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00:00Aujourd'hui, le président de Pastef, le premier ministre, Ousmane Sonko, était attendu à venir, mais il a été boycotté par une partie de l'opposition.
00:17Comment est-ce que tu penses aujourd'hui qu'ils ont posé en tant que des parlementaires ?
00:21Oui, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions.
00:29Oui, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions.
00:59Ces Sénégalais-là, tu dois venir vraiment représenter le dignement, parce que ce n'est pas pour rien qu'ils sont dignes représentants du peuple.
01:06L'unireprésentant est dignement le peuple, c'est qu'il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions, il y a des décisions.
01:15Si on les regarde, nous attendons dans le village, il y a des décisions, il y a des décisions,
01:20il y a des décisions, il y a ce qui nous取irait pour nous faire.
01:22Le gouvernement du Mullerél vamosparter, c'est que pour beide, nous sprawdrons uns tous les décisions.
01:31Le premier ministre, au gouvernement ou au premier ministre, a été assemblée.
01:34Donc, tu as vu que le premier ministre des deux se sont tous ensemble.
01:39C'est pas ça !
01:41Et c'est que le premier ministre ou le premier ministre, a été assemblée.
01:44Ce n'est pas que tu nous as fait les deux,
01:46Je suis là pour le premier ministre,
01:47Je suis là pour nous en faire une découverte.
01:49Je suis là pour le premier ministre pour la mériter.
01:51Si tu t'es mérite, on se trouve que c'est bien.
01:53Le gouvernement est très important.
01:54Et si le premier ministre de l'Hydraulique est venu,
01:59C'est ce qu'on a fait. Depuis deux hiver, le député de Koubené n'a pas été dit.
02:06Le ministre, il y a eu l'occasion, il n'y a pas de soulevé les questions.
02:08Alors, si vous voulez, ces populations-là, ils n'ont pas réglé cette question.
02:12C'est-à-dire que maintenant, la politique ne doit pas être au-dessus, ne doit pas prendre le dessus sur les questions essentielles.
02:18Les questions essentielles, c'est quoi ?
02:20Les doléances des Sénégalais, la situation économique du pays, la question d'emploi,
02:25la question, justement, de l'assistance des femmes, des populations les plus vulnérables.
02:34Ce qui nous devraient dire à l'Assemblée, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de politique.
02:38Donc, politique, il n'y a pas de politique.
02:40Ça me rappelle, par exemple, à un député à l'Assemblée nationale,
02:48des députés qui boycottent effectivement la prise de parole de Ousmane Sonko.
02:54À tant que député, parce que là, ce qu'on a dit, n'est pas arrangé, n'est pas arrangé.
02:58C'est-à-dire que c'était même l'opposition aujourd'hui qui pense que Ousmane Sonko lui dit,
03:02d'accord, même si on ne peut pas faire l'art, on ne peut pas faire l'art, on ne peut pas faire l'art.
03:09On doit dépasser cela.
03:11Ce qu'on doit dépasser, c'est qu'on ne doit pas être dans des querelles politiciennes.
03:14On ne doit pas être dans ce qu'on appelle des considérations politiciennes
03:18qui prennent le dessus sur l'essentiel, n'est-ce pas ?
03:21C'est ce qui concerne les Sénégalais.
03:23Alors en 2012 également, cette même opposition,
03:27l'opposition d'alors façon,
03:29boycottait le vote de la loi sous le parrainage.
03:32Elle n'a pas assisté à la plénière,
03:35elle a voulu boycotté.
03:36Mais après, terre ou le loi,
03:37c'est la loi qui a éliminé parmi eux.
03:41Et là aussi, ce que vous savez,
03:42c'est l'Assemblée, ils se sont absentés.
03:45Terre ou le loi, c'est ce qu'on a.
03:46Elle n'a pas le côté.
03:47Donc, vous avez dit qu'il n'y a pas l'effet.
03:51Mais il n'y a pas l'effet.
03:51Parce qu'il n'y a pas l'effet.
03:53Vous n'y a pas l'effet.
03:54Ils allaient poser quelques questions
03:55qui n'ont pas été posées.
03:57Par exemple, toutes les questions soulevées
03:58d'Assemblée nationale,
04:00mais c'est des questions d'actualité.
04:02D'accord ?
04:02C'est des questions d'actualité.
04:03C'est une interprétation légitime.
04:09Il est député.
04:10Il a vu, on fait.
04:11Aujourd'hui, le licenciement,
04:13je ne sais pas, on est qualifié.
04:14Mais quand on est politique ou pas,
04:15il y a eu des licenciements.
04:17Il y a eu des gens, par exemple,
04:18qui travaillaient,
04:19mais qui, aujourd'hui,
04:21ils ne veulent pas les laisser.
