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00:00Il est 17h12 sur Europe 1, merci d'être avec nous, on est en direct et on rit beaucoup
00:09aujourd'hui, on est bien, on est très heureux de vous avoir bien entendu, oui qu'est-ce
00:13qui se passe ? Non je voyais l'image de Yann Brossat et je sais que c'est l'ami de votre
00:16maman.
00:17Ah ma mère adore Yann Brossat exactement ! Non c'est une blague ? Non mais c'est catastrophique
00:21parce qu'elle fait de la gym avec lui je crois.
00:24Elle en fait plus que lui.
00:27Il en fait beaucoup.
00:28Je sais il en fait beaucoup, il fait de la muscu.
00:30C'est vraiment le mauvais côté du parti social communiste.
00:31La muscu ça sert à rien, il faut qu'il le sache, la muscu c'est bien mais bon, c'est
00:34pas avec la muscu que je lui expliquerai quelque chose.
00:37Merci Yann Brossat.
00:38Je voulais interdire tout le reste, suivez dans pareil.
00:40Je sais, mais Yann Brossat c'est une phrase, une connerie.
00:42Merci, on l'embrasse.
00:45C'est la mauvaise partie du PC.
00:46C'est un ami.
00:47C'est vrai ? Ah oui.
00:48C'est un ami oui.
00:49Vous connaissez son grand-père ? Papy Brossat ?
00:53Tu lui diras t'es excusé auprès de Gisabelle Morini-Boss parce qu'il lui a mis une cible
00:56dans le dos et il s'est jamais excusé en disant qu'elle avait tenu des propos dégueulasses
01:01et en fait c'était pas le cas.
01:02C'est un scandale.
01:03Je lui dirai.
01:04Tu pourrais lui dire ce que je pense de lui également ?
01:05Je lui dirai.
01:06D'accord.
01:07Mais vous allez lui dire, ça fait beaucoup de choses.
01:09Tu peux lui dire.
01:10J'étais avec Hanouna, il m'a dit ce qu'il pensait de toi.
01:11Non mais vous ne l'avez pas dit, vous pouvez lui dire ce que vous pensez de Yann Brossat.
01:14Yann Brossat ? Yann Brossat c'est juste rien.
01:19Il ne sait rien, c'est zéro, il ne dit que des bêtises.
01:23A chaque fois qu'il ouvre la parole, qu'il prend la parole c'est pour dire des bêtises.
01:26Je préfère encore une guimauve comme Édouard Philippe qu'un Yann Brossat qui ne dit que
01:30des bêtises.
01:31J'ai bien fait de vous poser une question.
01:32C'est ton moment maintenant, vas-y.
01:35On a déjà eu le débat sur les logements sociaux à Paris, c'est catastrophique ce
01:41qui est fait.
01:42Yann Brossat, Yann Brossat.
01:45Yann Brossat, Yann Brossat.
01:47Je ne sais même pas de quoi on parle, Yann Brossat.
01:49Les gens ne savent même pas qui c'est.
01:50Justement non.
01:51Justement non.
01:52Une fois dit, vous dites des énormes bêtises.
01:55Justement non, les logements sociaux ne sont pas réservés à ces professionnels.
01:590 à 80 29 21, dites-nous ce que vous pensez d'Olivier Dartigot sur Europe Inter.
02:07J'étais tranquille.
02:09Yann Brossat du parti communiste, merci, n'hésitez pas à dire moi de la parole sur Europe Inter.
02:15Qu'Edouard Philippe, ça part de Géraldine Bayer et que Yann Brossat, ça part de Géraldine Bayer qui est en train de regarder la télé où il est.
02:19Yann Brossat, mais de qui on parle ? Yann Brossat.
02:23Je pensais faire plaisir à votre maman.
02:26Ne lui faites pas plaisir, ne vous inquiétez pas.
02:28Mais votre maman, c'est très bien.
02:29Je vais m'en occuper.
02:30Ma maman, je vais vous dire la vérité, ma maman, elle n'aime qu'une seule personne.
02:35Son fils.
02:36Ah non, pas moi.
02:37Ah bon ?
02:38Si, c'est moi, mais en politique, je ne peux pas dire qui.
02:39Merci.
02:40Mais elle n'aime qu'une seule personne, c'est tout.
02:42Julie est avec nous.
02:43Julie Duhavre.
02:44Ah Julie Duhavre !
02:45Magnifique Julie Duhavre.
02:46Oui, bonjour.
