• la semaine dernière
Avec Fabien Bouglé, expert en politique énergétique et auteur de "Guerre de l'énergie" aux éditions du Rocher

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##LE_FAIT_DU_JOUR-2024-12-02##

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Transcription
00:00— Et très bientôt, Noël. Et très bientôt, Noël. Il est né de divines enfants. Est-ce qu'elle naîtra la divine réconciliation ?
00:09Vous dites « ennuye de quoi il parle » ? Oui, d'un miracle. Mais qui a parlé de miracle ? Eh bien c'est ce matin Jordan Bardella,
00:15le chef du RN, sur RTL, écoutait ce qu'il disait ce matin à propos d'une dissolution possible et d'une motion censure possible. Écoutez.
00:25— À partir du moment où Michel Barnier poursuit la politique d'Emmanuel Macron, le RN censura évidemment ce gouvernement.
00:32— Donc la réponse est oui ? Vous allez censurer et faire tomber le gouvernement ?
00:35— La réponse est oui. Le RN actionnera le mécanisme du vote de la censure, sauf évidemment, miracle de dernière minute,
00:44si Michel Barnier venait à revoir sa copie d'ici 15 heures. Mais j'ai peu d'espoir qu'il soit touché par la grâce.
00:50— Michel Barnier sera-t-il touché par la grâce ? Miracolo ! Miracole ! Est-ce que la sagesse va descendre ou pas ?
00:56Écoutez, on le saura à 15 heures ou un peu plus tard, si non infinité. On vous tiendra au courant, bien sûr, sur Sud Radio.
01:05Mais en attendant, en attendant, eh bien on va parler des 100 000 votes et que ça nous coûte les 100 000 votes,
01:13car un certain nombre de personnalités ont jeté un sacré pavé dans la mare.
01:19— Sud Radio-Bercov, dans tous ses états. Le fait du jour.
01:23— Toi, tu me fais de l'électricité, tu fais monter ma tension. Faut pas tomber dans la lubricité. Faudra que je fasse attention.
01:31Tous les soirs, tu m'allumes... — Eh ! Fais-moi de l'électricité, Joe Dassin. Oui, fais-moi de l'électricité.
01:37Mais à quel prix ? C'est bien le problème. Écoutez, voilà les premiers mots et quelques mots d'une tribune, d'une lettre ouverte.
01:46« Nous, anciens ministres, anciens parlementaires, anciens dirigeants d'entreprises de production d'électricité,
01:52animateurs de centres de réflexion et spécialistes d'action énergétique, dénonçons par cette lettre l'extrême gravité pour la France
02:00de poursuivre la politique énergétique proposée par le projet de programmation pluriannuelle de l'énergie récemment publié.
02:07Nous dénonçons la poursuite à marche forcée d'installations d'éoliennes marines ou terrestres ou de panneaux solaires
02:15qui ne servent en aucun cas à la décarbonation de notre pays, puisque grâce au nucléaire et à l'hydraulique,
02:22l'électricité y est abondante et déjà décarbonée à 80%. Nous dénonçons l'illusion répandue par les rapports officiels de RTE
02:32et le réseau d'électricité que les énergies renouvelables intermittentes et l'énergie nucléaire seraient complémentaires
02:39et qu'une production d'électricité totalement dépendante de la météo et impossible à stocker à grande échelle puisse offrir aux Français
02:47la sécurité d'un prévisionnement électrique. Et la lettre continue, et on va en parler, mais je voudrais vous dire la fin, justement,
02:56et les signataires, bien sûr, parce que nous avons été, pour certains d'entre nous, au cœur de la gouvernance énergétique de notre pays.
