-Une rixe à l'arme blanche éclate à Saint-Étienne, trois blessés, dont un grièvement, une enquête est ouverte.
- Le député Pierrick Courbon nommé co-Président du groupe d'études à l'Assemblée, il souhaite aborder des enjeux sociaux et économiques.
- La grippe continue de circuler en Loire, avec une pénurie de vaccins dans les pharmacies malgré une demande élevée.
- La Finale Régionale du Championnat de France du Dessert se tient à Saint-Chamond, un jury d'experts évalue les créations gourmandes des candidats.
Le Sirha à Lyon ouvre ses portes jeudi 23 janvier, un salon dédié aux professionnels de la restauration, avec des entreprises de la Loire présentes pour présenter leurs innovations.
-L'Engie Open à Andrézieux-Bouthéon revient en février 2025, le tournoi de tennis féminin attire des joueuses de niveau mondial.
-Une compétition régionale de jeunes bergers se déroule à Vendranges, pour sélectionner les futurs talents de l'élevage de brebis.
-À Andrézieux-Bouthéon, une exposition de minerais attire les collectionneurs et passionnés de lithothérapie .
- Le député Pierrick Courbon nommé co-Président du groupe d'études à l'Assemblée, il souhaite aborder des enjeux sociaux et économiques.
- La grippe continue de circuler en Loire, avec une pénurie de vaccins dans les pharmacies malgré une demande élevée.
- La Finale Régionale du Championnat de France du Dessert se tient à Saint-Chamond, un jury d'experts évalue les créations gourmandes des candidats.
Le Sirha à Lyon ouvre ses portes jeudi 23 janvier, un salon dédié aux professionnels de la restauration, avec des entreprises de la Loire présentes pour présenter leurs innovations.
-L'Engie Open à Andrézieux-Bouthéon revient en février 2025, le tournoi de tennis féminin attire des joueuses de niveau mondial.
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-À Andrézieux-Bouthéon, une exposition de minerais attire les collectionneurs et passionnés de lithothérapie .
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00:00Les pharmacies ligériennes font face à une pénurie de vaccins anti-grippe, tout comme sur le plan national.
00:20L'épidémie de grippe s'étant renforcée ces dernières semaines, vous êtes nombreux à vouloir vous faire vacciner, on vous explique les raisons de cette pénurie.
00:27On parlera de gourmandise avec le championnat de France du dessert, la finale régionale Centre-Est avait lieu dans notre département, une compétition permettant de révéler de jeunes talents.
00:37Enfin place à un concours original pour susciter des vocations et devenir berger, plusieurs dizaines de jeunes ont réalisé une série d'épreuves pratiques où ils reproduisent les gestes quotidiens d'un éleveur de brebis.
00:50Bonjour à tous, soyez les bienvenus. Avant de développer ces titres, voici en bref les informations qu'on peut retenir pour aujourd'hui.
00:58C'est une rixe à larmes blanches qui a éclaté hier soir en pleine rue dans le quartier de Terre-Noire à Saint-Etienne.
01:04Un homme âgé de 43 ans a été grièvement blessé, deux autres victimes ont été plus légèrement touchées, les circonstances des faits ne sont pas précisées, une enquête de police est actuellement en cours.
01:15Le député de la Loire, Pierrick Courbon, vient d'être nommé coprésident du groupe d'études vie associative, éducation populaire et bénévolat de l'Assemblée nationale.
01:25La mission est d'assurer une veille juridique et technique sur des questions bien spécialisées.
01:30Le député ligérien affirme dans un communiqué vouloir travailler sur différentes propositions, notamment la question du modèle économique des centres sociaux, mais aussi du sujet sensible des retraites.
01:42On ouvre à présent une page santé, celle, je le disais dans les titres, avec la grippe qui continue de sévir dans notre département.
01:50Tout comme au niveau national, la Loire fait face à une pénurie de vaccins.
01:55Pour trouver une injection, il faut courir un petit peu partout.
01:58Alexandre Crouset a poussé la porte d'une pharmacie à Saint-Bonnet-le-Château.
02:04Classiquement, les vaccins de la grippe étaient en haut là, il n'y en a plus un seul.
02:09Si la demande est toujours forte, le vaccin contre la grippe se fait rare dans les pharmacies.
02:13La faute à une forte demande durant la période des fêtes de fin d'année.
02:17Jacques lui s'est montré prévoyant pour éviter la pénurie.
02:21Je sais qu'une bonne grippe, ça peut être quand même très, très mauvais.