02:47Ça fait plaisir de vous avoir Julie Duhavre.
02:49Bonjour Julie.
02:50Bonjour Julie.
02:51Bonjour à tous.
02:52Si vous êtes Duhavre, je me doute un petit peu de quoi vous voulez parler.
02:55Oui, exactement.
02:58En fait, ce que je voulais vous dire, c'est que j'ai deux aveux à vous faire.
03:02Le premier, c'est que j'aime les guimauves.
03:05Et que le deuxième aveu, c'est que je fais partie d'un duo que vous connaissez,
03:11le duo de Frittel et Chiptel, les jumelles de l'apéritif.
03:14Non.
03:15Parce que je ne m'appelle pas Julie en fait, je m'appelle Valérie Bénahim.
03:18Ah Bénahim !
03:19Oh !
03:20Bénahim, tiens, quelqu'un au chômage.
03:25Valérie Bénahim, tiens, qui va revenir lundi.
03:28J'ai cru comprendre que ma jumelle était en difficulté.
03:32Bon, allez, on passe sous un tunnel.
03:34Allez, merci.
03:36Valérie Bénahim, merci d'être avec nous.
03:38En tout cas, on vous embrasse Valérie Bénahim.
03:39Ça nous fait plaisir.
03:41Écoutez, je vais bien.
03:43J'ai passé des moments un petit peu compliqués.
03:45Et ça va beaucoup mieux.
03:46Et j'ai hâte de vous retrouver lundi, bien sûr.
03:49Alors, lundi, c'est une spéciale Edouard Philippe.
03:51Tu prends le relais.
03:53Valérie Bénahim, vous pensez quoi d'Olivier Dartigold ?
03:57C'est ce que j'ai fait du mal à la France, Valérie.
03:59Sur Yann Brossat, je ne peux pas être d'accord avec ni votre maman ni Olivier Dartigold.
04:04Ah bon, exactement.
04:06Mais Olivier Dartigold, sachez que vous lui manquez énormément.
04:08C'est vrai ?
04:09Ah oui.
04:10Il y avait du blues à un moment donné.
04:12Il ne se parlait plus.
04:13Exactement, il ne parlait plus.
04:14Sans vous, il n'est pas bien, Valérie.
04:15En tout cas, on vous fait de gros bisous, Valérie Bénahim, qui nous manque.
04:17Même si on adore Géraldine Maillet, bien entendu.
04:19Elle nous manque.
04:20Elle a été formidable.
04:21Elle a pris la relève formidablement.
04:23Oui, elle a pris votre cachet aussi.
04:28En tout cas, les auditeurs de repas me manquent.
04:30Et vous me manquez tous.
04:31Et j'ai hâte d'être de retour dès lundi.
04:33Eh bien, on vous embrasse.
04:34Sachez-le, tout le monde est là.
04:35Par contre, vous allez voir, un Gauthier Lebray, vous allez voir, il est plus en forme que jamais.
04:40Je suis en pleine forme.
04:41Il est boudon.
04:42Il a pris de l'épaisseur.
04:43Il a du pouvoir.
04:46J'ai eu quelques bons résultats.
04:47Exactement, il a eu quelques bons résultats.
04:49Et on ne le tient plus.
04:50Il est galvanisé.
04:51Il est galvanisé.
04:52Mais j'ai écrit à Valérie pour dire qu'elle me manquait.
04:54Ah, c'est beau.
04:55Bah tiens.
04:56C'est vrai, c'est vrai.
04:57Est-ce qu'il vous a écrit, D'Artigol ?
04:58Oui.
04:59D'Artigol m'a écrit aussi.
05:00Le seul qui ne m'a pas écrit, c'est Big Laoui.
05:05J'ai reçu 948 vœux cette année.
05:07Je n'ai pas pu répondre à tout le monde encore.
05:09Tu peux prendre une nouvelle voix, c'est normal.
05:10C'est la personne avec qui tu travailles, quand même.
05:14Qu'est-ce que c'est que cette réponse de mettre Valérie au milieu de ces mille personnes qui t'appliquent ?
05:17Merci Valérie.
05:18On vous embrasse fort, Valérie.
05:19Bisous, chérie.
05:23Il y a Patrice qui est avec nous, de l'Isère.
05:25J'espère que lui, ce n'est pas un faux auditeur, comme l'a pu être Valérie Benahim, qui était bien sympa.
05:29Mais là, c'est un véritable auditeur.
05:31Patrice, merci d'être avec nous sur Europe 1, Patrice.
