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00:00On va revenir à présent sur cette histoire totalement folle, on vous en parlait hier.
00:0314 panneaux stop installés sur une avenue à La Rochelle.
00:07Résultat, les automobilistes contournent l'artère
00:10et la seule commerçante du quartier a vu son chiffre d'affaires dégringoler.
00:15Elle est avec nous à nouveau cet après-midi, c'est Florence qui est buraliste à La Rochelle.
00:20Bonjour Florence.
00:22Bonjour, bonjour Florence.
00:23Merci d'être avec nous sur Europe 1 cet après-midi Florence.
00:26Alors, on vous avait dit qu'on allait essayer en tous les cas
00:29puisque vous, vous nous avez expliqué que vous aviez tenté de joindre la mairie,
00:34que vous n'aviez pas forcément réussi jusqu'à présent.
00:38Moi, j'ai envoyé des lettres recommandées, enfin deux déjà.
00:44J'ai déposé deux courriers, enfin un mot au début
00:49et puis ensuite un courrier dans la boîte aux lettres du maire
00:51puisqu'il habite dans le quartier depuis un an.
00:54Il y a un élu qui est passé, M. Christophe Barbeau, qui m'a expliqué que...
01:00M. Christophe Berthaud, il est en ligne justement, on va lui poser tout de suite la question.
01:05Juste, on va rappeler pour les auditeurs ce qui s'est passé,
01:09c'est-à-dire que la municipalité a voulu réduire la vitesse sur cette artère
01:14et pour réduire la vitesse, ils ont installé des panneaux stop.
01:17Ils en ont installé quand même beaucoup, c'est ce que vous nous expliquez hier.
01:21Sept dans un sens, sept dans l'autre, sur une parcelle qui n'est pas non plus très grande
01:27et résultat, finalement les automobilistes contournent, c'est ce que vous nous expliquez.
01:31Contournent cette avenue et donc il y a moins de passages
01:34et ça vous cause évidemment des désagréments pour votre commerce.
01:39C'est exactement ça, puisqu'en fait la clientèle du quartier n'est pas partie, il n'y a aucun problème.
01:46Mais j'ai 30% de moins de chiffres et ça c'est le passage et je le sais très bien
01:52puisque le matin quand j'ouvre, avant j'avais beaucoup d'ouvriers qui s'arrêtaient
01:56et là j'ai plus personne aux heures d'embauche et de débauche.
01:59Alors on est avec Christophe Berthaud justement, qui est adjoint au maire de La Rochelle
02:04et qui a accepté, on le remercie, nos réponses cet après-midi sur Europe 1 dans Marche sur la tête.
02:10Bonjour Monsieur Berthaud, merci d'être avec nous cet après-midi.
02:14Bonjour à vous.
02:15Alors, est-ce qu'on peut revenir un petit peu sur ce qui s'est passé sur cette avenue d'abord ?
02:21Pour quelles raisons ces panneaux de stop ont été installés ?
02:27Alors, avenue, cette rue n'a que le nom d'avenue, parce qu'en fin de compte
02:32c'est une rue où on ne peut pas se croiser à deux avec le stationnement.
02:36Donc il faut laisser passer les voitures.
02:38Donc voilà, avenue quand même, dans l'imaginaire populaire, un axe très large.
02:42Ce n'est pas le cas pour cette rue qui desserre un quartier.
02:45Vous dites que c'est la municipalité qui a installé ces stops ?
02:49Oui, mais sur une demande des habitants du comité de quartier
02:53et également des habitants du quartier de Fétilly.
02:58Et si je reviens en arrière...
03:00Il y avait une volonté d'installer des panneaux stop ou il y avait une volonté de réduire la vitesse ?
03:05Il y avait une volonté de réduire la vitesse.
03:07Nous sortons avec monsieur le maire de douze réunions publiques
03:10où la première préoccupation des Rochelets depuis le passage de la ville en zone 30
03:14est de limiter la vitesse.
03:16Oui, mais il y avait peut-être d'autres solutions que d'installer des panneaux stop ?