04:22Est-ce que c'est la fin de contrat ?
04:23Mais les ministres,
04:24ils ne veulent pas les laisser.
04:25Les ministres,
04:26ils ne veulent pas les laisser.
04:29Ils ne veulent pas les laisser.
04:31Ils ne veulent pas les laisser.
04:32mais ils ne veulent pas les laisser.
04:34Parce que les gens qui ont fait travailler,
04:36ils ne veulent pas les laisser.
04:38C'est le but.
04:38C'est le but.
04:39C'est le but.
04:39C'est le but.
04:40C'est le but.
04:40C'est le but.
04:42Quand tu dis licenciement,
04:43il est licencié quelqu'un,
04:44il est en train de travailler.
04:45Et il y a eu un peu d'années,
04:47abusivement.
04:47Oui, abusivement.
04:48Le gouvernement doit communiquer.
04:52Aujourd'hui, on parle de 312 agents,
04:55agents et policiers.
04:57Aujourd'hui, il y a eu des gens qui disent,
04:58ils doivent faire des policiers.
04:59Ils doivent faire des contrats.
05:00Ils doivent faire des contrats.
05:01Et ils doivent faire des contrats.
05:02Maintenant, c'est le gouvernement.
05:04Ils doivent faire des contrats.
05:05Et ça, c'est l'occasion,
05:05on ne peut pas comprendre.
05:06Parce que aujourd'hui,
05:07il y a des gens qui disent,
05:08« Si les gens sont à la boîte,
05:11il y a quelque chose de temps de dire à Paris. »
05:14Mais des gens qui disent,
05:15il ne doit pas dire que les rumeurs sont venus.
05:18Et ainsi, il faut qu'elles se rendent.
05:20Alors, comment tu as dit que l'opposition est de l'opposition de Ousmane Sonko,
05:24qui a été lancée par les autres et les autres,
05:27qui a été lancée par l'opposition.
05:32Aujourd'hui, Ousmane Sonko a dit que l'on a été lancée par l'opposition.
05:36Tu as dit que tu as dit que tu as dit que tu as dit que l'on a été boycotté.
05:48Tu as dit que l'on a été député.
05:52Ils sont d'égale dignité. Politiquement, ils ont décidé de boycotter.
05:56Il a décidé de venir. Donc, vraiment, c'est un choix.
05:59C'est-à-dire que l'on a des raisons de lutter,
06:04parce qu'il n'y a pas de plus de questions, il a amené mon mot.
06:08Il doit y aller. Mais après...
06:10Aujourd'hui, c'est le vrai tour de l'opposition.
06:13Parce qu'aussi, il faut que nous connaissons bien l'homme.
06:16Il doit y avoir un débat d'opposants et de gouvernants.
06:20Il doit y avoir un débat pour poser sur la table les questions.
06:25Il doit y avoir un peu de questions sur la table les autres personnes.
06:29Et qu'on a vu que l'on a passé,
06:31c'est qu'on a pensé économiquement à ce qu'il est.
06:33C'est ce qu'il est né.
06:34C'est ce qu'il est né.
06:35Mais il y a des semaines qui sont passées.
06:37Il y a des semaines qui sont de l'opposition.
06:40Ces questions-là, nous devons dire que ce n'est pas un député de la République qui parle à celui-là qui est du pouvoir exécutif.
06:50Il faut que nous devons dire. Maintenant, je pense qu'à au moins de nous aussi, pour le dire, il faut des piques à son rôle et ça c'est en politique.
06:56Et il était correct quand même de faire le député Pape Dibry-Lefal par rapport à l'intervention qu'il était venu venant du côté de l'opposition.
07:06Et il est calme, doux et j'aime bien parler dans le comportement de l'attitude du président de l'Assemblée nationale et de Pape Dibry-Lefal.
07:13C'est-à-dire que, et ça j'aime bien parce que les lois sont faites pour être respectées et pas pour être violées.
07:19C'est-à-dire qu'on dit, thème qui est évoqué, mais il ne faut pas dire qu'il n'y a pas d'un thème.
07:23Le thème qui est, il ne faut pas dire qu'il n'y a pas d'un thème, il ne faut pas avancer.
07:27Il faut insister à ne pas couper le micro, après il faut savoir qu'il n'y a pas de couper le micro.
07:31C'est-à-dire que c'est mon charme de la démocratie.
07:33Et là, j'aime bien parce que les relations, des fois, il n'y a pas de relations tendues,
07:38mais des fois aussi, il faut savoir quand même comprendre et respecter le règlement intérieur.
07:43Pour vous, également, Ousmane Sonko est revenu sur l'aide de la justice, surtout.