02:24Donc, vous vous préconisez d'entrer, de se vacciner dès que la campagne est lancée ?
02:29Enfin, moi, c'est ce que je fais, les gens font ce qu'ils veulent.
02:32Mais les risques dus aux vaccins, dont on a parlé pour différents vaccins,
02:36me semblent quand même beaucoup moins importants que les risques d'une forte grippe ou d'une mauvaise Covid.
02:42Pour moi, ce n'est pas utile.
02:44Après, chacun a son avis, mais pour moi, ce n'est pas...
02:47Je n'ai jamais fait et peut-être que si, plus tard, je le ferai, mais pour l'instant...
02:51Plus qu'un simple problème de stock,
02:53ce pharmacien déplore chaque année un timide début de campagne de vaccination
02:56et rappelle que pour éviter d'être malade,
02:58il faut se vacciner en amont du pic de l'épidémie.
03:01Le bilan de cette campagne de vaccination n'est pas très bon.
03:04Alors, on a certes beaucoup vacciné, mais finalement pas suffisamment tôt.
03:08Les gens, en fait, se sont réveillés pour se faire vacciner à la période des fêtes,
03:12au moment où l'épidémie a commencé à frapper très fort.
03:15Et malheureusement, on ne se vaccine pas pendant l'épidémie,
03:17mais en amont, justement, pour éviter d'être malade.
03:19Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, on a encore beaucoup de demandes,
03:21alors que classiquement, le 15 janvier, la campagne est totalement terminée.
03:24Une grippe qualifiée de sévère et mortelle dans le dernier bilan de Santé publique France.
03:29Sur la semaine du 6 au 12 janvier 2025,
03:327,9% des décès étaient liés à la grippe dans la région Verne-Rhône-Alpes.
03:38Et à suivre dans votre journal, découvrez un concours très original.
03:42C'est une invitation pour découvrir le métier d'éleveur de brebis
03:46dans le but de créer des vocations et d'installer une toute nouvelle génération.
03:52Trois heures, pas une minute de plus pour créer le dessert
03:55qui fera saliver les papilles du jury
03:58et les séduira par son originalité.
03:59Aujourd'hui, s'est tenue la finale régionale centre-est
04:02du 51e championnat de France du dessert.
04:05Les candidats, élèves de lycées hôteliers,
04:07mais également des professionnels de pâtisserie,
04:10se sont retrouvés au lycée Les Petites Brouillères,
04:12c'est à Saint-Chamond, pour proposer le meilleur dessert.
04:15Organisation, savoir-faire, tout est scruté sous les yeux d'un jury
04:19présidé par le chef Antoine Bergeron du restaurant étoilé La Source à Saint-Galmier.
04:23Thibaut Rivière nous fait revivre cette journée gourmande.
04:26Sauf la guinoise, c'est le seul truc qui a...
04:29Mais tout s'est bien passé.
04:32Coralie a 20 ans et vient de terminer sa poire Belle-Hélène.
04:35Elle a eu trois heures pour préparer son dessert de restaurant
04:39afin de représenter la région centre-est au championnat de France de dessert.
04:43Donc ils ont trois heures pour faire dix assiettes identiques.
04:46Ils partent de l'ingrédient pur, pas mélangé,
04:50ils partent du fruit, du légume, pas épluché
04:52et toutes les préparations doivent être faites sur place.
04:55Et là on est au moment des envois, donc toutes les sept minutes,
04:58le jury dégustation va découvrir les assiettes.
05:01Et donc c'est pour ça qu'ils doivent envoyer parfaitement à l'heure
05:04puisqu'on a des glaces, on a des préparations chaudes, froides.
05:07Et donc c'est un mélange très savant pour qu'un dessert arrive
05:10exactement comme à l'entraînement.
05:12Son dessert, elle le connaît par cœur, comme les six autres candidats.
05:16Et l'étudiante doit respecter à la lettre le dossier envoyé au concours.
05:21C'est jouer sur les températures, jouer sur les textures.
05:24Donc ça c'est important, comme on peut le faire en boutique
05:27et puis avoir des goûts francs.
05:29Le plus important c'est quand le jury a dégusté,
05:34ou un client qui déguste un dessert,
05:37que ce soit dans une boutique ou dans un restaurant,
05:39c'est qu'il sache, qu'il arrive à reconnaître les parfums
05:42de ce qu'il vient de déguster.
05:44Ça c'est donc la franchise des saveurs.