03:19Attendez, les solutions des panneaux de stop, ce n'est pas la municipalité qui l'a décidé.
03:24On l'a décidé collectivement lors d'une réunion en avril avec les habitants.
03:29Après un sondage sur plusieurs solutions, on a présenté d'autres solutions.
03:33Et c'était quoi les autres solutions ?
03:34Un passage de cette rue en sens unique.
03:36Et la majorité des habitants n'ont pas voulu un passage en sens unique.
03:40Ils ont préféré également des stops pour pouvoir garder le double sens.
03:43Donc on n'a fait qu'appliquer une volonté de terrain des habitants.
03:49Et donc c'est pour cette raison que nous avons installé ces stops.
03:52Vous comprenez aussi la situation dans laquelle Florence se retrouve
03:57puisqu'elle est gérante du seul commerce du quartier
04:02qui est un tabac presse.
04:06Mais dans lequel elle propose plein d'autres services justement
04:10puisqu'elle est la seule dans ce quartier.
04:11Et aujourd'hui, elle se retrouve avec une baisse de chiffre d'affaires de moins de 30%.
04:15C'est ce que nous dit Florence.
04:17Évidemment, je reprends ses mots.
04:18Puisqu'aujourd'hui, elle ne bénéficie plus du trafic de personnes
04:24qui circulait jusque là sur cette artère.
04:28Bien entendu, quand je l'ai rencontrée il y a deux semaines,
04:30je lui ai dit qu'on devait faire une réunion, un retour d'expérience en mai-juin.
04:37On va faire ce retour d'expérience beaucoup plus tôt, fin février-début mars.
04:41Et entre-temps, on aura installé à partir de la semaine prochaine
04:44des compteurs pour vraiment caractériser la baisse de précomptation sur l'avenue de Fétigny.
04:51D'autre part, comment vous allez installer des compteurs ?
04:54Ça lui fait une belle jambe.
04:55Vous allez installer des compteurs pour faire quoi ?
04:57Pour comptabiliser ?
04:59Il s'agit d'affaires qui amènent les 30% déjà.
05:01Mais c'est surtout que les compteurs, il fallait les installer avant.
05:03Parce que là, vous allez comparer à quoi ?
05:06Ah, vous avez les chiffres d'avant, d'accord.
05:08Bien sûr, on a tous les chiffres avant.
05:09C'est à peu près 5000 flux de véhicules par jour.
05:12En mettant les compteurs là, 5 mois après la mise en place en septembre,
05:17on va voir réellement, on va pouvoir caractériser le nombre de véhicules passant dans l'avenue.
05:23M. Berthaud, je veux bien.
05:24Effectivement, mais en réalité...
05:27Vous êtes d'accord avec moi, il faut bien avoir des données.
05:30Bien sûr, mais la réalité, c'est que Florence, les chiffres, elle les a.
05:33Puisque ça se traduit...
05:35J'aurais d'autres questions à poser aussi à Mme Martin-Dulos.
05:38Puisque moi, je sais qu'aujourd'hui, les tabacs, elle a modifié sa surface.
05:46Il y a un an, elle avait deux fois et demi de surface commerciale, beaucoup plus grande.
05:51Elle a réduit son commerce.
05:53Est-ce que c'est lié également à, depuis quelques années, une perte de chiffre d'affaires globale de son magasin ?
05:58Puisque on sait que les buralistes, à peu près 45% du chiffre d'affaires des buralistes sont liés à la vente de tabac.
06:05Est-ce que c'est le cas chez elle ou pas ?
06:07Est-ce qu'elle est en adéquation avec ses statistiques nationales ?
06:10Voilà, c'est l'évolution de son chiffre d'affaires sur une dizaine d'années.
06:14On peut en parler.
06:15Vous avez prévu de vous revoir quand avec Florence ?
06:20J'attends, on peut la voir dès la semaine prochaine.
06:23Si elle est prête à nous montrer toutes ces données, pour voir également l'évolution dans le temps de l'évolution de son chiffre d'affaires.
06:30Ça serait bien déjà, si vous arrivez à la voir déjà la semaine prochaine, pour que vous puissiez discuter.