05:33Oui, allô ?
05:34Oui, bonjour, Cyril.
05:36Bravo pour votre émission.
05:39Merci, Patrice.
05:40Absolument génial.
05:41Alors, je vais dire ce que je pense d'Olivier Lartigolle, puisque c'était...
05:46Alors, je ne suis pas du tout, du tout, du tout d'accord avec ses idées.
05:50Mais par contre, je l'aime bien.
05:52Mais moi aussi.
05:53Il est à la fois sur votre chaîne, et à la fois avec Pascal Praud sur le canal.
05:57Il est sympa.
05:58Il est plein la tête.
05:59Et le malheureux, mais bon, il sait se défendre.
06:03Et il est sympa, on l'aime bien, on l'aime bien.
06:06Juste sur Edouard Philippe, ce que disait Géraldine Maillet.
06:09C'est une bonne guimauve, ouais.
06:11C'est une bonne guimauve.
06:13En aucun cas, moi, je sais que personnellement, je pourrais lui apporter mon vote.
06:17Non, moi, Cyril, je rêve.
06:19Je peux rêver, hein.
06:21On peut rêver.
06:23Moi, je rêve vraiment d'une politique avec des gens comme Philippe Devilliers,
06:29comme Sarah Knafo, qui est absolument génial, qu'on ne connaît pas assez,
06:34qui est très très bien, Éric Zemmour.
06:36Voilà, donc, ces gens-là, moi, me plaisent complètement par leurs idées.
06:42Philippe Devilliers, énormément de gens en parlent.
06:46Énormément de gens en parlent, Philippe Devilliers.
06:48Moi, j'ai 65 ans, et je le connais depuis longtemps.
06:51J'ai toujours été proche de Devilliers.
06:53Devilliers, Pasqua, c'était un petit peu les gens que j'admirais à l'époque,
07:00pour lesquels je votais, en plus.
07:03Voilà, un petit peu.
07:05C'est vrai que Devilliers, en tout cas, il y a énormément d'auditeurs d'Europe 1
07:07qui nous parlent de Philippe
07:09et qui disent qu'il est exceptionnel.
07:11Moi, mise à part, bien entendu, la politique,
07:17moi, je ne m'en cache pas, c'est un ami.
07:19J'aime beaucoup Philippe, avec qui je peux passer des moments incroyables au téléphone,
07:23qui me raconte à chaque fois des histoires exceptionnelles.
07:26Et c'est un garçon, il le sait, que j'adore, Philippe,
07:29qui me raconte toujours des anecdotes incroyables,
07:32qui a toujours des histoires folles.
07:35Il a une culture phénoménale sur ses news.
07:39Moi, j'adore, avec Elliot, il a une culture phénoménale.
07:42Et franchement, je passe le bonjour à Philippe.
07:45Troisième personnalité politique préférée des Français
07:47dans le classement IFOP du JDD.
07:49Et pourtant, vous avez vu, il n'est pas très bon, Philippe.
07:51Mais Philippe, au-delà de la politique,
07:55sachez que c'est un homme avec qui je passe à chaque fois des moments
07:59exceptionnels.
08:00Je me régale avec lui à chaque fois, il est incroyable.
08:05Patrice, on dit un petit mot sur l'Algérie avec cette histoire.
08:10Moi, je suis écœuré.
08:12Je suis écœuré parce que l'Algérie profite de notre argent.
08:17Parce qu'on a, depuis des années,
08:20on dit toujours, on est en train de trouver la faute.
08:25Bien entendu qu'on a été méchant,
08:28on a été très méchant avec eux,
08:29mais on ne regarde pas ce qu'ils ont fait.
08:30Et on leur donne quand même un maximum d'argent
08:33et ils se fichent complètement.
08:35On est des paillassons, on est des paillassons.
08:37Non, non, on est des paillassons.
08:39On est des serpillères, on est en train de se faire manger
08:42et notre président, il ne bouge pas, je veux dire.
08:47Mais c'est ce que je disais tout à l'heure, Patrice.
08:49Patrice, ce que je disais tout à l'heure,
08:51je disais quand Géraldine Maillet,
08:53et franchement, je l'adore Géraldine,
08:54mais quand elle me parlait d'Edouard Philippe,
08:56je lui disais, c'est pour ça qu'en 2027,
08:58si vous votez Edouard Philippe, gardez Emmanuel Macron,
09:00c'est pareil, c'est pareil.
09:02Mais c'est vice-versa, ça ne sert à rien.