05:46Hygiène, technique, originalité, le meilleur ouvrier de France
05:49est accompagné d'experts pour juger la préparation des candidats,
05:53puis place au jury des personnes de la vie courante,
05:55mais aussi des professeurs sélectionnés.
05:58Et Coralie, en plus d'être à l'heure, marque des points au goût.
06:01Intéressant, audacieux, se mettre du piment c'est jamais facile.
06:07Moi personnellement j'aime bien, peut-être un peu dosé, un peu fort.
06:10Je pense qu'il y a des gens qui le trouveraient peut-être un peu trop présent.
06:12Mais en tout cas ça donne envie d'aller croquer, en effet.
06:15La cuisinière est en pleine année d'études à Chamalières
06:18et a décidé de se lancer dans les concours sur son temps libre.
06:21Là je suis en mention complémentaire cuisinière desserts de restaurant.
06:24Et en fait c'est une année où j'ai quasiment pas de cours,
06:26j'ai à peu près une vingtaine d'heures par semaine.
06:28Et j'aurais aimé travailler,
06:30mais en fait j'aurais aimé avoir quelque chose de constant pour le travail.
06:33Et en fait, vu que je n'ai pas trouvé, je me suis dit,
06:35autant faire des concours plutôt que rester chez moi à rien faire.
06:37Et la finale des championnats de France se passera à Rennes
06:40les 2 et 3 avril le prochain.
06:42Ce n'est pas un, mais deux desserts différents
06:44qu'ils devront préparer en 4h50.
06:47Et on vient de l'apprendre, c'est Coralie Groux
06:49qui vient d'être donc sélectionnée pour représenter
06:52la région centre-est lors de la finale à Rennes.
06:57On va continuer, si vous voulez bien savourer,
07:00en parlant cette fois-ci du Syrah avec notre invitée.
07:02Bonjour à vous Fabrice Laurentson.
07:04Je vous présente, vous êtes le président de l'UMI,
07:06c'est l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie de la Loire.
07:11D'abord j'aimerais bien vous entendre réagir sur ce qu'on vient de voir
07:15sur cette épreuve de championnat,
07:17cette jeune femme qui vient de remporter
07:19et qui va à un concours national.
07:21D'abord bonsoir, merci de m'inviter.
07:25Pour moi c'est exceptionnel parce que quand je vois des jeunes
07:28qui sont capables de faire des desserts comme ça,
07:31entourés de professionnels, de meilleurs ouvriers de France
07:35comme Bruno Moncoudiol, Antoine Bergeron, des chefs étoilés,
07:38ils ont une chance phénoménale de pouvoir
07:42être notés par des gens comme ça, des jurys.
07:45Pour moi ça me touche parce que je vois qu'ils ont plein de choses à faire
07:49et ils nous font découvrir.
07:50Ce n'est pas parce qu'ils ont 16, 17 ou 20 ans
07:53qu'on n'est pas capable de faire des belles choses
07:55et là ils sont capables de faire des très belles choses.
07:57En plus c'est elle qui a été sélectionnée donc c'est vrai que c'est exceptionnel, vraiment.
08:00On va parler avec vous Fabrice Laurentson
08:02du CIRA qui ouvre ses portes jeudi, ça se passe à Lyon.
08:05C'est bien sûr le rendez-vous incontournable international
08:09de la restauration de l'hôtellerie et de l'alimentation.
08:12Ça regroupe des cuisiniers, des redistributeurs,
08:14des représentants de l'industrie agroalimentaire,
08:16ça vous parle vous, vous êtes un restaurateur.
08:18Vous êtes président de Lumine et vous êtes aussi restaurateur.
08:21La première question c'est quel est l'intérêt pour des professionnels
08:24d'être présents là-bas ?
08:26Voir déjà se retrouver, c'est un moment où on peut discuter,
08:32voir ensemble des nouveautés, innover dans nos restaurants,
08:36dans nos cuisines, c'est toujours pareil.
08:40On a des terrasses, on a plein de choses à faire
08:42et plein de choses à développer nous aussi.
08:44Nous on n'a pas le temps de faire.
08:46Donc c'est vrai que quand on a des professionnels
08:48qui nous proposent des choses ou des solutions
08:50ou du matériel qui nous fait gagner du temps,
08:55ça aussi c'est important.
08:57Vous y allez depuis une dizaine d'années,
08:59vous êtes un habitué, vous allez y retourner,
09:01là encore j'imagine.