03:05Nous pouvons vous affirmer que la poursuite aveugle du développement accéléré des énergies intermittentes en France contribuera à un affaiblissement
03:13de notre souveraineté énergétique, à la déstabilisation de notre économie par la poursuite de l'augmentation de prix d'électricité
03:20et l'inflation énergétique qu'elle génère, à la baisse de notre compétitivité industrielle, à une dépendance accrue vis-à-vis d'équipements importés de l'étranger,
03:29à une régression sociale et à des risques importants de coupure d'électricité à grande échelle. Monsieur le Premier ministre, cette politique ruineuse,
03:38dont l'échec est patent en Allemagne, ne sert qu'aux quelques intérêts particuliers, majoritairement étrangers, aux dépenses de l'économie française,
03:46des consommateurs et des contribuables français. Malgré l'évidence de ses conséquences désastreuses, une partie de l'administration et du personnel politique
03:54continue de promouvoir cette politique au nom d'une idéologie antinucléaire, aujourd'hui totalement dépassée, et de la défense d'intérêts particuliers
04:04au détriment de l'intérêt général. C'est pourquoi, Monsieur le Premier ministre, nous avons l'honneur de vous demander solennellement de mettre un terme définitif
04:13à une politique énergétique qui cause d'énormes dommages à notre pays. Et qui signe ? Et qui signe ? Henri Proglio, ancien président d'EDF,
04:21Hervé Machenault, ancien directeur exécutif d'EDF, André Merlin, ancien président fondateur de RTE, Michel Rousseau, président de la fondation Concorde,
04:30Xavier Moreno, président du cercle d'études Réalité écologique et mix énergétique, Louis Gallois, ancien chef d'entreprise, ancien commissaire général
04:38à l'investissement, Bernard Acquoyer, ancien président de l'Assemblée nationale, président de patrimoine nucléaire et climat, François Goulard,
04:46ancien ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Christian Géraudot, haut fonctionnaire français, ancien délégué interministériel à la sécurité routière,
04:56et Fabien Bouglet, essayiste, expert en politique énergétique. Fabien Bouglet, bonjour. – Bonjour André Bercoff.
05:03– Alors, dites-moi, qu'est-ce que c'est que ce jacuzzi ? – Eh bien oui, c'est un jacuzzi énergétique pour signifier au Premier ministre
05:11la gravité de la situation dans le domaine énergétique. C'est un pavé dans la mare, c'est un petit caillou. Tout à l'heure, vous avez dit que j'étais un Don Quichotte.
05:20Non, je ne suis pas un Don Quichotte. Je ne me bats pas contre des moulins à vent, vainement, non.
05:25– En tant que David, c'est des moulins à vent. – Oui, mais nous sommes David contre Goliath.
05:29– D'accord. – Et en tant que David, ce pavé dans la mare est le petit caillou qui va faire tomber le Goliath éolien et photovoltaïque.
05:37La situation est très grave. Il suffit de prendre la situation en Allemagne. Tout d'abord, l'Allemagne, tout récemment, les chefs d'entreprise ont crié un cri d'alerte
05:46sur le problème d'approvisionnement en électricité parce qu'il n'y avait ni vent ni soleil. Toute l'économie s'effondre en Allemagne du fait qu'ils n'ont pas de nucléaire.
05:55Ils ont fermé les trois derniers réacteurs nucléaires. L'économie s'effondre de ce fait puisqu'ils ne bénéficient plus du gaz de Vladimir Poutine.
06:03Et encore tout récemment, une réserve de gaz a été détruite avec 27 milliards de mètres cubes en Ukraine. Donc si vous voulez, certains voudraient nous faire croire
06:12qu'en suivant le modèle allemand qui est catastrophique, la France serait vertueuse. Mais non. Et la volonté des signataires de cette lettre, c'est de faire un cri d'alerte
06:24au Premier ministre mais aussi à l'ensemble de la classe politique sur l'inanité de cette politique désastreuse qui va conduire la France à poursuivre le dessein de l'Allemagne.
06:36Nous ne voulons pas que la France soit dans la même catastrophe économique de l'Allemagne. Et nous signifions par cette tribune ouverte qui est effectivement, comme on l'a dit,
06:47une lettre de dénonciation forte, une anaphore pour rappeler tous les problèmes qu'il y a derrière. — Et vous demandez avec vos collègues signataires l'arrêt total définitif de cette politique.
