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00:30C'est-à-dire qu'il n'y a pas d'appel, il n'y a pas d'appel,
00:32il n'y a pas de rapport,
00:34il n'y a pas de rapport,
00:36il n'y a pas d'appel,
00:38il n'y a pas d'appel,
00:40il n'y a pas d'appel,
00:42il n'y a pas d'appel,
00:44il n'y a pas d'appel,
00:46il n'y a pas d'appel,
00:48il n'y a pas d'appel,
00:50il n'y a pas d'appel,
00:52il n'y a pas d'appel,
00:54il n'y a pas d'appel,
00:56il n'y a pas d'appel,
00:58Tu vois quand on 跟我-scuffle
01:01La réalité
01:03Puissent s'apparaître de manière un peu plus
01:05baisé
01:07C'est-à-dire que qu'on oublie qu'il ou elle a changé de place
01:09Même tout d'un coup nous ne lui a pas mis la place
01:11Oui
01:13Quand on t'accommode tout ressemble à toi
01:15Je vois à ton ancien ennemi
01:17Je ne me le reconnais même plus
01:19tu es au pouvoir
01:21Jordan ne veux pas prouver ton sauvetage
01:23Mais toi par exemple
01:25Toi tu ne la pardonnes pas, est-ce qu'il y a autres qui l'ont ?
01:27C'est vrai que le Président peut connaitre tout le monde mais pas la femme.
01:34Je la connais très bien, on a été à l'université ensemble.
01:39Ousmane dit que le Président a vu ceci et l'a envoyé voir le Président.
01:47Mais encore une fois je dis qu'il faut une méthodologie dans un parti.
01:54On doit savoir ce qui sépare l'action administrative de l'appréciation politique.
02:01Et si on y revient, on risque de perdre tout ça.
02:05Si l'acte administratif est bien pris, il faut demander les implications politiques.
02:10Je suis sûr que si on l'a pris juste 5 minutes
02:15on verra que dans le passé, ils n'ont pas dit des choses.
02:20Ils recevront la réponse dans les 5 minutes.
02:22Parce qu'après tout ce qu'il a dit, il n'a rien dit.
02:26C'est ce que j'ai vu.
02:27Mais certainement, ils ont vu la réalité et ils ont négligé la réalité.
02:36C'est ce que j'ai vu dans la première lecture.
02:39Quand le Président prend une décision, il faut respecter la décision du Président de la République.
02:44Respecter la décision du Président de la République ne signifie pas ne pas en parler.
02:49Mais où en parler?
02:51Il faut qu'il en parle.
02:53Quand on est dans un parti politique, il faut régler les choses dans les instances du parti.
03:02C'est pourquoi le militantisme politique, l'idéologie et l'école du parti sont bonnes.
03:08Le militantisme, le syndicalisme et la révendication sont bonnes.
03:15Les étapes à poser pour être dans un mouvement syndical et la discipline du syndicat.
03:20C'est valable pour un parti politique, un militant ou un sympathisant.
03:24Quelles sont les instances d'un parti, de décision, d'appréciation, de perception et de validation?
03:30C'est important de former les militants dans les écoles du parti.
03:34On ne peut pas croire qu'on est dans une seule école.
03:37On ne peut pas croire qu'il y a eu Guy Marissania parce qu'il a toujours été comme ça.
03:41C'est l'activisme le plus important.
03:45Si j'avais pris Ousmane, je n'aurais pas parlé de lui.
03:49Je l'ai rencontré et je l'ai pardonné.
03:51Mais comme Fadou Lekaita, on peut croire en lui.
03:56Tout le monde peut croire en lui.
03:58C'est des choses qui arrivent.
04:03C'est une sorte de tente?
04:06Non, j'aurais bien aimé qu'il arrête de parler de la réunion.
04:11Ou qu'il prend son téléphone et appelle Ousmane.
04:15Je pense que c'est une bonne idée car Ousmane écoute tout le monde.