09:03Peut-être est-ce que vous avez fait des découvertes,
09:05est-ce que vous pouvez nous dire ce que vous avez découvert
09:07aujourd'hui qui vous rende la tâche un petit peu plus facile
09:10dans votre restaurant, avec toute votre équipe ?
09:14C'est vrai que par exemple on a eu une année,
09:16maintenant ça fait quelque temps que ça existe,
09:18mais par exemple des osmoseurs sur des laves-verres
09:22qui lavent et qui sèchent.
09:24Avant il fallait qu'on essuie nos verres.
09:26Aujourd'hui il faut qu'on prenne soin de notre personnel.
09:28Donc c'est vrai que le plus gros accident du travail
09:33dans le service c'est quand on essuait les verres.
09:36On se coupait les mains et c'est vrai que c'était pas évident.
09:39Donc là maintenant on a des laves-verres qui lavent, qui sèchent.
09:42Donc vous prenez vos paniers, vous les mettez.
09:44Ça ça n'existait pas avant, aujourd'hui c'est vrai que c'est bien.
09:46Donc je prends sur cet exemple-là, mais il y en a plein d'autres.
09:48C'est vrai qu'il y a des années on n'avait pas de faux vapeurs.
09:51Aujourd'hui on a du matériel pour travailler
09:53qui est adéquat, qui est adapté à tout ce qu'on fait.
09:56Il y a des artisans qui seront présents,
09:58des artisans de la Loire, des entreprises ligériennes
10:01qui vont montrer un petit peu leur savoir-faire.
10:04Il y a aussi d'autres événements un peu plus culinaires.
10:07Le Bocuse d'or, c'est un trophée.
10:09Vous pouvez nous en parler Fabrice, ça vous tient à cœur. Pourquoi ?
10:12Oui, parce que déjà la France elle est représentée
10:15par une personne qui vient de la région Rhône-Alpes.
10:18Donc c'est Paul Marcon, le fils de Régis Marcon et le frère de Jacques.
10:22Et franchement quand on a...
10:25C'est une bête de concours et il se lance là-dedans.
10:28Et c'est vrai que pour nous c'est important.
10:30Donc il a un commis, il a un coach.
10:32Donc c'est vrai que pour nous c'est vraiment important.
10:34Et puis en plus ça vient de chez nous.
10:36Et là le but ça va être qu'il y ait plusieurs équipes j'imagine qui vont...
10:3924 équipes.
10:4024 pays représentés.
10:42Donc chacun avec son coach.
10:44Alors il y a une équipe de France derrière lui qui l'aide.
10:47Mais sur le terrain, quand il va falloir y aller,
10:50il y aura juste son commis et son coach.
10:53Les métiers de la restauration de l'hôtellerie sont en tension.
10:57Peut-être un petit mot là-dessus.
10:59C'est des événements, comme le CIRA,
11:02qui permettent aussi de recruter ou pas ?
11:05Est-ce que vous pouvez aller voir des gens et peut-être vous dire
11:08« Ah celui-ci, je le vois bien dans mon restaurant ».
11:12Non, alors il y a des échanges.
11:14Mais je pense que c'est pas...
11:16Il faut dire que c'est un salon qui est international.
11:19Donc souvent les gens ne viennent pas pour recruter.
11:22Ils viennent surtout pour voir des nouveautés.
11:24Peut-être qu'ils en parlent en dehors.
11:26Mais je veux dire, on ne vient pas ici pour ça en fait.
11:28Il y a tellement de choses à faire, tellement de choses à voir.
11:31C'est impressionnant en fait.
11:33Qu'est-ce que vous allez aller voir ?
11:34Vous avez une petite idée ou vous avez déjà un petit peu analysé ?
11:37On a des fournisseurs qui sont ici, qui nous attendent,
11:40pour nous recevoir, pour passer un moment ensemble.
11:43C'est vrai qu'on n'a pas trop le temps d'échanger
11:45dans nos restaurants, dans nos établissements,
11:47tout ce temps qu'on est.
11:48Donc nous on se voit entre professionnels.
11:50Et puis on se voit sur des lieux.
11:52Donc voilà, il y aura des établissements algériens
11:55qui seront ici aussi.
11:56Donc on a envie de les rencontrer et de voir avec eux.
11:58Parce que souvent, c'est des commerciaux qui viennent nous voir.
12:00Donc là, on voit les patrons.
12:02Et aussi, ça leur fait plaisir du reste.