06:59— Oui. — Qu'est-ce que ça nous a coûté jusqu'à présent, Fabien Bouffier ? — Ben écoutez, ça nous a coûté des centaines de milliards d'euros. La Cour des comptes avait fait un rapport
07:07déjà en 2017 pour parler de 120 milliards d'euros. — En 2017. — En 2017. Mais on peut parler des 200 milliards de raccordements qu'ont annoncés RTE et Enedis. Si on continue, on peut parler
07:19des subventions et des engagements. La commission de régulation de l'énergie a rappelé que le service public d'électricité allait représenter 9 milliards en 2025.
07:299 milliards. Cette année, c'est 4 milliards. Alors j'entends le débat politique dire qu'il faut ne pas payer les taxes des factures d'électricité, les fameux 4 milliards.
07:40Mais ça, ce sont les conséquences. Nous, dans notre tribune, nous abordons les causes. Les causes de l'explosion de la facture d'électricité et des factures énergétiques
07:50sont dues à cette politique de « en même temps » nucléaire couplée avec les éoliennes. — Comme vous dites, c'est pareil, c'est pas complémentaire, quoi.
07:58— Ça n'est pas complémentaire. Pourquoi, André Berkhoff ? C'est que quand vous mettez des énergies intermittentes dans un réseau qui reçoit du nucléaire constant,
08:07vous déstabilisez complètement le réseau. Et c'est ce qui se passe d'ailleurs en Allemagne. Vous risquez des coupures généralisées d'électricité.
08:15Vous créez des systèmes d'équilibrage entre une électricité qui est comme ça et une électricité constante, celle du nucléaire ou des barrages, qui est pilotable.
08:25Et donc vous déstabilisez complètement le réseau. Et donc ce cri d'alerte au Premier ministre, mais par extension à l'ensemble du corps politique
08:34et de la classe politique française, c'est de dire « Ne continuons pas dans ce qui est l'energiewende », c'est-à-dire la transition énergétique allemande,
08:42qui est un échec retentissant en Allemagne. En outre, récemment, dans une commission d'enquête en Allemagne, vient d'être dévoilé que les Grünen allemands,
08:52le ministre des Verts allemands, avaient mené des financements ministériels pour mener une guerre au nucléaire au niveau mondial et en particulier en France.
09:02Et c'est pour cette raison que nous insistons sur l'infiltration de nos institutions par les antinucléaires pro-éoliens. Encore tout récemment,
09:11on vient d'annoncer qu'un représentant de France Renouvelable, qui est l'ancien France Énergie Éolienne, vient d'être nommé directeur de cabinet adjoint
09:21ou au cabinet du patron de RTE, Réseau de Transport d'Électricité. — Chez nous, en France. — En France. Vous avez des gens de la filière éolienne
09:30qui sont engagés à EDF et à RTE pour infiltrer et faire dépendre les décisions dans l'orientation de l'éolien.
09:39Et donc si vous voulez, là, ça suffit. C'est aussi... Stop. On arrête. Ce cri de colère, il est pour signifier par des hautes personnalités.
09:49Attention, hein. On a les anciens dirigeants de notre système énergétique. André Merlin a été un des créateurs du marché européen de l'électricité.
09:58Parce que derrière tout ça, vous avez aussi le problème du marché européen de l'électricité. C'est que comme les énergies intermittentes sont prises en priorité
10:08du fait de leur coût qui est quasi nul, eh bien vous déstabilisez le prix du marché européen d'électricité. Et la France, dont le prix du nucléaire
10:19est un des plus bas dans le monde, pâtit parce qu'elle se retrouve avec un prix de marché européen qui n'est pas conforme à son prix domestique.
10:27Et donc c'est aussi... — Et pourquoi on ne suit pas l'Espagne et le Portugal, qui ont décidé, eux, pourtant ils font partie de l'UE,
10:36ils ont quitté le marché... — Parce qu'il y a des pressions allemandes, puisque les Allemands bénéficient de notre électricité pas chère qui est mutualisée.