04:20Mais Ousmane dit qu'il va sortir de la tente.
04:23Un militant discipliné ne le fera pas.
04:25Dans les partis politiques, il y a de l'engagement.
04:29Mais ce n'est pas parce que tu es en prison que tu as plus de mérite que les autres.
04:36Nous, nous faisons ce qu'on fait dans la publicité.
04:42C'est ce qu'on t'a demandé.
04:46On t'a agressé, mais si tu ne parles pas, on va te tuer.
04:51C'est ce qui va se passer.
04:54On va te tuer alors qu'il y a des jeunes qui se battaient et qui sont morts.
05:00Il faut savoir raison garder.
05:02Ce n'est pas seulement nous qui l'avons fait, c'est le Sénégal qui l'a fait.
05:07Donc, c'est à cause de la façon dont tu l'as fait.
05:11Tout le monde s'est battu pour ça.
05:13Ce n'est pas seulement parce que tu es en prison que tu te crois investi dans une mission
05:22pour aider les présidents à parler et tu l'as tué.
05:26Tu l'as tué comme référence, ça n'a rien à voir.
05:30Est-ce que tu penses que nous devons asscanaler le projet de Ousmane Sonko?
05:40Non, c'est faux.
05:41Dans les 5 ans à venir, le projet va tourner autour du président Ousmane Sonko.
05:48Quand on parle du projet, c'est Ousmane Sonko.
05:50Je l'ai rappelé dans mon papier.
05:53Les premiers mois, c'est lui qui a tué les enfants.
05:58Il y a peut-être des gens qui l'ont tué mais c'est lui qui l'a tué.
06:03Mais quand les enfants ont commencé à avoir 2, 3 ou 4 ans, c'est comme ça.
06:10C'est la même chose, c'est Ousmane Sonko qui porte le projet.
06:13Personne ne peut le tuer parce qu'il peut le tuer ou le tuer.
06:18Il peut le barricader ou le tuer ou le tuer.
06:23Il n'y a personne qui peut le tuer, c'est Ousmane Sonko.
06:27C'est pour ça que tu as investi dans une mission.
06:30Dans les 5 prochaines années, c'est Ousmane Sonko et ça va tourner autour d'elle.
06:35Ce n'est pas pour rien qu'il est premier ministre.
06:38Si le premier ministre n'était pas là, je n'aurais pas eu l'engagement.
06:44Je ne le connais pas et il ne m'intéresse pas.
06:46Mais c'est Ousmane Sonko qui est son patron.
06:49Dans l'administration, il y a un nouveau patron qui s'appelle Ousmane Sonko.
06:53Les enfants sont là pour l'aider.
06:55C'est ça la différence.
06:57Il faut être très attentif.
06:58Tu penses qu'il n'a rien à dire?
07:02Non, il n'a rien à dire.
07:04Il n'a rien à dire.
07:07Mais il y a des choses qui se passent et il y a des dégâts.
07:11Il y a des choses qui se passent et il faut prendre les bonnes décisions.
07:16Je le mets dans le même lot.
07:18Oui mais il y a des activistes là-bas aussi.
07:21Je le mets dans le même lot.
07:24Mais les affaires qui concernent le parti PASTEF doivent se régler au sein des instances du parti.
07:34C'est ça le problème.
07:36Mais tu sais que des gens ont déjà été dégagés avant toi.
07:43Jean-Pierre Chevenema a dit qu'un ministre ferme sa gueule ou il démissionne.
07:50Il avait parfaitement raison.
07:53Ce que le président fait, c'est d'accorder sa liberté.
07:59C'est ce qu'il veut.
08:01Mais tu ne peux pas être investi d'une mission administrative au plus haut sommet
08:04pour critiquer les décisions du président de la république.
08:07Ousmane Sonko a voulu calmer le jeu.
08:11Il parlait à ses militants.