06:35Je l'ai rencontré, mais moi j'ai besoin de données caractérisées sur le nombre de flux.
06:40Vous les avez, ces données, Florence ?
06:41Je ne mets pas en doute sa parole.
06:43Un peu quand même, visiblement.
06:46Si vous mettez plein de stocks, c'est sûr que les gens s'arrêtent moins.
06:49Et s'ils s'arrêtent moins, ils achètent moins chez elles.
06:51C'est mathématique.
06:52Je suis d'accord, mais est-ce que la vitalité de son commerce est née uniquement sur les 5 mois de l'expérimentation de son stock ?
07:00Ou est-ce qu'il est plus profond sur une évolution des changements de mentalité sur le tabac ?
07:06Avant la presse, 50% de la presse aujourd'hui consulte les Français presque des journaux numériques.
07:11Après, ce qui est sûr, M. Bertheau, c'est que c'est le seul commerce du quartier.
07:16Et qu'en faisant ça, vous savez très bien que ça ne va pas arranger les choses pour elle,
07:20et que vous mettez forcément des bâtons dans les roues.
07:22Mais ici, c'est les habitants qui demandent.
07:24Effectivement, si c'est les habitants qui ont demandé...
07:25L'idée, ce n'est pas de transférer complètement le flux, c'est de baisser la vitesse.
07:29Et que si, au départ, les automobilistes avaient respecté le 30 km heure,
07:35à aucun moment, nous aurions été obligés de mettre des stops dans cette avenue.
07:41Je suis désolé, on avait ce matin un reportage sur CNews sur cette affaire.
07:46Beaucoup d'habitants ont été interrogés par nos équipes sur place.
07:49Les habitants n'étaient pas du tout contents de ces 14 stops sur quelques dizaines de mètres.
07:55Justement, si fin février, la majorité des habitants veulent qu'on retire les stops, on retirera les stops.
08:01C'est eux-mêmes qui ont décidé de la mise en place de ces stops.
08:05Et nous avons eu trois réunions.
08:07Une en avril, une en septembre avec le comité de quartier,
08:11une réunion publique avec M. le maire,
08:15où l'ensemble de la salle, à plus de 95%, était favorable à ces stops.
08:19Donc, si on va faire marche arrière en février, on fera marche arrière.
08:23Si la majorité des habitants souhaite qu'on fasse marche arrière, on fera marche arrière.
08:27Puisque ça émane de la volonté des habitants.
08:30Alors Florence, on vous écoute.
08:32Alors, déjà, j'ai un problème, c'est que je ne suis pas sûre de pouvoir tenir comme ça jusqu'au mois d'avril.
08:38Non, mais j'ai dit fin février.
08:40Non, non, fin février, c'est la réunion.
08:43Vous savez très bien qu'entre le moment où il va y avoir les petits compteurs,
08:46mais les compteurs, moi je les ai sur ma caisse, parce que c'est une caisse qui est reliée au truc de l'État.
08:50Donc, les compteurs, les 500 clients en moins par mois depuis le mois de novembre, je les ai.
08:55Et j'ai mon commerce depuis quatre ans, et tout était stable jusqu'à présent.
08:59C'est très stable.
09:01Alors, effectivement, en novembre, tout le monde a un petit peu morflé,
09:08mais pas dans ces proportions-là.
09:10C'est-à-dire que j'ai pris une double peine, en fait.
09:13Mais bien sûr que j'ai fait chiffre, j'ai un expert comptable, je ne fais pas ma petite comptabilité.
09:17J'ai une caisse qui est une caisse d'État.
09:20C'est même pas moi qui change les prix du tabac ni rien.
09:23On n'a même pas besoin de toucher, tout est comptabilisé.
09:26Attendez, pour qu'on puisse faire les chiffres...
09:28Florence, attendez, attendez, monsieur Berthaud.
09:31Monsieur Berthaud, juste une seconde.
09:32Florence, pour qu'on puisse mettre les choses au clair,
09:35est-ce que vous pouvez sortir les chiffres que demande monsieur Berthaud ?