10:43En réalité, tout récemment, on vient de lire que les Allemands qui menaient des opérations de guerre économique contre le nucléaire français
10:51avaient écrit en 2022 ou 2023, je crois, un courrier à Agnès Pannier-Rugnacher pour lui demander si les centrales nucléaires françaises
10:59allaient pouvoir assurer l'approvisionnement en électricité de l'Allemagne. Vous vous rendez compte ? C'est-à-dire que d'un côté,
11:05ils mènent des opérations de guerre économique terribles pour détruire le nucléaire français et de déstabilisation. Et de l'autre côté,
11:12ils sont contents de profiter de nos centrales nucléaires et de l'exportation tout en demandant de fermer Fessenheim,
11:18ce qui est un scandale absolu, puisqu'on a fermé une centrale nucléaire qui fonctionnait, qui était opérationnelle encore 30 ou 40 ans.
11:25Aux États-Unis, une centrale équivalente a été prolongée pour 80 ans, André Bergkopp. Donc c'est vous dire que là,
11:34parce que derrière, il faut bien comprendre une chose. C'est bien sûr l'énergie. Mais l'énergie, c'est le sang de notre pays.
11:43C'est l'essence de notre souveraineté. — L'économie, c'est l'énergie transformée.
11:46— Exactement. Sans énergie, il n'y a pas d'économie. Et c'est là-dessus où je veux vraiment alerter les hommes politiques.
11:53C'est que le débat n'est pas sur la taxe. Et je reviens sur cette question fondamentale. La question est qu'est-ce qui cause
12:00l'augmentation des taxes. Et l'augmentation des taxes, notamment de la TIFCE, c'est bien le subvention aux éoliennes et aux panneaux photovoltaïques.
12:08Et c'est d'autre part les 200 milliards d'euros envisagés par le TURP, qui est une taxe que payent les consommateurs sur leur facture d'électricité.
12:15— On se retrouve juste après cette petite pause, Fabien Bouglet. Et puis on va essayer de voir qu'est-ce que vous attendez.
12:21On va continuer à parler pendant quelques minutes. Qu'est-ce que vous attendez, justement, du Premier ministre ou de celui qui lui succédera ?
12:29On ne sait pas ce qui va se passer.
12:30— Et vous, chers auditeurs, pendant la pause, vous pouvez en profiter pour jouer au Grand sapin de Noël de Sud Radio.
12:35C'est l'occasion d'ouvrir vos cadeaux de Noël en direct. En jouant avec nous, vous pouvez gagner une enceinte connectée Amazon Echo Dot
12:43offerte par la Confédération des Buralistes, un séjour en famille au parc du Futuroscope ou encore plein d'autres cadeaux
12:49qui vous attendent au pied du Grand sapin de Noël Sud Radio. Alors pour tenter votre chance, rien de plus simple,
12:54appelez-nous dès à présent au 0826 300 300 si vous êtes le huitième appel. C'est gagné. Bonne chance à tous.
13:01— Sud Radio, Bercov, dans tous ses états.
13:07— Je ne suis pas le seul. Vous avez vu ces 10 patrons d'EDF, experts et tout ça qui ont dit « Ça suffit ». Fabien Bouglet,
13:14vous êtes avec nous depuis le début de cette émission. Alors qu'est-ce qu'aujourd'hui ? Nous sommes au-delà des problèmes
13:21de la dissolution ou pas dissolution, à supposer que Barnier reste ou que quelqu'un le remplace. Qu'est-ce que vous dites aux politiques,
13:29et notamment à Agnès Pannier-Runacher ? — Oui. Si vous voulez, en fait, il faut bien comprendre qu'Agnès Pannier-Runacher,
13:34qui est ministre de l'Écologie et sa consœur Olga Giverné, qui est ministre de l'Énergie, porte actuellement ce qu'on appelle
13:40le plan pluriannuel de l'énergie. Et ce plan pluriannuel de l'énergie, qu'on espérait beaucoup moins volontaire dans le domaine
13:48des énergies intermittentes, panneaux photovoltaïques ou éoliennes en mer, éoliennes terrestres, est totalement dans la lignée
13:54du en même temps macronisme qui consiste à dire « On va faire du nucléaire et des énergies intermittentes ». Et les déclarations
14:02et le document qui a été dévoilé est absolument terrifiant pour le système énergétique. Et c'est ce qui a levé, si vous voulez,
14:12ses représentants, ses anciens dirigeants et ses spécialistes des questions énergétiques. On parle de multiplication par 3 ou 2
14:20des éoliennes terrestres. On parle de multiplication... — Ah oui. Investir encore quelques centaines de milliards ou de...
