y a une décision.
09:59Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
10:01On se retrouve dans un instant.
10:03Il y a plein de gens qui vont réagir.
10:05Dans un instant, on vous dira
10:07quelle est la nouvelle pour lundi.
10:09On revient dans une minute.
10:17Merci d'être avec nous sur Europe 1.
10:19Qu'est-ce qu'on est heureux d'être là ?
10:2117h40, on est en direct, bien entendu.
10:23On parle de cette affaire.
10:25Bien sûr, à Roissy,
10:27des militants
10:29qui ont mis un tract
10:31réagir en cas de déportation.
10:33Ils disent
10:35qu'il y a des OQTF
10:37qui doivent être
10:39dans l'avion.
10:41C'est incroyable. Je relis ça.
10:43C'est pour ça que je suis complètement fou.
10:45C'est incroyable.
10:47On leur recommande même de rester debout
10:49en signe de protestation
10:51et à lancer une polémique avec les autres passagers.
10:53La bordélisation.
10:550 à 80, 29, 21.
10:57Vous êtes sur Europe 1.
10:59Il y a Jean-François, qui est pilote de l'IME,
11:01qui va réagir. On va prendre également
11:03beaucoup d'auditeurs qui veulent jouer avec nous.
11:05Il y a une très bonne nouvelle.
11:07Très bonne nouvelle pour lundi.
11:09Dites-nous à votre avis, quelle est la bonne nouvelle ?
11:11Jean-François, des Alpes-Maritimes.
11:13Bonjour Jean-François.
11:15Merci de traverser, Jean-François.
11:17Merci de m'écouter.
11:19Juste, la réglementation
11:21internationale autorise à un commandant
11:23de bord à débarquer tout passager
11:25qui trouble le bon ordre à bord de l'avion.
11:27J'ai déjà eu ce genre
11:29de petit personnage qui mange
11:31du quinoa, comme vous dites.
11:33Il a commencé à me dire
11:35s'il y a quelqu'un à un reconduit frontière,
11:37je le mets au poter, etc.
11:39Je lui ai dit, d'abord, c'était quand même
11:41une décision de justice. Il était avocat.
11:43Vous savez à quoi vous vous exposez.
11:45S'il y a une personne qui sera débarquée de l'avion,
11:47ce ne sera pas lui, ce sera vous, parce que vous
11:49troublez l'ordre de l'avion.
11:51Il s'est vite calmé. Il s'est assis. Il n'a rien dit.
11:53Pour la petite histoire,
11:55il y a une chose aussi que vous pouvez
11:57vérifier, si vous le souhaitez, auprès de policiers
11:59de la police des aires
12:01et des frontières, parce qu'à chaque fois
12:03je demande un peu
12:05quelle est la température vis-à-vis
12:07de passagers reconduits.
12:09Et certaines fois, ça m'est arrivé deux fois,
12:11ils m'ont dit, il va être très calme, parce que de toute façon
12:13il rentre chez lui. Il s'est auto-dénoncé
12:15au commissariat
12:17et l'état français lui paye son billet retour
12:19gratuitement.
12:21Voilà.
12:23Vous entendez ça ?
12:25Je retiens un truc aussi, Jean-François.
12:27Parce que Géraldine Maillet
12:29disait, est-ce qu'il y a des gens qui font ça ?
12:31Bien sûr qu'il y en a.
12:33On les connaît.
12:35Mais quand vous en avez un, vous pouvez faire débarquer une personne.
12:37Mais si vous devez faire débarquer la moitié de l'appareil...
12:39C'est compliqué.
12:41Il y a bien des
12:43expulsions qui sont avortées, qui sont empêchées.
12:45On a eu des témoignages dans ce sens.
12:47Sinon, ces militants ne distribueraient pas
12:49ces tracts si ça ne marchait pas.
12:51Bien sûr. Et il y a beaucoup d'OQTF
12:53qui refusent de partir.
12:55Des fois, on a des papiers comme quoi on va avoir un ou deux
12:57reconduits frontières. Et en fait,
12:59ils ne veulent pas venir, donc ils ne viennent pas et on ne les a pas.
13:01Exactement.
13:03C'est incroyable. Jean-François, franchement, je vous dis,
13:05on marche sur la tête, l'émission porte vraiment bien son nom.
13:07Un peu. Oui, c'est vrai.
13:09Merci de votre témoignage, Jean-François.
13:11Merci d'avoir été avec nous.
13:13Merci beaucoup.
13:15Merci beaucoup.
13:17C'est fou parce que... Voyez Jean-François.
13:19On voit bien que c'est quelqu'un
13:21qui a la tête sur les épaules.
13:23En tout cas, il n'est pas dans l'idéologie.
13:25Il est concret.
13:27On est vraiment
13:29pollués
13:31parce que
13:33on est pollués par des uluberlus
13:35qui, je vous le dis pour moi,
13:37qui paralysent le pays.
13:39Je le pense vraiment. Parce que
13:41on en rigole, mais ces gens-là
13:43paralysent beaucoup plus le pays qu'on ne le croit.