12:04En tout cas, la Loire sera bien sûr représentée
12:06lors de ce Salon du Syrah.
12:07À peu près une bonne dizaine, voire peut-être une bonne vingtaine
12:10d'artisans, de commerçants, d'entreprises seront là-bas.
12:14Merci beaucoup Fabrice Laurentson d'avoir été notre invité.
12:19Merci à vous.
12:20Après la gourmandise, place au sport.
12:23L'NJ Open est de retour.
12:25En 2025, le tournoi de tennis féminin Andrésieux Bouteillon
12:29devient le plus important de la région
12:31depuis l'arrêt de celui de Grenoble par manque d'argent.
12:34Donc du 27 au 2 février, vous retrouverez des joueuses
12:37classées entre la 400e et la 100e place mondiale.
12:41Certaines ont même participé en grand chlem.
12:45Écoutons Pierre-Guillaume Cassé, c'est le directeur du tournoi.
12:48Il nous présente trois d'entre elles.
12:50C'est au micro de Thibaut Rivière.
12:54On va commencer par Jessica Ponchet,
12:56qui a été finaliste l'an dernier, qui est 131e joueuse mondiale.
13:01C'est une joueuse française qui vient depuis plusieurs saisons,
13:04qui a joué en équipe de France de Fête Cup,
13:07qui a un style de jeu original, elle prend beaucoup le filet.
13:10Elle est assez agressive comme joueuse, ultra sympathique en plus.
13:13Donc nous, on est ravis de l'avoir cette année encore.
13:15Toujours côté français, on a Harmonie Tan,
13:17qui a été la première vainqueur française de notre tournoi en 2021.
13:22C'est une joueuse qui est très déliée, qui est très fluide sur le terrain.
13:25Elle donne l'impression de ne pas forcer.
13:27Très agréable aussi.
13:29On est ravis de l'avoir cette année.
13:31Elle avait fait un coup d'éclat en grand chlem il y a quelques saisons,
13:35où elle a battu Serena Williams.
13:37Sinon, pour terminer, on a une jeune joueuse allemande
13:40qui s'appelle Evalis, qui est née en 2002.
13:43Elle s'est fait remarquer à l'Open d'Australie cette saison,
13:46parce qu'elle a atteint la 8e de finale.
13:48Elle a perdu contre EGAS Viatech.
13:51C'est peut-être pour ça que son nom avait frappé les médias.
13:55La nouveauté cette année, c'est que le logement des joueuses
13:58sera entièrement pris en charge par le tournoi.
14:00Pour rappel, la dotation de la compétition s'élève à 60 000 euros.
14:05Voilà une initiative pour susciter des vocations et devenir berger.
14:10Près de 40 jeunes âgés de 16 ans jusqu'à 24 ans,
14:13issus de différents établissements agricoles de la région Auvergne-Rhône-Alpes,
14:17sont venus concourir aujourd'hui pour tenter de se qualifier pour la finale nationale.
14:21Les jeunes apprentis doivent réaliser avec brio une série d'épreuves pratiques
14:25où ils reproduisent les gestes quotidiens d'un éleveur de brebis.
14:29L'Ouvala les a suivis lors de cette finale régionale
14:32dans le nord du département à Vendrange.
14:3911h ce matin, Loanne fait du parage d'onglons.
14:42Étudiante en BTS Production Animale,
14:44elle participe à la finale régionale des Olympiades à Vendrange.
14:47Présente pour une 20ème édition, ce concours,
14:50c'est l'occasion de faire découvrir aux élèves et aux étudiants le métier d'éleveur d'auvins.
14:54Je pense que c'est pour promouvoir la filière ovine.
14:56C'est vrai qu'on a une volonté dans la filière ovine
14:59de montrer aux jeunes ce que c'est la filière,
15:01qu'ils en aient conscience parce que c'est vrai que dans les lycées,
15:03on n'en parle pas beaucoup du mouton.
15:05On parle surtout des brebis laitières.
15:07Donc c'est vrai que ça nous permet de parler de la filière
15:09et de leur faire découvrir l'univers des moutons.
15:12Il y a beaucoup d'élèves qui, au final, ne la connaissent pas plus que ça.
15:15Surtout qu'au Nalp, c'est plus un concours découverte.
15:19Donc c'est vrai qu'il y a des élèves qui ne connaissent pas forcément.
15:22C'est le moyen de découvrir la filière,
15:24découvrir aussi les acteurs parce qu'on a des éleveurs et des techniciens qui sont présents
15:27pour pouvoir échanger avec toute la filière.