09:39Eh bien évidemment !
09:40Eh bien, sortez-les, essayez de vous voir la semaine prochaine.
09:44Les fêtes se terminent.
09:46En début 2025, vous organisez une rencontre,
09:49avec une nouvelle rencontre, même si vous vous êtes déjà vu avec monsieur Berthaud.
09:52Vous lui exposez vos chiffres clairement devant lui,
09:58comme ça au moins, vous répondez à sa demande.
10:02Et de l'autre côté, monsieur Berthaud, on essaie de faire accélérer les choses.
10:06Ah ben, on met les comptages dès la semaine prochaine.
10:09Il faut à peu près six semaines pour qu'il soit, avoir des données en ligne.
10:13Vous avez demandé les données chiffrées,
10:17si elle vous donne ces données chiffrées,
10:18vous avez vraiment besoin d'attendre l'installation des compteurs ?
10:23Non, mais attendez monsieur, il n'y a pas que la commerçante.
10:26Aujourd'hui, on est sur des injonctions contradictoires.
10:28Si les habitants veulent les retirer ?
10:31Les habitants souhaitent beaucoup plus de sécurité dans leur quartier.
10:35Ces sortes ont eu la conséquence de baisser la vitesse nominale, importante,
10:40et d'assurer une sécurité, notamment pour les familles, les enfants,
10:45et notamment pour les enfants qui vont à l'école en vélo.
10:48Vous avez fait une pétition, Florence ?
10:51J'ai une pétition de 550 signatures de gens du quartier.
10:55Il y avait 150 personnes à la réunion, j'en ai 500 sur la signature.
10:59Et cette pétition, vous l'avez envoyée à la mairie ?
11:01Vous allez me montrer la pétition, on va regarder finement d'où viennent les signataires,
11:07si c'est uniquement le quartier ou si c'est des personnes de l'autre endroit.
11:10Il y en a peut-être 50 qui ne sont pas de quartier, mais tous les autres sont du quartier.
11:14Je vous l'ai envoyée par recommandation hier.
11:16On regardera ça attentivement ensemble, et puis...
11:19Vous l'avez envoyée il y a 15 jours, en 350 ?
11:22Elle vous l'a envoyée il y a 15 jours en plus.
11:23Chaimane Desrochelès, qui habite le quartier,
11:26on est obligé de rendre compte de cette politique-là,
11:29on fera une réunion, et puis après on décidera si, comme vous dites,
11:33tous ces habitants...
11:34Oui, mais c'est vrai...
11:35On sera à tous les habitants du quartier,
11:37à peu près 2000 habitants qui habitent autour de cette avenue,
11:40on leur fera une invitation personnelle pour se rendre à cette réunion,
11:44et si à cette réunion, fin février,
11:46la majorité, la grande majorité, décide de faire marche arrière,
11:49on fera marche arrière.
11:50Et si vous ne pouvez pas attendre le mois d'avril pour retirer les...
11:53Non, ce n'est pas le mois d'avril.
11:55Après, vous savez, les mises en place sont assez rapides.
11:58On comprend quand même que ce n'est pas de la faute de la mairie de La Rochelle.
12:00On a l'impression que ce n'est pas de la faute de la mairie,
12:02que les habitants, alors qu'ils signent une pétition,
12:05nous on est allés sur le terrain, on les a vus,
12:07ils sont plutôt défavorables à cette mesure.
12:10On a une commerçante qui est en train de perdre son commerce,
12:12on met en doute sa parole sur sa pétition,
12:14sur son chiffre d'affaires qui fond comme neige au soleil.
12:18C'est quand même compliqué.
12:19Et surtout, on a l'impression que c'est quand même une décision idéologique,
12:23anti-voiture, mettre 14 stops sur quelques dizaines de mètres.
12:26Ah non, non, monsieur.
12:27Monsieur, ce n'est pas idéologique.
12:29Vous savez ce qui est arrivé dans ce quartier ?
12:31Il y a eu un drame humain l'année dernière à La Rochelle,
12:33qui a émis toute la population, et notamment les élus.