09:04Ça ne sert à rien, ne faisons pas d'élection,
09:06gardons Emmanuel Macron.
09:07Macron, Attal, Edouard Philippe, ça ne sert à rien.
09:11Mais moi ce que j'ai peur,
09:12enfin moi je vote Le Pen, très clairement.
09:18Ce que je regrette,
09:20ce que je regrette,
09:21mais je regrette vraiment quelque chose,
09:22c'est que Le Pen,
09:24ils ont une politique économique
09:27qui n'est pas forcément celle que j'aime.
09:29Oui, c'est ça.
09:30Il y a beaucoup de gens qui disent ça, Patrice.
09:32Par rapport à la sécurité,
09:34mais par contre, je préfère de loin
09:36une fille qui s'appelle Sarah Knafo,
09:38que je trouve absolument géniale,
09:40qu'elle fait des reportages
09:44sur ses interventions au Parlement européen, etc.
09:49Elle est fabuleuse.
09:50Et des gens comme ça,
09:51qui n'ont pas peur de dire ce qu'ils pensent,
09:54et en plus qui ont de la culture,
09:56qui ont eu des postes qui ont été importants,
10:00voilà, mais c'est des gens comme ça
10:02qui nous clôt dans le pays.
10:03Vous savez ce que je disais ce midi, Patrice ?
10:06Je disais, si j'étais candidat à la présidentielle 2027,
10:11j'aurais très très peur d'un ticket
10:14Sarah Knafo-Philippe de Villiers.
10:16Philippe de Villiers-Sarah Knafo.
10:19Je me souviens que je disais ça ce midi.
10:21Je disais ça ce midi.
10:22Les mecs devraient faire attention,
10:23parce que s'ils se mettent ensemble,
10:25ça peut faire un...
10:26Ils sont au deuxième tour.
10:27Je ne suis pas sûr, mais...
10:28Non, mais en tout cas,
10:29il ferait un score, à mon avis,
10:32il ferait un score qui serait significatif.
10:34Je rappelle que vous avez encore Marine Le Pen sur la liste.
10:36Vous avez les accords.
10:37Vous avez Marine Le Pen.
10:38Sarah Knafo est avec Éric Zemmour.
10:40Moi, j'aime bien Éric Zemmour,
10:41personnellement,
10:42mais Éric Zemmour ne passe pas avec tout le monde.
10:44Et l'handicap de Sarah Knafo,
10:45c'est Éric Zemmour pour moi.
10:48Parce qu'il ne passe pas.
10:50Je crois qu'à un moment donné,
10:53il sera barré, Éric Zemmour.
10:55Que Sarah Knafo, je pense qu'elle a...
10:57Je pense qu'elle peut aller très, très loin.
10:59Marion Maréchal, c'est pareil.
11:01Marion Maréchal, j'adore.
11:03Et c'est dommage qu'il n'y ait pas le ticket,
11:05en fin de compte, de la droite,
11:07la droite droite,
11:08ce que j'appelle la droite,
11:09pas la guimauve,
11:11et qu'il n'y ait pas le ticket
11:14Le Pen, Bardella, Knafo,
11:16Billy Devilliers, Zemmour,
11:18que l'on prenne Rotaïo,
11:20des mecs comme ça.
11:21Oui, Rotaïo, il est incroyable.
11:22Merci.
11:23Siottier est allé du côté de Marine.
11:25Merci Patrice, en tout cas,
11:26d'avoir été avec nous sur Le Pen.
11:27Avec grand plaisir, je vous adore.
11:29Moi aussi.
11:30Merci.
11:32C'est vraiment un très grand plaisir
11:34de vous écouter.
11:35Vous voyez, moi, je suis dans ma voiture,
11:37je vais voir un client, je suis dans l'immobilier.
11:39Et voilà, c'est toujours un plaisir
11:42de vous entendre.
11:43Merci, c'est toujours un plaisir,
11:45en tout cas, de vous avoir en ligne.
11:46Patrice, vous nous rappelez quand vous voulez
11:47sur Europe 1.
11:48Ça a été un bonheur.
11:49Merci Patrice, merci d'avoir été avec nous.
11:50Au revoir.
11:51Allez, on va se retrouver dans un instant,
11:52pour la dernière demi-heure de l'émission.
11:54Alors là, c'est Auditeur, à tout va.
11:56Vous nous appelez 0 à 80 20 39 21,
11:58sur n'importe quel sujet,
11:59on vous prend en ligne sur Europe 1,
12:00tout de suite.

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