15:30Pour les participants, la journée apporte un vrai plus au cours
15:33et crée parfois de vraies vocations.
15:35Ça permet d'en apprendre toujours plus.
15:37Moi, j'en ai appris pas mal dans les moutons
15:39parce que mon père n'a pas de moutons.
15:40Donc j'en ai appris beaucoup lors des Olympiades.
15:42Ce qui m'a fait acheter des brebis pour moi aussi
15:44parce que du coup, je me suis rendu compte que j'aimais vraiment les moutons.
15:46Pour moi, c'est une vraie opportunité
15:49puisque c'est quand même pas tout le monde qui le fait.
15:51C'est une bonne expérience à faire
15:53et puis ça peut aussi aider à apprendre un peu plus sur les moutons, etc.
15:58Oui, j'ai découvert le tri des agneaux,
16:03comment manipuler une brebis.
16:06Habituée de l'élevage d'ovins ou non,
16:08chacun semble trouver sa spécialité.
16:10Je pense que l'état de santé, je suis pas mauvais dedans.
16:13J'en connais pas mal
16:15et puis je m'intéresse bien aux différentes pathologies des moutons.
16:18Je pense que ça devrait le faire, ça.
16:20Je pense que sur le parage
16:22parce que c'est vrai qu'on en fait pas mal à la maison
16:24donc c'est vrai que ça peut être un atout.
16:26Comme mon collègue, l'état de santé.
16:29Plus dans le tri, je dirais.
16:31Après, au niveau de la santé, j'ai été forte aussi.
16:33Prochain rendez-vous le 22 février au Salon de l'agriculture à Paris
16:37avec les deux gagnants de la finale régionale pour le concours national.
16:41Minéraux, fossiles, bijoux en pierres précieuses,
16:44ce week-end s'est tenue une exposition qui avait lieu à Andrézieux.
16:48Une dizaine d'exposants en minerais se sont retrouvés,
16:50l'occasion bien sûr pour les collectionneurs de chiner la perle rare
16:53ou en apprendre plus sur la lithothérapie.
16:56A leur côté, c'est Alexandre Crouset.
16:59Ils viennent des quatre coins du monde,
17:01peuvent prendre bien des formes et existent pour tous les budgets.
17:04Les minerais, quartz, amethystes ou autres jaspes attirent les collectionneurs.
17:09En tant que chimiste, j'ai fait un peu de cristallographie
17:12et les minéraux m'intéressent beaucoup.
17:14Je suis collectionneur minéralogique depuis pas mal d'années
17:17et c'est la première fois depuis très très longtemps qu'il y a un salon au Saint-Etienne.
17:21Donc c'était l'occasion de venir, effectivement.
17:24Et on ne regrette pas d'être venu.
17:27Il y a des clubs dans la région.
17:29Donc on a eu beaucoup, beaucoup de collectionneurs.
17:32Certains leur prêtent même des vertus thérapeutiques.
17:35La lithothérapie, disposée sur le corps,
17:38les pierres permettrait de régénérer et de rééquilibrer l'être dans son intégralité.
17:42Une médecine non conventionnelle qui aiderait à surmonter de nombreuses difficultés
17:46comme le stress, l'anxiété ou encore les troubles du sommeil.
17:50Moi, je crois beaucoup à la pierre et je les utilise beaucoup.
17:53Et quand vous la prenez, vous avez une certaine vibration dans la main.
17:57Pour moi, personnellement, voilà.
17:59Ce n'est pas une histoire de croyance.
18:01C'est une histoire d'expérience sur certaines pierres.
18:04Après, c'est vrai que suivant les sites et les livres qu'on peut lire,
18:08on peut avoir tout et n'importe quoi.
18:11Hélas !
18:12Donc nous, on a une approche un peu plus scientifique
18:15qui part de la structure moléculaire des pierres
18:18qui est utilisée aussi dans certains médicaments.
18:20Et on peut faire des analogies de ce type-là.
18:23Loin d'un simple caillou dans une chaussure,
18:27que ce soit en bijoux, éléments de décoration
18:30ou pour les bienfaits qu'on leur attribue.
18:33C'est la fin de votre journal.
18:34Merci à vous de l'avoir suivi.
18:36L'actualité revient mercredi à 19h.
18:38Mais ça continue également sur les réseaux sociaux
18:40et sur notre site Internet.
18:41Très belle soirée à tous.
18:56Sous-titrage Société Radio-Canada