12:35Et malheureusement, une petite fille est décédée.
12:37Cette petite fille était dans l'école du quartier.
12:38Ce n'est pas dans ce quartier, monsieur.
12:39Elle est dans l'école du quartier.
12:40Ce n'est pas dans ce quartier.
12:41C'était dans ce quartier, monsieur Berthod.
12:43Ce n'est pas dans ce quartier.
12:44Ce n'est pas dans ce quartier.
12:45Pour permettre à leurs enfants de pouvoir aller à l'école du quartier.
12:48Est-ce que Mme Camine est pas dans ce quartier ?
12:50Est-ce que c'était dans ce quartier, monsieur Berthod ?
12:52Attendez, parce que si ce n'est pas dans ce quartier, c'est grave ce que vous nous dites.
12:54Non, ce n'est pas dans ce quartier.
12:55Si ce n'est pas dans ce quartier, c'est grave d'instrumentaliser comme ça.
12:58Attendez, attendez.
12:59Ce n'est pas dans ce quartier.
13:01Mais les habitants, tous les enfants...
13:03Vous vous rendez compte de ce que vous venez de faire ?
13:05Vous avez raison.
13:06Il a raison.
13:07Il a raison.
13:11C'est honteux de faire ça.
13:12Mais toi, c'est parce que c'est idéologique, donc tu cautionnes.
13:14C'est pour ça, imbécile.
13:15Non, Gauthier.
13:16Enfin, voyons.
13:17Si l'accident a eu lieu juste à côté du quartier et que les habitants...
13:20Pardon, je termine.
13:21Si les habitants du quartier ont eu la trouille à cause de cet accident, c'est logique.
13:27Il y a une pétition de 500 personnes qui sont contre cette mesure dans ce quartier, te dit Florence.
13:31Oui, mais les luttes racontent qu'il y a eu des réunions.
13:33Et il y a plein d'habitants qui ont voté.
13:34Les gens n'ont qu'à aller aux réunions locales aussi.
13:36Écoutez, on va calmer les choses.
13:38On va faire en sorte que M. Bertheau et Florence se rencontrent la semaine prochaine, début 2025,
13:44pour essayer de régler tout ça.
13:45Et Florence, surtout, vous nous tenez au courant.
13:47D'accord ?
13:48Absolument.
13:49On fait comme ça ?
13:50Nous avons fait trois réunions publiques où la majorité, plus de 85%, a été favorable.
13:55Si lors de la prochaine réunion publique, on a la même proportion qui est favorable à ces stops,
14:00nous ferons marche arrière sans aucun problème.
14:02Merci beaucoup d'avoir...
14:03Florence, un dernier mot.
14:04Oui, moi, j'aimerais bien être informée en amont et pouvoir, moi aussi,
14:09parler à tous les gens pour qu'ils viennent à la réunion.
14:11Parce que faire des réunions à 17h, tous les gens ne peuvent pas venir.
14:15Nous allons boiter les 2500 adresses du quartier, comme nous l'avions fait en avril dernier.
14:23Merci M. Bertheau de nous avoir répondu sur Europe 1.
14:26Merci à vous.
14:27Et Florence, évidemment, vous nous tenez au courant.
14:30Je compte sur vous.
14:32Il avait raison, Cyril, j'ai l'impression d'être Julien Courbet.
14:35Mais oui, mais en même temps, je comprends que Florence soit difficile.
14:41Là, il faut vraiment dialoguer.
14:45Face aux contradictions de la démocratie locale, vous faites des réunions publiques, tout le monde ne vient pas.
14:50Et vous avez une majorité qui prend...
14:52Des gens, après, sont en désaccord.
14:53On a Nelly Denac qui nous attend dans un instant pour punchline sur Europe 1 et sur CNews.
14:57Merci à Philippe, c'est Thierry Cabane, pardon.
15:00Thierry Cabane dans un instant.
15:01Merci Philippe Guibert, merci Vincent Roy.
15:03Merci à Sarah Salman et Gauthier Lebrec.
15:05Bonnes vacances.

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