08:14Dans les réseaux sociaux, il y a une certaine dictature.
08:19Mais c'est ça PASTEF.
08:22Le PASTEF est né dans des conditions normales.
08:27Mais il a grandi dans la douleur.
08:30Dans la riposte, la réaction, la bagarre et la violence.
08:34C'est ça le PASTEF.
08:36Le PASTEF a grandi comme ça.
08:39Le PASTEF est un parti très réactionnaire.
08:43Très nerveux.
08:44Donc, il serait difficile de le dire aux enfants pour qu'ils ne se fassent pas de mal.
08:51Je vais te dire que le PASTEF est comme ça.
08:56Est-ce que l'attitude qu'on avait quand le PASTEF voulait prendre le pouvoir
09:03est-ce que c'est cette même attitude qu'on doit garder jusqu'à présent?
09:05Il faut le renforcer parce qu'on est toujours dans l'opposition.
09:10Oui, il faut le renforcer.
09:13Mais il faut le centrer sur des domaines de compétence
09:17où on sait que le militant a le droit d'agir.
09:21Et pourtant, ce ne sont pas des militants du PASTEF.
09:23Si quelqu'un en parle sur les réseaux sociaux
09:27et que le président de la république en parle, ce n'est pas poli et correct.
09:32Si le premier ministre en parle, c'est comme si c'était mon D.G.
09:39Si c'est un simple D.G. et qu'il n'en parle pas, c'est fini.
09:44Ce n'est pas très poli car l'administration a toujours ses règles protocolaires.
09:48Donc, soyons logiques avec nous-mêmes.
09:52Donc, il ne sert à rien de faire des bêtises.
09:56Les gens sont morts à cause de ce projet.
09:59D'autres ont subi des brimades et tout le monde a combattu pour le PASTEF.
10:03Est-ce que tu as des frustrations?
10:06Quand j'ai vu Fadilou Keïta, j'ai pensé qu'il avait quelque chose à mettre dans le parti.
10:10Il a dit qu'il avait des idées pour monter la jeunesse contre lui.
10:17Il a dit qu'il allait se séparer de la jeunesse.
10:23Je ne pense pas, la jeunesse que je parle
10:26c'est celle que j'ai rencontrée après l'arrivée de Ousmane Sonko.
10:31C'est celle que j'ai rencontrée.
10:33Encore une fois, on ne vise pas la personne de Fadilou Keïta.
10:36Si quelqu'un l'avait rencontrée, j'aurais réagi de la même manière.
10:41Donc, tous les deux sont dans le même boulot.
10:45C'est ce qu'on a entendu.
10:48C'est ce qu'il voulait dire.
10:50Je connais bien mon collègue Guy, il s'occupe de l'action sociale.
10:55Je connais bien son tempérament et son histoire.
11:01Il n'a rien à voir avec le député Guy.
11:05Il n'a rien pour lui-même.
11:11C'est moi qui l'ai aidé ici.
11:13Je connais bien mon collègue de l'action sociale.
11:16Il n'a rien à voir avec l'injustice qui s'est produit ici.
11:20Donc, ils ont un rang de DG et ils doivent voir leur position.
11:28Mais le président toujours.
11:31Mais Ousmane Sonko n'a rien à voir avec ça.
11:35On dirait qu'il y a de la démocratie dans le parti.
11:40Non, c'est mon vision.
11:43PASTEF n'a pas encore à ouvrir des preuves de démocratie dans le parti.
11:49Pour moi, le parti doit être structuré de telle sorte que
11:55il ne faut pas parler.
11:58Tout ce que l'on parle, on le dit dans les instances du parti.
12:02Il faut éviter de parler de la politique du parti.
12:10Il faut éviter d'utiliser un langage vulgaire.
12:13Il faut éviter d'avoir l'indépendance à l'intérieur de PASTEF.
12:17Il y a une ligne directrice du parti.