07:50Voilà.
07:51C'est-à-dire que le colonne et le Président de la République, Tilanthéry,
07:55on a répondu qu'il n'y a pas d'un thème, mais par ailleurs,
07:59ce qui est le plus important de retenir, c'est que le point, c'est qu'il a fait l'arrestation.
08:06Il a dit qu'il n'y a pas d'un thème, il n'y a pas d'un thème.
08:08Il n'y a pas d'un thème, il n'y a pas d'un thème.
08:39Il y a des dénonciations, il n'y a pas d'un thème, il n'y a pas d'un thème.
08:43Alors, le Président de la République, il a un dossier pour transmettre la justice.
08:47Le Président, il est dans le même temps, il a un envoi spécial.
08:51Je porte un plainte au tribunal de Dakar.
08:54Le Président de la République, il a un conseil juridique, il a un collaborateur,
09:00il prend le dossier, le remet au ministre de la Justice qui fait son travail.
09:04Parce que il faut voir que le Président de la République peut saisir le procureur de la République.
09:08pour des dénonciations, pour des plaintes.
09:11Le ministre de la Justice,
09:13donc le ministre, autre ministre également,
09:15le cabinet, le ministère,
09:17il a un truc,
09:18on transmet le dossier tout simplement
09:20au ministre de la Justice qui fait son travail.
09:23Alors le rapport de la justice,
09:24le ministre de la Justice,
09:26l'enlève, il a donné le procureur général
09:28qui a donné la juridiction compétente.
09:32Lorsqu'il s'agit des ministres,
09:33il a donné le cours de justice.
09:35Lorsqu'il s'agit des simples Sénégalais,
09:37le montant, c'est un pôle financier, etc.
09:41Donc c'est ça.
09:41Maintenant, Ousmane, c'est une autorité politique
09:45comme le ministre de la Justice.
09:46Le ministre de la Justice n'est pas une autorité judiciaire.
09:49Ça c'est une vérité absolue d'autorité judiciaire.
09:52Il est donné dans le ministère,
09:53dans le justice,
09:54mais il n'y a pas d'autorité judiciaire.
09:56Maintenant, nous pouvons entendre ce qu'il s'est impliqué.
10:00Maintenant, il s'est impliqué aussi.
10:02L'une seule chose qui peut être
10:04c'est la politique pénale du gouvernement
10:06en toutes circonstances,
10:09elle est définie par le gouvernement.
10:11Il est le chef du gouvernement.
10:13Donc ça veut dire quoi ?
10:15À la tête de la justice,
10:17il y a ce qu'on appelle le ministère,
10:19mais il y a...
10:20Ce procureur de la République-là,
10:25il exécute.
10:29C'est un exécutant de la politique pénale.
10:31Et cette politique pénale exécutée par le procureur
10:34est définie par le gouvernement.
10:36Et le gouvernement entend par le Président,
10:38parce que le gouvernement ne peut pas le faire.
10:41Donc ça veut dire quoi ?
10:42Il y a des choses qui peuvent être traités
10:44comme nous, mais il n'y a pas de laisser.
10:46Par exemple, quand tu diffuses une fausse nouvelle,
10:49c'est la diffusion de la fausse nouvelle,
10:50c'est la question de bonne fois ou mauvaise fois.
10:53Dès l'instant que la nouvelle qui est diffusée,
10:55la nouvelle qui est écrite,
10:56c'est vrai.
10:57Et il y a un bonheur,
10:58parce que Daphné qui aurait entraîné,
11:00d'accord,
11:01ou qui aurait sapé la morale des populations,
11:04la désobéissance des lois de la République,
11:06ou le dysfonctionnement régulier normal des institutions,
11:13dans ce cas,
11:14c'est ça qui nous a fait.
11:15Maintenant,
11:16si on a dit ça,
11:18on ne va pas le faire.
11:19Le faire ne pas le faire.
11:21Parce que c'est ça,
11:22il ne faut pas le faire.
11:23C'est là.
11:24C'est là.
11:25C'est là, parce que c'est le faire.
11:25C'est là.
11:26Mais moi,
11:26je dis que c'est un détail,
11:28il a menacé l'opposition.
11:35C'est là.
12:05le procureur de la République,
12:09il a fait beaucoup d'autorité judiciaire,
12:13mais il est sous la tutelle du ministre de la Justice.
12:20Il est sous la tutelle du ministre de la Justice.
12:22Le ministre de la Justice,
12:24il peut prendre des dossiers.
12:26Le Premier ministre,
12:26il peut donner instruction au ministre de la Justice.
12:29Le ministre de la Justice,
12:29et le ministre de la Justice.

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