14:25— Des milliers d'éoliennes en mer. On en a aujourd'hui 3 centrales. Il s'agit d'en faire 30 ou 40. Donc c'est-à-dire on passe de...
14:33Là, on a quelques centaines d'éoliennes en mer installées. Il s'agirait d'en faire 5 000. Voyez ? Des panneaux solaires.
14:39Alors les panneaux solaires individuels, ça pose pas trop de problèmes. Mais les panneaux photovoltaïques pour lesquels on détruit des forêts,
14:46on détruit des environnements pour installer dans des zones naturelles ou des montagnes des panneaux photovoltaïques, ça n'a aucun sens
14:54pour sauver la planète. Et on le dit dans ce système. Nous n'avons pas besoin d'énergie intermittente éolienne aux panneaux photovoltaïques,
15:01parce qu'avec nos barrages et avec notre nucléaire, nous sommes déjà décarbonés. Et la France est un des pays les plus vertueux au monde
15:09pour son électricité décarbonée. Et donc cette lettre ouverte, c'est déjà un arrêt de mort. Je pense qu'on peut dire aujourd'hui qu'Agnès Pannier-Runacher
15:19et Olga Giverny ne peuvent plus présenter le plan pluriannuel de l'énergie tel qu'il est déposé. C'est fini. Oui, je pense que l'autorité des personnes
15:29qui l'ont signée est très forte et que Mme Pannier-Runacher, et on verra l'évolution du gouvernement et sa consœur, ne peuvent plus aujourd'hui
15:38présenter décemment ce plan pluriannuel de l'énergie qui multiplie les éoliennes. Donc le plan pluriannuel de l'énergie tel que présenté par Agnès Pannier-Runacher,
15:49voulu par Emmanuel Macron, est mort. — Donc on peut faire entendre la marche funèbre de Chopin, sans problème. — Et donc ce que nous demandons, justement,
15:55c'est que maintenant, soit Michel Barnier, peut-être pourquoi pas avant la censure, ce qui serait d'ailleurs peut-être un miracle,
16:02c'est-à-dire pourrait constituer un miracle, dévoile immédiatement un moratoire sur les éoliennes et les panneaux photovoltaïques qui portent atteinte
16:11à la nature pour faire l'enterrement définitif de cette filière qui n'est pas française, qui ne bénéficie pas à l'économie française, qui fait l'objet
16:20d'infiltration d'étrangers, comme je l'ai dit tout à l'heure, d'infiltration de nos administrations, pour mettre un terme à cette imposture qui détruit
16:28notre économie et nos entreprises. Rappelons une chose, André Berkhoff. En Allemagne, à cause du système énergétique, les entreprises délocalisent et ferment.
16:37Les industries ferment. Et ça commence en France. — On le sait. On voit ce qui se passe avec Volkswagen, BASF, etc., etc.
16:43— Et Michelin vient d'annoncer en France la fermeture d'industries, du pneu, de ce fait. Nous sommes en train... Nous allons assister à une dégradation
16:54industrielle extrêmement forte et puissante, avec le chômage et avec l'explosion du... — Donc ce que vous dit Fabien Mouglet, on va bien. Vous dites
17:01« Arrêtons le massacre ». Et donc vous avez écouté... Eh bien je vais vous dire une chose. Cet avis va-t-il tenir lieu de faire part ? On le saura très vite.
17:10Merci, Fabien Mouglet. — En tout cas, on a bon espoir que Michel Barnier réponde à notre attente ou son successeur, si c'est le cas.
17:16— Miracle.

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