12:20Dans la rupture et l'innovation, on fait appel au capital humain.
12:26On veut un capital humain de qualité.
12:31C'est ce qu'on veut.
12:33On veut un capital humain de qualité.
12:37C'est ce qu'on veut aujourd'hui.
12:41Si on prend un Sénégalais qui a 12 ans et qu'on l'envoie en Corée du Nord
12:46et qu'il a 15 ans, le Sénégalais peut venir ici pour s'amuser.
12:52Parce qu'il n'est pas humain mais il est humain.
12:56Discipline.
12:58Il n'y a pas de discipline mais il n'est pas humain.
13:01Si on prend un Sénégalais qui a 12 ans et qu'on l'envoie en Corée du Nord
13:05il n'est pas humain mais il est humain.
13:10C'est ce qu'on veut.
13:13C'est pour ça que ce parti a pris l'initiative
13:17d'avoir un capital humain de qualité.
13:21C'est pour ça qu'il y a l'option de garder dans les pôles territoires
13:26pour faire un contenu pour savoir quel type de Sénégalais
13:31voulons-nous commencer à avoir pour qu'en 2050
13:35on a telle type de société pour tel type de Sénégalais.
13:39C'est ce qui est challengé.
13:42Je pense que la décence aurait voulu
13:47parce que je n'ai pas eu de nomination.
13:52Mais je ne l'ai pas crié sur tous les trois.
13:56On t'a entendu parler.
13:57Non, je ne l'ai pas dit parce que...
13:59Mme, je ne suis pas d'accord avec ce que tu dis.
14:02Je n'ai pas eu de nomination parce que cette dame a tout dit.
14:08Cela me fait très mal au coeur.
14:12Mais je ne l'ai pas dit.
14:14Si j'avais eu l'occasion de parler à la partie post-épouvantable
14:20je dirais que je ne suis pas d'accord pour cette nomination.
14:26Et tu m'as donné l'occasion de le dire ici en public.
14:28Parce que cette dame-là est une sociologue intellectuelle.
14:33Il faut observer une retenue pour l'opposer.
14:37Il y a une retenue et une barrière qu'il ne faut pas franchir.
14:41Je me suis opposé au régime d'Abdoulaye Ouad.
14:44Je me suis opposé au régime de Macky Salle.
14:46Je n'ai jamais entendu parler d'un mot déplacé envers ces deux présidents.
14:50Parce que c'est mon métier.
14:52Je suis éducateur et on m'écoute.
14:54Oui, justement.
14:56Mais ce qu'elle a dit sur les suites de beauté,
14:59sur les violations du couvre-feu et sur les femmes...
15:03Je pense que c'est de l'indignation.
15:07Elle doit rendre le tablier pour son honneur et sa dignité.
15:10Il n'y a pas d'explication.
15:11Elle n'est pas encore prête vu qu'elle a dit qu'elle n'allait pas parler comme ça.
15:17Tout le monde l'a déjà dit.
15:20Elle doit rendre le tablier et garder sa dignité.
15:24Le PASTEF n'est pas d'accord pour sa nomination.
15:27Le PASTEF n'est pas le Sénégal mais c'est le parti.
15:30Donc la communication de Ousmane Sonko ne suffit pas dans ce cas-là.
15:34Mais on peut prendre une autre fonction.
15:38Il peut y avoir un changement.
15:39Je donne le cas de Sam Mandiai, je l'ai appris un mois avant qu'il n'y ait pas de fonction.
15:45C'est comme ça que les Sénégalais l'apprennent.
15:47On l'apprend parce qu'il n'y a pas de chef de service.
15:53Il n'y a pas de ministre qui autorise une passation de service et Ousmane Sonko l'autorise.
15:58Ousmane Sonko l'autorise quand il fait une passation de service.
16:01Et il installe Sam Mandiai.
16:03Donc?
16:04Il y a des réalités qui se passent.
16:07Ousmane Sonko est celui qui a fait la passation de service.
