Retrouvez Benjamin Tranié sur : https://www.radiofrance.fr/franceinte...
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AmusantTranscription
00:00France Inter, Jésus nous aime, Mathieu Noël.
00:05Où allons-nous ? Je ne le sais pas, mais nous allons la terminer cette émission.
00:09Nous avons la chance de recevoir, figurez-vous, un nouveau membre du gouvernement Bayrou,
00:13une grande figure politique, tout le monde croyait dans la fausse à purin de l'histoire
00:16politico-médiatique, Monsieur Manuel Modern Jazz, bonjour.
00:20La présentation est très flatteuse, merci beaucoup Mathieu Noël, je souhaite tout
00:29d'abord une bonne année aux Françaises, aux Français et à tous ceux qui nous écoutent,
00:35qu'ils soient blancs, whites, blancos ou face de guerre.
00:38En parlant de ça, je souhaiterais rendre un hommage à un grand homme politique qui
00:44nous a quittés aujourd'hui, car ce n'est pas parce qu'on a créé un parti sur la
00:49base de l'antisémitisme, du racisme et de la haine de l'autre qu'on doit se réjouir
00:54de la mort d'un homme.
00:56Je propose donc une minute de recueillement sur une chanson qu'il a adorée.
01:02Bravo, bravo, bravo la radio de gauche, quelle indignité, même un clin d'œil on ne peut
01:12pas, enfin un clin d'œil, bref, salam Jean-Marc.
01:16Je commencerai par les bonnes résolutions de cette année, je m'engage à, et comme
01:22rarement vu avant je vais, pour vous, pour mon peuple, la France, et dire aux français
01:32de croire en leur rêve.
01:34Moi, quand j'ai demandé, mais François, qu'est-ce que je peux faire pour que tu
01:38me prennes comme ministre ? Il m'a répondu, t'as qu'à aller sucer un âne, et bien
01:44vous avez en face de vous le ministre des Noirs des îles, des Outre-mer, ça s'appelle
01:50ça ? C'est ce que j'ai dit, vous n'avez qu'à repasser les bandes.
01:55Petit message à monsieur Sarkozy, déjà j'espère que vos bracelets ne vous ont pas
02:00fait une vilaine marque de bronzage à la cheville pendant vos fêtes au Seychelles,
02:04courage dans votre procès, vous vous releverez et je serai là à vos côtés.
02:12Pitié, s'il vous plaît, dites oui, stoppons l'immigration, les agriculteurs se suicident
02:18tous les jours, et c'est de la faute de l'immigration.
02:21Envoyez-moi votre rine par UPS, je la boirai avec plaisir.
02:25Pitié, dites oui, j'en profite pour passer un petit coucou à l'assaut dont je suis
02:30le président, les soupeurs de Tarragone, vous me manquez les gars.
02:34Tous les jours, je l'entends, tous les jours, mais Manu, t'es un suceur, t'es un traître,
02:39t'as aucune dignité, aucun honneur, tu es détesté et méprisé de la gauche à
02:43l'extrême droite, vous aimez le répéter encore combien de temps ? Vous croyez que
02:48je ne suis pas au courant ? Oui, je suis un traître sans honneur, et c'est un scoop
02:52pour qui ? Autour de cette table.
02:54Au Loup-Garou, on me tue alors que le village est réveillé.
02:59Tout le monde me déteste, mais regardez-moi, est-ce que j'ai l'air d'en avoir quelque
03:04chose à foutre ? Non, je n'ai aucun honneur.
03:07Avant de vous quitter, partout dans les toilettes du Parlement, il y a écrit « Manu suce au
03:130637 », à chaque fois, ces tags sont effacés, merci d'arrêter de les effacer, c'est
03:21moi qui les écris.
03:22Français, Françaises, Blancos de toute région, je me présenterai bien trop, et je n'hésiterai
03:30surtout pas à m'humilier dans l'urne, mais Gustave fout trop, au revoir.
03:35Merci Benjamin Tragnet, c'est une chronique qui, j'allais dire qui se déguste, non,
03:39se déguste pas, mais elle se regarde en vidéo sur Youtube, notamment parce qu'elle
03:44est très visuelle, le gag est essentiellement visuel, et heureusement, avec la finesse qui
03:49vous caractérise, personne n'aura reconnu la personne qui était visée grâce à ce
03:52jeu de mots.
03:53Inattaquable.
03:54Inattaquable, effectivement, d'un point de vue juridique, on est vraiment béton.
03:57Merci Benjamin Tragnet pour ce passage fugace dans Zoom Zoom Zen, puisque la semaine prochaine,
04:01vous préférez aller au festival de l'Alpe d'Huez plutôt que d'être avec nous, alors
04:05que tu skis comme un fer à repasser, je dis, c'est quand même dommage.