13:45Surtout, ils instrumentalisent
13:47la déportation.
13:49Je ne parle pas que de cet exemple-là.
13:51Je parle de tout.
13:53C'est dans l'ensemble.
13:55En général, on a des uluberlus
13:57parce que pour moi,
13:59c'est vraiment des gugusses
14:01qui paralysent
14:03la France. Et ça, à un moment,
14:05il va falloir faire quelque chose parce que, je vous le dis,
14:07on va tout droit dans le mur.
14:09On aura quand même une bonne nouvelle. Lundi,
14:11je vous rappelle qu'on a un invité de marque.
14:13Pour moi, c'est le mieux
14:15qu'on puisse avoir actuellement. 0180
14:173921, vous nous dites ce que vous en pensez.
14:19Il y a des auditeurs qui veulent réagir sur tout.
14:21Il y a Janie de Normandie. Bonjour, Janie.
14:23Oui, bonjour. Comment ça va,
14:25Cyril ? Très bien, Janie.
14:27Merci d'être avec nous sur Europe 1.
14:29Écoutez, moi, je suis quand même assez
14:31ouverte en France.
14:33On tolère encore des choses comme ça.
14:35De monter dans un avion.
14:37Je pense
14:39aussi que
14:41les personnes qui sont dans l'avion,
14:43les passagers, il y en aura beaucoup
14:45du pays, des personnes
14:47expulsées. Ils risquent
14:49aussi de se mettre du coup
14:51avec ces personnes pour
14:53les supporter,
14:55les encourager
14:57à rester aussi.
14:59Au-delà de ça,
15:01Janie, je vais vous dire,
15:03c'est toujours les mêmes.
15:05C'est insupportable.
15:07Quand est-ce qu'on aura quelqu'un chez nous qui va réagir comme eux ?
15:09Moi, je pense qu'il n'y en a qu'un qui peut le faire.
15:11C'est Zemmour, franchement.
15:13Je pense que c'est le seul qui peut
15:15avec les autres.
15:17Aujourd'hui, ça me semble difficile.
15:19Mais il faut qu'ils s'allient, qu'ils se mettent
15:21ensemble.
15:23Le problème, vous savez, il y a des égos
15:25tellement surdimensionnés.
15:27Mais je vais vous dire, moi, Janie,
15:29je vous jure, je n'en peux plus.
15:31Je n'en peux plus.
15:33Il y a un manque d'autorité.
15:35Il y a un je-m'en-foutisme,
15:37excusez-moi, il y a un laxisme
15:39qui est insupportable ici.
15:41Quelqu'un de droite
15:43qui ferait ce qu'ils sont en train de faire
15:45avec l'ospectus,
15:47vous vous rendez compte, ça serait la fin du monde.
15:49De parler de déportation,
15:51ça serait la fin du monde.
15:53Tout se rejoint, parce qu'aujourd'hui, on a parlé
15:55un petit peu de Donald Trump, on a parlé du président de l'ARCOM
15:57qui va chez Télérama, qui va chez France Inter,
15:59qui va faire une interview dans Le Monde.
16:01Tout ça se rejoint, Janie.
16:03Tout ça se rejoint.
16:05On ne va pas se mentir.
16:07C'est pareil.
16:09Il y a une majorité qui emmerde
16:11une majorité et qui pourrit
16:13la vie d'une majorité.
16:15Et malheureusement,
16:17personne ne bouge.
16:19Tout le monde laisse faire.
16:21Non, on préfère supprimer des chaînes.
16:23On rentre dans
16:25un pays
16:27d'autorité tel
16:29que ça va être
16:31l'Afghanistan bientôt.
16:33Janie, on a été capables,
16:35pour moi,
16:37on a supprimé
16:39une chaîne de télévision.
16:41Pour moi, on a volé les élections.
16:43Je suis désolé.
16:45Ce n'était pas la peine
16:47de dissoudre l'Assemblée.
16:49C'était pour faire ça.
16:51Il ne fallait pas le faire.
16:53Pour moi, les Français,
16:55ce qui s'est passé entre les deux tours,
16:57pour moi, c'est inadmissible.
16:59Et ça encore, c'est passé.
17:01Mais à un moment, les Français, croyez-moi,
17:03ils en auront le bol.
17:05Les élections, ce ne sera pas la même chose.
17:07C'est vraiment devenu...
17:09Et puis, c'est toujours les mêmes
17:11qui, excusez-moi,
17:13c'est ces donneurs de leçons
17:15qui pensent qu'ils ont raison sur tout.
17:17Alors qu'ils se trompent depuis des années
17:19sur tout. Ils ont emmené
17:21le pays dans le mur. Parce que c'est ces idéologies-là
17:23qui ont emmené le pays dans le mur. Mais ça continue.
17:25Ils continuent. Ils sont contents.
17:27Et puis, ils préfèrent garder les gens pauvres.
17:29Ils ont comme ça un pouvoir sur eux, au lieu de
17:31les faire monter, de leur donner de la valeur.
17:33On les tire vers le haut, ils les tirent vers le bas.
17:35Mais ça, c'est pour dominer.