16:13Donc Ousmane Sonko est celui qui a fait la passation de service.
16:17C'est lui qui l'a apporté de crédit.
16:21D'accord.
16:22Mais si je suis à sa place, je vais faciliter la chose au président de la république.
16:31Je vais lui apporter ma démission.
16:35Ce sont les Sénégalais qui sont contre cette nomination.
16:40Vu ce qu'elle dit sur les réseaux sociaux, elle ne convient qu'à elle-même.
16:45Parce qu'elle pense qu'il y a des positions favorables.
16:49Je veux dire que si tu parles d'embrutonnement, je crois qu'à Pasteur
16:53tout le monde serait d'accord avec Ousmane Sonko.
17:00Tu n'as pas le droit d'appeler l'état.
17:05Ce sont les politiciens qui sont capables de se retrouver à tout moment.
17:11Si tu parles d'Ousmane Sonko, tu parles d'une personne à part Abère.
17:18Mais ils ont gardé une certaine distance et une certaine dignité.
17:23Tu es un individu, tu es un professeur, etc.
17:29Ce n'est même pas le langage non-intellectuel.
17:34Donc, elle doit démissionner de ses fonctions.
17:39Pour qu'on puisse s'occuper de l'affaire.
17:41Pour Imiki, comme on l'a dit au début
17:46il y a deux rigueurs dans la sélection.
17:49On ne peut pas entrer facilement.
17:53Donc, il faut que l'enquête de moralité soit plus profonde.
17:59L'enquête de moralité...
18:04ne l'a pas approfondie.
18:06La majeure partie des fonctionnaires n'ont pas à gérer les fonds.
18:12Parfois, ça se fait au téléphone.
18:15Comment est-ce que tu es enceinte, tes diplômes...
18:20Est-ce que tu as des problèmes de police, des casiers...
18:23Est-ce que tu as été en prison, etc.
18:27Si c'est négatif, tu es ok pour le poste.
18:30C'est ce qu'il faut faire.
18:32C'est l'enquête de moralité.
18:33On ne peut pas s'approfondir sur ces sujets.
18:38Est-ce que tu prends de l'alcool, de la drogue, etc.
18:41C'est pour savoir.
18:44Mais on ne le fera pas comme ça.
18:47Surtout dans un régime où ils mettent la politique en avant.
18:51Je sais que tu es en train d'y aller.
18:54C'est ce qu'on appelle le copinage.
18:58C'est clair, on ne peut pas tout contrôler.
19:02Mais il faut être plus vigilant à l'avenir.
19:06On sera plus vigilant dans la sélection des personnes
19:12chargées de missions qui seront soumises à l'appréciation du président.
19:16Si quelqu'un de Sénégal me demande ce qui s'est passé,
19:21je lui réponds que c'est parce qu'il est sur les réseaux sociaux.
19:24C'est ce qui est négatif pour les patriotes.
19:28Même si les FAC ont fait un bon travail.
19:33C'est-à-dire qu'on a fait une erreur et qu'on l'a nommé.
19:39On s'est rendu compte qu'on n'est plus d'accord pour sa nomination.
19:44On ne s'est pas rendu compte du fait que c'était une erreur.
19:49On ne s'est pas rendu compte du fait que c'était une erreur.
19:54On lui demande de rendre le tabier pour faciliter les choses au président de la république.
20:01Professeur, Emmanuel Macron a fait une sortie
20:05avec des cadres d'Africains
20:09et il a fait une sortie avec des cadres d'Africains.
20:11Il a été en contact avec les bases militaires.
20:16Même s'il n'a pas accepté d'en parler à l'Afrique,
20:22il a rencontré Ousmane Sonko, la tante de son pays.
20:25C'est une tante qui a fait une sortie
20:29parce qu'il y a des réserves
20:33ou parce qu'il y a des gens qui veulent parler à Ousmane Sonko.